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Améliorer l'information sur les métiers du Web, aussi bien auprès des demandeurs d'emploi que des étudiants, des professionnels en cours de reconversion ou des entreprises, telle est la mission du nouveau portail Web (metiers.internet.gouv.fr) inauguré mercredi par la secrétaire d'Etat au développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, et Bernard Benhamou, délégué aux usages de l'internet.

Conçu comme un "véritable guide des métiers", ce portail regroupe, au sein de douze catégories présentées sous la forme d'un éventail, plus d'une centaine de fiches métier, avec des camps d'activité allant de la technique à la communication en passant par l'éditorial, la maîtrise d'oeuvre et la maîtrise d'ouvrage, la programmation, la veille ou l'animation de communautés.

« A mesure que se créent de nouveaux services et de nouveaux usages de l'Internet, de nouvelles compétences et de nouvelles formations sont requises. Afin de favoriser une meilleure connaissance et une meilleure "lisibilité" de ces nouvelles compétences et de ces nouveaux métiers, la Délégation aux Usages de l'Internet a souhaité mettre un nouvel outil à la disposition de tous les acteurs de l'Internet », écrit dans un éditorial Bernard Benhamou.
Quelques heures après l'annonce officielle de Chrome OS, un blog surgi du néant publie ce qu'il présente comme les premières images exclusives du futur système d'exploitation de Google. En moins d'une demi-journée, ces photos floues au parfum de scoop relatif au sujet chaud du moment font le tour du Web. Devant l'ampleur du phénomène, l'auteur ne tarde pas à faire marche arrière et avoue que ces images ne sont qu'un vulgaire montage, non sans égratigner les internautes, les blogs et les médias qui se sont fait le relai du canular.

Le 9 juillet au matin, il ouvre sur la plateforme hébergée Wordpress un site, « chromeosleak », et poste quatre photos d'un ordinateur portable équipé d'une version préliminaire de Chrome OS. Il affirme travailler pour l'un des fournisseurs du fabricant Acer, et avoir eu accès par l'intermédiaire de ce dernier à une présentation en avant-première du système de Google. Un canular qui en moins de douze heures a fait le tour du Web

Dans son billet initial, il délivre quelques informations au sujet de ce supposé OS : l'installation prend moins de dix minutes, le système est étonnamment réactif, surtout pour une version de test, deux modes de navigation au sein des fichiers sont proposés, etc. Au terme d'une abondance de détails, dont la farfelue touche Chrome qui viendrait remplacer la touche Windows, il confesse risquer de perdre son poste si ses supérieurs ont vent des photos qu'il a prises en une dizaine de secondes et en tremblant.

Bien qu'il redoute les foudres de son employeur, il prend soin de faire savoir que ces photos existent à quelques blogs américains qui, attirés par l'odeur du scoop, relaient rapidement ces images. Portées à l'attention du public, ces dernières sont alors commentées sur les forums, réseaux sociaux et blogs, puis rapidement reprises par bon nombre de sites Internet, professionnels ou amateurs, qui parfois les utilisent pour illustrer leur sujet du jour sur Chrome OS, ou leur consacrent un article dédié. Bien sûr, le conditionnel est systématiquement de rigueur et tous soulignent que ces images peuvent tout à fait être des faux, mais les publications les ayant reprises se comptent par dizaines sur le Web anglophone.

"Je suis désolé que vous y ayez cru. C'était un très mauvais essai. Vous êtes tous des gens intelligents. Je n'avais pas prévu que les choses prennent une telle ampleur. Mais elles l'ont fait", indique l'auteur de la supercherie, douze heures après la publication de son billet initial. Il accompagne la révélation du pot aux roses d'une séquence vidéo qui illustre à quel point le Web s'est embrasé pour cette poignée de captures.

