News

le 22/03/2010 à 20:38
Livre blanc : Intégration continue
Le blog Ibuildings a publié un nouveau livre blanc gratuit, concernant l'intégration continue en informatique et comment l'utiliser pour vos applications PHP.

Cet ouvrage examine les politiques et les systèmes qui vont former l'ensemble de l'intégration continue, pour permettre de construire des nouveaux projets plus rapidement.

- Book : Continuous Integration
le 22/03/2010 à 20:38
PHP Speedy
Il existe différentes manières d'optimiser les pages web pour limiter leut temps de chargement. Utiliser PHP Speedy, apr exemple.

PHP Speedy est un petit script qui s'insère dans vos pages et va vous permettre de gagner du temps d'affichage.

Le site montre des résultats de performance qui ont été effectués avec YSlow.

- PHP Speedy 0.5.2
Si le premier Service Pack (SP1) destiné à Windows Vista avait été l'occasion pour Microsoft d'apporter des changements en profondeur à son système d'exploitation, il ne devrait pas en aller de même avec son successeur. Sur le blog de l'équipe Windows, un représentant de l'éditeur a en effet laissé entendre que Windows 7 profiterait bien d'un Service Pack, mais que celui-ci ne serait que l'occasion de mises à jour "mineures", sans réels bouleversements.

« Pour Windows 7, le SP1 n'intègrera que des mises à jour mineures, dont certaines ont déjà été distribuées par l'intermédiaire de Windows Update », indique Brandon LeBlanc, chargé de communication, sur le blog de l'équipe Windows. Seule nouveauté attendue, pour l'instant : une mise à jour du client Remote Desktop (accès à distance), destinée à assurer la compatibilité avec RemoteFX, un outil qui fera son apparition au sein de Windows Server 2008 R2.

Le système d'exploitation serveur de Microsoft, qui partage un socle commun avec Windows 7, profitera en effet lui aussi d'un Service Pack. Ce dernier inaugurera deux nouvelles fonctionnalités liées à la virtualisation. En premier lieu, RemoteFX, un outil qui devrait faciliter la virtualisation des postes clients, en assurant le bon fonctionnement de ces derniers indépendamment des ressources graphiques de la machine hôte. Ces derniers seront elles aussi virtualisées, de façon à garantir un affichage sans faille, indépendamment du matériel utilisé, y compris pour des contenus enrichis faisant appel à des technologies telles que Flash ou Silverlight.

Enfin, le SP1 de Windows Server 2008 R2 signera l'entrée en vigueur de Dynamic memory, un composant dédié à l'hyperviseur Hyper-V, qui permettra à l'administrateur d'allouer dynamiquement la mémoire vive de sa machine hôte à ses différentes machines virtuelles, avec une évolution en temps réel en fonction des besoins et sans interruption de service.

La date d'arrivée de ce SP1 dédié aux dernières versions de Windows n'a pas encore été précisée, même si différentes rumeurs font état d'une mise en ligne prévue pour le quatrième trimestre de l'année. Révéler, si tôt, qu'il ne sera que l'occasion de mises à jour mineures est principalement l'occasion pour Microsoft de réaffirmer que Windows 7 et Windows Server 2008 R2 sont prêts pour un déploiement en entreprise, avec ou sans Service Pack.
Le "mode XP", qui permet de lancer une machine virtuelle Windows XP au sein des éditions Professionnelle et Intégrale de Windows 7, pourra désormais fonctionner sur tous les processeurs. Il était initialement réservé aux machines équipées d'un processeur, Intel ou AMD, doté d'un jeu d'instructions dédiées à la virtualisation. Cette limitation vient de disparaitre. Il faudra toutefois procéder à la mise à jour du composant Virtual PC, accessible gratuitement par l'intermédiaire du site de Microsoft dans la journée.

Pour assurer aux entreprises le fonctionnement de leurs applicatifs avec Windows 7, Microsoft propose depuis le lancement une option permettant de virtualiser une version complète de Windows XP au sein du système. Cette option, qui s'ajoute aux différents modes de compatibilité intégrés à Windows 7, vise à encourager le déploiement de ce nouveau système, en offrant comme dernier recours la possibilité de lancer une instance de Windows XP de façon à exécuter un logiciel qui ne fonctionnerait pas nativement sous Windows 7.

Depuis plusieurs années, la majorité des processeurs Intel et AMD intègrent des instructions destinées à permettre la prise en charge matérielle de la virtualisation. En ouvrant son mode XP aux machines qui en sont dépourvues, Microsoft offre une raison supplémentaire de migrer vers Windows 7, y compris au sein de parcs informatiques un peu anciens ou équipés de processeurs premier prix.
A l'instar de Mozilla et son plugin Contacts que nous vous présentions hier, cette fois c'est Yahoo! qui annonce une nouvelle fonctionnalité relativement ingénieuse pour le carnet d'adresses de Yahoo! Mail.

