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Bien que Chrome, de Google, ait quelque peu tendance à accaparer l'attention depuis sa sortie, les Norvégiens d'Opera Software n'entendent pas rester sur la touche et annoncent cette semaine la sortie d'une première version bêta d'Opera 9.60, la future évolution de leur navigateur. Trois mois après la sortie d'Opera 9.5, cette version ne chamboulera pas l'existant, mais intègrera quelques petites nouveautés.

En premier lieu, Opera s'est intéressé à la possibilité de synchroniser les mots clé et l'historique des saisies utilisateur dans la barre d'adresses avec Opera Link, qui permet ensuite d'accéder à ces informations depuis une autre machine. Cette première bêta d'Opera 9.60 offre par ailleurs la possibilité de prévisualiser d'un clic le contenu d'un flux RSS ou Atom, ce qui permettra par exemple de consulter les dernières actualités d'un site sans s'embarrasser à charger son interface.

Du côté du client de messagerie, un mode bande passante limitée fait son apparition : activé, il permettra de limiter les échanges lors de la récupération des emails. Ainsi, seules les premières lignes d'un message seront téléchargées sur un compte POP, l'utilisateur ayant ensuite la possibilité de récupérer l'intégralité du mail. En IMAP, Opera n'effectuera le rapatriement des données qu'à la demande. Enfin, de nouvelles options de suivi font également leur apparition.

L'éditeur, qui continue donc à miser plus sur une suite logicielle que sur un simple navigateur, avec l'intégration d'un lecteur de flux RSS ou d'un client de messagerie, affiche sur son site les notes de version et la liste des nouveautés.
L'inventeur du World Wide Web, Tim Berners-Lee s'interroge sur une éventuelle prise en charge du format SVG dans Internet Explorer.

Le format graphique SVG, Scalable Vector Graphique, permet de représenter une forme géométrique en interprétant les données d'un code XML. SVG est notamment utilisé pour les cartes géographiques. A la différence de l'image matricielle, l'image vectorielle peut être agrandie à l'infini. La plupart des navigateurs web embarque directement le support natif du format SVG. Berners-Lee déclare : " Si vous observez les navigateurs, vous vous rendrez compte que la plupart d'entre eux supporte le SVG [...] Je vous laisse deviner celui qui a traîné dans la prise en charge de ce format".

Contrairement à Mozilla Firefox ou Safari sur Intel ou Opéra, Internet Explorer requiert le téléchargement d'un plug-in développé par Adobe avant de pouvoir visualiser une image dans ce type de format vectoriel. Cependant, après avoir annoncé le rachat de Macromedia en avril 2005, Adobe entend remplacer ce plugin par la technologie concurrente de Flash et la compagnie a annoncé que le développement de son plugin SVG viendra à échéance le 1er janvier 2009.

Microsoft avait intégré VML (Vector Markup Language), un autre format de graphique vectoriel mais en 2001, le consortium W3C en charge de réguler les standards du web et présidé par le même Berners-Lee a recommandé le format SVG. AP recueille les propos d'un porte-parole de Microsoft : " Cela fait longtemps que nous réfléchissons sur la prise en charge du format SVG. Nous recevons une forte demande de la part des développeurs web pour le support de ce format et nous savons que cette requête est prioritaire".

Pourtant, interrogé par The Register à ce sujet Chris Wilson, architecte de la plate-forme IE avait déclaré en mars dernier : "Nous devons d'abord choisir quelle technologie nous devrons prendre en charge. Il nous faut d'abord achever un travail avant de passer à quelque chose d'autre et risquer de tout bâcler; une erreur que nous avons déjà commise dans le passé.". Internet Explorer 8 dont la bêta 2 est sortie le 27 août dernier, ne devrait donc pas répondre aux demandes des développeurs web.

