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le 05/11/2009 à 21:37
Recherche en Fulltext avec Xapian
Depuis quelques semaines, les moteurs et les techniques de recherche se sont développés. La majorité du temps, la technique de recherche en Fulltext passe par MySQL ou un autre format de base de données. Mais le résultat et le temps de réponse peuvent poser quelques soucis sur des gros volumes sauf si votre indexation est bien réalisée.

Xapian est une librairie de recherche (comme Lucene ou Sphinx) et s'utilise avec PHP. Le site ContentStyle montre une méthode d'utilisation assez facile à mettre en place.

- Fulltext searches with Xapian and PHP
- site officiel Xapian
le 04/11/2009 à 21:30
Le bureau KDE passe en 4.3.3
A chaque mois sa nouvelle version de KDE, ou presque ? L'équipe en charge du développement de ce bureau Linux (mais pas seulement) vient d'annoncer la sortie de la mouture 4.3.3 du logiciel, immédiatement disponible au téléchargement. Cette nouvelle version vient essentiellement corriger quelques dysfonctionnements, et améliorer les traductions par rapport à ce qui avait été fait dans KDE 4.3.2. Dans la mesure où il s'agit d'une mise à jour de maintenance, l'équipe KDE assure que l'installation et l'utilisation seront une véritable partie de plaisir pour tous. On pourra consulter la liste des problèmes corrigés via ce lien (en anglais).
La course aux portails Internet semble belle et bien être relancée. Après AOL et Yahoo!, c'est au tour de Microsoft de dévoiler aujourd'hui une toute nouvelle version de sa page d'accueil MSN.com, il s'agit là d'une mise à jour majeure, la première en 10 ans.

Depuis quelques temps, Microsoft tente de véritablement distinguer ses deux marques MSN.com et Live.com en reconsidérant la stratégie du premier. Après avoir fermé MSN Encarta, MSN Money Plus et MSN Soapbox, Erik Jorgensen, vice-président de MSN, expliquait au mois de juin que le portail accueillait régulièrement 37% des internautes. "Cela ne s'adresse pas à tout le monde mais pour une bonne partie du marché, cela représente une expérience incontournable de l'Internet ", déclarait-il. L'équipe projette ainsi d'étoffer la partie magazine de MSN.com et notamment des sites : MSN News, Sports, Finance, LifeStyle et Entertainement.Disponible par défaut pour certains et accessible depuis preview.msn.com, la nouvelle page d'accueil rompt complètement avec le modèle classique auxquels les internautes se sont habitués depuis des années. Il faut dire que le site fut souvent critiqué pour son aspect encombrant. M. Jorgenson explique que ces changements visent précisément à simplifier la page en répondant aux demandes des utilisateurs : "aujourd'hui il est temps de nettoyer cette pagaille sur le web - les gens ont besoin (d'une page) plus claire et plus facile pour trouver ce dont ils ont besoin", affirme-t-il.

Aux Etats-Unis, Microsoft propose également une version localisée de sa page présentant les dernières actualités de sa ville, le bulletin météo local, une carte ainsi que des liens préconfigurés pour accéder rapidement à une liste des restaurants ou des horaires des salles de cinémas. L'équipe devrait également dévoiler une version de cette page utilisant la technologie Silverlight ; celle-ci sera dévoilée un peu plus tard. M. Jorgenson déclare que 50% des visiteurs de MSN auraient déjà installé le plugin en question.

Notons en revanche que contrairement aux nouvelles versions de ses concurrents Yahoo.com ou AOL.com, cette nouvelle page n'autorise pas la personnalisation du contenu, par exemple, la lecture de ses emails sur GMail ou la gestion des réseaux communautaires tels que Facebook. Ainsi si Yahoo! permet de personnaliser la page avec des petites applications, M. Jorgenson estime qu'"une large majorité des utilisateurs ne sont pas prêts à perdre du temps dans la personnalisation". D'ailleurs, sur cette nouvelle version, Microsoft ne propose plus d'accès vers la page Mon MSN.
La faille n'a manifestement pas été corrigée sur toutes les déclinaisons locales du site d'Apple.

Publication initiale, 4 novembre, 9h20.

