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le 16/11/2009 à 23:33
Prochain Forum PHP 2010
L'AFUP (Association Française des Utilisateurs de PHP) en partenariat avec LeMug (MySQL User Group) viennent de fermer les portes du Forum PHP 2009.

La prochaine ouverture est déjà planifiée pour 2010 dont vous ne devrez pas rater car ce sera les 10 ans d'existence de l'AFUP et les 15 ans de PHP.

Bien sur, les conférences audio et slides seront disponibles très rapidement sur le site du forum et avec des reportages réalisés par l'équipe de PHP TV.

- Forum PHP 2009
le 16/11/2009 à 23:33
Ping en PHP
La détection de la présence de postes d'informatiques dans un réseau est une facilité que propose l'ensemble des systèmes d'exploitations comme Linux, Windows, Mac... Cependant repérer ce réseau en utilisant les adresses IP à travers d'un navigateur cela peut stopper certains utilisateurs.

Le site Oziks.fr propose un petit script PHP avec Ajax pour vérifier si une adresse IP (donc un ordinateur) est bien présent. Ce petit script est en 2 parties : Une partie HTML et une autre PHP.

- La commande ping en PHP
Le portail UniversCiné, un service de vidéo à la demande (VoD) visant à promouvoir le cinéma indépendant, a récemment fait peau neuve, lui ajoutant de nouvelles fonctionnalités à la fois sur le plan technique et esthétique.

Créé il y a près de 8 ans, il intègre un catalogue de 1000 films proposés par différents réalisateurs dont Pedro Almodovar, Pierre Salvadori, Woody Allen ou Arnaud Desplechin. Et alors que jusqu'à présent les films étaient loués (streaming ou téléchargement provisoire) pendant 48 heures au prix de 3,99 euros, l'équipe d'UniversCiné autorise désormais le téléchargement définitif de certains de ses contenus pour un prix avoisinant les 10 euros.

Seule une partie du catalogue est proposée en téléchargement définitif, pour les seuls possesseurs de PC sous Windows XP, Vista ou 7, la faute à l'utilisation de mesures techniques de protection (DRM). Il est possible en revanche de louer des films depuis un PC ou depuis un Mac.
Les fournisseurs d'accès à Internet français ont récemment publié leurs chiffres sur l'Internet haut-débit pour le troisième trimestre de cette année.

Orange, le leader du marché, affiche une part de marché de 48,3% contre 49,5% sur la même période en 2008. Le fournisseur d'accès comptait 8,763 millions d'abonnés au 30 septembre dernier parmi lesquels 2,547 millions bénéficient d'une offre à la télévision numérique (TV ADSL ou TV satellite). Si sa part de marché est en baisse, Orange a accueilli 124 000 nouveaux abonnés au troisième trimestre contre 99 000 entre mai et juin.

SFR, la filiale du groupe Vivendi, qui regroupe entre autres les clients de Neuf, Club Internet et Tele2, affirme avoir une part de marché de 32% au troisième trimestre 2009 avec au total 4,283 millions de clients à l'Internet haut-débit. Cela représente une croissance de 14,7 % par rapport à la même période de 2008. Depuis le mois de janvier le FAI aurait accueilli 404 000 nouveaux abonnés; il s'agit d'ailleurs meilleurs taux de recrutement. Sur l'activité Internet haut-débit, le chiffre d'affaire s'élève ainsi à 2796 millions d'euros, soit une baisse de 3,3% en 2008.

De son côté, au 30 septembre Free comptait 4,42 millions de clients ADSL dont 731 000 initialement chez Alice. Parmi ces abonnés 83,5% sont dégroupés soit 3,69 millions. Entre juillet et septembre, 100 000 nouveaux clients aurait rejoint le FAI. Notons une hausse du chiffre d'affaires consolidé de 33% à 1 457 millions d'euros.

Bouygue Telecom, récemment entré sur le marché, aurait recruté 103 000 nouveaux abonnés ce dernier trimestre. Fin septembre, le parc d'activité comptait 173 000 Bbox.
YouTube a annoncé hier la disponibilité imminente de la véritable haute définition sur la plateforme de vidéo à la demande. À partir de la semaine prochaine, il sera effectivement possible d'afficher des vidéos en 1080p en plus de la définition 720p. YouTube HD avait été lancé en décembre dernier avec cette définition de diffusion maximale. Les fichiers déjà transmis à YouTube seront automatiquement ré-encodés le cas échéant, les originaux étant conservés.

Alors que la haute définition a commencé par envahir l'électronique grand public avec une définition intermédiaire de 1280 x 720 pixels, un nombre grandissant de dispositifs prennent désormais en charge la "Full HD" en 1920 x 1080 pixels, des caméscopes aux écrans d'ordinateur. YouTube rappelle toutefois qu'un ordinateur puissant est nécessaire, en attendant que Flash tire enfin parti du décodage matériel des vidéos offert par de nombreuses cartes graphiques, comme le font déjà de multiples logiciels.

