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Ce n'est plus un secret, Microsoft a plusieurs fois dénigré les services bureautiques en ligne tels que Google Documents, qui se présentent comme de véritables alternatives à Microsoft Office. Dans un récent entretien recueilli par InformationWeek, Ron Markezitch, vice-président du département Microsoft Online, s'explique sur la baisse des tarifs des services hébergés de la société. Il déclare également : "nous n'observons aucun signe qui puisse démontrer que Zoho, Google, Zimbra ou tout autre société proposant de fausses fonctionnalités d'Office puisse remplacer Microsoft Office".

La société Zoho, spécialisée dans les solutions bureautiques, a décidé de réagir à cette provocation. Zoho propose en effet plusieurs applications bureautiques hébergées, de l'éditeur texte à l'outil de présentation, en passant par le gestionnaire de projets aux solutions de conférence web. Dans un billet publié sur le blog de la start-up, le développeur Sridhar Gopalakrishnan explique qu'en suivant le raisonnement de Microsoft, l'on pourrait ainsi considérer Bing comme un faux moteur de recherche. Il ajoute que les propos de M. Markezitch soulignent le principal problème de Microsoft qui reste enfermé dans le modèle de distribution classique d'un produit tout en pointant du doigt les autres solutions "ne nécessitant pas l'achat d'un CD ou d'un DVD et le téléchargement de bloatware".

Afin de créer son buzz et de retourner la situation à son avantage, Zoho a mis en place le site Internet fakeoffice.org présentant notamment plusieurs tableaux comparant les fonctionnalités de quelques-uns de ses services à ceux de Microsoft. Si l'on se rappelle du spot publicitaire Microsoft Office 2010 - au sein duquel la firme de Redmond déclarait la guerre aux solutions alternatives hébergées - Zoho publie également une vidéo promouvant ses produits en pointant du doigt les problèmes liés à l'utilisation d'un logiciel en local.
le 06/11/2009 à 21:43
Méthode SHELL en PHP
On pense rarement à utiliser PHP dasn un shell.

Cette méthode souvent désactivée sur certains types d'hébergements, peut être utile dans vos ordinateurs de production.

Le site techchorus.net montre 10 façons d'utiliser le Shell avec PHP et vous donnera quelques idées d'applications.

- 10 Examples To Inspire You To Use PHP Interactive Shell
En parallèle du lancement des différentes éditions de son Mandriva Linux 2010, l'éditeur Mandriva nous a confirmé mardi soir qu'il s'apprêtait à commercialiser auprès des particuliers son dernier né, un système d'exploitation minimaliste baptisé InstantOn, qui permet de démarrer une machine en moins de dix secondes en chargeant une interface simplifiée mais néanmoins équipée de tous les logiciels nécessaires au surf sur le Web, du navigateur au client de messagerie instantanée.

L'objectif ? Permettre aux particuliers d'installer, aux côtés de leur système d'exploitation principal, cette rapide porte d'entrée vers le Web. Principalement destiné aux ordinateurs portables, bien que susceptible d'être installé sur une machine fixe, cet InstantOn doit donc être opérationnel en quelques secondes. "Jusqu'à dix secondes sur une machine un peu ancienne, mais plus vraisemblablement six ou sept, voire moins si votre portable utilise un SSD", affirme l'un des ingénieurs de Mandriva en parallèle de la présentation.

Une fois chargé, le système offre une interface épurée, ou seules quelques grosses icônes permettent d'accéder aux applications chargées en mémoire : Firefox pour le Web, Thunderbird pour les mails, Pidgin pour la messagerie instantanée et, si l'option est retenue, OpenOffice.org pour la bureautique, au risque de ralentir quelque peu le chargement. Basé sur le socle de Mandriva 2010, cet InstantOn n'est évidemment pas sans rappeler d'autres systèmes du même type, également construits à partir de Linux, intégrés à leurs portables ou à leurs cartes mères par des fabricants tels qu'Asus, MSI, HP et d'autres.

Il reste toutefois de nombreux ordinateurs qui n'offrent pas cette option. C'est donc au propriétaire de ces derniers que souhaite s'adresser Mandriva. En fonction de la configuration logicielle retenue, le système occuperait de 300 Mo à 1 Go d'espace sur le disque dur, et s'accommoderait de toutes les configurations qu'est capable de gérer la distribution Mandriva One, assurant notamment la prise en charge de la plupart des clés 3G du marché. En un clic, il sera possible de basculer sur le système d'exploitation principal, sans redémarrer la machine.

