News

Parce que la valeur n'attend pas le nombre des années, certaines femmes sont à la recherche d'hommes plus jeunes qu'elles. Elles disposent désormais d'un service de rencontre qui leur est dédié. Baptisé Allocougar.com, il surfe non sans une once de mauvais goût sur la vague grivoise des termes qui désignent une personne de sexe féminin en mal de jeunes amours.

Vrai témoignage ou citation de circonstance ? En page d'accueil du site, Carole n'y va pas par quatre chemins et ne perd pas de temps avec la grammaire : « Je revendique haut et fort ma période cougar, j'ai 43 ans et j'aime goûté à la chair fraiche, des 25 et 30 ans ! c'est pas ma faute, les jeunes ont envie de maturité... », lira l'internaute qui découvre Allocougar.

De quoi s'agit-il exactement ? Lorsqu'elle est plus âgée qu'eux, les hommes qui convoitent une femme se laissent parfois aller à la ranger dans une classification dont les termes ne manqueront pas d'étonner les néophytes. Au premier rang de ces drôles d'expression, on trouve la désormais fameuse Milf, pour « Mother I'd Like To Fuck », popularisée par le film American Pie (pour les puristes, la mère de Stifler est l'archétype de la Milf) mais aussi par Snoop Dog, qui lui dédie une chanson dans la série Weeds.

Après la Milf, sémillante mère célibataire dont l'expérience fait rêver le damoiseau, vient le cougar. Moins explicite, le terme désigne une femme, célibataire ou supposée, aux alentours de la quarantaine. C'est donc à elle, ainsi qu'à ceux qu'elle attire, que s'adresse Allocougar. Popularisé outre Atlantique, le concept est incarné par des célébrités telles que Demi Moore ou Madonna, qui n'hésitent pas à se mettre en couple avec des hommes de dix ou vingt ans leurs cadets.

« Une cougar est une femme intelligente, sexy, une femme indépendante ayant atteint l'âge de 40 ans, qui ne craint pas de rencontrer des hommes plus jeunes », résume le site, avant d'appeler les quadras en mal de liaison à ne pas se soucier du qu'en dira-t-on.

Une chose est sure : la communication semble décomplexée. « Ma dernière rencontre avait 6 ans de moins que moi, j'te jure ces p'tits jeunes !! Moi j'aime quand c'est bien vert et que ça craque sous la dent, GGGgggrrrrr !!! », aurait ainsi témoigné Emmanuelle, 39 ans, dont la prose tout en finesse figure elle aussi sur la page d'accueil du site.

Allocougar, dont le nom n'est pas sans évoquer la démarche de provocation entreprise en son temps par Adopteunmec.com, est affilié au groupe français 2L Multimédia, dont il utilise ici le service de rencontres EasyFlirt.com. Ce faisant, il produit un nouveau site de niche, dont on attend de savoir s'il fera des émules. Après le Cougar vient en effet le Jaguar...
le 29/03/2010 à 22:24
Popurls
Popurls est un agrégateur de sites web pour être informé des dernières nouvelles et évènements sur internet.

Il propose quelques nouvelles options, surtout au niveau de la présentation.

Cette API est basée sur les langages PHP / Jquery / css et utilise la librairie SimplePie et utilise différents flux RSS pour effectuer la démonstration.

- Tutorials PopUrls
- demo PopUrls
le 28/03/2010 à 23:29
xtrabackup-1.1
XtraBackup est une solution alternative à InnoDB Hit Backup et permet d'effectuer des sauvegardes à chaud sous licence GPL v2. Il est prévu de fonctionner avec MySQL 5.0.x et plus, et possède les bases de InnoDB.

La nouvelle version stable vient de sortir et va vous permettre de traiter des fichiers de plus de 64 Go, de supporter les tables compressées et le format Baraccuda.

Enfin, cette API fonctionne sur l'ensemble des systèmes d'exploitations.

- xtrabackup-1.1
le 28/03/2010 à 22:19
skipfish
skipfish est un scanner de sécurité pour les applications web que Google propose. Cette nouvelle API est une version bêta et comme toutes applications de sécurité, elle est à tester avant de l'utiliser à 100 %.

Ce nouveau scanner est disponible pour les principaux OS (Linux, FreeBSD, Mac, Windows...) et propose les mêmes fonctionnalités que Nmap ou Nessus. Ce qui le différencie par rapport aux autres concerne la rapidité d'exécution.

