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Xdebug est l'outil de référence pour analyser les performances d'une application PHP. Toutefois, il impose l'installation de kcache grind, qui se révèle une opération très difficile sur OSX et Windows.

Deux projets ont été lancés sur ce sujet : un via le GSOC (Google Summer of Code), qui vient juste de démarrer, par Chung-Yang Lee, et mentoré par David Coallier. Les résultats devraient arriver durant l'été, tandis que Web Grind existe déjà, en version beta, sur Google Code.

- XDebug to finally get a Web Frontend
- Webgrind: A Web Frontend for Xdebug
- Webgrind
Depuis la sortie de Safari 3.1, les parts de marché du navigateurs d'Apple ont bien évolué. En effet, sur PC, la part de marché de Safari depuis cette sortie a purement et simplement triplée, certes Safari ne contrôle que 0,21% (contre 0,07% auparavant) du marché PC, mais c'est davantage la méthode pour parvenir à cette performance qui fait couler de l'encre.

Souvenez-vous, il y a quelques semaines, Apple devait faire face à un véritable tollé, son logiciel de "mises à jour automatisées" pour Windows se permettait de cocher automatiquement l'installation de Safari, présentée alors sous la forme d'une mise à niveau comme une autre, sur les machines Windows où des nouvelles versions d'iTunes ou de Quicktime étaient disponibles.

L'affaire ne sera pas restée sans suite et Apple aura corrigé le tir quelque jours plus tard en ajoutant dans son module de mise à jour deux parties : l'une pour les mises à jour des applications déjà installées, l'autre pour l'installation de nouveau programme disponible (dont Safari 3.1). Même si cette affaire à fait beaucoup de bruit, elle aura permis à la firme à la pomme de grappiller quelques parts de marché auprès d'utilisateurs qui, à l'origine, ne voulaient pas vraiment de ce navigateur ?
le 05/05/2008 à 21:42
Une Release de Copix : 3.0.3
Note de l'auteur :

Copix 3.0.3 est officiellement disponible sur la page de téléchargements du projet. Pas mal de nouveautés majeures. Parmi celles-ci on peut citer l'apparition de Validateurs qui permettent de valider objets, tableaux ou autre. Il est aussi possible de gérer des ressources web à l'intérieur du répertoire d'un module, pratique pour packager une application complète avec images, icônes et javascripts.

D'ailleurs j'ai commencé à créer un module wbe pour regrouper les différents éditeurs html type tiny MCE et FCKEditor.

A suivre...

- Sortie de Copix 3.0.3 et autres nouvelles...
- Copix
- Téléchargement Copix 3.0.3
L'open source séduit l'administration française. Après avoir placé sa distribution GNU/Linux au sein du ministère de l'agriculture, l'éditeur français Mandriva étend son partenariat avec le ministère de l'éducation nationale.

Pour la quatrième année consécutive, le contrat entre les deux parties a été renouvelé. Dans ce cadre, le groupe 'logiciel enseignement supérieur recherche' du ministère, par l'intermédiaire des CRI (centres de ressources informatiques) diffuseurs, proposera des remises (jusqu'à 60%) aux personnels administratifs et professeurs sur les versions commerciales du système d'exploitation libre et ouvert distribué par Mandriva (Mandriva PowerPack, Flash, MDS, LRS, Corporate Server & Desktop, Pulse2, etc.) ainsi que sur les services associés (formation, support professionnel...)

"En plus de proposer des versions de nos logiciels, nous allons proposer des services gratuits d'accompagnement et de formation autour de Linux et du logiciel libre. Faire connaître le libre est stratégique pour l'avenir des étudiants et indirectement, pour l'économie nationale", affirme dans un communiqué, Aurélien Goll, responsable de la formation/éducation chez Mandriva.

