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le 22/06/2009 à 22:44
PHP 5.3 RC4
La nouvelle version de PHP 5.3 RC 4 vient de sortir quelques jours après la RC 3.

Cette version se concentre sur les corrections de bugs et améliorations de la stabilité.

Avec ces nouvelles versions RC, la version stable de PHP 5.3.0 se trouve être en bonne ligne d'arrivée.

De nombreuses personnes sont actifs sur la nouvelle version tant pour la stabilité, que pour la doc.

- Communiqué PHP 5.3 RC 4
- Guide complet des mises à jours de PHP 5.3
Les expressions régulières, ou pour parler plus correctement les expressions rationnelles, sont une manière extrêmement puissante mais également assez déroutante de manipuler des chaînes de caractères.

Ce guide recense une multitude d'outils, de pense-bêtes et d'exemples d'utilisations.

- Essential Guide To Regular Expressions: Tools and Tutorials
le 21/06/2009 à 23:43
Compression du code source PHP
Matt de Sun s'est de nouveau penché sur la compression du code PHP.

Lors de son premier article, il nous montre comment utiliser les techniques de compression avec QueryPath.

Un exemple source est fourni pour montrer à tous, la facilité d'effectuée cette opération.

Pour la Partie 2, Matt revient sur la compression en utilisant la bibliothèque « tokenizer » avec bien sur un exemple pour illustrer.

Bien sur pour compresser, les points importants concernent :
- Mettre un ensemble de fichiers dans un seul fichier
- Supprimer les commentaires
- Enlever les espaces blancs
- Garder la sortie en état pour PHP.

- Compressing PHP source code
- Redux: Compressing PHP source code
le 20/06/2009 à 23:42
PHP Arrays vs. SplObjectStorage
La librairy standard PHP offre aux développeurs PHP d'excellents outils qui, dans certains cas, peut faire un peu de différence de performance de certains de leurs homologues dans le reste de la langue .

Matt Butcher effectue une comparaison deux caractéristiques de tableaux :
- Normal
- Les tableaux SplObjectStorage caractéristique de la SPL.

Cette comparaison très documentée, avec du code vous montrera une bonne analyse.

- A Set of Objects in PHP: Arrays vs. SplObjectStorage
le 19/06/2009 à 22:37
PHP 5.2.10
L'équipe de développement de PHP annonce la disponibilité de la nouvelle version de PHP 5.2.10.

Cette version se concentre sur l'amélioration de la stabilité de la branche 5.2.x de PHP avec plus de 100 corrections de bogues, dont l'un est lié à la sécurité. Tous les utilisateurs de PHP sont encouragés à passer à cette version.

- PHP 5.2.10 Released
Pour son nouveau moteur de recherche Bing, Microsoft met en place plusieurs outils afin de sécuriser au maximum les résultats retournés suite à une requête. Ainsi, après avoir annoncé la création du sous-domaine explicit.bing.net, permettant de filtrer le contenu à caractère pornographique, l'équipe précise que d'autres technologies de filtrage ont également été mises en place.

Dans un billet publié sur le blog officiel de Bing, Sasi Parthasarathy, en charge de superviser la qualité de l'indexation, explique : "les éditeurs de malware ciblent principalement les requêtes populaires sur les logiciels d'antivirus, les téléchargements gratuits et autres mots-clés techniques connexes. Leur objectif est de tromper le moteur de recherche afin que leurs sites de malware soient au top du classement des requêtes populaires". L'ingénieur affirme alors que Bing embarque une palette d'outils permettant de filtrer "une proportion significative des sites dangereux", sans préciser toutefois de chiffre exact.

Les efforts de Microsoft porteront-ils leurs fruits ? Pour l'instant la firme de Redmond peut se frotter les mains. D'après le cabinet d'analyse ComScore, 12,1% des recherches aux Etats-Unis auraient été effectuées via Bing la semaine du 8 au 12 juin, contre 11,3% la semaine du 1er juin lors du lancement médiatique du successeur de Live Search. Pour certains experts, les efforts de l'équipe de Bing en matière de sécurité pourraient notamment encourager les institutions publiques et les entreprises à adopter ce moteur par défaut.
Annoncée en grandes pompes il y a déjà deux ans par Orange, Neuf ou Free, la fibre optique peine encore à s'imposer dans les foyers français avec environ 170 000 abonnés dont 120 000 pour le seul... Numéricâble (étude Arcep fin 2008).

Car bien que les actuels opérateurs ADSL aient tous choisi une stratégie FTTH (Fiber To The Home, accès jusqu'au domicile de leurs clients), ces derniers ont perdu pratiquement deux ans en raison de problèmes tant technologiques (incompatibilité entre le GPON retenu par Orange et SFR ou le Point à Point retenu par Iliad) que juridiques (négociations avec les syndics, montant des reversements entre opérateurs).

