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Après avoir eu droit à son baptême du « patch Tuesday » le mois dernier, Windows 7 a ce mois-ci été épargné par les habituelles mises à jours de sécurité du deuxième mardi du mois. Les six correctifs de cette fournée comblent quinze failles affectant Windows et Office qui permettent comme à l'accoutumée de prendre le contrôle ou de faire planter à distance un ordinateur. Trois des quatre correctifs pour Windows sont qualifiés de « critiques », le quatrième pour le système d'exploitation et les deux correctifs pour Office étant quant à eux qualifiés d'« importants ».

Si aucune des vulnérabilités corrigées mardi ne concerne le dernier né de Microsoft, Windows 7 n'est pas pour autant épargné par les failles. Un expert en sécurité a effectivement révélé le lendemain du patch Tuesday l'existence d'une faille dans le serveur de partage de fichiers permettant de faire planter un ordinateur sous Windows 7. Laurent Gaffié, a qui l'on doit cette découverte, dévoile sur son site internet comment tirer parti de cette vulnérabilité et s'étonne qu'elle n'ait pas été découverte plus tôt puisqu'elle repose sur une simple boucle sans fin.
À défaut de commercialiser une clé USB d'installation de Windows 7 prête à l'emploi, Microsoft a publié à l'occasion du lancement mondial de son dernier système d'exploitation un outil gratuit permettant de préparer son propre support d'installation, à partir du disque ou du fichier ISO téléchargé sur le Microsoft Store. L'"Outil de téléchargement USB/DVD Windows 7" rendait ainsi un précieux service aux possesseurs d'ordinateurs portables ou de bureau miniatures, le plus souvent dépourvus de lecteur optique, en simplifiant le processus de création d'une clé USB d'installation.

Microsoft a toutefois retiré son outil propriétaire le temps de mener une enquête. Un blogueur spécialiste de Microsoft accuse effectivement la firme de Redmond, preuve à l'appui, d'avoir violé la licence GPL. Le "Windows 7 USB/DVD Download Tool" reposerait effectivement en partie sur le code source d'un logiciel libre baptisé ImageMaster.

Si le propre du libre est justement d'autoriser l'utilisation du code source d'un logiciel, Microsoft était ici tenu de distribuer son logiciel sous la même licence, et par conséquent d'en publier le code source. Microsoft est pourtant bien placé pour savoir qu'ImageMaster est sous licence GPL puisque ce logiciel est hébergé par sa propre plateforme open source CodePlex.

En attendant le verdict de l'enquête, notre fiche pratique expliquant comment installer Windows 7 depuis une clé USB est toujours disponible et parfaitement légale, elle.
L'idée court depuis l'avènement des smartphones et des netbooks, ces machines ultraportables à bas prix : Microsoft ne pourrait-il pas un jour déroger à la règle qui veut que les versions desktop de Windows ne tournent que sur des processeurs x86 pour s'adapter à la montée en puissance des puces basées sur l'architecture ARM ? Interrogé de nombreuses fois, le numéro un mondial des éditeurs a toujours répondu que non, telle n'était pas son intention, et vient de le confirmer une nouvelle fois par l'intermédiaire de Mike Nash, vice président en charge de la stratégie de la plateforme Windows chez Microsoft, interrogé par le magazine taïwanais Digitimes.

Pour l'instant, les puces ARM sont essentiellement utilisées au sein des baladeurs et téléphones mobiles de type smartphones mais demain, elles pourraient faire leur entrée dans l'univers du PC, implémentées au sein de machines de type netbook ou smartbook. Ces dernières adopteraient par exemple SnapDragon, la plateforme de Qualcomm (photo), ou Tegra, la puce tout-en-un mobile de NVIDIA. Aujourd'hui, les fabricants qui souhaitent faire appel à des processeurs ARM n'ont d'autres choix que de se tourner vers des systèmes comme Linux, Android, ou Windows CE, dans la mesure où il est impossible de faire fonctionner Windows XP ou Windows 7 sur de telles plateformes.

