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le 02/04/2010 à 22:09
Visualiser les erreurs avec ErrorNot
Repérer les erreurs éventuelles est un travail très long et souvent vous êtes amené à regarder les logs des applications pour essayer de trouver une piste. Cependant il existe d'autres moyens de repérer les problèmes de vos différents projets comme l'utilisation des bugs trackers.

Une nouvelle application est apparue, il s'agit de ErrorNot, qui n'est pas un bug trackers. Il s'agit d'un collecteur d'erreurs à l'aide d'un greffon.

Le principe du greffon va vous permettre d'attraper les erreurs en se plaçant dans votre projet. Le rôle ErrorNot va s'occuper de les classer suivant différents critères. Vous avez la possibilité d'être informé par email ou un repérage d'affichage. C'est un outil utilisable facilement.

- Site officiel ErrorNot
- Demo ErrorNot
- ErrorNot PHP notifier
En cette journée où fleurissent les canulars dans l'univers du Web high-tech, Google vient d'enrichir son service Street View d'une option 3D. Celle-ci consiste en l'apposition, à l'écran, d'un filtre anaglyphe permettant à l'internaute doté des lunettes adéquates d'obtenir une sensation de relief.

Concrètement, un algorithme vient rehausser certains éléments identifiables de l'image (bande blanche de circulation, arêtes de bâtiments, etc.) d'un liseré rouge ou bleu. Une fois équipé de lunettes anaglyphiques adaptées (un oeil est recouvert par un filtre rouge, l'autre par un filtre bleu), vous devriez alors percevoir un relief artificiel au sein de l'image.

Équipés de notre plus belle paire de lunettes en carton, nous nous sommes empressés de tester le procédé qui fonctionne avec plus ou moins de bonheur selon les images affichées à l'écran. Mise en ligne jeudi, cette fonctionnalité relève sans surprise de l'inévitable poisson d'avril, mais peut-être préfigure-t-elle de futurs développements dans le domaine de l'immersion ? Vous pourrez vous faire un avis directement au sein de Street View, en cliquant sur l'icône adéquate. Votre Street View, avec ou sans relief ?
L'iPad boude à son tour la technologie Flash, mais il se pourrait finalement que l'audace d'Apple soit payante. Bien que la firme de Cupertino ne se soit jamais exprimée officiellement à ce sujet, Steve Jobs lui-même aurait affirmé qu'il espérait ainsi inciter, sinon l'abandon de cette technologie propriétaire, au moins l'adoption de la nouvelle balise vidéo du HTML 5. La prophétie pourrait bien se réaliser !La toute récente annonce de Brightcove ne serait effectivement que la partie émergée de l'iceberg. À seulement deux jours du lancement de la tablette internet tant attendue, le ballet des annonces et des rumeurs concernant des applications et des sites internet dédiés à l'iPad démarre sur les chapeaux de roue.

En particulier, de multiples services de vidéo à la demande seraient ainsi sur le point de rendre leurs catalogues accessibles depuis l'iPad. Si certains semblent avoir fait le choix d'une application dédiée, comme la chaine de télévision américaine ABC, d'autres comme CBS profitent de l'occasion pour adopter l'encodage H.264 conjointement à la balise vidéo du standard HTML 5. Le site de partage de photos et vidéos Flickr a quant à lui officialisé la mise en place d'un lecteur reposant sur cette norme, qui remplacera automatiquement l'habituel lecteur Flash, dans un premier temps exclusivement depuis un iPad.

Hulu et Netflix, deux services de vidéo à la demande réservés aux américains, auraient eux aussi un projet relatif à l'iPad, à en croire le Wall Street Journal, sans qu'on sache quel moyen de diffusion ils ont retenu. Quoi qu'il en soit, c'est l'encodage H.264 qui est utilisée dans un cas comme dans l'autre, ce qui présente au moins l'intérêt de préparer le terrain pour le futur déploiement d'un site internet répondant à la norme HTML 5, puisque les fichiers destinés à une application dédiée sont directement exploitables sur une page internet.

Cette solution présente l'intérêt d'être multiplateforme et pourra profiter, à terme, à toutes sortes de dispositifs, de l'ordinateur au smartphone exécutant n'importe quel navigateur internet moderne (ou presque), en passant même par le téléviseur ou la platine multimédia connectée. Reste à mettre un terme à la bataille qui oppose les défenseurs du codage libre Theora à ceux qui prônent le codage commercial choisi et promu par Apple depuis 2005.
Près de 30%, telle est la part de marché globale annoncée par Mozilla pour son navigateur Firefox au travers de son rapport trimestriel pour les trois premiers mois de l'année 2010. A ce jour l'on compterait plus de 350 millions d'utilisateurs dont 152,7 millions en Europe. Ces statistiques ont été obtenues en calculant une moyenne globale sur les chiffres fournis par quatre cabinets d'analyse : StatCounter, Quancast, Net Applications et Gernius.