Mais si la définition d'une vidéo est l'un des aspects techniques les plus représentatifs de sa qualité, le débit l'est tout autant, YouTube a pourtant laissé ce point sous silence, seule une vidéo d'exemple permettant de se faire une idée. Une vidéo 1080p, deux fois mieux définie qu'une autre en 720p, diffusée au même débit de 2 Mbps, n'apporterait ainsi aucune amélioration de qualité. À l'inverse, un débit doublé à 4 Mbps limiterait leur visionnage à une portion d'internautes disposant d'une bande passante suffisante. La vidéo à la demande impose donc un compromis. En attendant la démocratisation des accès internet par fibre optique, le Blu-ray et ses 25 Mbps a encore de beaux jours devant lui.
Depuis hier, la Toile s'embrase autour d'un entretien recueilli par PRC. Le magazine interroge Simon Aldous, responsable du département Partner Group chez Microsoft qui a tenu des propos relativement élogieux à l'égard d'Apple et plus particulièrement du système d'exploitation Mac OS X.

M. Aldous expliquait ainsi : "l'un des points que les gens soulèvent énormément au sujet des Mac, c'est l'OS qui est fantastique, ce dernier est très graphique et très simple d'utilisation". Cependant, le responsable de Microsoft ne s'arrête pas là et ajoutera même : "ce que nous avons tenté de faire avec Windows 7 - pour son format classique ou multipoint - c'est de recréer l'aspect et l'ergonomie du Mac au niveau du graphisme".

Bien entendu, cette citation n'a pas manqué d'être reprise au sein de différentes communautés spécialisées dans les produits d'Apple mais également sur divers sites Internet généralistes. La société Microsoft laissera-t-elle son image se ternir de cette façon ? Certainement pas. Quelques heures plus tard, la firme contacte le magazine PCR afin de réfuter en bloc les propos tenus par son employé et explique : "la description de Windows 7 par M. Simon est erronée" en ajoutant que l'interface de Windows 7 est le fruit des retours d'opinion des millions d'utilisateurs du système Windows. "L'interface de Windows 7 a été pensée pour faciliter la prise en main des ordinateurs et pour tirer parti des technologies innovantes que Microsoft déploie sur le marché. Par exemple, contrairement à Mac OS, Windows 7 prend en charge le multipoint".

Beaucoup ont noté les similarités entre Windows 7 et Mac OS X, à commencer par Walt Mossberg, journaliste au Wall Street Journal. C'est ainsi que la nouvelle barre des tâches de Windows est souvent comparée au dock de Mac OS X. Peut-on cependant affirmer que le premier s'est inspiré du second ? Et si c'était le cas, devrait-on blâmer Microsoft pour reprendre une idée relativement simple et fonctionnelle ? Si tous s'accordent à penser que Windows 7 est un bon système en comparaison à son prédécesseur la guerre des OS semble décidément interminable.
Un réseau social en ligne, vecteur d'acquisition de nouveaux clients ? C'est le pari que va tenter de relever l'opérateur mobile virtuel (MVNO) Universal Mobile avec « Ma Communauté UM », un site communautaire sur lequel ses abonnés seront invités à partager tranches de vie, photos et autres contenus. La valeur ajoutée du service se situe au niveau de la technologie employée. Plutôt que de disposer d'un simple espace Web où s'empileraient textes et images, Universal Mobile a pris le parti d'utiliser la "Board", une interface en Silverlight développée par une jeune société française, Eeple.

La Board, ou la planche en français, allusion au panneau de liège sur lequel les jeunes accrochent photos, posters et mots doux au mur de leur chambre. L'application développée par Eeple est censée permettre de retrouver cette sensation sur Internet, en autorisant l'empilage virtuel d'éléments divers que l'on pourra ensuite manipuler à loisir. Elle s'alimente et se commente comme un blog, mais propose une expérience différente puisqu'entièrement visuelle. L'utilisation combinée de Silverlight et de Deepzoom offrent la possibilité de faire pivoter les contenus, ou d'en modifier la taille, d'un clic de souris.

"Ce projet, que nous avons développé au sein d'Eeple, nous permet de pousser la Board encore plus vers son public de prédilection et de mettre en avant notre capacité à innover toujours plus avec les domaines qui sont mis à notre disposition", se félicite dans un communiqué Alexandre Malsch, le jeune PDG d'Eeple (24 ans).

