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Votre mission? Diviser par quatre les émissions de gaz à effet de serre d'une ville de 115.000 habitants en moins de 50 ans. C'est le défi que lance, Eric Gorman, Romain Fogeron et Benoît Santa Maria aux internautes sur Clim'City.

Ce jeu inspiré du célébricime SimCity est accessible, gratuitement, en ligne. L'objectif est réaliste puisque défini par les véritables plans « climat » des pays industrialisés. L'objectif? Réduire la consommation d'énergie de 40% et atteindre une proportion de 60 % d'énergies renouvelables. L'internaute dispose pour cela de 50 ans et quelques 250 actions dont le développement de l'éolien, du solaire, des biocarburants; la promotion de l'écoconstruction, des transports en commun et du recyclage des déchets ou encore l'éducation des populations et l'investissement dans la recherche. Ensuite, il lui est possible de comparer ses propres résultats à ceux d'autres joueurs en ligne.

Imaginé par Cap Sciences et le centre de culture scientifique d'Aquitaine, cet outil éducatif devrait être distribué en DVD dans les collèges et lycées aquitains en janvier 2009.
Alors que se multiplient depuis la divulgation du Plan France Numérique 2012 les annonces rassurantes au sujet des mesures qui seront prises en faveur du déploiement du très haut débit, trois décrets visant à en encadrer certaines modalités ont été publiés le 16 janvier au Journal Officiel. Ils entrent donc en vigueur sans délai.

« Le déploiement des réseaux de communications électroniques à très haut débit en fibre optique sur tout le territoire constitue un enjeu économique majeur pour notre pays. Le Gouvernement s'est ainsi fixé un objectif ambitieux d'au moins 4 millions d'abonnés au très haut débit d'ici à 2012 », rappelle un communiqué du ministère de l'économie, de l'industrie et de l'emploi.

Le premier de ces décrets confirme le principe du "droit au très haut débit", similaire au droit d'antenne, selon lequel le propriétaire d'un immeuble ne pourra pas s'opposer à ce qu'un occupant soit raccordé à un réseau très haut débit, sauf motif sérieux et légitime. Le second encadre les relations entre propriétaires et opérateurs, au moyen de conventions qui « protégeront les propriétaires des démarches abusives et garantiront que le coût des travaux est bien à la charge des opérateurs ».

Le troisième et dernier décret concerne la question du pré-câblage des immeubles neufs en fibre optique, grâce auquel "tous les immeubles de plus de 25 logements seront pré-câblés en fibre optique à partir de 2010" selon le ministère.

En parallèle, l'Arcep, chargée de définir avant l'été le cadre réglementaire qui permettra d'accélérer le développement de la fibre optique indique qu'elle réunira pour concertation les présidents des principaux opérateurs concernés, parmi lesquels Orange, Free, Numericable et SFR.
Ce matin, nous rapportions que la fédération internationale de l'industrie du disque (IFPI) annonçait le chiffre de 40 milliards de fichiers musicaux téléchargés illégalement sur Internet. Pour freiner l'usage des logiciels peer-to-peer, les gouvernements européens, et notamment la France, mettent en place le principe de riposte graduée visant à sanctionner graduellement l'internaute reconnu coupable de fraude.

Parmi les mesures qui seront prises notons par exemple que le récidiviste pourra être privé de sa connexion à Internet. Le magazine Ars Technica rapporte qu'une étude réalisée au Royaume-Uni et publiée au mois de mars dernier indiquait que 70% des internautes cesseraient de télécharger après réception du premier courrier avertisseur. A l'issue d'une analyse menée par le cabinet The Leading Question and Music Ally, en France, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, il apparaît que 64% des internautes stopperaient les téléchargements illégaux au moindre avertissement.

Cependant Ars Technica souligne l'ambiguité de ces chiffres et explique que les menaces par simples avertissements n'affecteraient réellement que 41% des personnes interrogées, un chiffre qui serait monté à 63% seulement lorsque les mesures de déconnexion auraient été avancées. Cela signifierait que 37% des internautes se déclarent insensibles aux menaces de coupure de connexion.