Une fois le système installé, il ne sera pas possible de le modifier, prévient l'éditeur, qui souhaite par ailleurs proposer cet InstantOn aux fabricants n'intégrant pas encore leur propre solution. Les OEM pourront quant à eux personnaliser le système à loisir pour par exemple l'habiller à leurs couleurs. Visible dans la courte vidéo de démonstration ci-dessous, InstantOn devrait être proposé à la vente dans le courant du mois de novembre, directement depuis le site de Mandriva. Le prix final n'a pas encore été arrêté, mais il devrait tourner aux alentours de 10 euros.
Si l'on s'habituerait presque aux mises à jour critiques pour le lecteur Flash, Adobe met cette fois à disposition un pack de correctifs pour son plugin Shockwave Player. Destiné à présenter une animation sur le web créée par le logiciel Adobe Director, Shockwave reste bien moins répandu que Flash mais serait tout de même installé sur 450 millions de machines.

La société explique que parmi les failles de sécurité corrigées, quatre d'entre elles permettent à une personne malintentionnée d'exécuter du code malveillant ; la cinquième peut être exploitée pour effectuer une attaque par déni de service.

Le lecteur Shockwave Player est ainsi mis à jour en version 11.5.1.602 que l'on peut télécharger ici.
Maison mère de Free, Iliad a dévoilé jeudi de solides résultats trimestriels. Le chiffre d'affaires consolidé du groupe a augmenté de 21,8% à 486,7 millions d'euros au troisième trimestre clos le 30 septembre. A lui seul, le CA haut débit d'Iliad a augmenté de 24,2% sur un an pour s'établir à 483 millions d'euros. Sur neuf mois, le CA global du groupe a progressé de 33% à 1,46 milliard d'euros.

Par ailleurs, Free déclare avoir recruté 100.000 nouveaux clients haut débit sur le trimestre, ce qui porte à 4.420.000 le nombre d'abonnés ADSL du fournisseur d'accès internet. L'opérateur alternatif ajoute dans un communiqué « la poursuite des efforts d'extension du dégroupage de la boucle locale ainsi que les migrations d'abonnés Alice sur le réseau de Free ont permis au groupe d'avoir un taux de dégroupage de près de 84%, en avance sur l'objectif annuel de 82%. »

Dans ce contexte, Iliad table sur « une très forte augmentation » de son résultat net 2009. Enfin, en matière de très haut débit (FTTH - fibre jusqu'au domicile), la société confirme être en mesure de couvrir horizontalement 70% de Paris ce semestre et de disposer d'une couverture de 4 millions de foyers à fin 2012. Le groupe, unique candidat à la quatrième licence 3G française, reste en revanche discret sur ses ambitions en matière de téléphonie mobile.
Nous l'attendions et c'est chose faite. L'IFPI (International Federation of Phonographic Industry), l'organisme chargé de représenter les intérêts de l'industrie musicale à travers le monde, a publié un communiqué en réaction à la récente étude publiée par les experts d'Ipsos Mori pour le compte du cabinet Demos.

L'étude fut menée sur un échantillon d'environ 1000 internautes britanniques âgés de 16 à 50 ans. Ce rapport révélait que les personnes avouant télécharger le plus de musique illégalement étaient aussi celles qui dépensaient le plus dans les offres légales. Le budget de ces derniers s'élèverait en moyenne à 75 livres par an, contre 44 livres pour les internautes affirmant ne jamais pirater de morceaux. L'étude fut ensuite reprise de part et d'autre de la Toile, notamment pour pointer du doigt l'absurdité des procès menés par l'IFPI contre les internautes accusés d'avoir illégalement téléchargé de la musique.

Pour l'IFPI, l'interprétation ci-dessus serait erronée : "cette déduction est complètement fausse. Il est évident que l'étude de recherche pour le projet Demos, menée par Ipsos, montre que beaucoup d'internautes s'adonnant au téléchargement illégal sont des fans de musique qui achètent plus de morceaux que le consommateur moyen. En revanche cela ne signifie pas que le téléchargement illégal engendre une augmentation du commerce légal". L'IPFI ajoute : "bien au contraire, le partage de fichiers sur Internet, et notamment de la musique, a un effet largement négatif, une chose qui fut démontrée par plusieurs autres études". L'IFPI retourne ainsi l'argument de ce rapport en déclarant que les fans de musique sont surtout les plus enclins à se procurer les morceaux par des voies non légales.

