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Microsoft travaillerait déjà sur le Service Pack 1 de Windows 7, moins de deux semaines après son lancement. Bien qu'il ait reçu un accueil plutôt favorable, le nouveau système d'exploitation n'est effectivement pas exempté de quelques problèmes. Les premiers correctifs estampillés "critiques" à destination de Windows 7 ont ainsi été déployés avant même sa commercialisation, tandis que certains logiciels souffrent d'incompatibilités qui ne sont pas du ressort de leurs concepteurs.

Un blogueur russe à qui l'on doit de nombreuses rumeurs avérées aurait mis la main sur des informations concernant ce premier lot de mises à jour. Selon lui, une première bêta du Service Pack 1 serait publiée dès janvier 2010, suivie d'une seconde bêta puis de deux release candidate. La version finale (RTM) serait enfin mise à disposition des intégrateurs (OEM) au cours de l'été 2010 puis proposée au public au travers de Windows Update à l'automne 2010.
Les membres de la Commission Européenne, et plus particulièrement, Viviane Reding, commissaire chargée de la société de l'information et des médias, ont accusé le Royaume-Uni de ne pas avoir suffisamment protégé la vie privée des citoyens britanniques. En effet, en 2006, certains fournisseurs d'accès à Internet locaux ont en effet testé une redoutable plateforme publicitaire.

BT, mais également, Talk Talk et Virgin ont signé des accords avec la société américaine Phorm. Ces FAI ont ainsi implémenté un système de publicité comportementale baptisé WebWise et doté d'une technologie capable d'analyser les paquets transférés. Si Phorm expliquait qu'il s'agissait-là de données anonymes et même d'un système de protection contre les éventuelles menaces de phishing, plusieurs personnalités, à l'image de Tim Berners-Lee, condamnèrent ses pratiques. En effet, d'une part les clients de ces FAI n'avaient pas été mis au courant de ces pratiques, d'autres part, ils n'avaient aucun moyen de les bloquer. La Commission Européenne a ainsi engagé des actions judiciaires à l'encontre des prestataires de services entre 2006 et 2007. Viviane RedingLa Commission Européenne a récemment envoyé une lettre au département de l'Intérieur du Royaume-Uni dans laquelle elle rappelle que selon les lois européennes, chaque état membre doit s'assurer de la confidentialité des communications électroniques de ses citoyens. « Dans l'univers numérique, la protection de la vie privée et l'intégrité des données à caractère personnel n'est pas seulement une question cruciale, c'est un droit protégé par la législation européenne.", explique Viviane Reding. Elle ajoute : « c'est pourquoi la Commission veille attentivement à la mise en place des règles et des droits de l'UE  ». Mme Reding demande ainsi à ce que le Royaume-Uni conforme ses lois à celles mises en place par Bruxelles.

En effet, outre-Manche, la loi Regulation of Investigatory Powers Act (RIPA), votée en 2000, donne aux autorités le pouvoir d'intercepter les communications, non seulement lorsque la personne concernée aurait consenti à ces pratiques mais également lorsque la personne interceptant les communications "a suffisamment d'éléments pour estimer" que le consentement a été bien donné... Notons par ailleurs, qu'au Royaume-Uni, il n'existe pas d'autorité indépendante chargée de superviser les interceptions des communications ; une telle autorité est requise par les directives européennes ePrivacy et Data Protection.

Paradoxalement, suite aux attentats de Londres en 2005 une directive européenne, entrée en vigueur en avril dernier, avait obligé les fournisseurs d'accès à conserver pendant un an l'intégralité de l'historique de navigation des internautes ainsi que les appels en VOIP. Cette mesure fut vivement contestée et notamment par Jim Killock, directeur du groupe Open Right, qui soulignait "l'incompatibilité de cette directive avec les lois régissant les droits de l'homme". Isabella Sankey, directrice de l'association Liberty, expliquait pour sa part : "le problème de ce régime c'est que ces informations ne seront pas seulement accessibles par la police mais par des centaines d'institutions publiques ».