Pour l'instant, il n'est pas prévu que la donne change, a assuré Mike Nash. Pourquoi ? Aujourd'hui, il estime qu'il est important que des appareils aussi différents sur le plan technique qu'un netbook équipé en Atom et un smartbook reposant sur ARM offre des fonctionnalités et des possibilités techniques différentes. Reste à voir combien de temps l'équation restera équilibrée et si Microsoft ne fait pas ainsi le lit de solutions concurrentes, au premier rang desquelles l'Android de Google.
Google profite de la fin d'année pour faire ses emplettes dans le monde des start-up innovantes. Après Admob, Google aurait racheté la société californienne "Gizmo 5" pour un montant d'environ 30 millions de dollars en cash, selon Techcrunch.

Fondée en 2003, elle propose différents services de voix sur IP à la fois sur les ordinateurs sous Windows, Mac et Linux, sur les mobiles et sur les tablettes Internet de Nokia sous GNU/Linux. Elle se différencie de Skype par l'utilisation d'une technologie de voix sur IP à la norme SIP (Session Initiation Protocol). Skype lui préfère le peer to peer.

"Gizmo 5" propose enfin comme d'autres services concurrents des appels en voix sur IP à l'international vers des numéros fixes ou mobiles classiques via des tarifs préférentiels. Toujours selon cette même source, Google profiterait du rachat de "Gizmo 5" pour enrichir ses services "Google Voice" et "Google Talk".
Après la portabilité du numéro de mobile, la portabilité de l'adresse email est à l'étude. Dans le cadre du projet de loi sur la fracture numérique, les députés Laure de la Raudière (UMP) et Jean Dionis du Séjour (Nouveau Centre) ont proposé deux amendements visant à garantir que l'abonné qui décide de changer de founisseur d'accès à Internet puisse continuer à recevoir pendant une période transitoire ses courriers électroniques chez son nouveau prestataire de service, gratuitement ou à peu de frais. Ces deux amendements ont été adoptés par la Commission des affaires économiques et devraient selon Les Echos faire l'objet d'un vote à l'Assemblée nationale dans les semaines à venir.

Partant du principe que 12% des abonnés des principaux fournisseurs d'accès à Internet changent d'opérateur chaque année, les deux députés posent la question du suivi des messages que l'internaute se serait fait adresser sur l'adresse liée à son accès (@orange.fr, @free.fr, etc.). « La conservation de l'adresse e-mail est aussi importante pour le consommateur que la conservation du numéro fixe ou du numéro mobile. De même que La Poste propose pour le courrier traditionnel un service de réexpédition du courrier pour six mois ou plus, à titre payant, le courrier électronique doit pouvoir bénéficier des mêmes facilités », explique ainsi Jean Dionis du Séjour.

En pratique, il est déjà possible aujourd'hui de prolonger l'adresse mail fournie par son fournisseur d'accès après résiliation, mais le procédé n'est pas automatique, l'abonné doit en faire la demande. Le premier de ces deux amendements propose de systématiser cette démarche, envisageant que cette option soit payante. Le second obligerait les FAI à assurer le réacheminement des courriers électroniques gratuitement, pendant une durée de six mois, vers la nouvelle adresse de l'abonné. Une solution qui au final ne parait guère plus pratique que le fait de prolonger l'accès à l'adresse mail initiale, dans la mesure où elle oblige à des échanges supplémentaires. Pour beaucoup, la solution à ce problème est toute trouvée : faire appel à une adresse mail fournie par un prestataire tiers, de façon à ce que celle-ci ne soit aucunement corrélée au FAI.
Après s'être disséminé via Facebook, Twitter ou MySpace, le ver Koobface aurait selon Trend Micro trouvé un nouveau moyen de se répandre : l'exploitation de comptes Google Reader piégés, par l'intermédiaire desquels les pirates invitent des internautes à venir découvrir une soi-disant vidéo YouTube. Lorsqu'il clique sur la vidéo en question, l'utilisateur est invité à procéder à une mise à jour du lecteur Flash. C'est alors que le ver s'installe sur la machine.

