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Il existe sur le net plusieurs sites permettant de déterminer la distribution de Linux la plus appropriée pour répondre à des besoins spécifiques. Généralement, il suffit de remplir un questionnaire précis qui raffinera la sélection finale.

De son côté, Suse, la distribution Linux soutenue par Novell, vient de mettre à disposition Suse Studio, un site au travers duquel il est possible de personnaliser une distribution OpenSuse pour générer automatiquement une image disque à graver sur CD / DVD ou à placer sur une clé USB. Actuellement en phase alpha sur invitation, Suse Studio permet de choisir le gestionnaire graphique (GNOME KDE...), l'architecture du processeur devant être prise en charge (x86, x86-64) ou encore les programmes qui seront pré-installés. Cet environnement propose plusieurs outils tels qu'un moteur de recherche permettant d'effectuer des requêtes dans plusieurs répertoires ou un aperçu de la liste des dépendances qui seront automatiquement ajoutées en cas de problème.

Pour plus d'informations, rendez-vous ici
La Corée du Sud, où la majorité des internautes dispose déjà d'un accès à Internet de type fibre optique, avec des débits de l'ordre de 100 Mb/s, entend bien ne pas s'arrêter en si bon chemin. Le gouvernement vient en effet d'y annoncer officiellement le lancement d'un nouveau projet visant à développer ses infrastructures IT. Quelque 25 milliards de dollars, essentiellement fournis par les opérateurs locaux, devraient être consacrés à ce plan sur cinq ans. Objectif : proposer à tous des débits dix fois supérieurs à l'existant, d'ici 2012.

Séoul aurait également pour objectif de multiplier par dix les débits des réseaux sans fil actuellement déployés dans le pays grâce au WiBro, déclinaison locale de notre Wimax. La KCC (Korea Communications Commission), autorité des télécoms coréens, n'aurait eu aucun mal à convaincre opérateurs et pouvoirs publics de la nécessité de ce plan. Selon elle, le développement des infrastructures réseau permettra la création de 291.000 nouveaux emplois en cinq ans.

Pour les opérateurs, cet investissement serait également l'occasion de passer au tout IP, et donc de tirer un trait sur certaines technologies qui ne sont plus au goût du jour. L'augmentation généralisée des débits devrait en outre s'accompagner de nouveaux services convergents et... lucratifs. De quoi ringardiser le plan France Numérique ?
La BBC rapporte que lors du forum économique mondial de Davos, plusieurs experts en sécurité informatique se sont réunis afin de discuter de l'ampleur de la cybercriminalité et des mesures qui devraient être adoptées afin d'enrailler cette dernière. Plusieurs experts se sont donc réunis à savoir Mitchell Baker, présidente de la fondation Mozilla, Dave Dewalt, PDG de McAfee, Jonathan Zittrain, professeur de droit à Harvard et expert de l'Internet ou encore Andre Kudelski à la tête de la firme éponyme spécialisée dans la sécurité numérique.

Chaque année, on estime que le coût des fraudes sur Internet s'élèvent à mille milliards de dollars et selon l'un des experts, dans le courant de l'année 2008, l'on aurait observé plus de vulnérabilités, plus de fraudes sur le net et plus de malware que d'habitude. En tout, les menaces de l'année dernière seraient plus nombreuses que celles de 2002 à 2007 réunies.

A la différence de ce que l'on a pu observé par le passé, ces fraudes ne sont plus le fruit d'un petit génie isolé mais au contraire opérées par de réels gangs. D'ailleurs, en prenant conscience de la nouvelle face de la cybercriminalité et de son potentiel économique, un avocat aurait formé une équipe de 300 personnes (experts en informatique, avocats, hackers...) afin de commanditer plusieurs opérations. L'un de ces groupes virtuel aurait ainsi détourné 25 millions de transactions financières directement en Ukraine.

Peut-être encore plus impressionnant, l'un des experts explique que l'année 2008 fut véritablement le début de la cyber-guerre, notamment lors des tensions entre la Russie et l'Estonie qui vit ses réseaux saturés par déni de service et son infrastructure électrique mise hors service . "2008 fut l'année de la cyber-guerre et montra qu'il est possible de rendre un pays vulnérable en quelques minutes [...] c'est comme une révolution virtuelle, la Russie s'est engagée sur cette voie et d'autres hackers ont suivis le mouvement", explique-t-on.

La question du contrôle de l'Internet fut soulevée à plusieurs reprises dans de nombreux pays, non seulement pour entraver les téléchargements illégaux mais aussi pour assurer une certaines sécurité pour l'internaute. Aujourd'hui, les experts s'interrogent sur une régulation de la Toile et notamment sur le degré d'autorité excercé par une police éventuelle. Certains avancent aussi le dépoloiement d'un esprit civique et fraternel similaire à celui de l'open source.
Si le cycle de développement de Windows Vista, l'actuel système d'exploitation de Microsoft, prévoyait deux versions bêta successives, il n'en ira pas de même avec son successeur, Windows 7, a confirmé vendredi l'éditeur via le blog dédié à ce nouvel OS.

