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le 30/03/2010 à 22:35
Code Bubbles
Code Bubbles est un IDE (éditeur) inspiré de « Eclipse » . Cet éditeur va changer votre façon de programmer et surtout de présenter votre code à l'écran.

L'énorme particularité de celui-ci, va vous permettre de positionner vos pages sous la forme de bulles au lieu d'utiliser le système des onglets. Avec ce nouvel outil, vous pouvez personnaliser vos pages pour mieux programmer grâce au Drag and Drop des fonctions et même regrouper sous la forme de bulles.

L'éditeur de ce produit propose une petite vidéo pour vous rendre compte des résultats qui sont très intéressants.

La présentation actuelle ne fonctionne que pour Java, mais devrait voir prochainement l'ouverture vers les autres langages comme PHP.

- Site officiel Code Bubbles
Video présentation Code Bubbles
le 30/03/2010 à 22:35
Webdav et PHP
WebDAV signifie Web-based Distributed Authoring and Versioning, et est une extension du protocole HTTP. WebDAV permet de simplifier la gestion de fichiers avec des serveurs distants.

Le site phpRiot.com montre sous la forme d'un tutorial comment vous pouvez créer un système de fichiers WebDAV basé sur PHP en utilisant la bibliothèque SabreDAV. L'article est assez détaillé et montre étape par étape l'ensemble des opérations à effectuer. Vous découvrirez en même temps les possibilités d'utiliser quelques options supplémentaires comme le verrouillage, l'authentification...

- Tutorial Implementing a WebDAV filesystem with PHP and SabreDAV
- WebDAV sur Wikipedia
Apple sur les traces de Google ? Selon le site Mediapost.com, la firme de Cupertino aurait l'intention de dévoiler le 7 avril prochain sa première plateforme publicitaire, qu'il était impossible de ne pas immédiatement surnommer « iAd ». Issue du rachat de la régie mobile Quattro Wireless, en janvier dernier, elle serait l'occasion pour Apple de faire ses premiers pas sur le terrain de la publicité mobile. Steve Jobs lui-même aurait qualifié l'offre de « révolutionnaire ».

Quelle pourra bien être la proposition de valeur d'Apple sur le terrain de la publicité mobile ? Dans un premier temps, difficile de ne pas penser à la monétisation des applications proposées par l'intermédiaire de son App Store en tirant parti, sans doute, des possibilités de géolocalisation induites par la présence d'un GPS dans l'iPhone.

« Si vous mettez au point une application comprenant des fonctionnalités basées sur la localisation de l'utilisateur, assurez vous que ces fonctionnalités fournissent une information bénéfique. Si votre application utilise en premier lieu ces informations pour permettre aux annonceurs mobiles de délivrer des publicités ciblées en fonction de la position de l'utilisateur, votre application vous sera retournée par l'équipe en charge de la validation App Store afin que vous la modifiiez », indique depuis février une notice publiée sur le site d'Apple, laissant ainsi penser que le fabricant pourrait bien, à l'avenir, se réserver cette possibilité.

De nombreuses applications de l'App Store sont aujourd'hui financées par le biais de publicités mobiles. Bien souvent, ces dernières sont fournies par la régie américaine AdMob, dont Google s'est porté acquéreur en décembre dernier pour un montant d'environ 750 millions de dollars. Avec iAd, Apple serait en mesure de proposer aux développeurs de logiciels mobiles une solution alternative s'intégrant au cycle de soumission d'une application sur l'App Store. Avant, peut-être, de proposer ses services aux éditeurs de sites Web mobiles ?
La présidence de la République a mis en ligne cette nuit, à minuit, la nouvelle version du site Elysée.fr. Initialement attendue pour le mois de février, la refonte met l'accent sur la simplicité d'accès aux contenus, avec un nouveau module de recherche capable d'aller explorer le contenu des nombreuses allocutions vidéo du chef de l'Etat, ainsi que sur le multimédia et les réseaux sociaux.

Plus claire, la nouvelle maquette conserve les codes esthétiques de son prédécesseur. Sur fond blanc, les armes de la République française surmontent une mise en page à dominante bleue que viennent émailler quelques titres rouges. La navigation se veut plus aisée, articulée autour de six grandes familles de contenus.

Parmi les nouveautés fonctionnelles, on trouve une mappemonde interactive enrichie de photos permettant de suivre les déplacements passés et présents du président, ainsi qu'un module de visite virtuelle du palais de l'Élysée, dont les panoramas pourront même être visualisés en relief (3D anaglyphe) chez ceux qui disposent des lunettes nécessaires.

Le nouvel elysee.fr accorde enfin une place toujours plus importante à la vidéo, que l'on pourra désormais exporter sur d'autres sites ou partager d'un clic sur les principaux réseaux sociaux. Le nouveau module de recherche, fourni par le français Exalead, permet enfin de retrouver l'extrait précis d'un discours présidentiel en fonction de mots clé donnés.

