News

Windows 7, successeur de Vista, n'aurait pas la faveur d'une majorité d'entreprises. Six directions des systèmes d'information sur dix n'envisageraient pas d'acquérir le nouveau système d'exploitation de Microsoft, dont la sortie officielle est prévue le 22 octobre prochain.

La plupart des 1000 entreprises interrogées dans le cadre d'un sondage réalisé par ScriptLogic (Quest Software), un spécialiste américain de l'administration réseau en environnement Windows, ont déclaré avoir réduit leurs budgets informatiques. Les DSI ont ajouté ne pas disposer des ressources nécessaires pour migrer leur parc sous Windows 7 à l'automne. D'autres, échaudés par "l'instabilité" de Windows Vista, s'interrogent sur la compatibilité du nouveau système avec l'existant.

Résultat des courses, 60% des répondants ont déclaré ne pas avoir le projet de déployer Windows 7. Il sont 34% à vouloir intégrer l'OS propriétaire fin 2010, dans l'attente d'une première mise à jour (Service Pack). Seuls 5,4% se sont déclarés prêts à migrer dès la fin 2009.
Le deuxième mardi du mois de juillet tombe cette année sur notre Fête Nationale, mais Microsoft ne chômera pas et publiera demain comme à l'accoutumée son lot de correctifs. Si à l'instar de la Bastille en son temps, Windows est attaqué de toute part, la firme de Redmond compte bien résister. Le bulletin de sécurité préliminaire publié aujourd'hui par Microsoft révèle effectivement un 14 juillet chargé.

Trois correctifs qualifiés de critique concernent effectivement les systèmes d'exploitation de Microsoft. Ils cibleraient en particulier une faille importante du Microsoft Video ActiveX Control utilisé par Internet Explorer, découverte la semaine dernière, ainsi qu'une autre dans DirectShow, permettant toutes deux une prise de contrôle des ordinateurs non mis à jour.

Les trois autres mises à jour sont d'importance moindre et concernent les applications Publisher 2007, Virtual PC et Virtual Server ou encore ISA Server.
Les comptes Google Apps se transformeront-ils bientôt en fournisseurs de comptes OpenID ? C'est en tout cas se que révèle un message d'Eric Sachs, chargé de la sécurité des produits chez Google et publié sur la liste de diffusion officielle d'OpenID. Plus précisément, Google serait en train de finaliser cette technologie d'identification universelle pour tous les comptes de Google Apps (payants ou gratuits). Si tel est le cas, plusieurs millions d'utilisateurs bénéficiant d'un compte Google Apps via une société, un FAI, un établissement scolaire ou une organisation devraient pouvoir se connecter à un service web compatible avec ce protocole d'identification.

Google se place déjà en tant que fournisseur d'Open ID et l'internaute peut d'ores et déjà se connecter sur certains services web avec son compte Google. La société a également ajouté le système d'authentification sur quelques uns de ses services comme Blogger.

Dans son message, Eric Sachs explique que "Google Apps peut devenir un identifiant et un centre de données unique pour de multiples fournisseurs de solutions SaaS". Dans ce communiqué, probablement publié par erreur sur un fil de discussion public, M. Sachs présente deux brouillons de billets annonçant les caractéristiques de cette technologie ; laquelle devrait être officialisée « dans les prochaines semaines ». Pour l'administrateur du compte Google Apps, il suffira d'activer cette fonctionnalité dans l'interface de gestion.

Généralement, lorsqu'un utilisateur souhaite rattacher son OpenID à un service web, ce dernier contacte le fournisseur de l'OpenID pour automatiser un recherche au sein de sa base de données. Ensuite, l'utilisateur est redirigé vers une page de son fournisseur OpenID afin d'authentifier l'application web. La méthode de Google requiert un processus de reconnaissance de l'OpenID légèrement différent et lorsqu'il authentifie un service web, l'utilisateur ne sera pas redirigé vers une page du compte Google Apps mais vers une page de Google.com. Pour l'utilisateur d'un compte Google Apps sur un domaine particulier (par exemple, masociété.com) cela risque de poser un problème de confiance.

