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Google vient de mettre à jour son service Wave. Annoncé comme le fossoyeur de l'email à sa sortie, Google Wave est un peu tombé dans l'oubli depuis, faute d'utilisations ou d'utilisateurs connectés. Chez Google, on semble croire qu'il suffit de proposer de nouveaux usages pour qu'il décolle à nouveau.

L'équipe de développement a donc proposé une nouvelle interface de programmation (API) pour permettre l'affichage de « waves » (« vagues », le terme utilisé pour un fil de discussion au sein de l'application) publiques, même aux non-utilisateurs du service. En lecture seule, ces waves pourront ainsi être diffusées sur un site tiers, par exemple, à l'aide de Wave Element.

« Avant ce lancement », explique Google, « les développeurs pouvaient intégrer les waves sur leurs sites, mais les visiteurs ne pouvaient les voir que s'ils disposaient d'un compte Google Wave, s'ils étaient connectés, et s'ils avaient accès à cette wave particulière. » C'est désormais du passé, puisque la mise à jour permet de rendre visible les waves inscrites dans le groupe public@a.gwave.com à n'importe quel internaute, inscrit ou non, connecté ou non.

La nouvelle API propose aussi des paramètres optionnels, comme la possibilité d'afficher les participants à une wave dans l'entête, ou d'y inclure la barre d'outils de Google Wave. Google a mis à disposition un tutoriel pour l'API.

Signe que pour Google, les usages sont le noeud du problème, le géant se fend même d'une liste d'idées d'utilisations possibles. Live-blogging, affichage d'invitations avec la possibilité de répondre immédiatement en cochant une case sur un site, diffusion de documentation facile à mettre à jour, diffusion d'informations sur plusieurs sites avec une seule wave, etc.
Un million de dollars, tel devrait être le prix des publicités monétisées au travers de la nouvelle régie publicitaire d'Apple, iAd, annoncée à la fin du mois de mars. Alors que le prix moyen des bannières sur mobile se situe entre 100 000 et 200 000 dollars, le Wall Street Journal rapporte qu'Apple pourrait même demander 10 millions de dollars pour les premiers annonceurs.

Les publicités se présenteront sous la forme de mini-sites interactifs spécialement conçus pour l'iPhone, c'est-à-dire avec une ergonomie proche de celle d'une application standard. D'ailleurs, les publicités seront soumises à approbation et durant les deux premiers mois les spots seront directement créés par Apple. Par la suite un kit de développement devrait être mis à disposition des annonceurs. Cette méthode n'est cependant pas pour plaire à tout le monde. En effet, le Wall Street Journal rapporte les propos de Lars Bastholm, directeur artistique d'Ogilvy du groupe WPP : "en tant que directeur artistique je comprends tout à fait qu'ils aient créé un nouveau bébé et souhaitent le mener à terme de manière époustouflante. Cependant, je ne me sens pas totalement rassuré de laisser Apple s'occuper du côté créatif".

De leurs côtés les développeurs d'applications pour iPhone, iPod et iPad recevront 60% des revenus générés tandis qu'Apple empochera les 40% restants. Selon plusieurs agences de publicité, Apple prévoit de facturer 1 centime à chaque impression et deux dollars lorsque le mobinaute clique sur l'encart publicitaire. Dans la mesure où Apple a vendu 85 millions d'iPhone et d'iPod Touch, cela explique donc le prix forfaitaire aux alentours du million de dollars. Notons qu'un ciblage pourra être effectué en fonction des applications téléchargées au sein de l'iTunes Store, qui devient alors un moyen de connaître les goûts de l'utilisateur.
Lancée samedi dernier, l'Expo Universelle de Shanghai devrait attirer au bas mot 70 millions de visiteurs d'ici au 31 octobre prochain. Pour les curieux qui ne pourront pas s'envoler pour la Chine, il reste la possibilité d'explorer les 5,28 km² d'exposition sur le site de l'événement.

Plans interactifs, vues des pavillons de jour comme de nuit sous des angles variés… La plupart des édifices peuvent être explorés avec des vues qui rappellent fortement Street View, à cela près que l'on a affaire à des reconstitutions 3D et non à des prises de vues réelles.

