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le 01/04/2010 à 22:00
EZ publish 4.3
Le CMS eZ Publish vient de sortir une nouvelle version 4.3. Cette nouvelle version PHP apporte de nombreuses évolutions comme :
- Une nouvelle interface d’administration
- Un système étendu de gestion des commentaires
- Les extensions principales eZFlow et eZfind ont été améliorées
- De nouvelles fonctionnalités eZ Teamroom pour faciliter la collaboration des équipes
- Améliorations des performances
- Corrections de bugs etc

Bien entendu, une amélioration du contenu a été apportée pour les parties d'identifications, de gestions de contenu et de rédaction des commentaires

Un communiqué de l'ensemble des nouvelles possibilités est disponible pour voir l'énorme travail d'avancée.

- EZ publish 4.3 communiqué
Publiée mardi soir, la version 9.1 du lecteur multimédia d'Apple inaugure la prise en charge de l'iPad, dont les premiers exemplaires seront livrés en fin de semaine sur le sol américain. Cette nouvelle mouture d'iTunes, accompagnée d'une mise à jour de Quicktime, offre également la possibilité de synchroniser au sein du logiciel des livres électroniques au format ePub, ainsi que la faculté de gérer plus finement les mix "Genius".

Disponible pour Windows et Mac OS X, iTunes 9.1 permet également de convertir en AAC à 128 Kbps des morceaux de musique initialement encodés à une qualité supérieure, de façon à réduire la place occupée par les fichiers numériques et faciliter leur transfert sur un appareil nomade. Initialement réservée aux possesseurs d'iPod Shuffle, cette option est désormais disponible pour tous.

Sans surprise, Apple a également profité de cette nouvelle version pour mettre des bâtons dans les roues des adeptes du "jailbreak", cette option qui permet d'ouvrir iPhone et iPod Touch à des applications tierces n'ayant pas été obtenues par le biais du kiosque de téléchargement officiel, l'App Store. Plusieurs utilisateurs concernés rapportent en effet ne plus être en mesure de synchroniser leur appareil avec iTunes.

Du côté de Quicktime 7.6.6, Apple annonce une amélioration générale de la fiabilité, notamment lorsque le logiciel est utilisé conjointement avec iMovie. Sous Windows, cette mise à jour résoudrait les problèmes de lecture des fichiers H.264 susceptibles sur les systèmes multi-coeurs.
Orange et TF1 annoncent le lancement prochain d'une phase de test dédiée à la diffusion de bandeaux de publicité interactifs en télévision qui permettra, selon les deux partenaires, de renforcer l'engagement du téléspectateur et d'améliorer l'efficacité des campagnes vendues à l'annonceur.Dès le mois de mai prochain, les abonnés Orange qui regardent la première chaine verront sans doute apparaitre en surimpression de certaines publicités un bandeau les invitant à accéder à des informations supplémentaires sur l'objet du spot qu'ils sont en train de visionner.

Après une première expérimentation menée en septembre dernier pour le compte de Citroën, l'opérateur vient en effet d'annoncer l'extension de ses tests autour du concept de publicité interactive en télévision.

A l'aide de sa télécommande, le téléspectateur aura la possibilité de manifester son intérêt pour la réclame en cours. Il accèdera alors à un « mini-site interactif dédié à l'annonceur » : fiche de présentation, photos, ou vidéos de démonstration. Au sein de cet espace, il disposera également de formulaires lui permettant d'être contacté par l'annonceur ou de solliciter un surcroît d'informations. Pour la régie publicitaire qui vend les campagnes de pub TV, c'est là que réside tout l'intérêt : cette faculté d'inaugurer une « nouvelle relation entre le client et la marque », sans que le client potentiel n'ait à quitter son canapé.

« A moyen terme, notre ambition est de rendre le signal de TF1 interactif sur l'ensemble des fournisseurs d'accès à Internet diffusant la télévision », affirme Benoît Louvet, directeur général délégué de TF1 Publicité.

