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Les années se suivent mais ne se ressemblent pas pour Apple. En janvier 2007, la présentation officielle du iPhone par Steve Jobs lors du MacWorld avait entraîné une hausse spectaculaire de 8% du cours de l'action Apple Inc. en une seule journée sur le Nasdaq.

Un an plus tard, la présentation du MacBook Air, Time Capsule et autre Apple TV "take 2" lors de ce même MacWorld ont laissé les marchés financiers de marbre. En deux séances, le cours de l'action Apple a reculé de plus de 11%, perdant 5,6% mardi et 5,5% mercredi. Après avoir passé la barre des 200 dollars en décembre, le cours de l'action Apple se situe désormais aux alentours des 160 dollars.

Qualifiant de “peu brillant” le dernier MacWorld, les analystes redoutent surtout que les consommateurs américains, confrontés aux crises financières, immobilières et à la remontée des prix de matières premières comme le pétrole, se détournent de produits plus secondaires comme les ordinateurs ou les baladeurs.

Une crainte qui ne concerne d'ailleurs pas que Apple puisque depuis le premier janvier, l'indice Nasdaq Composite regroupant les principales valeurs technologiques, affiche un recul de plus de 10% contre environ 6,5% pour l'indice Dow Jones, plus généraliste.
le 17/01/2008 à 23:11
Utiliser $_REQUEST intelligemment
Il est fréquent d'utiliser $_REQUEST en remplacement de $_GET et $_POST : quand on peut avoir des données qui entrent indifféremment via l'un ou l'autre méthode. En effet, $_REQUEST rassemble les valeurs des deux tableaux.

Toutefois, il ne faut pas oublier que $_REQUEST inclut aussi les données en provenance des cookies, de l'environnement ou encore des sessions, en fonction de la configuration de PHP. La plus courante est EGPCS. Les cookies arrivent donc après POST et GET, et si vous avez un contrôleur qui se base sur $_REQUEST, il devient possible de bloquer définitivement un utilisateur en lui donnant une valeur de type 'action = logout'.

Bref, si les données doivent venir de POST ou GET, faîtes une condition.

- Responsible use of the $_REQUEST variable
Il n'y a pas que les extensions FireFox pour les techniciens : certaines d'entre elles sont maintenant affutées pour les gens d'affaires, et permettent de transformer un navigateur en un assistant très complet.

Linkedin, bien sûr, pour gérer les contacts directement depuis le navigateur. Meebo et Peeko pour se rencontrer en ligne aisément. Zotero, pour gérer ses références en ligne et dataanalytics pour extraire des données d'une page et les coller dans un tableur.

- Top 10 Firefox Business Extensions
- 10 Firefox Extensions that I Use Every Day
- Linkedin
- Zotero
- DataAnalytics
le 17/01/2008 à 23:06
Tests à scénarios pour PHPunit
Sebastian Bergmann présente la prochaine fonctionnalité de PHP Unit : les scénario. Les tests peuvent maintenant s'écrire presque littéralement (en anglais, du moins), avec des fonctions telles que given, when, and et then.

L'objectif est de réaliser un scénario de test plus proche des utilisations finales, plutôt que d'encadrer des fonctions trop enfouies dans le code. PHPSpec, un autre projet, tente lui aussi d'apporter les notions de Behaviour-driven developpement (développement dirigé par l'utilisation).

- Support for BDD and Stories in PHPUnit 3.3
- phpunit
- Xait
- Behaviour-Driven Development (BDD)
- PHPspec
Etienne Kneuss a finalisé 3 nouvelles classes, qui se retrouvent sous forme de structures de données dans la bibliothèque SPL :
- splDoublyLinkedList : une liste doublement chaînée
- splStack : une pile
- splQueue : une queue

Actuellement, on peut réaliser ce type de structure à l'aide de tableau, mais les interfaces SPL permettent d'apporter un gain en standardisation appéciable. Selon Etienne, d'autres structures seront bientôt présentées dans SPL.
Dommage que la documentation ne soit pas encore en ligne.