En France, le cabinet GFK avait publiée une étude controversée en avançant le chiffre de 1 milliard de fichiers illégaux téléchargés. Interrogé par Le Monde, Laurent Donzel, responsable du cabinet d'analyse, avait alors déclaré : "on fait appel à la mémoire de l'intéressé, et les interviewés minimisent souvent le poids réel du téléchargement. Ils ne veulent pas l'avouer [...] Pour compenser, on extrapole et on multiplie les résultats par douze". L'étude avait d'ailleurs été commandée les éditeurs de vidéos et les maisons de disque.

Grossir les chiffres, serait-ce une pratique courante dans le milieu ? En tout cas, en France, l'on pourrait donc s'interroger sur une étude du cabinet IPSOS affirmant que 90% des Français cesseraient de télécharger après deux avertissements du fournisseur d'accès à internet.
Certes, il existe aujourd'hui plusieurs outils permettant de télécharger les vidéos de YouTube au format flv afin de les lire dans un lecteur vidéo particulier. Cependant, il se pourrait qu'à l'avenir la filiale de Google offre cette fonctionnalité par défaut.

En effet, la firme de Mountain View a récemment ajouté un petit lien Click to Download sur les vidéos de la chaîne dédiée au président des Etats-Unis, Change.gov. Les clips sont téléchargés au format MP4 et conservent donc leur qualité originale. Ce lien n'apparaît pas sur d'autres chaînes et nul ne sait si cette option sera bientôt généralisée à l'ensemble du site.

Par le passé YouTube fut attaqué à plusieurs reprises pour avoir indirectement diffusé du contenu protégé par les droits d'auteur, L'on pourrait donc se demander si la généralisation d'une telle option porterait préjudice aux éditeurs de contenu et si ces derniers auront la possibilité de la désactiver.

Notez que pour télécharger dès aujourd'hui les vidéos de YouTube au format MP4 vous pouvez consulter la procédure sur cette page.
Le Sénat à décidément fort à faire en matière d'économie numérique. Après avoir voté jeudi dernier l'extension de la redevance TV aux ordinateurs, les sénateurs ont également adopté la très controversée "taxe télécoms" imposée aux opérateurs Internet et mobiles dans le cadre de la réforme de l'audiovisuel public.

Son but ? Financer en partie la suppression progressive des publicités sur les chaînes du service public. Et pour cela, les sénateurs ont décidé contre l'avis de la ministre de la Culture Christine Albanel qu'une taxe de 0,9% sera appliquée sur les revenus des opérateurs télécoms dont les encaissements annuels (services supplémentaires, produit des abonnements,...) sont supérieurs à 5 millions d'euros.

Mais des moyens d'y échapper, ou tout du moins des moyens de la rendre plus souple, ont été proposés entre autres par le sénateur Bruneau Retailleau qui a quelque peu modifié l'amendement en question, afin de "maintenir une incitation à l'investissement des opérateurs dans la couverture numérique du territoire". Pour ce faire, le sénateur autorisera les opérateurs télécoms à déduire une partie de cette taxe.

Reste à savoir si comme le pensent l'association Alternative Mobile - chargée de défendre les intérêts des MVNO -, Frank Esser - le PDG de SFR - ou Yves Le Mouël - le directeur général de la Fédération française des télécoms (FFT) -, cette taxe aura un impact direct sur le prix des abonnements des opérateurs Internet et mobiles.
le 19/01/2009 à 23:05
Nouveau sursis pour Windows XP ?
Le 30 juin 2008 marque la fin de la commercialisation du système d'exploitation Windows XP auprès des consommateurs. Cependant, à ce jour, son successeur Windows Vista reste très peu optimisé pour fonctionner sur les ordinateurs à faibles performances. Pour cette raison, les constructeurs bénéficient d'une période de grâce pendant laquelle ils peuvent distribuer le système en version OEM.

Afin de ne pas étouffer le marché de Vista, l'éditeur de Redmond précise cependant que les machines ne doivent pas disposer d'un écran de plus de 10,2 pouces, d'un disque dur de plus de 160 Go et de plus d'1 Go de mémoire vive. Officiellement, cet accord qui aurait dû prendre fin le 31 janvier 2009 a été prolongé de six mois et devrait arriver à échéance le 31 juillet 2009.