Le lien a tourné jusqu'aux petites heures du jour, jusqu'à ce qu'Apple corrige la faille incriminée. Reste une poignée de captures d'écran telles que celle qui suit, ne pouvant manquer de faire sourire : quelques internautes facétieux ont découvert pendant la nuit que l'une des pages du site d'Apple était vulnérable à une injection de contenus par le biais de variables d'URL. Concrètement, il suffisait d'entrer manuellement les termes de son choix, ainsi qu'un lien pointant vers une image hébergée sur le Web, aux bons endroits d'une adresse Web donnée pour que ceux-ci s'affichent de la façon la plus officielle qui soit sur une page du site d'Apple. Il n'a pas fallu longtemps pour que quelques plaisantins construisent une adresse grâce à laquelle Apple.com faisait la promotion de... Windows 7, le nouveau système de Microsoft !

La vulnérabilité a logiquement été corrigée par Apple dès que l'information a commencé à circuler, et les adresses ainsi modifiées ne fonctionnaient plus mercredi matin. Au delà des éventuels détournements potaches, l'affaire aurait tout de même pu se révéler ennuyeuse : au lieu de se contenter d'un logo Windows 7, certains ont par exemple fait s'afficher sur cette page des iframes ou des scripts plus intrusifs. Aucun incident n'a pour l'instant été déploré. On retiendra donc de cette petite mésaventure la capture d'écran ci-dessous, que l'on aurait crûe construite à l'aide d'un logiciel de retouche d'images. Merci à Mickdez pour l'info !
Mandriva n'aura pas raté l'automne, période à laquelle fleurissent généralement les nouvelles distributions Linux. L'éditeur a en effet mis en ligne dans la nuit les différentes variantes de son nouveau produit phare, Mandriva Linux 2010. Toujours déclinée en plusieurs éditions, allant du 100% open source à l'édition PowerPack destinée aux professionnels, la distribution poste de travail de Mandriva s'ouvre pour cette version 2010 à diverses nouveautés, allant des derniers environnements de bureau en date à Moblin, en passant par un dispositif prometteur, surnommé « bureau intelligent ».

Si par défaut, Mandriva Linux adopte KDE, ici en version 4.3.2, il est également possible d'opter pour Gnome (2.2.28), voire LXDE pour les machines les plus anciennes. A l'installation, la 2010 se charge d'ailleurs d'analyser la configuration de votre machine pour vous proposer par défaut le choix adapté au niveau de performances dont vous disposez. « Aujourd'hui, environ 45% des machines équipées de Mandriva sont sous Gnome, contre 55% pour KDE. Plus ça va, et plus nous pensons qu'il faut conserver cette diversité », explique Anne Nicolas-Velu, VP Engineering de Mandriva.

En complément, Mandriva 2010 s'ouvre cette année aux paquets issus du projet Moblin (codéveloppé par Intel), qui vise à dispenser une interface utilisateur légère et adaptée aux écrans de petite dimension tels que ceux des netbooks. Du côté matériel cette fois, l'éditeur se félicite d'être parmi les premiers à avoir intégré les pilotes nécessaires au fonctionnement de la plateforme Poulsbo, de plus en plus souvent associée aux processeurs Atom d'Intel. Mandriva 2010 avec KDE

Également disponible en option : l'environnement Sugar, issu du programme OLPC et destiné à des enfants en phase de découverte de l'univers informatique. On notera par ailleurs l'apparition systématique d'un compte "invité", idéal pour laisser un ami surfer quelques minutes depuis son ordinateur, sans compromettre ni sa propre session, ni sa vie privée puisque les données générées sont stockées dans un dossier TMP et nettoyées à chaque fermeture. Sur le plan technique, Mandriva 2010 inaugure Plymouth, pour un démarrage plus animé qu'avec Splashy, ainsi qu'un nouvel outil de partitionnement, plus visuel. On notera également l'intégration du media center Moovida, ainsi que de nouveaux outils dédiés à la virtualisation (VirtualBox 3 notamment).

