le 19/07/2010 à 23:08
RapidShare continue sa croisade contre les sites qui "piratent" sa marque
En avril dernier, RapidShare avait sommé de nombreux sites Web intégrant le nom de la marque dans leurs adresses à abandonner ces dernières, au risque de représailles. Le service d'hébergement de fichiers jugeait en effet que les sites en question nuisaient à son image, en se servant de son nom pour promouvoir le téléchargement illégal. La plupart des sites ciblés par cette requête avaient refusé de coopérer, dénonçant un abus de la part de RapidShare.
L'affaire s'est cependant bel et bien poursuivie, et TorrentFreak annonce aujourd'hui que RapidShare est arrivé à ses fins avec déjà deux douzaines d'adresses incriminées, parmi lesquelles des domaines comme rapidsharese.com, rapidshare-free-download.com ou rapidsharedownload.org.
Une nouvelle victoire pour l'hébergeur allemand - qui aurait, selon TorrentFreak, déjà déposé plus d'une douzaine de nouvelles plaintes contre d'autres domaines mais qui cache quand même quelques bévues : d'une part parce que plusieurs requêtes concernant des domaines ont été rejetées, et en particulier celles où les adresses ne contenaient qu'une partie du nom du site, comme "Rapid". D'autre part, la plupart des sites qui ont du abandonner leur adresse sont toujours en activité, ces derniers ayant pris soin d'effectuer des redirections vers d'autres adresses.
En somme, le nom change, mais le reste demeure identique : RapidShare récupère certes sa marque, mais semble encore bien loin de s'être débarrassé des adeptes du piratage qui entachent sa réputation. Gageons que RapidShare ne va pas s'arrêter en si bon chemin.
L'affaire s'est cependant bel et bien poursuivie, et TorrentFreak annonce aujourd'hui que RapidShare est arrivé à ses fins avec déjà deux douzaines d'adresses incriminées, parmi lesquelles des domaines comme rapidsharese.com, rapidshare-free-download.com ou rapidsharedownload.org.
Une nouvelle victoire pour l'hébergeur allemand - qui aurait, selon TorrentFreak, déjà déposé plus d'une douzaine de nouvelles plaintes contre d'autres domaines mais qui cache quand même quelques bévues : d'une part parce que plusieurs requêtes concernant des domaines ont été rejetées, et en particulier celles où les adresses ne contenaient qu'une partie du nom du site, comme "Rapid". D'autre part, la plupart des sites qui ont du abandonner leur adresse sont toujours en activité, ces derniers ayant pris soin d'effectuer des redirections vers d'autres adresses.
En somme, le nom change, mais le reste demeure identique : RapidShare récupère certes sa marque, mais semble encore bien loin de s'être débarrassé des adeptes du piratage qui entachent sa réputation. Gageons que RapidShare ne va pas s'arrêter en si bon chemin.
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