Dans le cadre de sa "Communauté", Universal propose à l'utilisateur d'élaborer jusqu'à trois "boards", avec un espace de stockage gratuit offrant une capacité de 300 Mo. S'ajoutent les Lifes, fils de courts messages s'enchainant sur un principe similaire à celui de Twitter, ainsi qu'un flux d'actualité en provenance du site Melty.fr, également édité par Eeple. L'ensemble de ces services dispose de prolongements sur le mobile, par l'intermédiaire d'un système de SMS et de MMS accessibles gratuitement aux abonnés Bouygues et Universal Mobile. Reste à voir quelles seront les retombées de cette initiative.
Derrière sa bonne réputation, le navigateur au renard de feu (à moins que ce ne soit un panda rouge ?) ne serait pas celui qu'on croit. Souvent comparé à Internet Explorer, Firefox serait en fait le plus vulnérable des navigateurs internet. C'est ce que révèle l'analyse de la sécurité sur internet au premier semestre 2009 du cabinet Cenzic, qui a identifié 3 100 vulnérabilités dans les principaux navigateurs, dont 44% affectant le navigateur de Mozilla, contre 15% seulement pour celui de Microsoft.

Un représentant de Mozilla nuance ces résultats en expliquant que les extensions du navigateur seraient en grande partie responsables de ce résultat, mais aussi par le fait que Firefox est sous le feu des projecteurs. Le directeur technique du cabinet d'étude reconnait quant à lui que l'amélioration du système d'extension des prochaines versions de Firefox devraient résoudre une partie de ces problèmes. "Le nombre de vulnérabilités n'est qu'une des mesures de la sécurité d'un navigateur," ajoute-t-il par ailleurs, sans compter que certains aspects comme le respect ou non des standards peuvent être rédhibitoires.

Safari, le navigateur internet d'Apple accompagnant Mac OS X, affiche quant à lui un impressionnant taux de vulnérabilités par rapport à sa part de marché. Il totalise effectivement 35% des failles alors qu'il n'est utilisé que par 4% des internautes. Opera serait quant à lui affecté par 6% des vulnérabilités pour une part de marché de 2%. Bien qu'il soit en perdition, Internet Explorer continue d'ailleurs de dominer le marché avec 65% de part de marché, suivi par Firefox qui a séduit 24% des internautes du monde entier.

Reste que la sécurité des navigateurs n'est en cause que pour 8% des vulnérabilités d'internet, le reste provenant le plus souvent des sites internet. Quelque soit le navigateur utilisé, il convient donc de rester prudent.
Mike Belshe et Roberto Peon, deux ingénieurs de l'équipe de développement de Chromium, dévoilent l'un de leurs nouveaux projets baptisé SPDY (prononcez Speedy). Il s'agit d'un protocole de transfert sur Internet qui serait deux fois plus rapide que le traditionnel HTTP. En effet, au mois de juin Google avait annoncé son intention d'accélérer le web et souhaitait mettre en place une collaboration entre les différents acteurs du secteur pour retravailler sur les protocoles HTTP et TCP/IP.

A propos de SPDY, Google explique ainsi : "les premiers résultats sont très encourageants : lorsque nous chargeons les 25 sites les plus populaires au travers d'une connexion réseau similaire à celle de chez soi, nous observons des performances bien meilleures - le chargement des pages est 55% plus rapide ». Si traditionnellement le protocole HTTP envoie chacune des requêtes pour l'ensemble des éléments de la page (feuille de style, images, JavaScript) SPDY compresse toutes ces requêtes en amont.

Google a mis à disposition le code source du protocole ainsi qu'une documentation afin d'implémenter cette technologie au sein du navigateur Chromium.

Les navigateurs de demain adopteront-ils également SPDY, rien est moins sûr. Quoiqu'il en soit, après le chantier HTML 5, qui semble finalement être doucement adopté par tous les acteurs du marché, Google souhaite désormais pousser la réflexion vers de nouveaux horizons.
En février dernier, Google avait présenté Latitude, un service de géolocalisation social venant se greffer à Google Maps et qui permet aux mobinautes de partager leurs emplacements géographiques avec leurs proches. Latitude est également disponible sous la forme d'un widget pour la page d'accueil personnalisable iGoogle. Celle-ci donne accès aux mêmes fonctionnalités que l'application mobile, la position étant dans ce cas obtenue à partir du point d'accès WiFi auquel l'ordinateur est connecté.

Désormais il est possible d'activer un dispositif permettant de dresser l'historique de vos déplacements. Cette archive ne sera bien entendu pas partagée avec vos contacts ni activée par défaut. En revanche cette historique permettra à l'application de peaufiner la fonctionnalité Location Alerts. Google explique que cette option permet d'être prévenu par message dans le cas où l'un de vos contacts (ex : famille ou collègue) se trouve dans les environs. Chris Lambert, développeur de l'équipe Google Mobile, ajoute : "cependant, il deviendrait gênant de recevoir un message à chaque fois que vous passez la porte de chez vous ou au travail". L'archive permet ainsi de déterminer les déplacements routiniers de l'utilisateur et les alertes ne seront alors envoyées que lorsque ce dernier se trouve dans des lieux inhabituels ou à des endroits familiers mais généralement fréquentés sur d'autres plages horaires.

Les services Google Location History et Google Location Alerts (bêta) peuvent être activés depuis cette page.
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