Les différents tests effectués avec cet outil affichent l'exécution de 2000 requêtes HTTP par seconde. Bien entendu, il permet de repérer les risques d'attaque du type Cross-site scripting (XSS), injection SQL, XML...

- skipfish
- Doc skipfish
le 28/03/2010 à 22:19
Audit et optimisation MySQL 5
Un nouveau livre autour de MySQL vient de sortir aux éditions Eyrolles par 3 auteurs (Pascal Borghino, Olivier Dasini, Arnaud Gadal ), membres de LeMug.fr (MySQL User Group).

Ce livre est destiné à toutes les personnes qui conçoivent et exploitent une base de données MySQL et qu'ils veulent optimiser les performances (serveurs, monter en charge...). Pour en connnaitre le contenu exact, il faut vous rendre sur le site de l'éditeur.

- Audit et optimisation MySQL 5
le 26/03/2010 à 23:28
Xdebug : premier pas
Xdebug est une extension pour vous aider à déboguer vos applications PHP. Cette API est très utilisée par la majorité des développeurs. Cependant la prise en main peut en arrêter plus d'un développeur.

Pascal Martin montre comment installer et effectuer ces premiers pas avec Xdebug et PHP 5.3. Son article montre sous l'environnement windows et linux, les différentes étapes nécessaire pour son utilisation.

- Xdebug : Installation et premier pas
Le quotidien Le Monde, qui misait jusqu'ici sur un large éventail de contenus gratuits monétisés par la publicité et servant de produits d'appel à des services à plus forte valeur ajoutée, a finalement pris la décision de se jeter dans le bain de l'information payante. A compter de lundi prochain, il réduira progressivement le nombre d'articles issus du papier disponibles à tous et réservera à ses abonnés payants la majeure partie de ses contenus, tout en enrichissant ces derniers de nouveaux services, tournés notamment vers les terminaux mobiles d'Apple, iPhone actuel et iPad à venir.

« A partir du 29 mars, et de façon progressive, les articles du quotidien ne seront plus accessibles gratuitement sur le site, mais dans la zone abonnés », indique le quotidien. Privée d'une de ses composantes phare, la version gratuite du site restera tout de même alimentée par les flux de dépêches, la production de la rédaction Web, ainsi que « d'une vingtaine de contributions de la rédaction du Monde, produites spécialement pour Lemonde.fr ».

Pour accéder à une plus vaste palette des articles du site, il faudra donc opter pour une formule payante. La première, facturée 6 euros par mois, ajoute aux contenus transposés du papier accès aux archives, dossiers, pages personnelles et création de blog. Une seconde, dite "Premium", ajoute pour 15 euros par mois cette fois, la possibilité de consulter la version numérique des trente dernières éditions du journal, sur ordinateur mais aussi depuis un iPhone ou un iPad.

L'application iPhone du Monde, téléchargée 1,4 million de fois, a vocation à rester gratuite, mais sera doublée d'une seconde application, payante cette fois, qui proposera l'accès aux versions électroniques du journal pour les non abonnés pour 15 euros par mois. Enfin, Le Monde lancera le 29 mars une formule qualifiée, un brin pompeusement, de « quadriple play », réunissant abonnement au journal papier et accès à l'ensemble des services électroniques de l'abonnement "Premium >.

Pour Eric Fottorino, président du directoire et directeur du quotidien, la démarche n'est pas simplement commerciale, mais vise à présenter Le Monde comme une marque globale. « Les différents supports, papier et numérique, ne sont pas concurrents mais complémentaires : au papier, l'investigation de longue haleine et le décryptage ; au Web, le flux et le débat interactif ; à l'iPhone et autres smartphones, l'alerte et l'information rapide », indique-t-il.Un pari risqué ?

Début février, Philippe Jannet, directeur du Monde Interactif, expliquait que le site Web du quotidien comptait environ 100.000 abonnés payants. 60% d'entre eux environ étaient des abonnés papier ayant activé un compte en ligne. Sur les 40.000 restants, venus spontanément au Web, 10.000 seulement avaient opté pour l'abonnement à 15 euros par mois.