La bêta 1 de Windows 7 sera donc directement suivie par une version RC, ou Release Candidate, qui offrira un aperçu définitif des fonctionnalités de Windows 7, quelques semaines avant que ne paraisse la RTM, ou Release to Manufacturing, qui signifie que le système est prêt à être répliqué à grande échelle. Celle-ci, enfin, ouvrira la voie à la mouture définitive, étape dite GA, ou General Availability, qui correspondra au lancement commercial de Windows 7.

Pour l'instant, Microsoft se garde bien de donner une quelconque indication quant au calendrier de développement, et l'on ne sait pas encore quand sortira la RC de Windows 7.

"Nous sommes en bonne voie, et nous faisons des progrès", se contente d'indiquer l'éditeur. « Nous adoptons une approche centrée sur la qualité, de façon à finaliser le produit, et ne nous laisserons pas guider par des délais imposés".

Officiellement, Windows 7 est toujours censé voir le jour approximativement trois ans après la sortie de Windows Vista. Le lancement serait donc censé intervenir fin 2009, ou début 2010 au plus tard.
Samedi, de nombreux internautes ont eu la surprise de voir s'afficher un message d'alerte lorsqu'ils essayaient de se connecter à un site depuis les pages de résultat du numéro un mondial des moteurs de recherche, Google. "Ce site risque d'endommager votre ordinateur", pouvait-on lire, quel que soit le lien suivi par l'internaute. Ce bug, dont les répercussions ont été constatées dans le monde entier, a suscité de nombreuses interrogations. Google aurait-il été victime d'une attaque ?

Quelques heures après l'incident, sensible de 15h30 à 16h30 samedi, heure de Paris, le moteur de recherche a finalement publié sur son blog officiel un message d'excuses, en forme de mea culpa. « Que s'est il passé ? Très simplement, une erreur humaine », y explique Marissa Mayer, vice présidente produits de recherche chez Google.

Afin de protéger les internautes des logiciels malveillants ou des opérations de type phishing, Google maintient une "liste noire" de sites potentiellement dangereux, dont il bloque l'accès en affichant le message que beaucoup ont découvert samedi.

"Nous alimentons cette liste par des méthodes manuelles et automatisées", explique Marissa Mayer. Samedi, le caractère "/", que l'on retrouve dans toute adresse utilisée sur Internet, a été ajouté à cette liste noire. Dès cet instant, tout site Web, aussi légitime qu'il soit, a été bloqué par le moteur de recherche qui, à la place, redirigeait l'internaute vers le site stopbadware.org.

Soutenue par le Berkman Center of Internet and Society, la faculté de droit de Harvard mais aussi des industriels comme Google, Sun ou Lenovo, l'intiative StopBadware est en charge du maintien de listes noires de ce type.

A priori, l'incident semble n'avoir eu qu'un impact limité, même si de nombreux éditeurs de sites ont logiquement constaté, durant cette période, une nette diminution du trafic. Environ 70% des recherches effectuées sur Internet au niveau mondial transitent en effet par les serveurs de Google. Le moteur présente donc ses excuses aux internautes, ainsi qu'aux éditeurs, et affirme qu'il prendra les mesures nécessaires pour qu'un accident de ce type ne se reproduise pas.
le 01/02/2009 à 22:31
PhpMyBackupPro 2.1
phpMyBackupPro est une application web permettant de sauvegarder une base de donnée MySQL avec PHP.

Vous pouvez planifier :
- Les sauvegardes
- Les téléchargement par courriel
- Les télécharger à l'ensemble du FTP
- Sauvegarder des répertoires de fichiers. Zip et compression gzip

Il a été réalisé une interface pour faciliter le mieux la navigation dans cette API.

PhpMyBackupPro propose de nombreuses langues, d'aide en ligne et une installation en automatique.

- Site officiel phpMyBackupPro
- Telechargement PhpMyBackupPro 2.1 avec les plugs-in Langues
Alter Way, intégrateur Open Source, annonce l'intégration de Kanopée, studio de développement spécialiste de la technologie PHP, au sein du pôle Solution du groupe.

Pour rappel, la société est également impliquée depuis plusieurs années dans le monde de l'Open Source. Son fondateur, Jean-Marc Fontaine, est notamment actif au sein de l'Association Française des Utilisateurs de PHP (AFUP).

Il ne vous reste plus qu'à lire le communiqué officiel.

- L équipe de Kanopée intègre Solinux/Alter Way Solution
le 30/01/2009 à 22:29
OpenInviter 1.6.5
OpenInviter est un très jeune projet en PHP 5, mais déjà récompensé en 2008 en tant que « PHP innovation Award »

OpenInviter, est un projet Open Source et permet d'importer des contacts de vos différents carnet d'adresses. Il ne possède aucune base de données, mais il est nécessaire d'avoir en actif cURL sur le serveur (testé sur Apache)

Avec la multitude de comptes que chacun possède et les nombreux carnets d'adresses de contacts en tout genre, il devenait pour moi, nécessaire de pouvoir regrouper un peu le tout dans son propre environnement.