Parmi d'autres nouveautés, Mandriva met un accent tout particulier sur une nouvelle fonctionnalité, le "bureau intelligent" ou smart desktop. Issu du projet de recherche Nepomuk, il part du principe que trop souvent en informatique, les fichiers et informations sont rangés en fonction de l'application qui les stocke ou les a générés, alors que l'utilisateur a finalement besoin d'un classement centré sur ses tâches et projets. A l'aide des logiciels associés à ce smart desktop, on pourra donc rattacher ses mails, documents et dossiers à une tâche en cours. Par la suite, un moteur d'analyse sémantique, relativement simple pour l'instant, se chargera de suggérer pour chaque nouveau contenu reçu ou produit l'association à un projet. Un gestionnaire, Task Desktop, regroupe ces différentes données et permet de les administrer.

Mandriva 2010 est déclinée en différentes éditions : Mandriva Free, la version 100% open source, Mandriva One, destinée au grand public et munie de certains pilotes et logiciels propriétaires (outils Adobe par exemple) et Mandriva Powerpack, la version payante, facturée 49 euros, qui vient accompagnée d'un logiciel lecteur de DVD et comprend trois mois de support technique ou d'assistance.
L'arrivée conjointe de Windows 7 et d'Ubuntu 9.10 constitue une belle occasion pour le site AllMyApps de faire parler de lui et de lancer sa version française. Assez similaire, dans la forme, à Ninite, il permet à l'internaute de constituer une liste de logiciels, gratuits ou payants, qu'il pourra par la suite installer en un clic sur sa machine.

Ouvert en début d'année, le site était réservé aux utilisateurs d'Ubuntu, mais il s'est rapidement ouvert à l'univers Windows (XP, Vista et 7). Aujourd'hui, AllMyApps dit compter quelque 150 logiciels pour Windows, essentiellement gratuits, parmi lesquels on retrouve les grands classiques que sont Firefox, OpenOffice.org, VLC et autres The Gimp, contre 300 pour Linux.

Le site propose la création d'un compte utilisateur, sur lequel on pourra stocker sa "liste d'installation" de logiciels et la partager avec d'autres. Une fois celle-ci constituée, le programme associé au service se charge de rapatrier et d'exécuter en local les différents installeurs nécessaires, de façon à ce que l'internaute retrouve sur son Windows ou son Ubuntu fraichement configuré ses principaux logiciels sans avoir eu à les traiter un par un.

« Pour l'instant, on ne gagne pas d'argent, mais on touchera une marge sur le prix de vente dès qu'on aura intégré des logiciels payants », confient Thibauld Favre et Arnaud Coulondre, les deux fondateurs du service qui tentent actuellement de nouer des liens avec des éditeurs. En attendant, pourquoi pas, le développement d'une version Mac OS et l'extension à d'autres distributions Linux, l'autre défi à relever sera de référencer les traductions françaises des logiciels proposés à l'installation automatique, qui font défaut aujourd'hui.
La Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF), chargée de représenter les intérêts des propriétaires de cinémas en France, annonce que les 2100 salles du pays se sont unies "pour une opération symbolique". En effet, aujourd'hui, entre 18h et 19h, elles éteindront leurs enseignes lumineuses afin de protester contre la nouvelle chronologie des médias décrite au sein de la loi Création et Internet.

Jusqu'à présent le délai entre l'exploitation d'une oeuvre cinématographique en salle et sa disponibilité en vente en DVD était de 6 mois, puis 3 mois supplémentaires pour offrir la location (dont la Video à la Demande) et enfin encore 3 mois pour une première diffusion sur des chaînes payantes comme Canal+. La FNCF explique que suite à l'adoption de la loi Création et Internet "la durée d'exclusivité d'exploitation des films par les salles de cinéma est désormais amputée du tiers (réduite à 4 mois) voire de moitié". Ces amendements ont été déposés par les députés UMP Franck Riester et Frédéric Lefebvre et visent entre autre à réduire le piratage de films sur Internet. Lorsque cette mesure fut présentée, certains ont tout de suite crié au scandale, c'est notamment le cas d'Alain Terzian, président de l'Union des Producteurs de films : " trois mois, ce n'est pas réalisable économiquement. Canal + passerait à six mois". Il ajoutait : "Tout s'écroulerait".