Après l'échéance du 1er janvier prochain, que fera Microsoft? La technologie de Silverlight pourrait-elle tracer un nouveau chemin ?
Pour le SNEP, qui représente les intérêts des éditeurs de musique en France, le constat du premier semestre 2008 est sans appel : avec des ventes de disques toujours en baisse, et un secteur de la musique numérique qui ne parvient absolument pas à compenser le déclin du marché physique, il devient de plus en plus urgent de définir un cadre précis venant régir les échanges de biens culturels sur Internet et... enrayer une fois pour toute le piratage, toujours considéré comme la principale source des maux du secteur.

- 12,2% sur un an

Le marché de gros de la musique enregistrée connait, pour le premier semestre 2008, une baisse de 12,2% pour atteindre 279 millions d'euros. Les ventes de musique sur supports physiques (CD, singles et vidéos musicales) connaissent sans surprise une baisse plus importante, évaluée à 17,7%. Les singles sont les plus touchés par la crise, avec un chiffre d'affaires en baisse de 45,2% sur un an.

Du côté des ventes numériques en revanche, la croissance est toujours au rendez-vous, mais avec 36 millions d'euros de recettes sur les six premiers mois de 2008, on peine à compenser l'érosion des ventes de disque. Le numérique enregistre toutefois une progression de 56,9% sur un an, bien plus marquée en France qu'au niveau mondial, pour lequel la hausse n'est que de 15%.

La téléphonie mobile représente le gros des ventes, avec 20,3 millions d'euros de chiffre d'affaires, devant les téléchargements à l'acte sur Internet (12,4 M€) et les offres de type streaming et abonnement qui, avec 3,3 millions d'euros, enregistrent toutefois une croissance de 370% sur un an.

De la valeur de la musique...

Toute la profession caresse l'espoir de voir repartir à la hausse les ventes de CD, mais l'on commence à admettre ouvertement que l'essor du numérique entraine de nouveaux modes de consommation de la musique, une tendance contre laquelle il serait stérile de lutter. La fin des combats d'arrière-garde ? Si les canaux de distribution se multiplient, il importe toutefois pour le SNEP de ne pas perdre de vue la question, primordiale aux yeux des producteurs, de la valeur de la musique.

"Rien ne dit qu'une forme d'exploitation prendra le pas sur les autres à l'avenir. Il faut donc s'habituer à ce que les sources de revenus se multiplient", explique Christophe Lameignère, président du SNEP, pour qui les offres d'abonnement illimité, ou les sites d'écoute gratuite financés par la publicité posent un problème de taille : la baisse, dans des proportions importantes, de la valeur unitaire d'un morceau de musique. Le problème du secteur serait donc double : il importe d'attirer les consommateurs vers les nombreuses offres légales disponibles, mais aussi de réfléchir à la façon dont ces offres peuvent correctement valoriser la musique.

"Internet est le seul endroit où la consommation de biens culturels n'est pas organisée", commente Christophe Lameignère. La branche française de l'IFPI, qui appelait déjà de ses voeux la loi "Création et Internet" en avril dernier, continue à y placer ses espoirs : endiguer le piratage, c'est forcer les consommateurs à se tourner vers les offres légales, et donc stabiliser ces dernières autour de modèles permettant aux éditeurs de renouer avec la croissance.

Hadopi : première lecture avant Noël

Au coeur d'une rentrée parlementaire mouvementée, difficile pour les deux chambres de se consacrer à l'épineux dossier de la loi "Création et Internet", autrement appelée loi Hadopi, du nom de l'Autorité qu'elle est censée instituer. Initialement prévue pour le mois de septembre ou d'octobre, la première lecture pourrait finalement n'avoir lieu qu'en fin d'année, repoussant la promulgation de la loi au printemps 2009. "L'engagement du président de la République sur ce dossier est intact", rappelle Hervé Rony, directeur général du SNEP. Les difficultés seraient donc d'ordre "technique, mais pas politique".