La réduction de l'offre gratuite conduira-t-elle les lecteurs vers un abonnement payant ? Le Monde profite bien sûr de son importante notoriété, que l'arrivée de l'iPad devrait accroitre et aura à coeur d'enrichir les services réservés à ses abonnés mais jusqu'ici, les grands quotidiens qui ont tenté de faire payer leurs contenus ont toujours peiné à trouver le modèle économique adapté à ces derniers, comme en témoignent les nombreux changements apportés à leurs offres "freemium" par Libération ou Le Figaro.
Nous vous en parlions mardi dernier, cette semaine le hacker Albert Gonzalez est passé en procès pour les crimes financiers qu'il a commis en 2006. Au mois d'août 2008, les autorités fédérales américaines l'avaient arrêté avec onze autres personnes, toutes accusées d'avoir détourné plus de 41 millions de comptes bancaires. A la tête de ce réseau de fraude, il avait avoué un an plus tard avoir piraté plus de 130 millions de numéros de cartes bancaires en se faufilant sur les serveurs de plusieurs sociétés.

L'avocat de l'accusation avait demandé une sentence exemplaire de 25 ans de prison ; une requête justifiée par le fait que le jeune homme de 28 ans se trouvait au coeur de "l'une des plus grosses et plus coûteuses séries de vol d'identité de l'histoire du pays".

Au terme du procès qui s'est déroulé hier jeudi 25 mars 2010, Albert Gonzalez a finalement été sanctionné à 20 ans de prison. Suite à une indulgence demandée par le pirate, le juge a tenu compte du dossier de la défense mettant en lumière le passé d'alcoolique et de toxicomane ainsi que les conditions médicales de l'accusé décrivant une légère forme d'autisme.

Ces cinq années gagnées pourraient cependant être vite perdues puisque Albert Gonzalez doit prochainement comparaître pour une autre affaire de piratage au sein de laquelle il a avoué avoir détourné plusieurs autres dizaines de millions de cartes de crédit via les serveurs de plusieurs chaînes d'épiceries et supermarchés.
Lancé en mars dernier pour certains annonceurs en version bêta, le service de remarketing de Google AdWords va désormais être ouvert à tous. Avec un exemple à la clé sur le blog d'AdWords : « Vous êtes une compagnie de voyage, et vous essayez de vendre des séjours dans les Caraïbes pendant la période de vacances. Les utilisateurs peuvent venir vers votre site, regarder les offres et réserver un trajet. » Mais voilà, il arrive que ces internautes décident au dernier moment de ne pas se lancer, parce que le prix est trop cher par exemple. Imaginons que quelques jours plus tard, vous ayez des offres moins chères. « Comment atteignez-vous ces utilisateurs qui ont déjà exprimé un intérêt pour les voyages dans les Caraïbes ? »

Habituellement, avec le système AdSense classique, l'internaute n'a accès à ces publicités ciblées qu'en fonction du contexte de navigation. Il est sur un site de voyage, il aura des publicités vantant ces séjours aux Caraïbes. Mais s'il est ailleurs sur le web, des blogs ou un site culinaire par exemple, le lien avec l'annonceur voyagiste est rompu. Problème : comment le site annonce-t-il à cet internaute qu'il a désormais en stock ce qu'il cherchait une semaine plus tôt ?

Evidemment, Google a la réponse : avec le remarketing, les publicités AdSense affichées vont s'adapter non seulement au contenu de la page en train d'être visitée, mais aussi aux centres d'intérêt déjà exprimés dans le passé par l'internaute. Google affirme avoir eu des retours très positifs de ses bêta-testeurs (des annonceurs de l'industrie automobile, des commerçants locaux ou des banques, essentiellement). « Le remarketing a bien fonctionné, que ce soit pour améliorer la visibilité d'une marque, générer des clics et des ventes, ou pour afficher une publicité en texte (faisant la promotion d'un produit, sans pouvoir l'acheter en ligne par exemple). »