Google Reader est un service d'agrégation de flux RSS, grâce auquel on peut suivre en temps réel, ou presque, l'arrivée de nouvelles publications sur les sites que l'on a sélectionné. L'outil offre une fonction "partage" qui permet d'inviter l'un de ses contacts à découvrir un lien donné.

D'après Trend Micro, près de 1300 comptes Google seraient aujourd'hui utilisés pour diffuser, à l'aide de cette fonctionnalité, des liens piégés par mail ou sur d'autres réseaux sociaux. La victime, voyant un lien dont l'adresse fait référence à google.com, domaine qu'elle estime fiable, a des chances de cliquer sur le lien sans méfiance.

Une fois infecté, l'internaute rejoint le réseau de machines (botnet) qui sous-tend le développement de Koobface. Sa machine risque alors de devenir à son tour un vecteur de propagation pour des messages invitant d'autres utilisateurs à visiter des liens piégés. Prévenu, Google devrait sans doute faire le ménage dans les comptes incriminés. En attendant, la prudence est de mise si vous recevez un lien vous invitant à découvrir un contenu repéré grâce à Google Reader émanant d'une source non identifiée.
Après un début d'année 2009 marqué par un marché publicitaire en berne, deux pure players de la sphère high-tech prennent le parti de rompre avec le modèle du "100% gratuit". Le premier est une chaine de TV geek tendance nerd, la fameuse NoLife, accessible via les principales box ADSL du marché. Le second est un site Web spécialisé dans l'actualité informatique, PC Inpact. En proie à d'importantes difficultés financières, tous deux cherchent à diversifier leurs sources de revenu. Comment ? En proposant à leurs spectateurs ou lecteurs une formule payante, optionnelle dans la mesure où ce qui fait l'essence du média (flux d'un côté, articles de l'autre) reste accessible gratuitement.

PC Inpact : un premium solidaire ?

Après avoir fermé son site dédié à l'actualité du jeux vidéo fin 2008 (Inpact Virtuel), la société qui édite PC Inpact indique début septembre qu'elle traverse une grave crise financière. Elle invoque alors la baisse des investissements publicitaires, ainsi qu'une subite baisse du niveau de référencement de son comparateur de prix dans Google et annonce le licenciement de trois de ses employés.

« PC INpact, on le sait, a fini l'année 2008 dans le rouge avec une situation financière peu envieuse. Aujourd'hui, nous voulons tourner la page sur ce passé et mettre le cap définitivement vers l'équilibre de nos comptes avec un seul mot d'ordre : indépendance éditoriale et financière », explique Christophe « Teuf » Neau, gérant de la SARL qui édite le site, le 9 novembre dernier. Pour renflouer les caisses, PC Inpact offre donc à ses lecteurs la possibilité de souscrire un abonnement Premium.

Facturé 3,5 euros par mois (suivi de tarifs dégressifs), il permet de disposer d'une adresse mail aux couleurs du site (@inpactien.com), d'un design spécial et d'un site dépourvu de publicité. « Une option proposera malgré tout de l'afficher », précise l'équipe, qui promet par ailleurs l'arrivée d'avantages futurs. Sur les 24 heures suivant l'annonce, près de 500 abonnements auraient été enregistrés, en dépit de la relative modestie des bonus proposés.

Selon Christophe Neau, cet abonnement permettra « à PC INpact de faire face aux vents mauvais de l'économie, tout en conservant et musclant encore sa ligne éditoriale », mais aussi « de tisser des liens encore plus étroits avec nos plus fidèles lecteurs, cette communauté si forte qui nous suit depuis les débuts ». La possibilité d'afficher la publicité même si l'on dispose d'un abonnement payant est une idée émise à plusieurs reprises dans les commentaires du site. La preuve qu'un modèle Premium solidaire peut fonctionner ?