A l'heure où certains louent l'efficacité des réseaux sociaux tels que Twitter pour la dissémination instantanée de l'information, l'anecdote illustre à quel point il convient de prendre un peu de recul et de s'accorder le temps de la réflexion avant de bondir sur la moindre information aux relents du scoop. Une leçon de morale qui vaut aussi bien pour les médias - à commencer par notre rédaction ! - que pour leurs lecteurs.
le 09/07/2009 à 19:16
PHPunit pour Eclipse
Un plug-in que j'attendais et je pense pas être le seul, comme le signale le site PHPpro, un wrapper plug'in pour la gamme Eclipse (PHP, PDT...) est disponible pour permettre d'effectuer des tests unitaire en intégrant PHPUnit pour Eclipse.

Il s'intègre au plugin Junit 4 existant dans Eclipse JDT pour afficher les résultats dans Junit.

Il s'agit d'une première version vous permettant d'effectuer des tests unit.

- phpunit4eclipse
La mention « bêta » ajoutée à un service ou un logiciel est normalement utilisée pour prévenir l'utilisateur qu'il peut éventuellement rencontrer quelques bugs de fonctionnement. Cependant, dans le cas de Google, les choses ne sont pas aussi simples. Sorti en 2004, Gmail, le service de courrier électronique de Google, est finalement arrivé en version finale, après une longue phase d'évaluation de cinq années. Ce label a fait couler beaucoup d'encre et tandis que certains pariaient sur une bêta permanente, d'autres estimaient que cette pratique portait inévitablement préjudice aux autres services véritablement en phase de test.

En effet, avec ses quelque 150 millions d'utilisateurs, Gmail est depuis longtemps un produit fonctionnel en perpétuelle croissance. Au fil des années, plusieurs fonctionnalités ont été rajoutées au service avec l'intégration du module de chat de GTalk, une nouvelle interface plus ergonomique, une série de thèmes ou encore différents plugins à activer au sein du Gmail Labs. Google y a également intégré plusieurs technologies comme la prise en charge du POP ou de l'IMAP.Données de janvier 2009, +43% pour Gmail en 2008

"Aujourd'hui la bêta est une chose du passé", explique Keith Coleman, directeur du produit Gmail, avant de préciser : "pas simplement Gmail mais tous les produits de Google Apps - Gmail, Agenda, Docs, et Talk". Cette migration en version finale avait déjà été annoncée au mois de mai dernier. Lors de la conférence Google I/O, l'ingénieur Matt Glotzbach soulignait que si la souscription Google Apps Premier Edition n'était plus identifiée comme étant en version d'évaluation, les services Google Documents et Google Agenda étaient toujours en bêta. Jonathan Rochelle, chef produit de Google Documents, affirmait alors : " nous allons nous pencher la-dessus très bientôt, nous allons trouver un moyen de corriger cela".

Sortir de bêta, c'est également s'ouvrir aux partenaires commerciaux et la société californienne compte bien déployer ses versions payantes de Google Apps au sein des petites et moyennes entreprises encore effrayées à l'idée d'investir dans un produit labellisé "bêta ». Mais que les puristes se rassurent, Google a pensé à tout et met à disposition un nouveau plugin de GMail Labs baptisé « Retour à la version bêta", signe que la firme de Mountain View n'entend pas pour autant stopper le développement du produit.
Lorsque le Web part à la rencontre du logiciel... Après le lancement d'une suite bureautique en ligne, puis d'un navigateur Web, Google poursuit ses incursions dans le domaine du logiciel avec l'annonce, dans la nuit de mardi à mercredi, d'un système d'exploitation conçu par ses soins : Google Chrome OS. Destiné dans un premier temps aux netbooks mais compatible avec tout ordinateur personnel, ce système d'exploitation open source se veut particulièrement léger, centré autour du navigateur Web et des services en ligne. Le code source sera publié d'ici la fin de l'année, pour une mise à disposition générale dans le courant du second semestre 2010.