Sur chaque page, enfin, l'internaute sera invité à suivre l'actualité de l'Elysée, à partir de réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter. Un Twitter où lundi matin, plusieurs voix ironisent sur les ressemblances entre ce nouveau site et celui de la présidence des Etats-Unis.
Le gouvernement des Etats-Unis va-t-il se faire le chevalier blanc de la neutralité du net ? Le département d'Etat américain (équivalent du ministère des Affaires étrangères, dirigé par Hillary Clinton dans l'administration Obama) vient d'exprimer « ses préoccupations à ce sujet » au cours d'un entretien diplomatique. L'Australie entre officiellement dans la liste des pays visés par les Etats-Unis pour ses atteintes à la liberté d'expression en ligne, aux côtés de la Chine et de l'Iran.

La semaine dernière, des entreprises clés du Web ont déjà exprimé leur mécontentement contre la censure du net par le gouvernement australien. Mais pour le département d'Etat américain, ce n'est pas une attaque en règle contre l'Australie. Selon son porte-parole, Noel Clay, « les Etats-Unis et l'Australie sont de proches partenaires sur le numérique, y compris sur les questions économiques ou de sécurité nationale. La position du gouvernement américain est bien connue […]. Nous sommes engagés en faveur de la libre circulation de l'information, vue comme vitale pour la prospérité économique et la préservation de sociétés ouvertes. »

C'est donc une mission pour Hillary Clinton, comme l'avait déjà souligné son discours contre la censure du web. Le département d'Etat semble simplement rappeler aujourd'hui que les Etats-Unis se battent « pour un Internet unique où toute l'humanité a un accès égal à la connaissance et aux idées. »

Reste que l'unité américaine face à la censure ne tient pas devant les faits. Si Google et les registrars Go Daddy et Network Solutions ont décidé d'arrêter leurs activités en Chine, d'autres entreprises comme Microsoft, Yahoo et Cisco (et Google il n'y a pas si longtemps) ont été accusées par des membres du Congrès américain de soutenir la machine à censurer le web surnommée « La Grande Muraille ». Il faut dire que la réponse de Yahoo au départ de Google de Chine, c'est que « ce n'est pas notre travail de réparer le gouvernement chinois ». Même son de cloche chez Microsoft, qui se dit « engagé pour la liberté d'expression », même si « nous devons nous conformer aux lois en vigueur dans les pays où nous exerçons nos activités ».

Pour autant, beaucoup relativisent la subite implication des Etats-Unis en faveur de la liberté d'expression sur Internet. Pour Jérémie Zimmermann, le porte-parole de la Quadrature du Net, « c'est sympa et rassurant de voir Hillary Clinton s'opposer à la censure gouvernementale de l'Internet, mais dans le même temps elle négocie la censure par les acteurs privés dans le cadre de l'accord Acta. » Pour mémoire, ce projet d'accord commercial vise à renforcer la lutte contre la contrefaçon. Si les propositions américaines étaient retenues en la matière, les ayants-droits auraient notamment la possibilité d'accéder aux données d'un utilisateur soupçonné de piratage. Un accord qui « pourrait rompre radicalement l'équilibre atteint par la législation européenne sur les opérateurs Internet », forcés à ouvrir leurs fichiers clients. Une façon de « protéger les acteurs économiques majoritairement américains », selon Jérémie Zimmermann, qui estime que dans ce domaine, « les Etats-Unis n'ont pas de leçon de morale à donner ».
La prochaine mise à jour du logiciel qui équipe la Playstation 3 de Sony, estampillée 3.21 et attendue pour le jeudi 1er avril, interdira l'installation d'un système d'exploitation tiers sur le disque dur de la console. Ce changement de stratégie, annoncé par l'intermédiaire de l'un des blogs officiels du fabricant, serait motivé par des « inquiétudes liées à la sécurité ».

Jusqu'ici, seuls les possesseurs de PS3 première génération (le modèle dit fat) étaient en mesure d'installer, aux côtés du système officiel Sony, une distribution Linux sur leur console. Cette fonctionnalité, qui permettait de dédier la puissance de calcul de la console à de nouveaux usages tels que le calcul distribué ou la lecture de formats multimédias exotiques, n'a en effet jamais été implémentée au sein de la seconde génération (la PS3 slim).

Ceux qui tiennent à conserver leur installation de Linux seront en mesure de refuser la mise à jour qui sera distribuée jeudi. Ce faisant, ils se couperont toutefois du PlayStation Network et des fonctionnalités de jeu en ligne associées à certains titres récents. Enfin, le fabricant prévient que des restrictions d'usage sont susceptibles d'intervenir au niveau de la lecture de certains disques Blu-ray ou contenus vidéo protégés contre la copie qui pourront requérir la dernière version en date du système.