Quoi qu'en dise le SNEP, le caractère éminemment politique du dossier est incontestable, en témoigne les virulentes réactions au concept de riposte graduée aussi bien en Europe qu'en France. On se souviendra également des débats houleux qui avaient accompagné la réflexion autour des dossiers licence globale et loi DADVSI. Une façon d'aplanir ces difficultés serait-elle de procéder à la première lecture au cours d'une de ses sinistres soirées de décembre, où la majorité des députés préfère aux bancs froids de l'Assemblée la chaleur d'un bon fauteuil ?

"On retrouvera la santé pour une raison simple : la musique est indispensable à la société", conclut sur une note d'optimisme Christophe Lameignère. Les maisons de disque le sont-elles également ? D'aucuns estiment que le marché de la musique serait bien plus vivant s'il n'était pas figé dans le carcan des modèles de distribution actuels. D'autres rappellent que s'il tourne pour beaucoup autour de la musique dite "enregistrée", le marché de s'y limite certainement pas.
Aux Etats-Unis, AOL est bien décidé à conserver ses visiteurs actuels même si cela doit se traduire par des moyens plutôt inhabituels : permettre à l'internaute de consulter les emails de leur comptes Yahoo, Gmail ou Hotmail. En effet, America Online vient de lancer une toute nouvelle page d'accueil utilisant les interfaces de programmation des trois autres webmails afin d'automatiser la mise à jour d'un petit module de prévisulisation, lequel n'est pas sans rappeler celui présent sur la page d'accueil de Yahoo!

Cette nouvelle fonctionnalité, pour l'instant disponible uniquement sur le site américain, fait partie d'un projet de développement plus ambitieux. Par la suite, l'utilisateur sera en mesure de personnaliser le contenu et les services accessibles depuis cette page, voire d'y ajouter des liens et des flux RSS personnels. AOL précise que ces nouveaux changements seront intégrés à cette page dans les prochaines semaines.

Bill Wilson, Vice President du département Programming chez AOL déclare : "AOL est le premier gros portail à proposer cette agrégation de courriers électroniques. Nous savons que les gens possèdent plusieurs comptes emails sur différents services [...] et nous souhaitons rendre la consultation des messages plus simple"..

A noter : pour utiliser cette nouvelle fonctionnalité, il faudra initialement autoriser AOL à accéder à votre compte lors de la première identification. Ce processus est généralement requis lorsqu'une application web souhaite communiquer avec l'interface de programmation d'un service tiers.
le 10/09/2008 à 22:28
10 mantra des maîtres PHP
Nettuts a rassemblé 10 principes fondamentaux de programmation en PHP, exprimé par de grands sages PHP (s'ils existent), notamment, Rasmus Lerdorf et Matt Mullenweg. 'Ne faites jamais confiance à vos utilisateurs' ou encore 'Utilisez de nombreuses tables pour gagner en montée en charge'.

Certains mantra sont même conflictuels, comme ceux sur les frameworks, mais au final, il y a la une belle liste de concept à retenir avant de se lancer en PHP.

- 10 Principles of the PHP Masters
L'avenir de Linux passera-t-il par le marché, en plein essor, des netbooks, ces petits ordinateurs portables à bas prix ? Alors que Microsoft durcit ses positions sur ce marché, en prolongeant la durée de vie de Windows XP et en accordant certaines remises exceptionnelles aux fabricants, l'éditeur français Mandriva en semble convaincu. Cette semaine, il annonce la sortie de Mandriva Mini, sa première distribution Linux spécialement conçue spécialement pour les netbooks. Mandriva Mini sera donc proposée à tous les concepteurs, fabricants ou distributeurs d'ordinateurs portables de type netbook (OEM et ODM), aussi bien sur les marchés émergents que dans les zones industrialisées.