Après avoir signé un partenariat avec Facebook au mois de décembre pour l'intégration de la technologie Facebook Connect, le portail américain a commencé à déployer certaines fonctionnalités telles que la possibilité d'importer ses contacts du réseau communautaire. Si d'autres types d'interactions avec Facebook sont également prévues, Yahoo! dévoile surtout un mécanisme permettant de conserver son carnet d'adresses à jour.

Directement depuis la section Contacts de Yahoo! Mail il est ainsi possible de définir certaines informations personnelles (email, adresse postale, numéros de téléphone, site Internet) et de choisir, pour chacune d'entre elles les options de partage. Trois options sont proposées : garder l'information en privé, la partager avec tous ses contacts ou seulement avec ses Connections. Chez Yahoo! le principe d'une Connection repose sur un mode d'invitation/confirmation. Cela permet notamment de filtrer sa boite mail pour mettre en avant les messages des personnes jugées "de confiance".

Lorsqu'un utilisateur Yahoo! mettra à jour sa fiche personnelle (par exemple dans le cas d'un changement de numéro de téléphone) les personnes autorisées recevront automatiquement une confirmation. L'idée de synchroniser ses informations personnelles avec son entourage n'est pas nouvelle. Le réseau Plaxo embarque une fonctionnalité similaire depuis quelque temps ; c'est aussi le cas du service Soocial.com.

Notons par ailleurs que le calendrier, en bêta depuis le mois d'octobre 2008, devrait prochainement être intégré au webmail sous la forme d'un nouvel onglet.
Les développeurs du laboratoire de l'agenda Google viennent de lancer une nouvelle fonctionnalité en version test : Smart Rescheduler. Le constat de base est simple : les gens occupés perdent un temps fou à replanifier. Un rendez-vous impossible à honorer ? Il faut trouver un autre créneau dans son emploi du temps, dans l'emploi du temps de l'autre, comparer et trouver un moment pour les deux, libérer une salle...

Bref, les développeurs de Google Labs ont voulu simplifier ce report qui donne son nom au Rescheduler.

Ils expliquent leur démarche par une comparaison : « Si vous cherchez quelque chose sur Internet, vous n'allez pas regarder des pages au hasard jusqu'à trouver du contenu pertinent, vous utilisez un moteur de recherche. » Ils ont donc appliqué les principes de la recherche, déjà bien maîtrisée par Google, à la question du report de rendez-vous. Un algorithme spécifique a été adapté, qui prend en compte la disponibilité des différents participants, la complexité des horaires (si vous allez chercher votre fille tous les soirs à 18h, vous pouvez bloquer le créneau), la vacance des salles de conférence, et les fuseaux horaires. Il offre alors un classement des meilleures dates et horaires possibles.

Concrètement, il suffit d'activer l'option Smart Rescheduler dans le Google Labs de Calendar (il faut passer l'application en anglais pour y avoir accès), de sélectionner un rendez-vous à décaler, et de cliquer sur « Find a new time » en haut à droite des calendriers. L'agenda affiche alors les résultats avec les possibles conflits de salle ou d'emplois du temps des participants.Le blog de Google Labs précise que « le processus est automatisé à 100%, aucun employé de Google n'est derrière le rideau en train de tout contrôler. » Quelques options supplémentaires permettent d'affiner les résultats en temps réel. Google précise cependant qu'ils ne « peuvent pas rendre les rendez-vous plus intéressants ». Pour l'instant ?
Le groupe PagesJaunes, qui revendique déjà une audience de plus de 80 millions de visites par mois, vient d'annoncer l'acquisition de 100% du capital de 123people, spécialisé dans la recherche de personnes, pour un montant non communiqué. Présent dans une dizaine de pays, 123people réaliserait une audience mensuelle estimée à plus de 40 millions de visiteurs uniques, moins de deux ans après son lancement.

« Véritable success story d'Internet, 123 people va nous permettre d'accélérer la croissance de nos audiences et d'offrir une visibilité et un trafic additionnels aux annonceurs », se félicite dans un communiqué Jean-Pierre Remy, directeur général de PagesJaunes Groupe. « Avec cette acquisition, PagesJaunes Groupe accroît significativement son audience globale, renforce son expertise en matière de référencement naturel et bénéficie de nouvelles synergies entre 123people et les sites du Groupe en France et en Espagne ».

Le référencement est effectivement l'une des clés du succès de 123people, qui se présente comme « l'acteur mondial de référence sur le marché de la recherche de personnes », segment qui selon lui compterait pour 30% des recherches effectuées en ligne au niveau mondial.

123people repose sur un dispositif d'agrégation de contenus, qui sur un coupe prénom / nom donné, récupère tous les contenus associés à la requête disponibles en ligne : mentions média, comptes Facebook, blogs, annuaires divers, photos Flickr ou vidéos YouTube ; tout y passe, des réseaux sociaux professionnels aux annuaires de personne, à commencer par les Pages Blanches du groupe PagesJaunes.

« Grâce à notre algorithme de recherche exclusif, vous pourrez trouver des informations complètes et compactessur des personnes, telles que des archives publiques, des numéros de téléphone, des adresses, des images, des vidéos et des adresses e-mail. Passez en revue facebook et d'autres réseaux sociaux comme mySpace, Linkedin, Xing, la communauté Wikipedia et bien plus encore », explique le site.