NoLife : l'abo de la dernière chance

La chaine de TV NoLife a justement tenté l'expérience. Mal en point sur le plan financier, la chaîne a pris la décision, fin août, de proposer à ses spectateurs une formule hybride, élaborée à partir d'un sondage réalisé sur son site. Elle prend le parti de conserver la gratuité des programmes mais décide de réserver une partie des contenus de son site Web à ceux qui accepteront de souscrire un abonnement.

Chez NoLife, l'abonnement est variable, de 3 à 7 euros par mois en fonction du niveau d'engagement avec là encore des formules dégressives. Il ouvre notamment droit « au service Nolife Online qui met à disposition en ligne et pour le monde entier la majorité des émissions de la chaîne ».

Ce dispositif de TV de rattrapage n'est cependant pas le principal motif avancé par la chaine : « Seuls les abonnements peuvent assurer une pérénité à la chaîne. Si vous souhaitez soutenir Nolife, abonnez-vous », explique sans ambages la page dédiée à cette formule payante.

Chez NoLife, la mayonnaise n'a que moyennement pris. Sébastien Ruchet, le patron de la chaine, qui fait régulièrement des points en vidéo sur la santé financière de la chaine, se place une nouvelle fois face à la caméra pour livrer un bilan plus que mitigé. Dans un message mis en ligne dimanche, il explique que les abonnements ne sont pour l'instant pas assez nombreux pour que la chaine puisse financer longtemps ses activités.

La chaine pensait que le salut viendrait de l'inclusion des canaux ADSL dans les outils de mesure d'audience qui font loi dans le domaine de la pub TV, prévue pour début 2010. Cette extension à l'ADSL ne se fera finalement qu'en mars. Les premiers chiffres tomberont donc à l'été, et NoLife ne pourra guère utiliser ces audiences certifiées pour convaincre de nouveaux annonceurs avant l'automne. Elle se voit donc réduite aux seules recettes liées à l'abonnement en ligne.

En dépit d'encourageantes intentions formulées par l'intermédiaire du sondage mis en ligne durant l'été, Sébastien Ruchet indique que le nombre d'abonnements se révèle nettement inférieur à ce dont la chaine a besoin pour poursuivre ses activités : « Ça monte tous les jours, de façon régulière. Les gens s'abonnent. Et à ce rythme là, si ça continuait, on atteindrait (le nombre d'abonnés) qu'il nous faut pour fonctionner dans six mois. Mais voilà... les six mois, on les a pas ». « On est persuadés qu'on peut y arriver, mais on est pressés par le temps », conclut-t-il, précisant qu'il ne s'agit après tout que d'une chaîne de divertissement, et pas d'une cause humanitaire.

Certes. Le problème, c'est que Nolife et PC Inpact ne sont pas les seuls à chercher la clé qui permettra d'équilibrer l'équation leur permettant d'associer services, indépendance, qualité, survie financière et satisfaction d'internautes adeptes du tout gratuit. La communauté sera-t-elle cette clé ? Parce qu'on ne veut pas voir le paysage médiatique se réduire comme peau de chagrin, surtout dans cet univers du high-tech qui nous est cher, c'est tout le mal qu'on leur souhaite. Même si on sait bien qu' « Y a pas que la vraie vie dans la vie ».
On imagine mal les milliers de documents à fournir pour constituer une candidature telle que celle d'un opérateur qui souhaiterait démontrer qu'il est en mesure d'obtenir la quatrième licence 3G prévue sur le réseau mobile français. Iliad, maison mère de Free, semble toutefois avoir rempli l'exercice de façon satisfaisante puisque l'Arcep a annoncé, mardi en fin d'après-midi, que le dossier déposé le 29 octobre dernier était "recevable".