« Nous sommes fermement convaincus que pour Linux, qui a très bien réussi dans le monde des serveurs, les netbooks sont une opportunité de prendre une part importante du marché », affirme avec optimisme François Bancilhon, PDG de Mandriva. Pourquoi choisir Linux plutôt que Windows ? "Il n'est guère logique de placer un système à 40 euros sur une machine qui en vaut 200", ajoute-t-il. Pour répondre aux besoins des assembleurs et vendeurs de netbooks, il faudrait selon Mandriva proposer un système à la fois peu onéreux, flexible, personnalisable et peu gourmand en ressources, puisque ces machines disposent d'une configuration moins puissante qu'un PC « traditionnel ».

Avec une séquence de boot rapide (entre 15 et 40 secondes, en fonction de la plateforme), une compatibilité assurée avec les principales clés USB 3G du marché, et une interface (les bureaux Gnome ou KDE sont proposés) adaptée aux écrans de petite taille des netbooks, la Mini de Mandriva est donc censée coller parfaitement avec les usages attendus sur ce genre de machines. Mandriva affirme en outre avoir adapté son système aux systèmes de stockage à mémoire Flash, en développant des interactions avec le contrôleur dédié permettant de gérer l'emplacement des informations en fonction de l'état des cellules de mémoire Flash. "On peut bien sûr installer une Mandriva classique sur un netbook, et cela fonctionnera, mais mieux vaut utiliser un système vraiment adapté à ce type de machine", résume l'éditeur.

Comme convenu, c'est le Gdium, un netbook lancé fin septembre par Emtec (groupe Dexxon) qui embarquera le premier la distribution Mandriva Mini. Annoncé en mai dernier, le Gdium se démarque de ses concurrents sur le plan technique par l'utilisation d'un processeur reposant sur l'architecture MIPS-64 et produit par STMicroelectronics, alors que l'essentiel du marché se repose sur l'Atom d'Intel ou, dans une moindre mesure, sur les puces de Via. Un choix quelque peu inattendu, mais qui présenterait deux avantages majeurs : une relative indépendance vis à vis d'Intel, soupçonné d'orchestrer à sa façon le marché des netbooks du fait de l'écrasante domination de son processeur Atom, et une porte d'entrée privilégiée vers le marché chinois, ou la puce MIPS a été conçue.

le Gdium, présenté comme un terminal venant s'inscrire dans une logique globale allant d'un client mobile à des services en ligne, se différencie également par son absence de mémoire interne. Système d'exploitation et données personnelles sont en effet stockés dans une clé USB, la G-Key, qui viendra prendre place à l'avant de l'appareil. Une même machine pourrait ainsi être aisément utilisée par plusieurs personnes, chacune disposant de sa propre clé et donc de son propre environnement. Si la demande existe, Emtec se propose à terme d'intégrer à cette clé un lecteur d'empreinte digitales qui, couplé à un système logiciel, permettra de disposer d'une authentification forte. Désireux d'investir le segment de l'éducation, Emtec entend associer le Gdium à une série de services en ligne, qui proposera des contenus réalisés par des enseignants ou par une communauté qui semble-t-il reste à construire. Sortie prévue fin septembre, à un prix d'environ 379 euros avec une clé USB de 16 Go.
Après avoir officialisé il y a deux semaines l'acquisition du fournisseur d'accès Alice, Iliad confirme la suppression chez ce dernier de 320 à 340 postes.

C'est effectivement ce qu'ont annoncé hier aux représentants du personnel Cyril Poidatz, président du conseil d'administration d'Iliad, et Maxime Lombardini, directeur général du groupe. Les suppressions d'emplois concernent uniquement le siège social parisien et c'est donc la quasi-totalité de ses 390 salariés qui est invitée à partir volontairement d'ici au 1er mars 2009. La maison mère du fournisseur d'accès Free a en effet assuré qu'aucun employé ne ferait l'objet d'un départ forcé jusqu'à cette date, les licenciements ne débutant qu'après. En revanche, aucun des 1 000 employés des plateaux téléphoniques basés à Bordeaux et à Marseille ne sont touchés.