Le débat semble donc interminable entre les deux parties, reste à savoir de quel côté penchera la prochain étude... en espérant que celle-ci porte sur un échantillon plus large.
Deezer entre dans la cour des grands. Après avoir expérimenté pendant près de deux ans le modèle de la diffusion gratuite de musique, financée par la publicité, la start-up française lance jeudi son offre Premium, articulée autour d'un abonnement facturé 9,99 euros par mois. La proposition de valeur : accéder aux 4,5 millions de titres du catalogue Deezer, ainsi qu'aux différentes radio, gratuitement, sans réclames, depuis un PC ou un mobile, avec la possibilité de stocker en local les morceaux qui composent ses listes de lecture, de façon à pouvoir les lire même sans connexion à Internet. Deezer promet une qualité "HQ" proche du CD, avec un encodage allant jusqu'à 320 Kbps.

« Aujourd'hui, on achète de moins en moins de musique, mais ce n'est pour ça qu'on l'apprécie moins. L'intérêt du consommateur est peut-être plus dans l'accès à la musique que dans l'acquisition », a commenté jeudi matin Jonathan Benassaya lors d'une conférence de presse. Tel est donc l'objectif de Deezer Premium : permettre, moyennant un abonnement mensuel, l'accès au catalogue de la plateforme sur tout type d'appareil dès lors que ce dernier est capable de se connecter à Internet.

Pour ce faire, Deezer décline son service Web en application. Sur PC et Mac, elle prend la forme d'un client AIR, l'environnement d'exécution d'Adobe) dont l'interface reprend celle du site. Sur mobile, elle est proposée pour les terminaux Apple (iPhone et iPod Touch) ainsi que pour les sytèmes Android et Blackberry. Enfin, Deezer Premium sera accessible sur certaines chaines IP, telles que la Sonos ZonePlayer S5. Suivront certains modèles Logitech, avant les téléviseurs et les set-top box. « Nous travaillons déjà avec trois grands fabricants de téléviseurs, et des modèles compatibles Deezer devraient être lancés très prochainement », confie l'un des chefs de projet de la société.

Une fois identifié, l'utilisateur accède donc à ses listes de lecture, aux radios thématiques ainsi qu'aux fonctions de recherche. Sur PC comme sur mobile, il est possible de demander la synchronisation de certaines listes de lecture ou morceaux, de façon à pouvoir ensuite en profiter hors connexion. Les morceaux sont stockés dans un répertoire de cache, dont la taille peut, sur PC et Mac, être paramétrée (5 Go par défaut). En parallèle, l'application propose toujours des liens de téléchargement vers iTunes, selon le principe d'affiliation qui constitue, avec la publicité, le modèle économique de la version gratuite de Deezer. Application Deezer sur PC

Sur mobile, on pourra dont également synchroniser une sélection de morceaux pour pouvoir les écouter en mode déconnecté. Sur iPhone, il faut être connecté en WiFi pour rapatrier ses playlists. Comme avec Spotify, on souffre des limitations imposées par Apple : impossible de laisser l'application tourner en tâche de fond. Dès qu'on la quitte pour en lancer une autre, la musique est donc coupée.

Commercialisé sur le mode de la location, l'accès la musique stockée en local est logiquement soumis au renouvellement d'un "bail", et les morceaux téléchargés ne pourront plus être lus une fois que l'abonnement aura été résilié. D'après les conditions générales de vente (CGV) du service Premium, l'écoute autorise le téléchargement temporaire « sur deux appareils autorisés (ordinateur personnel et téléphone mobile) ». En pratique, il nous a été possible de stocker de la musique en locale sur deux ordinateurs distincts, mais les CGV interdisent l'ouverture simultanée de deux sessions.

En parallèle de cette offre Premium, que l'on pourra tester sans frais pendant sept jours, Deezer lance une formule dite "HQ", qui permet d'accéder, pour 4,99 euros par mois, à l'intégralité du catalogue en streaming haute qualité, sans publicités mais sans possibilité d'écoute hors ligne.
Ron Johnson, le vice-président chargé des boutiques physiques d'Apple, et Pascal Cagni, le patron d'Apple Europe, ont inauguré ce matin le premier "Apple Store" français situé à Paris, au Carrousel du Louvre, à deux pas du musée éponyme et du jardin des Tuileries.

Il s'agit de la 277ème boutique ouverte par Apple. Pourquoi ne pas avoir ouvert plus tôt un magasin dans l'Hexagone alors qu'il en existe déjà plusieurs en Europe (Italie, Suisse, Allemagne) ? "Nous voulions attendre de trouver LE lieu idéal pour nous implanter", précise Ron Johnson. "Nous avons pris notre temps pour lancer le premier Apple Store en France mais nous allons désormais aller très vite", ajoute-t-il. En effet, après l'ouverture du premier Apple Store parisien ce samedi 7 novembre, la firme à la Pomme va en ouvrir un second à Montpellier (centre Odysseum) le 17 novembre, puis un troisième "avant l'été" à Paris (quartier Opera)."Nous avons ouvert beaucoup de boutiques mais peu sont situées dans un endroit aussi réputé, et avec une telle architecture. Le Louvre est un monument connu du monde entier", indique Ron Johnson. Situation géographique mise à part, le concept de l'Apple Store constitue un enjeu financier important pour Apple depuis l'ouverture de son premier magasin en 2001.