Une annonce surprenante ? Peut-être pas. Depuis 2006, la rumeur prête à Google l'intention de concevoir un système d'exploitation minimaliste, entièrement tourné vers le Web et les services en ligne : Gmail pour la messagerie, Google Talk pour les communications, Google Docs pour la bureautique et le travail collaboratif, etc. Seule manquait à Google la pierre angulaire permettant de porter ces applicatifs hébergés sur le poste client, une case aujourd'hui comblée par le navigateur Web maison, Chrome.

Si le futur OS de Google tire son nom de ce navigateur, c'est qu'il occupera une place centrale au coeur du système, composé d'un simple noyau Linux auquel la firme de Mountain View greffera une interface utilisateur fenêtrée, et minimaliste. "Rapidité, simplicité et sécurité sont les aspects clé de Google Chrome OS", promettent Sundar Pichai, vice président produit et Linus Upson, responsable de l'ingénierie, sur le blog officiel de Google. "Comme nous l'avons fait avec notre navigateur Google Chrome, nous revenons aux fondamentaux et repensons complètement l'architecture qui sous-tend l'ensemble du système, de façon à ce que les utilisateurs n'aient pas à se préoccuper des virus, des malwares ou de mises à jour de sécurité. Ca doit simplement fonctionner".

"Pour les développeurs d'applications, le Web sera la plateforme. Toutes les applications en ligne fonctionneront automatiquement, et de nouvelles pourront être écrites à l'aide de vos technologies Web favorites", ajoutent les représentants de Google, selon qui la grande force de ce modèle viendra de ce que les applications écrites avec Chrome OS en ligne de mire pourront également fonctionner avec tous les autres systèmes du marché, dans la mesure où elles seront accessibles au travers du navigateur.

Compatible aussi bien avec les processeurs x86 (ordinateurs ) qu'avec l'architecture ARM (smartphones), Google Chrome OS est présenté comme un projet distinct d'Android, le système d'exploitation mobile de la firme. "Bien qu'il y ait certaines zones sur lesquelles Google Chrome OS et Android se chevauchent, nous pensons que la possibilité de choisir motivera l'innovation, pour le bénéfice de tous, y compris de Google", explique la firme.

Alors que les premiers netbooks ont fait leur entrée sur le marché équipés de distributions Linux, l'industrie est progressivement repassée à Windows. XP tout d'abord, puis bientôt 7, puisqu'une version du futur système d'exploitation de Windows sera tout spécialement réservée aux netbooks. Le secteur pourrait toutefois faire machine arrière, surtout s'il se voit offrir la possibilité d'intégrer un système d'exploitation gratuit, léger, et porté par une marque forte comme celle du numéro un mondial de la recherche en ligne, dont le navigateur est déjà utilisé par trente millions d'internautes dans le monde.

Le fait que ce système d'exploitation soit dévoilé cette semaine, plus d'un an avant la date prévue pour sa sortie, n'est peut-être pas un hasard : Microsoft tient à partir du 13 juillet prochain sa Worldwide Partners Conference, lors de laquelle les responsables de la firme devraient procéder à d'importantes annonces relatives à Windows 7 (mise à disposition de la RTM) ainsi qu'à la stratégie de l'éditeur en matière de services hébergés et accessibles au travers du navigateur. "Dans la mesure où nous sommes déjà en discussion avec nos partenaires à propos de ce sujet, et travaillerons bientôt avec la communauté open source, nous voulions partager notre vision des choses dès maintenant de façon à ce que tout le monde sache ce que nous essayons de réaliser", se contente d'affirmer Google.
Après l'email, la messagerie instantanée, le SMS ou encore les réseaux communautaires, le spam se déguise sous une nouvelle forme : l'URL raccourcie. Proposée aux internautes depuis plusieurs années avec le pionnier du genre TinyURL.com, l'usage s'est véritablement démocratisé sur les réseaux communautaires et notamment les services de micro-blogging tels que Twitter n'autorisant la publication de messages limités à quelques dizaines de caractères.