Certains utilisateurs seront donc amenés à faire un choix entre les fonctionnalités en ligne de la console et la compatibilité garantie avec les futurs jeux PS3 qui, bien souvent, demandent un micrologiciel à jour, et les usages particuliers, media server ou lecture de homebrews, qu'autorise la console de Sony lorsqu'elle est équipée d'un système tiers. Une déception que peineront à atténuer les arguments "sécuritaires" invoqués par le fabricant, qui ne précise pas s'ils sont motivés par les récentes déclarations du jeune Geohot, lequel affirmait fin janvier avoir réussi à compromettre les protections du système de Sony.
Dans un billet publié sur son blog officiel, l'équipe de Facebook a annoncé un énième changement de sa politique de vie privée qui ne manquera pas de soulever la polémique. En effet, la société est sur le point d'autoriser certains sites Internet tiers à accéder aux informations personnelles des utilisateurs sans que ces derniers n'en aient préalablement donné les droits d'accès.

L'un des points sensibles de cette nouvelle politique concerne la gestion de Facebook Connect. Ce protocole permet aux internautes d'autoriser certains sites Internet tiers à communiquer avec l'interface de programmation de Facebook et donc d'avoir accès à certaines de leurs données personnelles. Le développeur pourra par exemple l'utiliser pour remplacer le traditionnel formulaire d'inscription d'un site Internet et pour que l'utilisateur puisse interagir dans les forums avec ses informations de Facebook. De cette manière, l'internaute utilise les mêmes informations d'identification sur chacun des sites web, et ce, tout en conservant un droit de modification sur les données qui doivent être rendues publiques : informations personnelles, professionnelles, photos, groupes, amis... Puisque le carnet de contacts de Facebook fait partie des données qui peuvent être rendues "portables", les éditeurs peuvent développer des applications à caractère social directement sur les sites Internet tiers (ex : farmville.com).

Seulement dans les modifications apportées par Facebook, il est expliqué que pour certains sites Internet tiers, l'authentification de Facebook sera en mode opt-out, c'est-à-dire pré-approuvée par le réseau et non par le membre. S'il souhaite protéger ses informations personnelles ce dernier devra donc prendre connaissance de cette liste de sites web et manuellement restreindre l'authentification pour chacun d'entre eux.

Dans la version française de la politique de la vie privée de Facebook, il est ainsi expliqué : "Pour pouvoir vous offrir une expérience sociale utile de Facebook, nous devons occasionnellement fournir des informations générales à propos de vous à des sites web et à des applications pré-approuvés qui utilisent notre plate-forme avant même que ne vous vous y connectiez formellement." (Voir 4e rubrique, 7e paragraphe). Aucune information n'a été communiquée sur ces fameux "sites pré-approuvés", si ce n'est que la liste devrait être disponible ici. Facebook précise un peu plus haut : « L'expression "Informations générales" désigne nom, photos de profil, sexe, identifiants d'utilisateur, connexions et contenus partagés (les vôtres et ceux de vos amis) avec le paramètre de confidentialité ».

Selon Michael Richter, conseiller général de Facebook, ces changements visent à préparer le terrain en vue de nouvelles "opportunités intéressantes pour améliorer la façon dont vous partagez et vous vous connectez avec les gens". Il précise : "nous continuerons à développer de nouveaux outils pour vous aider à gérer les choses que vous partagez sur Facebook".

Ce n'est pas la première fois que Facebook est pointé du doigt en ce qui concerne la vie privée du réseau. Au mois de décembre, Facebook a ajouté de nouvelles options permettant de diviser sa liste de contacts en différents groupes afin de régler plus finement les droits de lecture et d'écriture de ses contacts et le cas échéant, de restreindre la visibilité de certaines informations personnelles. Si cette initiative semble plutôt louable elle s'est cependant traduite par une reconfiguration massive des paramètres de vie privée des 350 millions d'utilisateurs du réseau. L'utilisateur était invité à accepter que son profil devienne public par défaut ou reconfigurer manuellement l'ensemble de ses paramètres de confidentialité. Loin d'être une erreur de manipulation cette mesure reflète la vision du PDG de la société Mark Zuckerberg qui expliquait alors : "Les gens sont devenus plus enclins non seulement à publier des informations de différentes natures, ils le font également de manière encore plus ouverte et avec plus de personnes. La norme sociale a évolué avec le temps".
Les cybercriminels rivalisent de fourberies pour piéger un maximum d'utilisateurs. La dernière méthode à la mode consiste à empoisonner les moteurs de recherche, en trustant les mots clés les plus populaires pour attirer les internautes vers des logiciels malveillants. Les faux antivirus ont tout particulièrement le vent en poupe. Comble de l'ironie, certains d'entre eux sont même facturés, amenant certaines victimes à livrer leurs coordonnées bancaires pour acheter un logiciel malveillant.