Les curieux qui se lanceront à la recherche du pavillon français (situé zone C) pourront profiter d'une modélisation bien supérieure à celle de la plupart des autres bâtiments. Et pour cause : réalisée grâce aux outils 3DVIA Virtools de la société Dassault Systèmes, la réplique en trois dimensions permet de visiter le pavillon conçu par l'architecte Jacques Ferrier sans quitter son fauteuil. Les oeuvres exposées peuvent également être observées sous tous les angles.

Mais la visite ne s'arrête pas là : en marge du pavillon français, il est également possible de visiter virtuellement le musée d'Orsay, dont certaines oeuvres majeures, comme le Déjeuner sur l'Herbe de Manet, ont été recrées en 3D.

Un travail de modélisation qui a duré plus d'un an, selon le responsable du service 3DVIA de Dassault, interrogé par 20 Minutes. « Nous avons travaillé à partir des plans originaux du Pavillon France, mais aussi de vues d'artistes permettant de recréer les ambiances et les couleurs. Puis on a modélisé l'ensemble, avec les contraintes du temps réel.  »

Seule obligation pour découvrir le pavillon français : télécharger le plugin 3DVIA proposé lors de la première visite virtuelle. A noter que si la plupart des bâtiments n'ont besoin que de Flash pour être visités, d'autres, comme le pavillon chinois, nécessitent également l'installation d'un plugin.
La Free Software Foundation (organisation de promotion du Libre) lance le 4 mai, la journée sans DRM. Ces systèmes de gestion de contrôle d'usage des fichiers numériques(Digital Rights Management ou Mesures Techniques de Protection en français) sont jugés incompatibles avec les logiciels libres. L'action coïncide avec une nouvelle proposition de loi visant à créer une licence globale sur les contenus audiovisuels sur Internet.

Les DRM sont, encore une fois, contestés. La Fondation du Logiciel Libre, à l'appui d'autres organisations comme l'April, met en cause ces véritables « menottes numériques ». Ces mesures de protection apposées sur les contenus culturels numériques sont présentes sur la musique en ligne, certains livres numériques mais aussi sur les supports physiques comme les DVD et les Blu-Ray pour la vidéo.

Si le Conseil d'Etat considère déjà qu'il est légal d'utiliser un logiciel libre pour lire des contenus protégés par DRM, Jean-Christophe Becquet, vice-président de l'April s'insurge sur ces « DRM qui visent à créer artificiellement de la rareté et à établir un contrôle de l´usage dans le cercle privé, jusqu'ici impossible à mettre en œuvre ».

En ce sens, un projet de loi vient d'être déposé devant l'Assemblée nationale par le député radical (siégeant au groupe UMP) Michel Zumkeller. Celui qui a interpellé le ministre de la Culture à propos de SeedFuck souhaite créer une « licence globale visant à financer les droits d'auteur dans le cadre d'échanges de contenus audiovisuels sur Internet ». Les deux positions sont donc sensiblement proches.

Le député explique que le montant moyen de la licence devra s'établir aux environ de 5 euros par mois et par abonné, afin d'établir une véritable correspondance économique avec l'impact de légalisation du téléchargement.

Il propose donc un article unique visant à compléter les dispositions de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle sous cette forme : « Une licence globale à palier est versée par les titulaires d'un accès Internet. Cette cotisation leur permet de télécharger des contenus audiovisuels. Le montant de cette cotisation perçu par les fournisseurs d'accès Internet, varie par palier de 0 euro mensuel pour une personne ne téléchargeant pas, à un montant de 10 euros pour une personne téléchargeant beaucoup ». Si le projet a le mérite d'être proposé, reste que ce sont les ayant-droits qui seront les plus difficiles à convaincre…
Apple annonce avoir vendu 1 million d'iPad, à ce jour. La firme de Cupertino affirme qu'« Un million d'iPad en 28 jours : c'est plus de deux fois moins que les 74 jours qui avaient été nécessaires pour atteindre ce jalon avec l'iPhone. La demande ne cesse de dépasser l'offre et nous travaillons dur pour mettre ce produit magique entre les mains d'un nombre encore plus important de clients ». La phrase est de Steve Jobs et fait référence aux bons premiers résultats de vente.