- New datastructures in SPL
- doc SPL
Bien qu'Office Open XML ait essuyé un échec lors de la tentative de ratification auprès de l'organisation internationale de standardisation (ISO) en septembre dernier, Microsoft entend bien continuer à promouvoir son format de fichiers, au détriment de l'Open Document Format (ODF) déjà utilisé dans une suite bureautique comme OpenOffice.org. Pour ce faire, il dispose du soutien de l'Ecma, organisme européen de normalisation s'étant déjà prononcé en faveur d'Open XML, ainsi que d'une étude réalisée par le cabinet Burton Group, qui affirme que le format de Microsoft serait plus adapté aux usages des entreprises que son concurrent l'ODF.

En quelque 2300 pages, l'Ecma formule des suggestions répondant aux objections formulées par l'ISO lors de l'examen de la candidature du format Open XML. L'organisme européen y insiste sur le fait qu'Open XML est tout à fait compatible avec les documents produits à l'aide d'anciennes versions d'Office et rappelle l'existence de passerelles logicielles entre Open XML et ODF. Si l'intégralité du rapport est réservée aux membres des différents organismes de normalisation, un résumé des arguments de l'Ecma est proposé sur son site.

En parallèle, une étude réalisée par le cabinet Burton Group et dont les résultats ont été rendus publics lundi 14 janvier, recommande l'adoption du format Open XML comme un standard. Elle indique que le fait de soutenir le format ODF relèverait plus d'une politique tournée contre Microsoft que d'un réel choix objectif, et recommande aux entreprises d'opter pour Open XML même si le format n'est pas validé par l'ISO. Le cabinet Burton Group précise au passage que cette étude n'a pas été commanditée par Microsoft, une allégation d'ores et déjà mise en doute par certains défenseurs du format ODF d'autant que, selon ComputerWorld, l'un des auteurs de l'étude est censé faire prochainement une présentation presse d'Open XML dans les environs de Seattle.

L'Alliance OpenDocument a de son côté répondu à l'étude du Burton Group, en soulignant un "certain nombre d'exactitudes" ainsi que des "jugements erronés". Dans ce communiqué (format PDF), elle regrette que le cabinet ne se soit pas rapproché d'elle pendant la phase d'élaboration de cette étude. Office Open XML fera prochainement l'objet d'un nouveau vote auprès de l'ISO.
A l'heure de la réforme universitaire, Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, reçoit le rapport sur l'université numérique d'Henri Isaac, maître de conférences à Paris-Dauphine.

Ce texte dresse un bilan des actions menées à ce jour, dont le Micro-portable étudiant, et propose des recommandations visant à améliorer la qualité des services numériques proposés, à développer l'utilisation des technologies de l'information. "L'expérience du numérique des étudiants d'aujourd'hui est centrale", souligne Henri Isaac dans son rapport transmis le 15 janvier 2008 au ministère. Mais alors que 84% des 16-24 ans sont internautes, les universités ont "faiblement adapté leur pédagogie et leurs enseignements".

Pour rattraper ce retard, le rapport Isaac préconise de numériser 100% des documents de travail, de distribuer les cours sous forme de podcasts et de mettre en ligne des QCM d'auto-évaluation. Parallèlement, étudiants et enseignants bénéficieraient de sessions de formation. Enfin, mieux équipées, les universités pourraient développer d'autres usages, le vote en ligne par exemple.

Comme la relation entre université française et monde du travail, le rapport entre les campus français et les technologies numériques, reste à renforcer.
Dans le cadre du projet de suppression de la publicité sur les chaînes de télévision du service public, le gouvernement envisage selon le quotidien économique Les Echos la mise en place d'une taxe sur les produits d'électronique grand public capables d'afficher la télévision. Cette extension de la redevance TV pourrait donc toucher les téléviseurs, mais également les ordinateurs ou les téléphones mobiles. Déjà échaudés par la redevance sur la copie privée, consommateurs et fabricants risquent d'avoir du mal à digérer une telle taxe.

Le 8 janvier dernier, lors de l'annonce de son projet de suppression de la publicité sur les chaînes du groupe France Télévision, Nicolas Sarkozy évoquait une taxe sur les recettes publicitaires des chaînes privées, à laquelle devait s'ajouter "une taxe infinitésimale sur le chiffre d'affaires de nouveaux moyens de communication, comme l'accès à internet ou la téléphonie mobile".