Derrière le vieux continent nous retrouvons les Etats-Unis avec 100 millions d'utilisateurs contre 68,7 millions en Asie, 31,7 millions en Amérique du Sud, 6,7 millions en Océanie et 5,6 millions en Afrique. L'adoption du navigateur enregistrerait une forte croissance en Russie, avec un taux de +20% dans le pays et aux alentours de 15% en Inde, aux Philippines et en Australie. Sur le marché des navigateurs, la Russie reste d'ailleurs l'un des pays qui se démarque véritablement des autres. En effet, la firme norvégienne Opera Software y enregistre également une forte adoption de ses logiciels avec 25% de PDM.

Concernant l'Antarctique, Mozilla n'a pu obtenir que les données fournies le cabinet d'analyse de StatCounter. Le navigateur posséderait les 4/5 du marché et afficherait un fort taux de téléchargement d'extensions. Depuis le mois de janvier, ce sont en effet 538 add-ons qui auraient été téléchargés pour une population totale d'environ un millier d'habitants.

Au travers d'une étude menée sur 10 000 internautes dans le cadre du programme Test Pilot, il apparaît que l'utilisateur moyen a deux ou trois onglets ouverts sur sa session de surf. Le maximum enregistré atteint plus de 600 onglets. Retrouvez l'intégralité du rapport ici (anglais - PDF).
L'éditeur Gallimard a décidé de saisir la justice contre Google et sa numérisation frauduleuse de ses livres. L'acte vise clairement Google qui ne prendrait pas suffisamment de précautions lors de ses travaux. Une fronde anti-Google Books semble se former puisque d'autres éditeurs comme Flammarion, Albin Michel et Eyrolles comptent se joindre à l'attaque.

De son côté, Google s'appuie sur la notion de « fair use », un terme juridique qui autorise l'utilisation de certains contenus sans demander d'autorisation, du moment que cela se fait de manière raisonnable et appropriée... Gallimard estime à 12 millions le nombre d'ouvrages numérisés en six ans sans l'autorisation des maisons d'édition et des ayant-droit.

Déjà Google avait été reconnu coupable de contrefaçon pour avoir reproduit sans autorisation des extraits de livres sur sa plate-forme Google Books. Le tribunal de grande instance de Paris avait alors condamné l'entreprise de Mountain View à verser 300.000 euros de dommages et intérêts à divers éditeurs.

Pourtant d'autres éditeurs dénoncent clairement la défense par les majors d'un « pré-carré économique ». Eric Martin, directeur de la diffusion du Petit Futé, qui donne libre accès à ses guides, estime que certains éditeurs souhaitent «  défendre un modèle économique vieux de plusieurs siècles basé sur l'impression et la diffusion d'ouvrages. Ils doivent désormais s'auto-protéger ».

Le conflit se durcit entre éditeurs français et la firme Google. A l'heure où notamment l'université de Tokyo innove en matière de numérisation d'ouvrages, la question de l'avenir du livre reste ouverte.
Tous les six mois, l'équipe en charge du projet Gnome sort une nouvelle mouture de son environnement de bureau, qui passe cette semaine en version 2.30. Dernière release programmée avant la 3.0, qui introduira de plus importants changements, elle apporte son lot d'améliorations, notamment au niveau du gestionnaire de fichiers intégré ou du client de messagerie instantanée.

Parmi les nouveautés les plus visibles, on signalera la série d'améliorations destinées au gestionnaire de fichiers Nautilus qui se dote notamment d'un mode d'affichage partagé. Le client de messagerie Empathy offre quant à lui une meilleure prise en charge des commandes IRC, la gestion du chatFacebook, ainsi qu'un nouveau dispositif de recherche au sein des conversations.

L'utilitaire de prise de notes Tomboy se dote de nouvelles possibilités en matière de synchronisation, ainsi que d'un copier coller capable de prendre en compte du HTML riche. Egalement au programme : une meilleure gestion de l'impression au niveau du visionneur de documents Evince, la prise en charge des tunnels SSH au sein de Vinagre, une prise en charge partielle des iPod et iPhone au sein de gvfs (système de fichiers virtuel) grâce à la bibliothèque libimobiledevice, etc.

En attendant l'intégration de Gnome 2.30 à la prochaine version d'Ubuntu, la 10.04, on pourra consulter les notes de version en français via ce lien. On y trouvera également une rapide présentation des nouveautés qui interviendront avec la version 3.0 de Gnome, à commencer par l'intégration de Gnome Shell (qui remplacera Gnome panel) et d'un journal d'activité.
Les services de Google informent que de nouvelles attaques cyber auraient été perpétrées sur des utilisateurs de Gmail au Vietnam. Dans un billet, la firme explique qu'un botnet (réseau d'ordinateurs zombies) visant des « dizaines de milliers d'utilisateurs » a été mis à jour.