« Cette innovation illustre ainsi la valeur ajoutée qu'Orange peut apporter à la publicité en accélérant l'interactivité et l'engagement de ses clients. La publicité interactive va permettre de proposer au marché publicitaire une innovation dans leur communication », se félicite dans un communiqué Paul-François Fournier, directeur exécutif en charge de l'activité Audience et Publicité chez Orange. Il promet dans le même temps l'extension prochaine du dispositif à d'autres chaines de télévision, mais aussi à d'autres opérateurs.

Commercialisé comme une offre tout-en-un, avec construction de l'interactivité en télévision et référencement de publicités sur les portails Internet associés à la chaine ou à l'opérateur, le dispositif devrait sans nul doute séduire des annonceurs désireux de mesurer les performances de leurs campagnes. Reste à voir comment réagira le téléspectateur à la multiplication de ces sollicitations.
Plusieurs entreprises américaines comme Google, eBay, Microsoft et AT&T ont annoncé la création d'un groupe de pression appelé Digital Due Process Coalition (coalition pour une procédure numérique juste), pour faire changer la loi de protection des utilisateurs de services en ligne et mobiles. Soutenues par des groupes d'avocats spécialisés et des associations de défense des droits, elles veulent convaincre le Congrès de mettre à jour la loi de 1986 écrite avant l'avènement d'Internet pour y intégrer la confidentialité des documents stockés sur le net grâce à des services comme Flickr, Google Docs, Picasa, etc.

La loi « Electronic Communications Privacy Act » (ECPA) est extrêmement difficile à interpréter et à appliquer, même pour les juges. Le groupe de pression espère ainsi simplifier le texte, tout en exigeant une protection plus forte des données en ligne : ils veulent notamment que la police soit obligée d'obtenir un mandat d'un juge pour accéder aux conversations privées et aux données de localisation des appareils mobiles, ce qui n'est pas toujours le cas aujourd'hui. Les internautes américains bénéficient pour l'instant d'une meilleure confidentialité en stockant leurs données en local, et les entreprises craignent que cela freine le décollage du cloud computing.

Cette demande pourrait opposer le groupe de pression à la justice américaine. Il y a quelques années, des avocats du ministère de la Justice ont estimé dans une réponse à une cour d'appel que la confidentialité n'était pas la règle : la police ne peut se voir réclamer aucun mandat pour accéder à l'historique de localisation d'un appareil nomade. Il y a eu plusieurs dizaines de cas depuis un an, pour lesquels un opérateur de téléphonie mobile a dû donner les heures de connexion d'un appareil, et le point d'accès précis.

D'autres entreprises se sont dites intéressées, comme Facebook, qui « pense évaluer l'opportunité de rejoindre la coalition dans le futur ». Un analyste des politiques technologiques, Ryan Radia, estime qu'il est « rare qu'il y ait un consensus aussi large sur la nécessité d'une réforme. Aujourd'hui, la loi fédérale sur la confidentialité ne reflète pas vraiment les réalités du monde du cloud computing. »

Aujourd'hui, la trentaine de partenaires dans la coalition veut la même protection pour les données en ligne que pour les données stockées sur un ordinateur. La question du mandat est primordiale pour eux. Celui-ci est requis pour fouiller dans le disque dur d'un particulier ou d'une entreprise, alors qu'il n'est pas requis pour consulter des emails stockés en ligne, ou des données de connexion détenues par les opérateurs. Le groupe de pression veut aussi que ce soit aux tribunaux de s'assurer que des données comme les textes ou les messages instantanés sont bien nécessaires à une enquête avant d'en ouvrir l'accès aux policiers fédéraux ou locaux. Les représentants des entreprises et de leurs soutiens ont précisé au cours de leur conférence de lancement ne pas s'attendre à ce que la législation soit modifiée dans l'année, mais vouloir « que le dialogue démarre aujourd'hui ».
Solaris, le système d'exploitation UNIX de Sun Microsystem, ne sera plus disponible gratuitement. C'est ce qu'a annoncé Oracle, qui a racheté Sun l'an dernier. L'éditeur a revu les termes de la licence, et elle précise désormais que l'utilisateur doit payer un contrat de service pour pouvoir utiliser le logiciel.