Les directeurs des salles de cinéma craignent en effet que la perte de ces semaines d'exclusivité se traduisent par un impact financier trop important. Dans un communiqué officiel, la FNCF explique que les salles de cinéma reversent 50% de leur recette aux ayants droit contre 20% pour la vidéo, 9% pour Canal + et 3,2% pour les chaînes en clair. L'association demande ainsi "des mesures de rééquilibrage", avec une baisse du taux de location de films de 45% à 50% ainsi que certains avantages fiscaux notamment en ce qui concerne la taxe professionnelle et le crédit d'impôts.
le 04/11/2009 à 21:30
Programmation MVC avec Agavi
Lorsque vous développez un projet web, vous pouvez développer avec différents outils comme les Frameworks en PHP (Symfony, Zend Framwork...). Ces outils vont vous permettre d'intégrer des bibliothèques tierces et communautaires, des éléments de développements pour des fonctionnalités supplémentaires.

Les bases de développement lorsque vous utilisez les Frameworks concernent l'utilisation de MVC. Vikram Vaswani lance une série de 5 articles sur ce thème avec, sous la forme de tutorials, la mise en route et l'utilisation de la programmation MVC avec Agavi.

- Introduction to MVC Programming with Agavi
Désormais, les utilisateurs du moteur de recherche Google News ont la possibilité d'ajouter à la page d'accueil de cet agrégateur de flux d'actualités un volet d'information locale. Pour en profiter, il suffit d'être enregistré à l'aide d'un compte Google, puis de sélectionner "Ajouter une rubrique locale" via le menu "Modifier cette page". On pourra alors sélectionner un nom de ville ou un code postal, pour se voir proposer une sélection automatique d'articles et de dépêches concernant la zone sélectionnée.

Face aux grands flux d'actualité généralistes, Google News s'ouvre ainsi de façon bien plus large à la fameuse PQR, ou presse quotidienne régionale. Un essai sur le département de l'Indre-et-Loire (code postal de Tours, 37000) fait ainsi ressortir une série d'articles édité par le quotidien La Nouvelle République. Même topo lors d'un essai avec Toulouse : pour la ville rose, La Dépêche devient la première source de contenus.

Déjà lancée aux Etats-Unis, en Grande Bretagne ou au Canada, cette fonctionnalité fait appel à des algorithmes spécifiques, sur lesquels Google dit encore travailler. « Nous entrainons notre algorithme à détecter quand un article d'actualité évoque un endroit précis et quand il ne le fait pas. La ville de Paris, qui est aussi le nom d'une célébrité, a été particulièrement problématique à cet égard », explique Mikey Levine, ingénieur chez Google.

Un premier pas vers la publicité locale sur les pages de Google News ? Le développement de ce service lié à l'actualité intervient alors que le moteur de recherche entreprend depuis le début du mois d'octobre de tester, en Californie, un dispositif de publicité localisée, Local Listing Ads, destiné aux petites et moyennes entreprises.

A leur tour, les titres de presse "locale" devraient se trouver confrontés au dilemme que constitue Google News : d'un côté, une source non négligeable de trafic, mais de l'autre, une forme de parasitisme, avec un service qui construit sur une audience, et demain ses revenus, sur des contenus que leurs éditeurs ont parfois du mal à monétiser.
Selon un billet publié sur le blog Stellarola, la prochaine mise à jour de Snow Leopard (Mac OS X 10.6.2), ne prendrait plus en charge les processeurs Intel Atom, principalement réservés aux netbooks.

Dans la mesure où les mini-portables d'entrée de gamme présentent plus ou moins des configurations matérielles standard (Atom N270/N280 ou Z500 + chipset Intel 945GSE Express), cela a permis à la communauté hackintosh de mettre au point des outils d'installation relativement standard et fonctionnant d'une machine à l'autre. Au milieu d'une saga juridique contre Psystar, Apple entend freiner davantage les copies illégales de son système d'exploitation. Cela signifie donc que la communauté hackintosh devra rester sur Mac OS X 10.6.1 jusqu'à la publication d'un correctif officieux.

A plusieurs reprises, Apple avait affiché sa position hostile face au marché du netbook. Tim Cook, directeur des opérations techniques, expliquait ainsi : "ces produits utilisent des composants bien moins puissants, une technologie logicielle qui n'est pas bonne avec un affichage contraignant. ". Cette initiative alimente davantage la rumeur d'une potentielle tablette basée sur un processeur ARM. Connue sous le nom d'iPad ou de Slate au sein de la blogosphere, celle-ci serait attendue pour le mois de janvier.
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