Sans réaction de la part du Royaume-Uni au cours des deux prochains mois, la Commission pourrait porter l'affaire devant la Cour de justice des Communautés européennes.
Serait-ce l'approche du célèbre salon de la Macworld au mois de janvier qui ne cesse d'attiser les rumeurs autour de la société de Steve Jobs ? En effet, en plus d'une éventuelle tablette tactile, l'un des blogs du Wall Street Journal affirme qu'Apple serait en passe de proposer un nouveau service via son logiciel iTunes.

Plus précisément, certaines sources rapportent qu'Apple préparerait une offre aux alentours de 30 dollars par mois permettant à l'utilisateur d'accéder à du contenu télévisé directement depuis le logiciel multimédia. La stratégie ne serait pas de restreindre cette souscription à un produit particulier - tel que l'Apple TV - mais de le proposer au sein de l'iTunes Store qui compterait à ce jour 100 millions de clients. En France, Apple propose déjà d'acheter des épisodes de séries télévisées et, aux Etats-Unis, de louer ou d'acheter des films. Outre Atlantique, le service Hulu, détenu par NBC, la Fox et ABC, propose un portail de catch-up TV et tente de mettre au point une option payante.

Un tel service, s'il venait véritablement à être dévoilé, pourrait concurrencer les offres des câblo-opérateurs en proposant des émissions premium. L'on imagine par exemple que Disney, dont Steve jobs est le premier actionnaire privé, rejoindra d'emblée ce service. Interrogés à ce sujet par MediaMemo, les fournisseurs de contenus soulèvent immédiatement deux problèmes. D'une part, l'entrée d'Apple sur le marché risquerait fortement de créer plusieurs tensions avec les câblo-opérateurs locaux qui souhaitent proposer du contenu exclusif. D'autre part, ils s'interrogent sur le modèle de la souscription qui pourrait avoir un effet sur les revenus publicitaires.
L'ARCEP, l'autorité de régulation des Telecom, vient de publier son rapport pour le second trimestre de l'année 2009. Concernant la partie Internet, au mois de juin l'on aurait dénombré 19,362 millions d'abonnements à un accès à Internet contre 17,893 millions un an plus tôt. Cela représente une hausse de 8,2%.

L'Internet haut-débit (ADSL, câble et autres technologies) enregistre pour sa part une hausse de 12% sur un an et compte 18,685 millions d'accès contre 16,689 millions en 2008. Alors qu'à la mi-2006, la croissance annuelle des accès haut-débit était de 3 millions, puis de 2,5 millions mi-2008, l'ARCEP observe un nouveau ralentissement à 2 millions d'accès au cours des trois derniers trimestres. Parmi les 17,6 millions de Français abonnés à une souscription ADSL, 44% d'entre eux (soit 7,7 millions) bénéficiaient d'une offre de télévision par ADSL. En comparaison, la télévision par ADSL ne concernait que 5,1 millions de clients à la fin du premier semestre 2008.

La facture moyenne d'un abonnement à Internet haut-débit est de 23,9 euros HT, un chiffre stable depuis deux ans. Au second trimestre 2009, le revenu de l'ensemble des accès à l'internet était de 1,5 milliard d'euros soit une hausse de 8,9% depuis la même période en 2008. Avec 1,3 milliard d'euros, les accès haut-débit représentent 90% de ce revenu. Les accès bas-débit affichent une baisse de 41,1% sur un an et ne comptent plus que pour 18 millions d'euros. Les fournisseurs d'accès à Internet bénéficient d'autres revenus tels que les prestations de services optionnels, l'hébergement de site web ou la publicité sur leur portail ; ces derniers s'élèvent à 116 millions d'euros.

Retrouvez le rapport dans son intégralité ici (PDF).
Ce n'est pas la première, et ce ne sera certainement pas la dernière : une nouvelle étude vient appuyer le propos selon lequel ceux qui téléchargent illégalement de la musique ne sont pas forcément les derniers à en consommer de façon régulière. Ainsi, ceux qui reconnaissent se procurer des morceaux de façon détournée en ligne dépenseraient en moyenne 75 lirvres par an en musique, contre 44 livres pour ceux qui affirment ne pas télécharger illégalement. L'étude a été conduite courant octobre, sur un échantillon d'environ 1000 internautes britanniques, par Ipsos Mori pour le compte de Demos, un cabinet de recherche et de réflexion.