A ce jour Windows XP reste donc la véritable stratégie de Microsoft sur le marché du netbook. Cependant, si l'éditeur nous promet que Windows 7 sera optimisé pour fonctionner sur ces petites machines, le magazine Fudzilla nous informe qu'un nouveau sursis aurait été mis en place . En effet, une source de la division mobile de Intel aurait confirmé certains accords avec Microsoft afin de conserver Windows XP jusqu'en 2010 et même au-delà.

La firme de Redmond entend-elle doubler ses chances sur ce nouveau marché en pleine croissance ?
Alors que s'ouvre aujourd'hui à Cannes la 43e édition du Midem, la Fédération internationale de l'industrie du disque (IFPI) a publié vendredi les conclusions de son rapport annuel sur le marché de la musique, dans lequel elle indique que les ventes de musique numérique (Internet et téléphones mobiles) ont progressé d'environ 25% en 2008 pour atteindre 3,7 milliards de dollars, soit environ 20% des ventes totales de musique dans le monde, contre 15% en 2007. A l'unité, il se serait téléchargé légalement quelque 1,4 milliard de morceaux en 2008, soit une hausse de 24% sur un an. Les ventes d'album numériques auraient quant à elle progressé de 36% sur un an.

En France, la branche locale de l'IFPI, le SNEP (Syndicat national des éditeurs phonographiques) fait état de ventes de musique numérique en hausse de 49% sur 2008, avec 14,5 millions de singles achetés en ligne par les internautes, auxquels s'ajoutent 1,4 million d'albums téléchargés légalement. Le marché de gros de la musique dématérialisée serait ainsi passé à 70 millions d'euros en 2008.

Le virage vers le numérique enfin acté ?

"L'industrie de la musique se réinvente et réinvente ses modèles économiques. Les maisons de disques ont repensé leur approche, réorganisé leurs activités et répondu aux transformations des méthodes de distribution et de consommation de la musique", commente John Kennedy, PDG de l'IFPI.

Dans son rapport, l'organisation se félicite de la mise en place de nouveaux modèles économiques liés à la musique numérique, et prend l'exemple d'initiatives telles que Comes With Music de Nokia, Playnow de Sony Ericsson ou les partenariats entre maisons de disques et opérateurs télécoms, illustrés par les offres illimitées lancées par des fournisseurs d'accès à Internet comme Neuf Cegetel (SFR) ou Orange. "Le marché de la musique est passé d'un modèle reposant uniquement sur les ventes à un schéma de "monétisation" d'accès à la musique", commente l'IFPI.

Le piratage reste le principal frein au développement

Dans le même temps, l'IFPI avance le chiffre de 40 milliards de fichiers musicaux récupérés illégalement sur Internet en 2008, disant se baser sur des études réalisées dans 16 pays. 95 % des téléchargements de musique étaient illégaux sur l'année, indique encore l'organisation, qui affirme toutefois plus loin dans son rapport que seuls 16% des internautes européens se livreraient à l'échange de musique sur les réseaux P2P d'après une étude conduite par Jupiter Research.

Quelle que soit l'interprétation que l'on choisisse de donner à ces chiffres, le salut ne peut selon l'IFPI venir que de l'action conjointe des pouvoirs publics et des fournisseurs d'accès à Internet, à l'image de ce que prévoit le projet de loi Création et Internet en France.NB : le SNEP publiera aujourd'hui l'intégralité des chiffres relatifs au marché français, sur lesquels nous ne manquerons pas de revenir.
Microsoft risque une nouvelle fois de se voir sanctionné par la Commission européenne pour abus de position dominante. Celle-ci a en effet confirmé vendredi avoir fait parvenir au numéro un mondial des éditeurs une communication de griefs dans laquelle elle invite ce dernier à venir s'expliquer sur les liens étroits qui unissent son système d'exploitation vedette, Windows, au navigateur Internet Explorer.

Au terme d'une enquête d'un an, ouverte suite au dépôt d'une plainte par l'éditeur Opera Software, en décembre 2007, la Commission européenne accuse Microsoft de pratiquer la vente liée d'Internet Explorer avec Windows.