Parallèment, de nouvelles offres viennent compléter la gamme Mandriva pour répondre aux besoins des établissements d'enseignement supérieur : Edutice (gestion de salle et de postes informatiques), Linbox Rescue Server (administration d'un parc de machines).
Les passeports biométriques deviennent réalité. Un décret paru dans le Journal officiel, dimanche 4 mai 2008, officialise l'apposition des empreintes digitales sur les passeports français. Cinq départements tests (Nord, Oise, Aube, Gironde, Loire-Atlantique) devraient, dès l'automne, accueillir les premières machines qui produiront et enregistreront photos et empreintes digitales numérisées pour la puce des passeports biométriques (RFID).

Le décret spécifie que "lors du dépôt de la demande de passeport il est procédé au recueil de l'image numérisée du visage et des empreintes digitales de huit doigts du demandeur. Les empreintes digitales des enfants de moins de six ans ne sont pas recueillies".

Après examen du décret par le Conseil d'Etat, le ministère de l'intérieur, par le biais de l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), doit sélectionner l'un des quatre consortiums (Thalès-Accenture, Atos-Sagem, Cap Gemini-Sopra et Bull-Zeltes) postulants pour la fabrication de 2.000 machines destinées, à terme, aux mairies d'une vingtaine de départements. Le ministère de l'intérieur devrait allouer une indemnité forfaitaire annuelle de 3.250 euros à chaque mairie pour leur entretien.

Ce nouveau passeport "biométrique" succèdera donc aux passeports "électroniques", dont six millions d'exemplaires ont été fabriqués depuis le 13 avril 2006. Puisque sous l'impulsion des Etats-Unis, l'Union européenne a adopté en 2004 un règlement afin que le passeport biométrique, qui contiendra les empreintes digitales, soit déployé dans les 27 États membres avant le mois de juin 2009. Ceci dans le but de satisfaire aux normes conformes à celles de l'aviation civile internationale. Le décret indique également concernant les passeports : "afin de [...] prévenir et de détecter leur falsification et leur contrefaçon, le/la ministre de l'intérieur est autorisé à créer un système de traitement automatisé de données à caractère personnel dénommé TES."
Numericable, Neuf Cegetel ou Iliad, qui va racheter le fournisseur d'accès internet Alice ? Selon une information de l'agence Dow Jones, reprise par Les Echos et Reuters, "Iliad, Neuf Cegetel et le câblo-opérateur Numericable ont déposé des offres indicatives pour Alice, filiale française de Telecom Italia". Les offres formulées auprès de la banque Calyon s'élèveraient à 800 millions d'euros, soit près de 200 millions de plus que ce qu'avaient prévu les analystes.

L'entreprise, comptant plus de 900 000 clients, représente la dernière base d'abonnés disponible sur le marché français. Ses pertes passées permettent par ailleurs de profiter de crédits d'impôt s'élevant à 1,2 milliard d'euros avant la clôture de l'exercice 2007.

Numéricable avait déjà exprimé son intérêt vis-à-vis d'Alice. Iliad, maison mère de Free, verrait dans ce rachat la possibilité de passer devant Neuf Cegetel pour monter sur la seconde marche du podium des FAI en France. Neuf Cegetel, dont le rachat par son principal actionnaire SFR a été autorisé par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes pourrait quant à lui asseoir cette deuxième place.
Après Rewind TV d'Orange, les chaînes Arte et M6, le fournisseur d'accès Free se lancerait dans la TV de rattrapage ou "catch-up TV". La filiale internet d'Iliad veut proposer à toutes les chaînes présentes sur son bouquet de TV par ADSL, la possibilité de disposer d'une boutique par le biais de laquelle leurs programmes puissent être diffusés en rattrapage (catch-up) ou à la demande (VOD).

Cette offre devra permettre aux éditeurs de chaînes de "délinéariser" leurs flux. Pour les abonnés, l'accès "derrière chaque chaîne de flux (concernée) passera par un simple bouton sur la télécommande", indiquent dans un communiqué les concepteurs de l'offre : la Banque Audiovisuelle (LBA) et Cognacq-Jay Image, filiale du pôle multimédia du groupe TDF.