Solaris 10, la dernière version stable du système, était utilisable gratuitement sans contrat d'assistance. Les clients de Sun pouvaient obtenir une licence leur donnant le droit perpétuel à une utilisation commerciale, simplement en remplissant un formulaire et en fournissant une adresse email. Pour Oracle, c'en est terminé de cette politique, et Solaris 10 est assorti désormais d'une période d'essai de 90 jours.

Pour l'instant, Oracle n'a pas prévu de modifier la licence d'OpenSolaris, qui reste open-source et utilisable gratuitement selon les termes de la Common Development and Distribution License de Sun (CDDL). OpenSolaris est une alternative à Solaris version payante. Le système d'exploitation open source a été développé avec des bibliothèques de Solaris, et en est très proche. Sa raison d'être est l'ouverture d'une partie du code source de Solaris à la communauté de développeurs à partir du printemps 2008. Le futur d'OpenSolaris n'est pourtant pas bien défini, Oracle ayant annoncé que la version open source de son système pourrait ne pas avoir toutes les fonctionnalités des prochains développements de Solaris. L'éditeur pourrait par exemple décider de ne pas ouvrir le code source de certaines amélioration de son nouveau système payant.

Ben Rockwood, un développeur de la communauté OpenSolaris, s'interroge dans son blog sur le « destin d'OpenSolaris : la fin du mois est arrivée et OpenSolaris 2010.03 est introuvable sur le site. Les personnes que j'ai interrogées ont été incapables de me répondre. » Ce « champion de communauté Sun » affirme même que « c'est peut-être le bon moment de se pencher sur des distributions non-Oracle/Sun, comme Nexenta, Schillix, et Belenix. » Ben Rockwood est plutôt pessimiste sur l'avenir du système d'exploitation open source. Selon lui, « Oracle pourrait tenter de marginaliser OpenSolaris et de le présenter comme un terrain d'expérimentations, qui ne correspondrait plus aux besoins de production. »
Si la dernière mouture en date de Firefox, la 3.6, reste inchangée, la fondation Mozilla a mis en ligne mardi soir deux mises à jour destinées aux branches 3.0 et 3.5 de son navigateur vedette.

Ces correctifs de maintenance, estampillés 3.0.19 et 3.5.9, visent essentiellement à corriger des problèmes de stabilité et de sécurité pour ceux qui pour une raison ou pour une autre auraient choisi de ne pas passer à la dernière version en date, la 3.6.2.

Dans le même temps, le client de messagerie Thunderbird passe en version 3.0.4, ce qui lui permet de profiter de plusieurs dizaines de corrections diverses. De nombreux changements, dont on trouvera le détail via ce lien, interviennent également au niveau de l'interface, de la gestion des onglets et du moteur de recherche intégré au logiciel, qui se dote de nouvelles options permettant d'affiner ses requêtes.

Mozilla promet également une meilleure gestion des comptes synchronisés au moyen du protocole IMAP, avec une récupération des messages en tâche de fond par défaut, de façon à améliorer les performances générales. L'option est accessible dans l'onglet Synchronisation et Stockage du menu de gestion des comptes.

Ces mises à jour peuvent être récupérées directement par l'intermédiaire du logiciel concerné, ou téléchargées depuis nos serveurs sur les fiches dédiées à Firefox et Thunderbird.
Sur son blog de Google Code, le responsable des produits Eric Sachs, explique que l'équipe de Gmail vient d'ouvrir les protocoles OAuth et IMAP/SMTP afin de proposer un dispositif d'authentification sécurisé auprès des éditeurs tiers.