Parmi les sondés, âgés de 16 à 50 ans et disposant tous d'un accès à Internet, un sur dix reconnait télécharger illégalement de la musique. En réalité, un tiers des personnes interrogées admet utiliser des moteurs de recherche (Web, P2P ou autres) pour localiser de la musique et éventuellement la rapatrier gratuitement, mais 9% seulement reconnaissent pratiquer un téléchargement manifestement illégal, i.e. opéré sans le consentement des ayant-droits.

Ces amateurs de téléchargement, qui continuent à acheter des CD ou à payer de la musique en ligne, sont également selon cette étude les plus enclins à exploiter les services légaux qu'offre Internet, de YouTube et MySpace aux plateformes telles que Spotify et Last.fm. Qu'ils téléchargent illégalement ou non, la grande majorité des sondés se dit par ailleurs séduite par la facilité d'utilisation d'un Spotify, à laquelle s'ajoute l'économie d'argent réalisée mais aussi la capacité de découvrir de nouveaux artistes.

Du côté de la musique en ligne payante, tous ou presque déplorent un prix de vente trop élevé. Les suffrages se concentrent ainsi aux alentours d'un prix unitaire à 0,45 livre le morceau, inférieur de moitié à celui que pratiquent aujourd'hui les plateformes spécialisées.

Cette nouvelle étude intervient alors que le gouvernement britannique vient de faire part de son intention d'adopter un dispositif de riposte graduée visant à juguler le téléchargement illégal, et devrait évidemment servir le propos de ceux qui estiment problématique la mise en place de systèmes de surveillance et de privation de l'accès à Internet.

« La récente approche choisie par le gouvernement n'aidera à soutenir une industrie de la musique en difficulté. Les politiciens et les sociétés concernées devraient reconnaitre que les habitudes de consommation de la musique ont changé, que les consommateurs demandent des prix inférieurs et des modalités d'accès moins contraignantes », résume Peter Bradwell, de Demos. Vous pouvez télécharger l'étude au format .ppt.
C'est aujourd'hui au tour de la justice suédoise de s'en prendre à The Pirate Bay. Un tribunal de Stockholm a récemment interdit à deux des trois fondateurs de la baie, Gottfrid Svartholm et Fredrik Neij, de l'administrer. Dans les épisodes précédents, le site s'est pourtant déjà fait expulser de Suède, son pays natal, avant de s'installer aux Pays-Bas où il essuie les attaques successives de la Brein, l'association de protection du droit d'auteur locale.

Le troisième fondateur et ancien porte-parole de The Pirate Bay, Peter Sunde, qui est pour une raison inconnue épargné par cette décision, s'est étonné du verdict : "Comment le tribunal de Stockholm, en Suède, peut-il décider que des personnes vivant à l'étranger ne doivent pas travailler sur un site hébergé dans un autre pays ?"

Les deux coupables risquent 500 000 couronnes suédoises de pénalité par jour (environ 50 000 euros) s'ils n'obtempèrent pas. Encore faudrait-il que la cour puisse se rendre compte que Gottfrid Svartholm et Fredrik Neij administrent encore le site… Quoi qu'il en soit, le site est toujours en ligne.
le 03/11/2009 à 22:38
OPT_CONNECT_TIMEOUT
Lorsque vous utilisez un format de données comme MySQL, vous pouvez choisir différents choix de connexion avec les formats comme MySQL, MySQLi, MySQLND

Suivant le format, et le choix de la version de PHP, vous pouvez obtenir des temps de connexion différentes et donc prévoir une gestion Timeout en secondes.

Über Nixnutz a effectue une étude comparative suivant entre avant PHP 5.3.0 et PHP 5.3.1

Grâce à cela, vous allez pouvoir avoir une meilleure approche du choix du format de votre base de donnée.

- PHP/C: Does MYSQL[I]_OPT_CONNECT_TIMEOUT work
le 03/11/2009 à 22:38
Plusieurs PHP sur un serveur
Lorsque vous développez vos sites web, et qu'une nouvelle version de PHP vient de sortir, vous pouvez être intéressé de basculer vers cette nouvelle mouture. Cependant vous risquez de rencontrer des conflits sur vos anciens sites.