Google précise que la société travaille actuellement avec différentes organisations telles que OASIS ou l'Open ID Foundation afin d'établir un standard pour la connexion de l'utilisateur. La firme de Mountain a notamment collaboré avec Jainrain pour la mise au point de RPX. Reste à savoir si l'implémentation de l'OpenID par Google saura convaincre la communauté.
Apple a distribué une nouvelle build de test de la prochaine version de Mac OS X (10.6) baptisée Snow Leopard et dont la version finale devrait être disponible à partir du mois de septembre. Pour cette nouvelle mouture, Apple y a rajouté quelques éléments cosmétiques et continuer ses efforts sur les performances globales du système.

Parmi les quelques ajustements graphiques, notons un nouveau menu contextuel pour le Dock ainsi que de nouveaux contrôles pour modifier la taille des icônes au sein de l'explorateur de fichiers. La fonctionnalité Exposé, permettant de visualiser l'ensemble des fenêtres ouvertes, prend désormais en charge le multi-écran et chacun de ces derniers présente sous forme de miniatures les fenêtres ouvertes. Jusqu'à présent, les fenêtres étaient automatiquement rassemblées au sein de l'écran principal.

Les retours des testeurs de cette nouvelle build mettent en évidence de meilleures performances de Mac OS. Ce dernier serait plus réactif. Notons également un démarrage et un arrêt du système plus rapide. Aussi, la durée de vie d'un cycle de batterie aurait également été optimisée pour les ordinateurs portables. Enfin, le nouveau lecteur multimédia QuickTime X est passé en version 10.0.

Lors du sommet de la WWDC 2009 au mois de juin dernier, Phil Schiller, vice-président du département marketing chez Apple, annonçait que l'installation du système serait 45% plus rapide qu'avec Mac OS 10.5 tout en gagnant jusqu'à 6 Go d'espace disque. Pour Snow Leopard, l'équipe de Cupertino se concentre aussi sur le temps de chargement des programmes.
Le Telegraph rapporte que Lord Carter of Barnes, à la tête du Ministère des Communications, des Technologies et de la Diffusion au Royaume-Uni, s'est entretenu avec la Commissaire Européenne Viviane Reding afin de mettre au point un plan de développement global sur l'accès à Internet haut-débit.

"Dans un premier temps nous souhaitons nous assurer que l'Europe ait une infrastructure numérique de premier ordre pour les réseaux Internet filaires et WiFi", explique Lord Carter avant d'ajouter : "nous devons établir des objectifs pour qu'en 2013 l'Europe ait une solide infrastructure d'Internet haut-débit filaire et sans fil".

Ce n'est pas la première fois que Lord Carter tente de dynamiser le paysage de l'Internet. Le mois dernier il évoquait la possibilité d'une taxe visant justement à créer un fond monétaire dédié à la réalisation d'un tel projet et proposait l'échéance de 2015 pour la transition numérique de l'ensemble des radios.

Lord Carter et Viviane Reding estiment que pour mener à bien ce processus, l'Europe doit accélérer le passage au tout numérique (prévu au 30 novembre 2011 en France). Dans leur rapport, ils expliquent que les coûts liés à ce projet atteignent 150 à 200 milliards d'euros mais que si "les gouvernements européens réagissent maintenant, cela ne coûterait pas un centime aux consommateurs". Par la suite, ce rapport sera présenté devant la Commission Européenne.
Le gouvernement et l'Autorité de régulation des télécoms (ARCEP) se sont récemment penchés sur les laissés-pour-compte du haut débit. Les opérateurs internet se sont effectivement réuni pour rendre le haut débit disponible dans les zones les moins peuplées. Si la fibre optique, appelée aussi très haut débit, défraie la chronique depuis plusieurs mois, certaines zones reculées ne sont toujours pas raccordées au haut débit.

Nathalie Kosciusko-Morizet a ainsi annoncé le label "Haut débit pour tous", qui devrait assurer à tous les français d'avoir un accès haut débit à moins de 35 euros par mois dès septembre. La secrétaire d'État à l'économie numérique a toutefois prévenu que "certaines de ces offres seraient satellitaires". Quatre fournisseurs d'accès sont candidats à la labellisation, qui n'apportera en fait aucune révolution puisque Vivéole, Numéo et NordNet (filiale de France Télécom), trois d'entre eux, commercialisent déjà des offres répondant aux critères du label.