Vendredi, Apple avait annoncé la mise en vente de la version 3G de l'iPad aux Etats-Unis. Déjà, certains observateurs dont le cabinet Piper Jaffray estimait que 300.000 tablettes avaient déjà été vendues. Cité par AppleInsider, ce chiffre rappelle étrangement celui du nombre d'iPad WiFi vendus le jour du lancement, le 3 avril. Au total, les analystes tablent sur environ cinq millions d'iPad vendus cette année.

Pour information, cette version 3G est dotée de la double connectivité Wi-Fi et 3G mais est vendue plus chère, à partir de 629 dollars et jusqu'à 829 dollars dans sa version 64 Go. Les analystes tablent donc sur de bonnes prévisions puisqu'ils estiment, malgré le prix, que l'iPad 3G se vendra aussi bien que le WiFi.

L'iPad 3G a connu un bon démarrage lors du premier week-end de sa commercialisation aux Etats-Unis. Les livraisons des précommandes ont débuté le vendredi 30 avril et selon le Wall Street Journal, il n'y aurait plus d'iPad 3G disponible dans les Apple Store de New York, Boston, Houston et San Francisco depuis dimanche. Le cabinet d'analyse se base sur les ruptures de stock en série dont sont victimes les boutiques américaines, il part donc sur une hypothèse optimiste.

Reste à savoir si les forfaits 3G proposés par les opérateurs sauront attirer un nouveau public. Même si les offres 3G devraient être attrayantes car ne proposant pas de forfait « voix », elles risquent de promettre, une fois encore, de l'illimité… limité.
Pascal Béglin est Président de Streamwide, diplômé de l'Ecole polytechnique et de Télécom ParisTech. Lauréat du Prix de l'entrepreneur en 2003, il est membre du jury du Prix des technologies numériques de Télécom Paristech, qui se tiendra à Paris jeudi 6 mai. Organisé par Télécom ParisTech et par Télécom ParisTech alumni, l'association des diplômés, il récompense un promoteur de la société numérique, un manager d'entreprise, et un innovateur dans le cadre des nouvelles technologies.

Pascal Béglin, bonjour. Vous êtes dans le jury du Prix des technologies numériques, dont vous étiez lauréat en 2003. Qu'apporte un prix comme celui-ci pour un entrepreneur ?

L'intérêt du prix est de donner une certaine légitimité vis-à-vis du reste de la France. Il permet d'être plus connu dans l'environnement télécom. Il est beaucoup plus confidentiel qu'un prix comme les Spiffy Awards, notamment parce qu'il manque d'une couverture médiatique. Cela dit, c'est un prix français, donc qui n'a pas vocation à donner une légitimité vis-à-vis du reste du monde. Nous ne sommes pas au centre du monde comme peut l'être la Silicon Valley, et donc il faut encore passer par une implantation à l'étranger pour survivre sur le marché télécom, ne serait-ce que pour amortir les frais de R&D. Streamwide s'est implanté dans plusieurs pays, notamment aux Etats-Unis, près de New-York. C'est aussi une façon de ne pas laisser les entreprises américaines se développer sur un marché très peu compétitif - les Etats-Unis - pour ensuite venir se développer sur nos terres.

Personnellement, c'est aussi un acte civique d'être dans le jury. J'essaye de contribuer après avoir reçu. Cela me semblait naturel, d'autant que c'est un moment sympa, qui me permet de voir des connassances, et de parler des grandes tendances avec eux, etc. C'est une question d'éthique personnelle : il me semble important de participer au développement des entreprises de haut technologie en France.

On entend parfois (souvent) que la France manque d'innovation, vous êtes de cet avis ?

C'est exactement l'inverse. En France, particulièrement dans notre domaine, il y a plus d'innovation qu'aux Etats-Unis. On sait juste beaucoup moins bien la marketer. L'innovation est moindre aux USA, mais chaque nouveauté crée toute une mayonnaise. En France, beaucoup d'entreprises sont beaucoup plus innovantes, mais on leur reproche d'être trop petites, de ne pas gagner d'argent, alors que pour la même taille et des pertes plus importantes dans la Silicon Valley, on considérera que c'est normal. Les Français ont un complexe en matière de taille, de technologies. Alors que dans le domaine de l'IP par exemple, nous sommes bien en avance, car c'est un marché hautement compétitif. On voit des offres à 29,99 euros en France, alors qu'aux Etats-Unis, on trouve une version dégradée à 120 dollars. Une entrée agressive et un marketing nouveau autour du concept de box ont permis à Xavier Niel de déclencher beaucoup d'innovations. Sur ce point, nous n'avons pas à avoir honte, car nous sommes bien en avance sur les Etats-Unis. Mais pour des équipementiers télécom, le marché français ne suffit absolument pas.