Le protocole OAuth s'apparente aux systèmes d'authentification propriétaires existants utilisés par les autres acteurs majeurs de la Toile tels que Yahoo BBAuth, AOL OpenAuth ou encore les interfaces de programmation de Flickr et d'Amazon. Traditionnellement, pour autoriser une application tierce l'internaute doit rentrer son identifiant et son mot de passe, une pratique qui ne fait pas l'unanimité. De côté, OAuth fonctionne sur un principe de certificat, l'utilisateur n'aura donc pas à entrer ses identifiants de connexion.

A l'instar de Yahoo! Mail ou d'AOL Mail qui proposent déjà une galerie d'applications tierces afin d'enrichir les fonctionnalités de leur webmail, Gmail devrait alors inspirer les éditeurs et se transformer en plateforme de développement. A titre d'exemple, la firme Syphir a mis au point une application pour iPhone baptisée SmartPush et qui permet de créer une série de filtres pour les messages de Gmail devant être envoyés en push vers l'utilisateur. De son côté la société française Kwaga a tiré parti des accès OAuth et IMAP pour mettre au point un système de notification et de filtres basé sur Adobe AIR.
Linus Upson, vice-président de l'ingénierie chez Google, annonce sur le blog de Chromium que la firme travaille conjointement avec Mozilla afin de déterminer un modèle unique de gestion de plugins. M.Upson explique qu'aujourd'hui les mécanismes "varient d'un navigateur à l'autre et selon les systèmes d'exploitation. Il en résulte des incompatibilités, une baisse des performances et des soucis de sécurité".

A cette occasion Google et Adobe planchent sur l'intégration du lecteur Flash directement au sein du navigateur Google Chrome. Bien que la firme de Mountain View soutienne la technologie du HTML5, cette dernière n'est cependant pas en mesure de remplacer systématiquement Flash Player. "Le lecteur Adobe Flash Player est le plus utilisé des plugins de navigateur. Il permet de concevoir un large éventail d'applications sur Internet, du jeu à la vidéo en passant par les services professionnels", explique Linus Upson.

Lorsqu'il téléchargera Google Chrome, l'internaute bénéficiera de la dernière version de Flash Player. Par ailleurs, chaque nouvelle mouture du plugin sera déployée automatiquement via le système de mise à jour de Chrome. Il n'y aura donc pas besoin de télécharger séparément un fichier, une action potentiellement dangereuse pour les internautes comme l'expliquait le magazine BKis la semaine dernière. Enfin les deux parties travaillent également sur le système de sécurité afin d'allouer un espace mémoire et un processus exclusif pour les pages web nécessitant Flash Player.

Reste à savoir si Google travaillera également main dans la main avec les autres éditeurs de plugins. L'on pourrait ainsi imaginer l'intégration de Silverlight par défaut. Une première version de Chrome embarquant Flash Player est déjà disponible au téléchargement ici pour Windows, Mac et Linux.
Newzbin, l'un des plus importants annuaires de fichiers binaires disponibles via les newsgroups, vient d'être condamné par la justice du Royaume-Uni à la demande de plusieurs majors du cinéma. Twentieth Century For, Universal, Warner Bros, Paramount, Disney et Columbia Pictures avaient attaqué le moteur de recherche pour infraction à la propriété intellectuelle.

Pourtant, la défense de Newzbin vaut celle de The Pirate Bay ou de See-link, une ligne qui devrait aussi être adoptée par l'éditeur d'Emule Paradise en septembre : tous ces sites n'hébergent aucun fichier à proprement parler, mais donnent seulement les liens permettant de les récupérer. Newzbin facilite l'accès aux fichiers binaires pour les utilisateurs de Usenet. Sans cette aide, la collecte et le décodage des nombreuses parties d'une vidéo ou d'un logiciel seraient fastidieuses, tant les fonctions de recherche et de stockage des newsgroups sont contraignantes. Le rôle de Newzbin, c'est donc de classer les téléchargements disponibles, et d'en extraire des traceurs permettant de récupérer les différentes parties d'un fichier. Des logiciels en distribution libre sont disponibles (comme des systèmes d'exploitations basés sur Linux), mais la majeure partie des documents échangés sont sous copyright.