Plusieurs problèmes se posent toutefois, à commencer par la résistance des acteurs concernés, tels que le groupe Bouygues, actif aussi bien en télévision (groupe TF1) qu'en téléphonie mobile (Bouygues Telecom). Ensuite, il n'est pas certain que les chaînes privées enregistrent un surcroît de revenus suffisant pour compenser le montant de cette taxe suite au transfert des budgets publicitaires alloués à France Télévision. Ceux-ci pourraient tout à fait aller à d'autres médias, tels que le Web ou la presse papier, plutôt qu'à TF1 ou M6. Il faudrait donc trouver d'autres sources de revenus pour le service public.

L'augmentation de la redevance TV semble avoir été écartée. Mesure particulièrement impopulaire, elle aurait dû se monter à plusieurs dizaines d'euros pour combler ne serait-ce qu'en partie le vide de plus de 800 millions d'euros annuels laissé par la fin de la publicité sur les chaînes publiques. D'où cette idée de taxer les produits d'électronique grand public capables d'afficher la télévision.

Le marché annuel de l'électronique grand public représente quelque 17 milliards d'euros en France, indiquent Les Echos. Même modérée, la taxation des recettes permettrait de récolter quelques centaines de millions d'euros par an. En outre, les pressions émanant des groupes internationaux venus d'Asie ou des Etats-Unis seraient sans doute plus faciles à contenir que celles des acteurs de la scène locale. Déjà taxés au nom de la redevance pour copie privée lorsqu'ils vendent des périphériques dotés d'une capacité de stockage et au nom de l'écotaxe sur la totalité de leurs produits, les fabricants risquent toutefois de renâcler. Sans parler du consommateur, déjà soucieux de la baisse de son pouvoir d'achat...

Mise à jour, 12h00 : à l'occasion de ses voeux aux forces vives de la nation, Nicolas Sarkozy a indiqué que la suppression de la publicité sur les chaînes de télévision publiques serait "compensée" par des taxes sur "la totalité des nouveaux moyens de communication", rapporte à l'instant une dépêche Reuters. "C'est un choix parfaitement assumé : les recettes seront compensées intégralement, grâce à un financement très largement mutualisé sur la totalité des nouveaux moyens de communication", aurait encore affirmé le président de la République, avant d'indiquer qu'une orientation similaire était souhaitable pour le service public en matière de radio.
Clone du Scrabble, le jeu en ligne Scrabulous est proposé comme 'add-on' sur Facebook. Les sociétés Hasbro et Mattel, propriétaires des droits du Scrabble, demandent aujourd'hui au réseau social de supprimer ce clone qui serait utilisé par plus de 500.000 internautes au quotidien.

Facebook n'a pas encore commenté l'affaire. Quant aux créateurs de Scrabulous (scrabuleux), les développeurs indiens Rajat et Jayant Agarwalla, ils ont indiqué avoir constaté l'absence d'une version en ligne officielle du jeu de lettres, avant de proposer leur version en 2005.

Hasbro et Mattel, qui estiment leurs droits de propriété bafoués, chercheraient à trouver une solution à l'amiable avec Facebook, d'après l'AFP. Sans surprise, la réaction des pro-Scrabulous ne s'est pas fait attendre. Des groupes ont été créés sur Facebook dont "Sauver Scrabulous" qui réunissait mercredi plus de 7.000 membres. Les amateurs affirment que le succès de Scrabulous contribue à la notoriété du Scrabble, d'autres s'interrogent sur les réelles motivations d'Hasbro et Mattel, les deux groupes vont-ils lancer leur propre version en ligne du Scrabble ?
le 17/01/2008 à 00:07
Interfaces Web modernes
On est plus au temps des pages HTML perso, avec quelques liens et des boutons.
Les interfaces des dernières années sont riches, réactives et aident considérablement les utilisateurs dans leurs manipulations.
Smashing magazine présente le meilleur de Nourish, last.fm, basecamp, mais aussi Yahoo! et Microsoft Live Mail.

- Evolve Your User Interface To Educate Your Users
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