L'émergence d'une Silicon Valley à la française pourrait-elle améliorer l'image de l'innovation ?

Pour la Silicon Valley à la française, le problème est plus large. Il y a plein de choses qui vont avec la Silicon Valley. Aux Etats-Unis, les startups bénéficient du Small business act, alors qu'en France il y a encore une forte ségrégation anti-PME dans les grands groupes. Déclarer « Saclay est la Silicon Valley à la française » ne sert à rien. Une Silicon Valley à la française ne se décrète pas. Il faut développer les mentalités, le capital-risque, créer un marché de la liquidité. Ce n'est pas une construction ex-nihilo technocratique qui la fera émerger. Il y a un problème de loi : les grandes entreprises doivent se sentir responsables du développement des sociétés de high-tech. La ségrégation est un frein, car il y a un conservatisme français en la matière. On aime les grands champions, qu'on fait grossir, sans conscience que l'innovation vient des petites entreprises. Il faut apprendre à prendre des risques, ou on ne parviendra pas à innover. Les grandes entreprises françaises ne donnent pas l'exemple.

Aux Etats-Unis, jamais je n'ai entendu dire « Vous êtes trop petit », alors que chez nous, la question est systématiquement posée. Il va falloir beaucoup de temps avant que cette discrimination positive arrive en France, et il va falloir que le gouvernement décide de faire évoluer les mentalités par la loi. On parle depuis des années de Small business act à la française, et on l'attend toujours.

Il y a aussi aux Etats-Unis un contrôle des petites entreprises par les grandes. On le voit avec les verrouillages installés par les systèmes d'exploitation, notamment sur le marché de la mobilité...

Le système d'exploitation, c'est comme le standard des cassettes vidéos. Tout le monde se bat pour l'avoir, mais au final, une fois que quelqu'un l'a obtenu, c'est le film qui est dessus qui fait la différence. Aujourd'hui, il y a une bataille entre les systèmes d'exploitation. Android s'imposera probablement, mais tout l'intérêt réside de toute façon dans les applications. La bataille des systèmes a un intérêt, car c'est une certaine forme de contrôle du marché, mais ça n'a aucun impact vu de l'utilisateur. C'est réservé aux geeks, ou a une communauté de développeurs. Monsieur Tout-le-Monde n'en a rien à faire, du moment que ça marche. Pour nous, ça a un intérêt, comme pour tous les gens qui veulent développer des applications. Et nous préférons évidemment les systèmes plus ouverts, comme Android. De toute façon, la question ne se posera bientôt plus sur la diversité des systèmes. Le marché va être bipolaire : Android contre Apple. Le reste, c'est une bataille d'arrière-garde. Il n'y aura rien d'autre sur PDA grand-public avant un bout de temps.

Pascal Béglin, je vous remercie.
Celui qui était accusé d'avoir piraté le compte Yahoo de Sarah Palin vient d'être reconnu coupable. Selon la cour du Tennessee, David Kernell est confondu pour intrusion informatique et dissimulation de preuves. Cet étudiant de 22 ans paie donc les conséquences de son intrusion dans la boîte mail de la colistière républicaine lors des élections présidentielles aux Etats-Unis.

Pendant la campagne, David Kernell, fils d'un député démocrate et aussi connu sous le nom de Rubico avait diffusé des copies d'écran du compte Yahoo de la candidate (gov.palin@yahoo.com). Pas vraiment un hacker, il s'était contenté de retrouver la "question secrète" d'activation du compte de Sarah Palin. Cette dernière étant : « quelle est votre Highschool ? », Rubico avait alors simplement entré « Wasilla », ville d'Alaska dont la candidate avait largement parlé dans les médias. Dès lors, il eut accès aux messages privés mais aussi professionnels de la républicaine.