La méthode d'infection se révèle plutôt simple. Les ordinateurs sont touchés par un malware dissimulé dans un pilote pour clavier nommé VPSKeys qui permet à Windows de reconnaître les caractères vietnamiens. Le cheval de Troie (W32/VulcanBot) tente de se connecter à un botnet pour espionner la victime ou se servir de sa machine afin de lancer des attaques de type déni de service distribué (DDoS) contre les blogs de dissidents vietnamiens.

Certains spécialistes évoquent la thèse du "piratage politique », à savoir celle impliquant le gouvernement d'Hanoï à propos de la future construction de mines de bauxite impliquant la Chine. Du coup, des détracteurs du projet minier, intellectuels, scientifiques et mêmes anciens militaires craignent des dégâts sur l'environnement. Ces opposants auraient donc été les victimes du botnet.

L'hypothèse est relayée par l'éditeur McAfee qui estime que les auteurs des attaques « pourraient avoir des motivations politiques et d'une certaine façon faire allégeance au gouvernement de la République socialiste du Vietnam ». Après la Chine et le piratage de certaines messageries Gmail de militants chinois des droits de l'Homme, Google est encore au milieu d'un imbroglio politico-pirate. Good morning Google...
C'est aujourd'hui au tour d'isoHunt d'être condamné. Ce moteur de recherche indexant près de 5 millions de torrents est une alternative à Mininova, en particulier depuis sa condamnation au mois d'aout dernier. Si ce dernier avait eu affaire à la justice hollandaise, isoHunt a quant à lui été reconnu coupable par la justice américaine.

À même motif, même punition : le juge Stephen Wilson, d'un tribunal californien, a ainsi ordonné à Gary Fung, fondateur d'isoHunt, d'y retirer la totalité des contenus illicites, et de censurer son moteur de recherche en s'appuyant sur une liste de mots clés. C'est à nouveau la MPAA, qui a attaqué le site internet, qui doit fournir cette liste.

Dans une interview accordée au site internet du magazine Wired, Gary Fung a indiqué qu'il voyait mal comment faire cohabiter liberté d'expression et filtrage, avant d'affirmer qu'une telle injonction mènerait probablement à la fermeture pure et simple de son site, qui attire à ce jour quelques 30 millions de visiteurs uniques par mois. Avec au moins 95% de fichiers torrents protégés par le droit d'auteur en moins, le site attirera vraisemblablement beaucoup moins d'internautes.

L'information ne traverse l'Atlantique qu'aujourd'hui mais le verdict est bel et bien tombé hier aux États-Unis, dans la nuit du 31 mars au 1er avril en prenant compte du décalage horaire, elle est donc tout ce qu'il y a de plus véridique.
L'opérateur Bouygues met fin au suspens sur le démantèlement de certaines antennes-relais. Pour autant la polémique n'est pas éteinte. Bouygues vient de décider de renoncer à se pourvoir en cassation dans l'affaire des antennes de Tassin-la-Demi-Lune (Rhône). En effet, l'opérateur semblait en mauvaise posture après sa condamnation par la cour d'appel de Versailles.

Contacté, Etienne Cendrier, porte-parole de l'association Robin des Toits, a confirmé la décision du géant des télécoms en expliquant que cette décision était « définitive. Cela démontre l'état de faiblesse des opérateurs puisque d'autres procédures sont en cours. Il poursuit, si les risques sanitaires se vérifient, nos sommes en face d'une véritable crise sanitaire ».

La décision pourrait faire boule de neige si cette jurisprudence parvient à être confirmée. Dans leur attendu, les juges avaient considéré qu' « aucun élément ne permet d'écarter péremptoirement l'impact sur la santé publique de l'exposition de personnes à des ondes ou des champs électromagnétiques ». Le principe de précaution pourrait même être appliqué aux différents procès entre opérateurs à Pertuis, Château-Thierry, Gerson...

Du coup, Bouygues doit démonter des antennes de Tassin-la-Demi-Lune (Rhône) sous astreinte de 500 euros par jour de retard. Il doit aussi verser 7.000 euros de dommages et intérêts à chacun des trois couples qui estimaient avoir été exposés à un risque.
le 01/04/2010 à 22:00
Piwigo 2
Piwigo est une application PHP/MySQL sous licence GPL. Il permet de créer facilement une galerie d'images.

Cette API se distingue des autres par :
- La présence du moteur de template : Smarty
- Distinction du template entre la partie publique et la partie administration
- Utilisation 100 % de l'UTF-8
- Obligation d'être PHP 5
- Obligation d'être MySQL 5
- Une façon différente d'ajouter des photos
- Nombreuses langues supportées
- Upload sans passer par le FTP
- Plus de 80 plugins
-etc

Une version démo est disponible sur le site pour se rendre compte du résultat et des possibilités de l'API.

- Site officiel Piwigo
- Captures écrans Piwigo
- Demo en ligne Piwigo
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