Newzbin fait payer son service 30 pence la semaine, soit à peu près 34 centimes d'euros. Selon les documents publiés par le tribunal anglais, Newzbin aurait ainsi effectué un chiffre d'affaire supérieur à 1,13 million d'euros en 2009, dont 405 000 euros de bénéfice net.

Le principal acteur de Newzbin, Chris Elsworth (aussi connu sous le pseudonyme « Caesium »), s'est défendu d'avoir connaissance d'une infraction à la propriété intellectuelle sur son site, et a relativisé le volume de contenus illégaux. Une position que les majors ont trouvé risible. Elles ont produit un rapport sur 50 000 critiques de films associées à un lien de téléchargement dans le site. 97,5% pointaient vers l'Internet Movie Database, un site qui répertorie tous les comptes-rendus et informations de films. Selon les studios, c'est une preuve suffisante que les contenus en question étaient des films commerciaux. Le juge a retenu cet argument dans son arrêt final.

Le dernier argument de Chris Elsworth n'a pas mieux fonctionné : un avertissement présent sur Newzbin rappelait l'intérêt de la lutte contre les infractions à la propriété intellectuelle. Une mention que le juge a trouvé « uniquement cosmétique ». Il a suggéré que si le site était si soucieux de respecter la législation, il aurait arrêté d'indexer des groupes de discussion comme alt.binaries.warez.

Le juge a finalement prononcé une injonction pour que Newzbin enlève tous les liens vers des fichiers appartenant aux six majors représentées. Il a néanmoins refusé la requête des studios pour une interdiction de tous les contenus litigieux, et a repoussé la question des dommages et intérêts à une future audience, en avril. D'ici là, Newzbin devra supprimer tous les contenus signalés, et introduire une politique de modération a priori, qui l'obligera à autoriser manuellement les nouvelles fiches avant leur mise en ligne publique. Une obligation « temporaire » selon Newzbin, qui estime qu'elle ne durera que « jusqu'à ce que nous puissions retourner au tribunal, ou que nous implémentions une solution moins onéreuse de filtrage automatique ».

Petite pique ou vraie rébellion, toujours est-il que le site précise aussi que « désormais les inscriptions sont ouvertes. Vous n'aurez plus besoin d'une invitation pour créer un nouveau compte. » Reste que sans les contenus illégaux, le service risque de perdre de son intérêt pour beaucoup de clients.
Le 15 janvier dernier était lancé le concours Francomot, ouvert à tous les étudiants et initié par le secrétariat d'Etat à la Coopération et à la Francophonie. Le but : faire disparaître les anglicismes et franciser les mots devenus courants, mais pas corrects.

Soumis aux propositions des participants, les mots « buzz », « tuning », « chat », « talk » et « newsletter » ont trouvé leur traduction en français. Le Parisien a révélé hier matin les résultats pour les deux premiers termes. Les autres seront dévoilés prochainement lors de la remise des prix.

Pour « buzz », c'est finalement « ramdam » qui a été choisi par un jury composé de célébrités comme MC Solaar, parmi les propositions des étudiants. Il ne faudra plus dire « tuning » mais « bolidage ». Pour la traduction de « chat », plusieurs mots-candidats sont envisagés. Les plus populaires pour le moment sont « bavardage », « blabla », « cybercercle », « jacasse » ou encore « clavardage », déjà utilisé par nos cousins québécois, champions de la francisation des mots anglais. Pour « talk », « cacoforum », « causerie » ou encore « parlotte » font partie des favoris. Enfin, pour « newsletter », le jury choisira entre « cyberbulletin », « infolettre » ou encore « periodiciel ».

La grande inconnue est maintenant de savoir si ces mots réussiront à se faire une place dans le langage courant. Xavier North, de la Délégation générale à la langue française a expliqué au Parisien « que l'on ne peut pas prédire l'avenir d'un mot. L'usage est souverain et ne se décrète pas. C'est le locuteur qui décide en dernière instance ».
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