L'API OpenInviter a réalisé cela car il peut correspondre avec de nombreux comptes comme :
- Les Fournisseurs de messageries : Gmail, AOL, Opera, Lycos
- Les CMS : Joomla, Drupal, Wordpress...
- Les Forums : PHPbb...
- Le Support social : Flick'r, Facebook , HI5, skyrock...

ceux sont quelques noms de sites car la liste est très impressionnante, mais vous pouvez aller la visualiser.

- OpenInviter site officiel
- Demo OpenInviter 1.6.5
- Telechargement et liste des packs Fournisseurs
L'équipe de YouTube a annoncé dans la nuit avoir remanié son système d'annotation de vidéo. L'ajout d'annotations se fait désormais simplement au cours de la consultation d'une vidéo, et non au moyen d'un outil dédié à l'ergonomie discutable. Mais l'éditeur de première génération, plus complet, ne prend pas sa retraite pour autant et reste disponible.

Les annotations dans les vidéos de YouTube sont pour rappel des bulles qui apparaissent en surimpression. Il est désormais possible d'en ajouter d'un simple clic directement sur la vidéo, au moment, à l'emplacement et pour la durée de son choix. Trois types d'annotations sont disponibles : des bulles de dialogues, des remarques ou des cadres. La création de liens a été assouplie, puisqu'ils peuvent dorénavant pointer vers une chaîne, une playlist, un groupe ou les résultats d'une recherche, en plus de mener à une autre vidéo. Ils peuvent également encourager les spectateurs à participer en pointant vers un champ de réponse ou un formulaire d'envoi de réponse en vidéo. Deux boutons permettent en outre de sauter d'une annotation à l'autre.

L'affichage des annotations, qui peut vite devenir envahissant, est désactivable d'un simple clic.
Fascinants pour le particulier, pratiques pour les professionnels, les différents outils de géolocalisation de Google révèlent parfois des usages inattendus. Google Earth a ainsi récemment permis à la police suisse de démanteler un trafic de drogue, suite à la découverte d'un champ de cannabis de quelque 7500 m². Si cette utilisation des nouvelles technologies satisfait la morale, que penser de cette "Google Car" qui a pris et diffusé sur Google Street View des images l'impliquant dans la collision d'un aimable cervidé ?

Cachez ce chanvre que je ne saurais voir

Fin 2008, la police suisse enquête sur un réseau de trafic de stupéfiants, suspecté d'organiser le transit d'importantes quantités de marijuana entre les Pays-Bas et la Suisse. L'investigation court depuis plus d'un an, et a déjà permis de démanteler une bonne partie de l'équipe, mais manquent encore à l'appel les producteurs, ceux de qui part l'herbe, en quantités industrielles.

Lancés sur la piste de quelques agriculteurs qu'ils supposent peu scrupuleux, des policiers de Zurich décident d'utiliser Google Earth pour localiser le domicile de l'un des suspects lorsque, ô surprise, ils découvrent, presque par hasard, l'une des sources d'approvisionnement de l'équipe : un impressionnant parterre de plants de cannabis, dissimulés au coeur d'un champ de maïs et invisibles du sol.

"Nous cherchions à localiser le domicile d'un des trafiquants dans le canton de Thurgovie grâce à Google Earth. En observant la prise de vue, nous avons soudainement remarqué un champ étrange", raconte à la Tribune de Genève Stefan Oberlin, porte-parole de la police cantonale zurichoise. Inutile toutefois de passer des heures à scruter les clichés satellite affichés sur Google Earth, ajoute-t-il, "cela relève plus du coup de chance que d'un procédé systématique".

Bambi : "Google m'a tuer"

Scandale au pays de John Deere ! Une Google Car, ces voitures dont le toit est surmonté d'une caméra panoramique et qui sont utilisées pour réaliser les clichés qui alimentent Google Street View, a récemment percuté une biche, à proximité d'un sous-bois situé dans l'Etat de New-York. L'affaire serait sans doute passée inaperçue si les images enregistrées par la caméra lors de cet accident n'avaient pas été mises en ligne.

Découvertes par des internautes, ces images ont rapidement circulé sur quelques blogs américains, dont l'écho a rapidement conduit Google à les supprimer. La manoeuvre n'a pas eu l'effet escompté : considérée comme un aveu implicite, elle n'a fait que renforcer la polémique, conduisant le moteur de recherche à publier un message d'excuses officiel sur l'un de ses blogs.

On y lira entre autres choses que plus de 60.000 cerfs sont percutés chaque année dans le seul état de New York, ce qui n'empêche pas Google de faire acte de contrition, et de préciser que le chauffeur de la voiture incriminée n'a eu de cesse de prévenir la police. La biche effarouchée a disparu dans les bois, et l'on ne sait pour l'instant ce qu'il est advenu d'elle, précise Google, qui ne manque pas de conclure par quelques conseils à destination des automobilistes.
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