Plusieurs start-ups ont emboité le pas à TinyURL, c'est notamment le cas de Is.gd, Bit.ly ou encore Ow.ly. Paul Wood, analyste principal au département MessageLabs intégré à Symantec en novembre 2008, explique : "il existe littéralement des douzaines de sites Internet offrant des services de réduction d'URL et les spammeurs se sont rendus compte qu'en utilisant ces services ils peuvent contourner les systèmes de sécurité CAPTCHA ou la création d'un compte utilisateur" avant de pouvoir publier leur liens.

Cette technique permet également de masquer la véritable destination d'un lien hypertexte, lequel peut mener à un site frauduleux dont la page embarque du code malveillant. M. Wood précise qu'à l'image de Donbot, il existe des botnets spécialisés dans l'envoi de spam par URL raccourcies (5 millions par jours). Aujourd'hui cette technique représenterait 2% du spam total.

Notons qu'en cas de doute, il existe plusieurs solutions pour connaître le lien hypertexte initialement raccourci.
Il revient désormais à Frédéric Mitterrand, récemment intronisé ministre de la Culture, de porter le flambeau Hadopi. Une tâche dont le successeur de Christine Albanel a commencé à s'acquitter mercredi matin, au micro de RTL, quelques heures avant l'examen au Sénat du volet répressif du texte visant à compléter la loi "Création et Internet" votée en mai dernier.

Interrogé par Jean-Michel Aphatie, Frédéric Mitterrand a dit défendre « très nettement » la loi Hadopi, avant d'expliquer qu'il convient selon lui de réglementer le problème et sanctionner les contrevenants tout en engageant une réflexion sur le financement de l'industrie culturelle et la rémunération des créateurs.

« C'est vrai que globalement un certain nombre d'Internautes sont hostiles au vote de la loi.  », a reconnu le ministre de la Culture. « Ça ne m'est pas du tout égal ; mais je regarde en face de moi, le fait qu'il y a un milliard de fichiers qui sont piratés, chaque année, c'est énorme quand même ! que la vente de disques a baissé de 50% ; que la vente des DVD a baissé de 30%. Il y a quand même véritablement un problème », a-t-il ajouté.

« Il faut malheureusement sanctionner, mais on sanctionne tous les délits. On sanctionne les choses qui se passent sur la route et qui ne sont pas bien ; c'est un peu comme le permis de conduire », a encore indiqué le neveu de feu François Mitterrand.

« Ils dansent autour d'Hadopi, en tout cas. », a plaisanté Frédéric Mitterrand au sujet des sénateurs, dont le programme prévoit l'examen de la nouvelle loi Hadopi de mercredi après-midi à jeudi midi.

Après la censure du volet répressif de la première loi Hadopi, le Parlement a en effet été saisi d'un nouveau texte, conçu dans l'urgence par le gouvernement, qui répond aux objections du Conseil constitutionnel en conférant au juge les pouvoirs de sanction initialement réservés à la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi).

Plus dur, en l'état, que la version initiale de la loi, le projet prévoit que le juge puisse prononcer des peines relatives au délit de contrefaçon (puni d'un maximum théorique de 300.000 euros d'amende et de trois ans d'emprisonnement), doublées d'une éventuelle suspension d'un an de l'abonnement à Internet.

La commission des Affaires culturelles du Sénat, emmenée par Michel Thiollière, offre également au juge la possibilité de sanctionner un autre délit, la "négligence caractérisée" en matière de surveillance de son accès à Internet. Dans ce cas, la loi prévoit une contravention de cinquième classe pouvant donner lieu à un maximum de 1500 euros d'amende ainsi qu'à une suspension d'abonnement de un mois.

Débats houleux en vue ?

Si certaines des objections formulées par le Conseil constitutionnel sont bel et bien contournées avec ce nouveau texte, quelques zones d'ombre subsistent, et les débats au Sénat, puis à l'Assemblée à partir du 20 juillet prochain, devraient donner lieu à de nouveaux rebondissements dans le feuilleton Hadopi. Selon l'AFP, les sénateurs socialistes, qui avaient approuvé la première mouture de la loi, ont d'ores et déjà fait part de leur intention de voter contre ce texte.
Il n'aura finalement fallu que quelques heures, au Sénat pour statuer sur le sort de la loi présentant le nouveau volet répressif du dispositif "Hadopi", mercredi après-midi. Sans passion, les sénateurs ont débattu des 16 amendements déposés, refusé un retour en commission demandé par l'opposition, et finalement approuvé le texte par 189 voix contre 142.