Le but ? Permettre aux chaînes présentes sur le bouquet Free de générer des revenus complémentaires par le biais de la VOD et de la catch-up TV en s'appuyant sur une offre 'clés en main'. Pour Free, il s'agit de se positionner comme le premier opérateur IP à ouvrir ce type de service à l'ensemble des éditeurs de chaînes et d'en tirer profit. Acte de résistance face aux puissants (TF1, M6, Orange) ou réelle opportunité commerciale ? Reste à savoir, si les chaînes joueront le jeu et quelles seront les modalités de l'offre "catch-up TV" de Free.
Neuf Cegetel a finalement décidé de retirer sa demande d'arbitrage du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) dans l'affaire qui l'opposait à la chaîne Eurosport. En novembre dernier, Neuf avait effectivement saisi le CSA après avoir perdu en appel un procès face à Eurosport.

A l'époque, Neuf Cegetel avait demandé à Eurosport de remettre en fonction le signal de la chaîne sur son offre TV par ADSL. La chaîne avait justifié cet arrêt de service pour respecter une clause d'exclusivité avec le groupe Canal+ pour la diffusion via ADSL.

Le retrait de la demande d'arbitrage de Neuf serait en réalité lié au prochain rachat de Neuf Cegetel par SFR, qui est ni plus, ni moins qu'une filiale de Vivendi, comme Canal+. Neuf aurait donc décidé de battre en retraite par solidarité.
Ce n'est pas tous les jours que l'on dit non à Microsoft... Jerry Yang, l'actuel CEO de Yahoo ! risque d'en faire aujourd'hui les frais alors que les analystes attendent la réaction des investisseurs à l'ouverture de Wall Street. L'action Yahoo ! est attendue en baisse de 30% alors que tous les regards se tournent vers la direction de Yahoo ! pour prendre connaissance de sa stratégie.

Yahoo ! devrait vraisemblablement signer un partenariat publicitaire avec son rival Google, ce qui devrait améliorer les performances du groupe sur le court terme. Par ailleurs, Yahoo ! serait toujours en train d'étudier un possible partenariat avec AOL.

En attendant, la direction de Yahoo ! pourrait faire face à des poursuites de la part d'actionnaires mécontents, ceux-ci n'ayant pas été consulté lors des négociations avec Microsoft et estimant que Yahoo ! n'a pas agit dans leur intérêt. Les actionnaires de Yahoo ! s'interrogent en effet sur les vraies raisons qui ont fait échouer un rachat évalué à 47,5 milliards de dollars (environ 30 milliards d'euros) alors que Microsoft augmentait à la dernière minute son offre de 5 milliards de dollars, un montant finalement jugé insuffisant par Yahoo !.
C'est à la surprise générale que le géant des logiciels Microsoft a annoncé ce week-end le retrait de son offre d'achat sur l'américain Yahoo !. Après des mois de négociations, Microsoft a donc décidé de ne plus attendre et préfère retirer purement et simplement son offre d'achat sur son rival Yahoo !. Yahoo ! qui est rappelons-le spécialisé dans les moteurs de recherche sur Internet.

Dans son offre initiale, une offre inamicale, Microsoft proposait 31 dollars par action Yahoo !, un montant jugé insuffisant par les dirigeants de Yahoo ! qui réclamaient 37 dollars par action. Microsoft avait fait un premier pas en relevant son offre à 33 dollars par action, mais cela n'aura pas suffit. Ce sont donc 4 dollars qui ont fait échoué la fusion entre Microsoft et Yahoo !.

La décision surprise de Microsoft met fin à tout atermoiement même si elle laisse les deux compagnies dans une situation délicate puisque Google en sort évidemment grandi. En effet, Yahoo ! représentait la seule chance de Microsoft pour contrecarrer l'hégémonie de Google sur le secteur de la recherche en ligne et de la publicité en ligne. Certains analystes estiment toutefois que la décision de retrait de l'offre d'achat de Microsoft sur Yahoo ! est une bonne nouvelle pour le géant des logiciels, les problématiques de concurrence mais aussi d'intégration des équipes de Yahoo ! semblant pour le moins insurmontables. Reste à voir comment le CEO de Yahoo !, Jerry Yang, va expliquer à ses actionnaires le départ de Microsoft de la table des négociations, un départ qui risque de faire plonger le cours de bourse de sa compagnie.
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