Cet acte avait provoqué un tollé du fait de l'utilisation professionnelle par Sarah Palin d'un compte destiné à un public large. Cette pratique est même interdite par la loi américaine, qui prévoit que « tout courriel officiel doit être envoyé depuis un compte officiel », pour des raisons de transparence.

Bien qu'il encoure jusqu'à 20 ans de prison (dissimulation de preuves), David Kernell a été remis en liberté conditionnelle à l'issue du verdict. Il pourrait cependant écoper d'une peine plus douce d'un an de prison et de 100.000 dollars d'amende si les juges ne retiennent que les faits d'intrusion informatique. Un piratage couteux, donc.
Orange et TF1 ont aujourd'hui annoncé avoir établit un partenariat visant à distribuer les services et contenus de TF1 auprès des abonnés d'Orange. C'est tout particulièrement MyTF1, présenté comme "le portail IPTV de TF1" qui est désormais disponible sur la TV d'Orange. Celui-ci était jusqu'à présent réservé aux abonnés à l'offre Bbox de l'opérateur Bouygues Telecom, depuis son lancement en novembre 2009.

Le portail MyTF1 propose pour rappel un service de télévision de rattrapage offrant "plus de 65 heures de programmes TF1 à revoir gratuitement chaque semaine", y compris les derniers journaux télévisés. On y retrouve également des dépêches ou des résultats sportifs sous forme de texte. Des "fonctionnalités innovantes permettant d'interagir avec les programmes de la chaîne" sont également au programme, vraisemblablement pour pouvoir participer à un concours ou voter pour un candidat au cours d'une émission de télé-réalité, moyennant finance, par exemple. Un accès direct au service de vidéo à la demande payante TF1 Vision, sur lequel on trouve notamment des séries proposées le lendemain de leur diffusion aux États-Unis, est sans surprise disponible.

MyTF1 sera disponible à partir du 7 juin. L'accès se fera tout simplement en pressant sur le bouton "OK" de la télécommande depuis la chaîne TF1.

Les abonnés mobiles pourront enfin profiter d'"une offre de divertissement" estampillée TF1, sans plus de précisions.
le 03/05/2010 à 17:31
Tableau comporatif CMS
Le site 01net publie un sondage effectué auprès d'experts indépendants touchant les CMS. L'étude porte sur les CMS suivants :
- eZ publish (PHP)
- Type 3 (PHP)
- Plone (Python)
- Drupal (PHP)
- Exo Platform (Java)

Le questionnaire comportait 13 points avec une notation de 1 à 5 et les critères concernaient :
- Les utilisateurs,
- La communauté
- La robustesse et la performance,
- La facilité d'appropriation
- La facilité d'utilisation
- L'évolutivité
- La gestion documentaire
- Le portail applicatif
- La structuration des données,
- La collaboration
- Le moteur de recherche interne
- La gestion de cycle de vie
- La gestion des habilitations

- Le tableau comparatif
La version finale d'Ubuntu 10.04 nom de code "Lucid Lynx", a comme prévu été publiée cette nuit. Elle succède donc à la release candidate, publiée il y a tout juste une semaine, qui peut d'ailleurs désormais être mise à niveau en quelques clics au travers du gestionnaire de mises à jour.

Deux ans après la version 8.04 "Hardy Heron", Lucid Lynx est la nouvelle version LTS (long term support), qui bénéficiera d'un support à long terme, jusqu'au 29 avril 2013 pour la déclinaison pour ordinateur personnel (par opposition à la déclinaison pour serveur). Les versions intermédiaires se contentent quant à elle d'un support à court terme, jusqu'au lancement de la version suivante, tous les 6 mois.

Lucid Lynx bénéficie tout particulièrement d'une nouvelle interface graphique, d'un temps de démarrage nettement amélioré et de l'intégration de fonctions sociales (Facebook et Twitter) et de services en lignes (Ubuntu One).Ubuntu 10.04 Lucid Lynx et ses multiples déclinaisons sont donc disponibles dès à présent depuis le site officiel. On y trouvera également des informations concernant cette célèbre distribution Linux, mais aussi et surtout un installeur pour Windows.
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