Alors que le Sénat avait dans sa quasi-majorité voté la première mouture de la loi Hadopi, l'opposition a cette fois choisi de se prononcer contre le nouveau texte, qui pose pour mémoire les bases du volet répressif du système mis en place pour enrayer le téléchargement illégal sur Internet. Plus dur que la première loi, le projet prévoit que le pouvoir de sanction revienne entre les mains du juge, de façon à satisfaire aux objections formulées par le conseil constitutionnel.

Michèle Alliot-Marie et Frédéric Mitterrand, respectivement ministre de la Justice et ministre de la Culture, ont tous deux défendu le bien-fondé d'une loi "efficace", "dissuasive" et « parfaitement respectueuse des droits de la défense », en dépit des objections soulevées par certains sénateurs de l'opposition.

« Ce projet de loi ne remet nullement en cause la présomption d'innocence : il reviendra au parquet, sous le contrôle du juge, de prouver que l'abonné s'est rendu coupable de négligence par des faits objectifs et tangibles. Il ne suffira pas d'avoir constaté des téléchargements illégaux sur sa ligne : il faudra que l'abonné, averti, n'ait pris aucune mesure pour y mettre fin. », a notamment assuré la garde des Sceaux.

Pendant quelque quatre heures, critiques rapidement présentées et assertions rassurantes quant à la constitutionnalité du texte et au respect des droits des parties se sont succédées sans que ne soit réellement débattu le fond du texte. Sans surprise et conformément aux intentions de vote formulées par les différents groupes politiques, ce dernier a donc été adopté. Il est maintenant prêt pour la prochaine étape de la navette parlementaire : le passage devant l'Assemblée nationale, où son examen devrait débuter le 21 juillet au matin.
le 08/07/2009 à 20:08
Typage des arguments avec PHP
Le typage des arguments d'une fonction en PHP fut un gros débat lors de la sortie de PHP 5.2. Avec la nouvelle version (PHP 5.3) qui vient de sortir, le sujet du typage revient dans les sujets par l'initiative de Ilia Alshanetsky.

Ilia avait proposé un patch pour PHP 5.2 en rajoutant un support à fois complet et souple. Maintenant il l'a porté pour PHP 5.3 et en profite pour relancer le débat.

- Type hinting for PHP 5.3
Microsoft met aujourd'hui en garde les utilisateurs d'Internet Explorer, puisqu'une faille permettant à un utilisateur malveillant d'infiltrer des ordinateurs a été découverte. C'est de nouveau un contrôle ActiveX qui est en cause, avec cette fois le module Microsoft Video. Si les attaques ne ciblent pour l'heure que les ordinateurs sous Windows XP, Microsoft recommande de désactiver le Microsoft Video ActiveX Control d'Internet Explorer sous Windows Vista également.

De nombreuses pages exploitant cette faille auraient récemment fait leur apparition sur la Toile, y compris des pages issues de sites internet légitimes, piratés pour l'occasion. Un malware serait ainsi diffusé depuis le site de l'ambassade de Russie à Washington.

Les internautes sont donc invités à redoubler de prudence et à ne pas cliquer sur n'importe quel lien, en particulier dans les emails et dans les conversations des messageries instantanées. Microsoft précise en outre qu'un pirate ne peut obtenir que les privilèges de l'utilisateur courant, et souligne ainsi le danger d'utiliser son ordinateur avec un compte administrateur.

Un outil permettant de désactiver en quelques clics le Microsoft Video ActiveX Control est disponible à cette adresse, en attendant qu'un correctif soit trouvé.
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