Une mécanique d'une efficacité redoutable, qui bien souvent place 123people comme l'intermédiaire incontournable entre le moteur de recherche et la page qui détient les informations personnelles d'un internaute. Au point d'agacer, parfois, dans la mesure où l'internaute n'a aucun moyen d'agir sur les informations qui apparaissent sur le site.

Son audience et son référencement devraient toutefois faire les belles heures du groupe PagesJaunes, qui profite de l'occasion pour annoncer l'arrivée imminente d'une nouvelle version du service pagesblanches.fr.
Apple continue de développer sa stratégie Internet, et cette fois la firme californienne pourrait s'immiscer sur le marché des réseaux communautaires. En effet, selon le blog Patently Apple, un brevet déposé par l'équipe de Steve Jobs décrit un nouveau service baptisé iGroups.

iGroups trouvera sa place sur l'iPhone et probablement au sein des services de MobileMe. Ce réseau devrait permettre aux mobinautes de créer des groupes en se basant sur la position géographique de chacun des membres ; soit via le GPS, soit par triangulation cellulaire ou Wi-Fi. Plusieurs personnes géolocalisées au même endroit sur un temps donné (par exemple lors d'un concert) peuvent ainsi former un groupe.

Pour établir une connexion les terminaux doivent être relativement proches les uns des autres avec l'option Bluetooth allumée. L'ensemble des smartphones activés dans un périmètre donné commence alors à établir une communication. Le brevet décrit un mécanisme relativement sécurisé avec le standard de chiffrement avancé AES ou l'algorithme de chiffrement symétrique 3DES. L'utilisateur peut choisir de rentrer certaines informations personnelles sur le site d'Apple ou un site tiers partenaire qui seront ensuite partagées avec ces nouveaux contacts. Retrouvez de plus amples informations ici.

Comme certains le soulignent, il existe déjà une application baptisée iGroups (iTunes) au sein de l'App Store. Par ailleurs, le nom de domaine iGroups.com a déjà été déposé. Reste à savoir si le nom choisi dans le brevet d'Apple sera amené à changer.
Premier test avant un lancement mondial ? Toujours est-il que Google maps vient d'introduire une nouvelle fonctionnalité en Australie : les icônes sponsorisées. Alors qu'elles étaient auparavant génériques "un petit distributeur de billets pour une banque par exemple" les icônes des services et magasins australiens peuvent maintenant afficher un logo. Cette mise en avant est optionnelle et payante pour les entreprises. On trouve déjà quelques services bancaires, une chaîne de pharmacies et JBHifi, spécialisé dans les produits informatiques, entre autres.

L'intérêt pour les annonceurs est évident : plus de visibilité sur un service mondialement connu. Pour Google, c'est surtout un changement dans la manière. Le prix de la personnalisation ne passe pas par un système type Adwords, mais par un décompte précis du nombre d'affichages des logos.

En outre, Google se réserve un droit de regard sur le système. Il jugera la pertinence d'une entreprise en fonction du contexte de recherche d'un utilisateur, des liens entrants et du nombre d'événements sur ses entrées Wikipedia. Et si l'utilisateur n'interagit pas avec la publicité affichée, celle-ci disparaitra.

Le but de Google est de cibler le plus précisément possible les services à afficher en fonction d'une recherche. Les entreprises seront plus ou moins mises à contribution en fonction de leur plus-value dans Google Maps. Un distributeur de billets, ou une station-service, particulièrement utiles et cherchés sur Google Maps, paieront donc moins à chaque affichage qu'un magasin de détail.
Wakanim, nouveau site internet de vidéo à la demande consacré à l'animation japonaise, a ouvert cette semaine en phase de test. Le nouveau venu a pour ambition d'offrir une alternative légale au piratage numérique des séries d'animation, en lui apportant le penchant communautaire cher à cette communauté.

Les derniers épisodes seront pour ce faire diffusés gratuitement, parfois même le lendemain de leur diffusion au Japon, à l'instar des épisodes de séries américaines que TF1 facture quant à lui 2 euros, mais aussi et surtout simultanément à la mise en ligne des versions pirates. Le nouveau site internet s'aventure ainsi sur le terrain du financement par la publicité, auquel des acteurs d'envergure se frottent et se piquent pourtant.

Pour accéder aux archives et consulter les épisodes au-delà d'un ou deux mois après leur publication, il faudra en revanche payer au moyen de "streams", vendus par dizaines à tarifs dégressifs. Cette monnaie locale, qui vaut de 70 à 50 centimes, permettra en outre d'ôter les coupures publicitaires. Une boutique de produit dérivés en lien avec l'animation devrait enfin ouvrir ses portes prochainement, tandis qu'un web-magazine assoie la communauté.

Wakanim est accessible dès à présent. Les premiers épisodes en version originale sous-titré français (VOSTFR) des séries Grenadier et Slayers Revolution sont visionnables gratuitement.
LoadingChargement en cours