Si on pensait la pornographie domaine de prédilection des cybercriminels, on a récemment découvert que d'autres domaines l'étaient encore plus. "Les sites pour adultes sont rentables et sont donc en ordre," indique un journaliste du LA Times, "alors que les sites de musique numérique sont moins profitables et donc plus sujets à des publicités indésirables".

Un expert en sécurité de l'éditeur McAfee a donc récemment découvert que le domaine de la musique numérique était le nouvel eldorado des cybercriminels. Les sites de musique numérique dans leur ensemble seraient deux fois plus dangereux que les sites pornographiques. Le mot clé "BearShare", du nom d'un célèbre logiciel de téléchargement pair-à-pair décentralisé, serait ainsi le plus risqué. Près de la moitié des résultats d'une recherche sur celui-ci (46%) mèneraient effectivement vers des sites internet dangereux hébergeant des malwares.

Le mot clé "screensaver", traduction de l'expression écran de veille, mènerait quant à lui vers 42% de sites dangereux. Le succès de ces deux mots clés s'explique vraisemblablement par le fait que des versions légitimes de ces logiciels requièrent elles aussi un fichier d'installation exécutable, les internautes seraient donc naturellement moins vigilants qu'avec des requêtes sur des célébrités telles que "Britney Spears", sur lesquelles on n'attend guère plus que des photos, sans dépasser le cadre du navigateur internet.
Sur le Flash, on avait déjà compris qu'Apple ne cèdera pas : aucun support n'est prévu sur iPad (comme sur iPhone), et ce ne sont pas les services de vidéo en ligne qui le feront changer d'avis. Brightcove, l'une des plus importantes plateformes d'hébergement de contenus multimédias, vient d'annoncer sa parade : elle prendra désormais en charge le HTML 5. L'entreprise est notamment utilisée par de gros sites d'information comme le New York Times.

La nouvelle version du langage de programmation web intègre en effet une alternative à l'encapsulage Flash. Avec sa balise , il est possible d'interpréter directement un objet multimédia en HTML dans le corps de la page. Les utilisateurs de Brightcove pourront donc héberger des vidéos directement jouables dans l'iPad, mais aussi l'iPhone, ou les navigateurs web de bureau comme Chrome, Opera, Safari, et le futur Internet Explorer 9 (ou Internet Explorer 8 avec Google Chrome Frame).

Cette nouvelle intervient au milieu d'un conflit ouvert des formats. Adobe, qui a l'avantage du terrain avec sa technologie Flash largement utilisée dans le monde, se tient aux côtés de Microsoft (Silverlight), face à Apple et Google notamment, qui souhaitent favoriser l'émergence du HTML 5. Brightcove va dans leur sens, en annonçant qu'il s'attaquerait rapidement à l'implémentation de certaines fonctionnalités de Flash dans son player HTML 5, comme les statistiques de lecture, la personnalisation, les options de partage sur les réseaux sociaux, ou les publicités.

La version HTML 5 du logiciel de Brightcove sera gratuite pour les utilisateurs existants. Elle permettra au lecteur de détecter le matériel utilisé pour visionner la vidéo, et donc d'afficher le format adapté. L'encodage pour les appareils qui n'affichent pas le Flash sera du H.264, codec déjà utilisé par QuickTime Player sur l'iPhone et l'iPad. D'autres pourvoyeurs de contenus, comme YouTube et Vimeo, supportaient déjà la vidéo HTML 5. Brightcove lui permet de pénétrer un peu plus le monde de la diffusion professionnelle.
Les mises à jour de Mac OS X commencent tout juste à se télécharger pour la version 10.6.3 du Léopard des neiges. Publiée par Apple cet après-midi, elle apporte surtout des correctifs au système d'exploitation.

Près de cinq mois après la version 10.6.2, et sept mois après la 10.6.1, cette nouvelle mise à jour majeure améliore la compatibilité et la fiabilité de QuickTime X, le lecteur multimédia d'Apple, résout un bug qui empêchait de copier des fichiers vers un serveur Windows, et permet de mieux gérer les périphériques connectés en USB.

Rien n'est dit dans le catalogue de modifications d'Apple, mais il se pourrait aussi que la nouvelle version du système d'exploitation intègre les pilotes pour les potentiels nouveaux MacBook Pro à base de processeurs Intel Core i5 et i7 (en remplacement des Core 2 Duo actuels).

La mise à jour à attendre désormais pourrait être celle d'iTunes 9.1, qui sera peut-être disponible dès ce week-end, avec le lancement de l'iPad le 3 avril. Le détail des nouveautés est disponible sur le site d'Apple.
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