Du côté du très haut débit, le boycott de France Télécom en protestation au déploiement multi-fibre souhaité par l'ARCEP ne fait ni chaud ni froid à l'autorité. Elle a effectivement affirmé que le gel des investissements de l'opérateur historique, qui prône un déploiement mono-fibre plus économique, "n'a aucun caractère catastrophique". Le groupe a jusqu'à l'automne pour prendre une décision, date à laquelle le cadre fixé par l'ARCEP entrera en vigueur.
le 13/07/2009 à 20:07
Ecrire du code PHP court
Lors de la réalisation d'un développement en PHP, les programmeurs peuvent varier leur façon de programmer suivant la taille du projet ou encore si une équipe est présente ou pas.

Il est préférable quelque soit le projet, de réaliser une façon clair et facilement réutilisable et surtout évolutive dans l'avenir. C'est pourquoi, vous devez penser à écrite des lignes de codes simples et surtout courtes.

Le site CODEINCOME montre quelques façons de réaliser du code court, touchant les thèmes suivants :
- Faire un meilleur usage des expressions booléennes
- Utilisez l'opérateur ternaire
- Remplacer tout en boucles avec des boucles for
- Ecrire récursivement
- Combinaison opérateurs arithmétiques et cession

- 5 Tips to Write Shorter PHP Code
le 12/07/2009 à 20:02
Nginx et PHP-FPM
La gestion des erreurs PHP se trouve dans la majorité des cas utilisée par Apache et mod_php.

Ce qui est moins courant, c'est qu'il existe d'autres options alternative et aussi compétente, il s'agit de coupler Nginx et PHP-FPM.

Cette technique a été décrite sur le site Wiip pour vous montrer comment l'insérer et l'utiliser dans votre production.

- Gestion erreurs PHP avec Nginx et PHP-FPM
le 11/07/2009 à 20:01
PHP Hidden Gem
Il arrive plus ou moins régulièrement de devoir résoudre un problème unique. Différentes approches et solutions sont possibles.

Ces solutions peuvent s'orienter sur un développement personnel ou de se rendre sur le site PHP.net pour voir si une solution existe déjà.

Le blog du site leftontheweb.com montre différentes manière possible pour aider à résoudre ce problème.

- PHP Hidden Gem: similar_text
Si la musique a progressivement fait l'impasse sur les mesures techniques de protection (DRM), il n'en va pas encore de même dans l'univers de la vidéo à la demande (VOD), où la plupart des offres basées sur le modèle du streaming (diffusion, par opposition au téléchargement) imposent l'utilisation du couple Windows / Windows Media Player.

Deux étudiants de Supinfo ont récemment tenté de répondre à cette problématique, en créant de toute pièce un service de vidéo à la demande, "Video@volonté", capable de fonctionner aussi bien sous Windows qu'avec Mac OS X ou Linux. Leur secret : l'utilisation du composant Silverlight de Microsoft, dont la version 3 est depuis quelques heures disponible au téléchargement.

Comparable, pour l'utilisateur final, au Flash d'Adobe, Silverlight est la technologie de diffusion de médias enrichis de Microsoft, proposée par l'éditeur pour Windows et Mac par l'intermédiaire du navigateur. Un portage vers Linux du composant a été effectué par l'intermédiaire du projet Mono.

Encore jeune, le service propose actuellement un catalogue d'environ 730 films et séries d'animation, mais il devrait rapidement s'étoffer selon ses fondateurs, Sylvain-Mathieu Lamarche et Sébastien Lutz, qui s'efforcent au quotidien de convaincre les distributeurs de leur fournir leurs contenus.

Films et séries sont proposés à la location pour une durée de 48 heures, la prestation étant généralement facturée de 0,99 à 4,99 euros, payable à l'acte ou sous forme de "crédits" qui peuvent être achetés en gros pour faire baisser le prix de l'acte unitaire. Pour l'instant, l'offre se compose essentiellement de films français, de documentaires, d'animations japonaises et de contenus jeunesse.
LoadingChargement en cours