Une pratique qui aurait pour effet de porter préjudice à la concurrence en matière de navigateurs Web, "dès lors qu'elle confère à Internet Explorer un avantage artificiel en matière de distribution", qui nuirait "au rythme de l'innovation et à la qualité des produits que les consommateurs obtiennent en fin de compte", et qui risquerait, à terme, "de compromettre la concurrence et l'innovation en matière de fourniture de services aux consommateurs", dans la mesure où les éditeurs sont tentés de concevoir leurs sites plus spécifiquement pour Internet Explorer.

Jon Von Tetzchner, PDG d'Opera Software, se félicite dans un communiqué de cette communication de griefs, qui selon lui permettra aux consommateurs de bénéficier d'un véritable choix sur le marché des navigateurs Web. Bien qu'il soit toujours intégré à Windows - et qu'il soit impossible de proprement le désinstaller, Internet Explorer voit depuis 2005 ses parts de marché fondre au profit de logiciels concurrents. En décembre 2008, elles n'étaient plus au niveau mondial que de 68,2% selon Net Applications, contre plus de 85% en 2005.Bis repetita ? Pour l'éditeur, l'affaire est d'autant plus gênante qu'il a déjà été lourdement condamné par la Commission européenne en mars 2004 pour abus de position dominante. L'institution lui reprochait alors de ne pas fournir assez d'informations techniques sur ses systèmes d'exploitation à ses concurrents, données jugées indispensables pour que ces derniers puissent concevoir des logiciels compatibles. Elle avait également estimé que l'intégration du lecteur Windows Media Player à Windows portait préjudice à la libre concurrence.

Bruxelles avait alors prononcé une amende de 497 millions d'euros, et avait imposé à l'éditeur de commercialiser une version de Windows dépourvue de lecteur multimédia, connue sous le nom de "Windows XP N".

"Si l'analyse préliminaire exposée dans la communication des griefs est confirmée, la Commission pourra infliger une amende à Microsoft, l'obliger à mettre fin à l'abus et lui imposer une mesure corrective qui permettra d'offrir à nouveau un véritable choix au consommateur et d'assurer une concurrence par les mérites", prévient l'institution.

L'éditeur dispose d'un délai de huit semaines pour préparer sa défense. Dans un communiqué, il a accusé réception de cette notification de griefs, et a tenu à réaffirmer son engagement à agir en conformité avec les lois européenne.
le 16/01/2009 à 17:10
Zend_Tool pour les développeurs
Zend Tool est une boite à outil, destiné pour les développeurs et développeuses. Le site « Developer zone » de Zend montre ce qu'offre ce kit avec une installation simplifiée si vous utilisez l'installeur de PEAR.

La présentation vous montrera une partie des possibilités du coté client en effectuant quelques manipulations fortes utiles.

Mais Zend Tool vous sera utile pour démarrer un projet ZF.

- Using Zend_Tool to start up your ZF Project
- Zend_Tool for the Developer
Des offres d'emplois plus alléchantes les unes que les autres se suivent mais ne se ressemblent pas. Après le gardien blogueur de l'Ile de la grande barrière de corail au large de l'Australie, c'est au tour de Britney Spears de recruter un responsable des médias en ligne.

L'agence Brandcasting Unlimited, en charge du site officiel de la chanteuse et de son image en ligne, a effectivement récemment publié une annonce sur le réseau interne (intranet) de la prestigieuse Université d'Harvard. Le futur responsable media 2.0, accroc aux réseaux sociaux et à Britney Spears, devra gérer l'identité virtuelle de son idole.

Tenir à jour, animer et modérer les comptes YouTube, Twitter, Facebook et MySpace de l'interprète sont notamment au programme. Il s'agit aussi d'optimiser le référencement et la visibilité de l'artiste sur Internet, en s'assurant également que les dernières nouveautés de cette dernière soient accessibles et mises en avant. Des compétences techniques mais aussi sociales sont nécessaires.

L'annonce parle d'intersection entre la Silicon Valley et Hollywood pour ce poste, mais ne précise pas dans lequel des deux secteurs se trouve l'hypothétique logement de fonction !
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