Cette nouvelle fonctionnalité s'avère donc très puissante, et pousse un peu plus la stratégie de ciblage des annonceurs en ligne chez Google. La technique de remarketing de Google est en fait du retargeting, ou reciblage publicitaire, qui permet d'afficher des publicités en fonction des actions passées qui n'ont pas été suivies d'un acte d'achat. Une étude de Networkadvertising vient de sortir, qui confirme l'intérêt du ciblage en général, et du reciblage en particulier. Si le coût pour mille pages vues du retargeting est nettement plus cher que de la publicité non ciblée (3,07 dollars pour l'année 2009 contre 1,98 dollars), il reste globalement moins cher que pour le ciblage (4,12 dollars en 2009). Networkadvertising explique cette différence entre ciblage et reciblage par les prestations : le ciblage nécessite une collecte et une analyse des données en ligne, alors que celles du reciblage proviennent en général directement de l'annonceur, dont le site a déjà été visité par l'internaute. Par ailleurs, ciblage et retargeting sont clairement plus intéressants que la publicité Run of network (sans la valeur ajoutée du ciblage), puisque le taux de conversion en acte d'achat est de 6,8%, pour 2,8% dans le cas d'une publicité non ciblée.

Côté internaute, maintenant, la question qui ne va pas manquer de surgir est celle de la vie privée. Car pour permettre le retargeting, il ne suffit plus d'un affichage en contexte, et donc de récupérer les mots clés recherchés dans un moteur ou les thèmes abordés par un site spécialisé, mais de gérer des cookies et des bases de données personnalisées selon l'utilisateur, sur le long terme. Google, régulièrement attaqué sur cette question, a souhaité désamorcer la critique en mettant en place une page permettant de supprimer certains centres d'intérêts stockés dans le cookie traceur, voire de désactiver complètement le suivi de l'internaute par l'agence publicitaire DoubleClick (appartenant à Google). Un clic sur le bouton amène alors à une page de téléchargement d'un plugin, qui désactive le cookie.

Le service est désormais ouvert à tous les annonceurs en passant par l'onglet « Audiences » d'AdWords. Plusieurs régies publicitaires en ligne utilisent déjà cette technique, mais l'étendue des parts de marché de Google AdSense pourrait faire la différence. AdWords annonce dans son blog que « les annonceurs vont pouvoir atteindre les utilisateurs alors qu'ils surfent sur n'importe quel site du réseau de contenus Google » (l'ensemble des sites qui diffusent des publicités Google AdSense, et qui touche 75% des internautes mondiaux, selon ComScore). Pour le blog d'AdWords, « le remarketing est une façon simple d'être en contact avec les utilisateurs, en fonction des interactions passées sur votre site web ».
En attendant que le HTML5 ne soit finalisé et démocratisé, Dailymotion procède à une petite mise à jour de printemps en lançant aujourd'hui un nouveau lecteur de vidéo. Sans surprise, celui-ci repose à nouveau sur la technologie Flash qui, si elle a de nombreux détracteurs, lui reprochant tout particulièrement et à juste titre son aspect propriétaire et sa forte consommation de ressources, reste à ce jour la solution la plus répandue et la plus interopérable. Dailymotion emboite ainsi le pas à YouTube qui a récemment déployé successivement un nouveau lecteur et une nouvelle mise en page pour la page vidéo.

Le nouveau lecteur de Dailymotion joue dans la sobriété. Il se fait plus discret en n'apparaissant qu'au survol de la souris, en surimpression de la vidéo affichée. La barre principale se contente désormais du strict minimum. On y retrouve le bouton lecture/pause, la barre de défilement et ses compteurs, le bouton plein écran et le bouton de réglage du volume, qui n'est plus accessible directement mais fait désormais appel à un sous-menu.

Les fonctions annexes sont accessibles par de gros boutons s'inscrivant dans la tendance actuelle. Les différentes qualités de diffusion (standard, haute qualité ou, le cas échéant, haute définition) sont accessibles par le biais d'un bouton, tout comme le sous-titrage. Le bouton export donne quant à lui accès au code du lecteur embarqué, au lien vers la vidéo ou à la fonction "hotspot", qui donne un lien faisant démarrer la vidéo à un moment précis. Un bouton "snap" permet d'ailleurs de choisir l'image apparaissant par défaut avant le démarrage de la lecture. Les boutons de partage sur Facebook et Twitter complètent enfin cette barre annexe.

Dailymotion simplifie donc l'expérience utilisateur, au détriment de certaines fonctions qui encombraient certes l'affichage mais qui étaient jusqu'à présent plus accessibles. Quoi qu'il en soit, chacun peut d'ores et déjà se forger sa propre opinion en consultant la vidéo de démonstration de ce nouveau lecteur.
LoadingChargement en cours