« L'Arcep constate que le dossier déposé par la société Free mobile est recevable, c'est-à-dire qu'il a été déposé dans les délais impartis, contient tous les éléments requis pour son instruction, et est rédigé en français. L'Autorité est donc en mesure de procéder à l'examen au fond de ce dossier, selon la procédure prévue par l'appel à candidatures », indique-t-elle dans un bref communiqué. Elle devrait maintenant, selon les propos qu'avait tenus son président, Jean-Ludovic Silicani, rendre sa décision d'ici la fin décembre.
L'Association des services internet communautaires (ASIC) s'est félicitée vendredi de l'adoption, par la Commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale, d'un amendement en faveur d'un rapport gouvernemental sur la neutralité des réseaux. En vertu de cette "neutralité", chacun devrait être en mesure d'accéder aux contenus, applications et services légaux de son choix.

"Si les opérateurs de télécommunications doivent avoir la flexibilité nécessaire pour gérer efficacement le trafic sur leurs réseaux afin d'éviter toute congestion, cela ne doit pas être utilisé par eux pour décider à quels services les internautes peuvent avoir accès ou, pire, favoriser leurs propres contenus ou ceux de leurs partenaires privilégiés au détriment des autres contenus, services ou applications disponibles sur la Toile", précisent les dirigeants de l'ASIC dans un communiqué.

En la matière, l'Association s'est déclarée rassurée par la signature, jeudi dernier, d'un accord entre le Conseil de l'UE, la Commission et le Parlement européens portant sur la réforme des télécoms et la protection de l'internaute. Après le vote définitif du texte, le paquet télécom II devrait entrer en vigueur début 2010. Les pays membres de l'Union européenne auront alors 18 mois pour le transposer dans leurs législations respectives. L'ASIC souhaite que la France transpose au plus vite, en ajoutant au texte un principe de non discrimination.

"Une des particularités que nous avons en France, conclut l'ASIC, c'est que les opérateurs ne sont pas seulement des fournisseurs de tuyaux, donc maitrisant la diffusion des contenus des acteurs du web 2.0, mais sont aussi les concurrents du web 2.0. Nous avons donc besoin de garde-fous destinés à garantir l'absence de discrimination entre les acteurs de même nature."
Offrons-nous un petit retour en arrière... Nous sommes le 9 novembre 2004, quand apparait sur les serveurs de la fondation Mozilla ainsi que sur les miroirs de ses différents partenaires la version finale d'un navigateur encore peu connu du grand public. Son nom, c'est Firefox, en version 1.0. A l'époque, seule la presse spécialisée se fait l'écho de cette sortie. Cinq ans plus tard, Firefox a dépassé la sphère des amateurs éclairés. Le logiciel a connu bien des évolutions, dispose maintenant d'un catalogue de quelque sept mille extensions, et constitue l'alternative à Internet Explorer la plus employée sur le Web. D'après Mozilla, 330 millions d'internautes surfent aujourd'hui avec Firefox, bien que pour beaucoup subsiste encore un dilemme cornélien : son logo représente-t-il un panda roux ou un renard de feu ?

Fière du chemin parcouru ces cinq dernières années et de l'empreinte laissée sur l'univers des navigateurs Web, la fondation Mozilla entend fêter dignement l'événement, et invite les internautes à différentes manifestations tout autour du globe. A Paris, les quelques centaines d'internautes qui ont été assez rapides pour s'enregistrer avant que ferment les guichets auront les honneurs d'une soirée organisée dans les locaux du Conseil Régional d'Île-de-France, en présence de Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, et de John Lilly, directeur général de la Mozilla Corporation. Après les célébrations, retour au travail pour une fondation qui plus que jamais voit le navigateur comme la pierre angulaire du Web de demain.

« Pour les cinq prochaines années, chacun peut s'attendre à ce que le navigateur prenne de l'importance dans de nouveaux domaines - comme le véritable agent utilisateur qu'il devrait être. Les problèmes relatifs aux données, à la vie privée et à l'identité occupent une large place. Vous verrez les bénéfices de la mission de service public que s'est fixée Mozilla se refléter dans nos choix en la matière, afin que les utilisateurs soient plus en sécurité et puissent comprendre ce que cela signifie de partager des informations avec des sites Web », promet Chris Blizzard, Open Source Evangelist chez Mozilla, dans un long billet où il passe en revue les innovations issues des travaux de la fondation.
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