En 2008, les Apple Store ont généré un chiffre d'affaires de 6,6 milliards de dollars. "L'année dernière, et pour la première fois, plus d'un million de personnes ont acheté dans l'une de nos boutiques leur premier Mac", annonce Ron Johnson.
"Présentation des iPod et iPod Touch"

Ce magasin parisien est aussi grand que le premier Apple Store situé à Manhattan (New York City) dans le quartier de SoHo. Il compte 150 employés répartis sur deux étages. Tous les produits de la marque sont en libre accès, des iMac aux Macbook en passant par les iPhone, les iPod ou les souris Magic Mouse. "Ceux qui visitent nos Apple Store recherchent 3 choses : les produits, les gens et les programmes que nous offrons", ajoute-t-il.

D'où la présence d'un Genius Bar pour rechercher des conseils ou une assistance technique, d'un espace dédié à la vente d'iPhone (avec abonnement Orange, Bouygues ou SFR; renouvellement d'abonnement possible) et d'un espace "One to One" qui offre un service d'équipement personnalisé et de formation individuelle pour 100 euros par an. Des accessoires (housses pour iPhone ou Macbook) sont situés au premier étage, tout comme le Genius Bar.

8,5 millions de consommateurs ont pris une réservation l'année dernière pour consulter l'un des salariés d'Apple travaillant dans les "Genius Bar". "En plus d'aider les gens gratuitement, nous réparons les produits. L'année dernière, 60% des gens qui sont venus nous voir pour un problème sur un Mac l'ont résolu dans la journée grâce au Genius Bar", indique Ron Johnson. Comme il est d'usage dans tous les Apple Store, le WiFi restera gratuit dans le magasin parisien. En 2008, 170 millions d'individus ont visité l'un des Apple Store d'Apple.
À force de lancer régulièrement de nouveaux services, Google a bien mérité son titre de géant du web. Si le moteur de recherche fait désormais parti du quotidien au point que le verbe "googler" soit entré dans le langage courant, l'omniprésence de la société américaine inquiète. Les problématiques de confidentialité et de respect de la vie privée préoccupent, comme en témoignent les polémiques chroniques autour du célèbre réseau social Facebook, qui s'adapte d'ailleurs pour éviter l'exode. Google quant à lui lance aujourd'hui Dashboard, "un guichet unique de gestion de ses données personnelles".

Il s'agit d'un outil qui centralise les données associées à un compte Google et qui offre un raccourci vers les rubriques pertinentes de chacun des services, ainsi que vers les "règles de confidentialité" de certains d'entre eux. Il n'y a donc qu'une seule et unique nouvelle page, pointant vers d'autres pages qui existaient déjà mais qui étaient disséminées ici et là.

Pas peu fier, Google s'autoproclame même chef de file : "Nous y voyons un grand pas vers la transparence et le contrôle des données par les utilisateurs, et nous espérons que cela contribuera à forger la réflexion de toute l'industrie sur ces questions", a effectivement affirmé Alma Whitten, ingénieur logiciel Sécurité et Confidentialité, dans un communiqué.

La page en question est disponible à cette adresse et est dès à présent traduite en 17 langues, dont le français.
Le système d'exploitation mobile Moblin, spécialement conçu pour les processeurs Intel Atom, est disponible en version 2.1. Cette mouture est compatible avec un plus grand nombre de machines grâce à la prise en charge d'un éventail plus large de résolutions d'écran.

En plus d'un nouveau navigateur Internet plus rapide et capable de prendre en charge différents plugins et extensions, Moblin 2.1 est compatible avec davantage de modems 3G et embarque un nouveau gestionnaire pour les connexions Ethernet, WiFi, WiMAX et 3G. De son côté le Bluetooth a été amélioré et la machine peut se connecter à différents types de périphériques compatibles (casques, claviers, souris) et effectuer des transferts avec un téléphone. Moblin Application Installer, l'assistant d'installation d'applications, a été directement intégré au système. Via ce dernier il sera possible de rechercher les logiciels de son choix via un catalogue. Notons enfin que la configuration des comptes de messagerie instantanée a été facilitée et que Moblin travaille actuellement sur différentes traductions dont le Français.

Rappelons que Moblin, dévoilé en juillet 2007, est basé sur la distribution de Linux Fedora.

Téléchargez Moblin 2.1 ici.
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