Si vous souhaitez proposer sur un même serveur 2 versions de PHP différentes, cela devient assez dur. Depuis la version 5.2.7 cette opération a été facilitée avec la variable d'environnement "PHP_INI_SCAN_DIR".

Le blog Dymon montre une façon d'installer 2 versions de PHP dans un apache.

Par ailleurs, si vous ne souhaitez pas faire cette opération sur votre serveur local, il existe Wampserver vous permettant de passer d'une version PHP vers une autre en 1 clic grâce aux différents Add-ons proposés.

- Multiple PHP versions on one webserver
Sur son blog officiel, Facebook annonce qu'une décision de justice vient de valider la somme de 711 millions de dollars pour dommages et intérêts dans une affaire de spam. Sanford Wallace et Adam Arzoomanian ont tous deux été condamnés par la cour fédérale de Californie pour avoir obtenu des identifiants de comptes et les avoir utilisés pour l'envoi massif de spam et dans certains cas, de liens vers des sites frauduleux.

Cette somme de 711 millions de dollars a été calculée en fonction du nombre de violations de la loi en vigueur (CAN-SPAM Act) à hauteur de 50 dollars par infraction. Si Facebook ne s'attend pas à obtenir la totalité de cette somme, la société précise que cette affaire est un pas en avant dans la lutte contre le spam. En effet, Sanford Wallace pourrait également être condamné à de la prison ferme. " Le dossier démontre que Wallace a délibérément violé la loi avec un mépris flagrant pour les droits de Facebook et de milliers d'utilisateurs du réseau dont les comptes ont été compromis par son comportement », a déclaré le juge Jeremy Fogel du district nord de Californie.

Déjà, en mai 2008 il fut également reconnu coupable d'avoir violé le CAN SPAM act et fut condamné à payer la somme de 230 millions de dollars pour avoir mis en place des stratégies de spamming sur le réseau de MySpace.
Disponible depuis quelques temps dans le répertoire FTP de téléchargement, la première bêta de Firefox est officiellement distribuée par la fondation Mozilla. Basé sur le moteur de rendu Gecko en version 1.9.2, cette nouvelle mouture embarque un certain nombre de nouveautés.

C'est ainsi qu'il est possible de personnaliser l'apparence du navigateur d'un simple clic de souris. Mozilla y a en effet intégré la technologie Personas qui permet d'utiliser très simplement une image de fond pour les barres d'outils. Nous avions également évoqué un système de notification informant les utilisateurs sur l'état de leurs plugins installés. C'est ainsi qu'en se rendant sur une page web nécessitant le lecteur Flash, l'internaute devrait savoir s'il possède bien la dernière mise à jour disponible. Cette fonctionnalité répond à une forte demande puisque bien souvent les plugins sont vecteurs de failles de sécurité.

Firefox 3.6 prend également en charge le format Web Open Font (WOFF). Par rapport aux formats de police TrueType et OpenType, Web Open Font présente l'avantage d'être compressé. Cela facilite le rendu d'une police particulière après son intégration au sein d'une feuille de style avec la propriété @font-face. Mozilla annonce également de meilleures performances JavaScript, un temps de démarrage optimisé et la prise en charge de nouvelles propriétés CSS et l'implémentation de HTML 5.

Les utilisateurs de Windows 7 remarqueront que le logiciel a été optimisé pour prendre en charge les nouvelles fonctionnalités de la barre des tâches de Windows 7 avec une prévisualisation des onglets ouverts. Notons également qu'en activant le paramètre browser.ctrlTab.previews, il est possible de presser CTRL+Tab et de retrouver une liste des onglets en cours de lecture à la manière du raccourci ALT+Tab pour les logiciels. Pour ce faire, il suffit de taper about:config dans la barre d'adresse puis de rechercher la valeur browser.ctrlTab.previews et lui donner la valeur True. Attention cette manipulation reste cependant réservée aux utilisateurs avancés.

Rappelons qu'il ne s'agit pas d'une version stable du logiciel, d'ailleurs, comme à chaque mise à jour, plusieurs extensions ne fonctionneront pas.
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