Racheté pour 775 millions d'euros, Alice compte à ce jour près de 900 000 abonnés, qui viennent s'ajouter à ceux de Free, portant le nombre total à environ 4 millions. De quoi relancer la guerre pour la deuxième place du classement contre Neuf et ainsi stimuler de nouvelles offres et innovations ?
le 10/09/2008 à 22:24
Deezer signe avec la Warner
Le célèbre service d'écoute de musique gratuit sur Internet, Deezer, directement financé par la publicité en ligne, a annoncé ce jour la signature d'un partenariat avec la maison de disque Warner Music International. Cet accord mondial porte sur la mise à disposition du contenu musical de WMI et sur un partage des revenus publicitaires.

Les  titres et les artistes de  WMI seront donc disponibles  sur  le  site  de  Deezer  en  écoute  libre,  illimitée  et  légale, dans ce cadre les deux sociétés partageront le chiffre d'affaires généré par la publicité. Deezer  mettra  à  disposition,  dans  un  premier  temps,  les  titres  de  Warner  Music sur  la  France  et  prochainement  sur  le  Royaume-Uni  et l'Allemagne,  après  ouverture  de  ses  bureaux.  Dans  le  cadre  de  cet  accord,  les  équipes  de  WMI  pourront  ajouter  des  contenus  éditoriaux  à destination des utilisateurs de Deezer.

Pour rappel, Deezer avait déjà signé avec les maisons de disques Universal, EMI, Sony BMG, ainsi qu'avec certains indépendants.
le 10/09/2008 à 22:24
Le premier plugin pour Google Chrome
L'une des raisons principales du succès grandissant de Mozilla Firefox réside incontestablement dans la multitude des plugins que l'on peut lui adjoindre afin d'ajouter au navigateur une nouvelle fonctionnalité particulière. Parmi ces plugins, l'un des plus populaires est GreaseMonkey qui permet à l'utilisateur de modifier l'apparence d'une page web particulière pour par exemple la personnaliser.

Kazuho Oku, un développeur japonais, travaille actuellement sur un plugin similaire pour Google Chrome. Baptisé GreaseMetal, ce projet est encore au stade initial de développement mais semble déjà fonctionnel avec certains scripts. Une fois installé, l'utilisateur démarre sa session de surf en cliquant sur Greasemetal.exe. L'application crée un serveur web local qui envoie les scripts au navigateur. Google Chrome démarre automatiquement en se connectant sur le canal AutomationProxy - un canal de communication intégré pour tester l'interface de Chrome. Enfin le JavaScript est exécuté régulièrement dans chaque onglet.

Pour l'instant il n'y a pas d'interface graphique pour la gestion des scripts et l'utilisateur devra donc manuellement les placer dans le dossier automatiquement crée par l'assistant d'installation "Userjs" au sein de "Mes Documents".
Alors qu'il semble rencontrer quelques difficultés pour réellement s'imposer auprès des internautes du monde entier, Joost, le service de diffusion TV / vidéo du créateur de Skype, serait sur le point de subir une transformation importante. En effet, plutôt que de chercher à imposer une application complète, les développeurs de Joost auraient désormais l'intention de proposer leur bébé sous la forme d'un simple plug-in qui pourrait s'acoquiner facilement au navigateur Web préféré de l'utilisateur. Ainsi, quelques beta testeurs auraient déjà reçu un mail les invitant à tester cette nouvelle mouture de Joost. Le mail en question précise que les changements ont été effectués pour répondre aux attentes des utilisateurs.

Ce nouveau Joost devrait donc permettre d'accéder aux contenus vidéos du service directement depuis une fenêtre de navigateur Web. Le plug-in exploiterait toujours la technologie P2P pour accéder aux contenus, mais n'emploiera pas Adobe Flash. Rappelons que de nombreux reproches ont déjà été faits à Joost : lenteurs, grosse consommation de bande passante, difficultés pour accéder aux contenus, compétition face à Hulu et aux autres services émergents... Reste maintenant à voir si cette refonte de Joost suffira pour "reprendre le dessus".
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