A l'inverse de ses concurrents, Numéricâble a fait le choix du FTTB (Fiber To The Building), un déploiement de la fibre optique jusqu'au pied de l'immeuble puis un raccordement au câble coaxial déjà mis en place pour les traditionnels services de télévision, d'internet et désormais de téléphonie.

Parfois perçue comme marginale, la stratégie de Numéricâble apparaît pourtant comme la plus pertinente dans la dernière étude de l'Idate. Cet institut, spécialisé dans l'étude du secteur des télécoms, rappelle d'ailleurs que le FTTB représente aujourd'hui près d'un déploiement sur deux en Europe (47%) et qu'avec 3 millions de foyers raccordables, Numéricâble représente à lui tout seul plus de 21% de la base installée FTTH+FTTB de tout le vieux continent !

Peut être moins pérenne que le FTTH point à point dont le débit peut théoriquement dépasser le gigabit, le déploiement FTTB de Numéricâble apparaît en tout cas comme une solution réaliste pour tous les consommateurs souhaitant disposer d'une centaine de megabits pour surfer ou accéder simplement à des programmes de télévision HD. Reste pour Numéricâble à faire oublier Noos et à repartir à la conquête d'internautes, souhaitant s'affranchir de l'ADSL pour bénéficier des joies du "très haut débit".
Après le rachat de la société Grand Central en 2007, Google a levé le voile sur le service de convergence téléphonique Google Voice en bêta privée et réservé aux clients actuels de Grand Central.

Premièrement réservé au marché américain, Google Voice permet de centraliser l'ensemble de ses lignes téléphoniques au sein d'une même boite vocale, laquelle est également accessible au travers d'un navigateur. Une technologie de reconnaissance vocale permet de transformer automatiquement le message audio sous forme d'email. Afin de profiter de cette nouvelle génération de répondeur, l'utilisateur devra cependant rattacher l'ensemble de ses numéros (mobile, maison, travail...) vers un nouveau compte unique à distribuer à tous ses contacts. Nous apprenons désormais que la société de Mountain View a réservé un million de nouveaux numéros de téléphone auprès de la firme Level 3 Communications. Cela pourrait signifier que Google Voice ne devrait plus tarder à s'ouvrir au grand public.

L'arrivée de Google Voice sur le continent européen n'est donc pas encore pour tout de suite mais si le service s'avère populaire outre-Atlantique, cela pourrait très certainement donner quelques idées aux fournisseurs d'accès à Internet disposant des infrastructures nécessaires. Outre Orange/France Telecom, Free pourrait être intéressé par une telle convergence, notamment s'ils obtiennent une licence 3G et souhaitent réellement chambouler le marché de la téléphonie mobile. Avec son forfait quadruple play Bouygues Telecom a déjà cogité cette idée. En plus de proposer une boite mail @bbox.fr, l'utilisateur y retrouve également ses MMS, son journal d'appels, les messages du répondeur et propose d'envoyer SMS et MMS à partir de l'interface web. Lors du lancement de la Bbox, Franck Abihssira, directeur du FAI, expliquait alors : "il y a une forte demande de la part des clients pour une convergence des moyens de communication".

Reste à savoir si Google a l'ambition de déployer Google Voice à travers le monde, et si tel est le cas, sauront-ils arriver à temps et empiéter sur les acteurs locaux ?
1,92 million de dollars, pour 24 titres téléchargés, soit 80.0000 dollars le morceau. Telle est l'amende record dont vient d'écoper l'américaine Jammie Thomas-Rasset, dont on rapporte qu'elle eut le souffle coupé à l'annonce du verdict. Depuis 2007, la jeune femme fait l'objet d'une procédure initiée par la RIAA, association représentant les intérêts de l'industrie du disque aux Etats-Unis, qui la soupçonnait d'avoir téléchargé et mis à disposition quelque 1700 titres par l'intermédiaire du logiciel de P2P Kazaa. Seuls 24 d'entre eux ont finalement été retenus par l'accusation.

En 2007, Jammie Thomas s'était déjà vue condamnée à verser 220.000 dollars aux maisons de disque représentées par la RIAA pour les mêmes faits. Courant 2008, le juge en charge de l'affaire décide finalement d'invalider la décision prononcée par le jury fédéral, estimant que la diffusion effective des morceaux sur Internet, principale motivation de cette impressionnante condamnation, n'avait pas été parfaitement démontrée.

Alors que différentes affaires ont déjà mis en cause les méthodes employées par la RIAA pour détecter les amateurs de téléchargement illégal, le procès en révision de Jammie Thomas aura finalement conduit à une nouvelle condamnation, avec une amende dont le montant est près de dix fois supérieur à celle qui avait été prononcée en 2007. Les anglophones pourront retrouver un historique complet du procès sur le site ArsTechnica.

L'affaire ne devrait toutefois pas en rester là. En parallèle du procès, l'avocat de Jammie Thomas a indiqué qu'il cherchait à intenter une action collective contre la RIAA, basée sur le fait que la firme d'enquêteurs Media Sentry embauchée par la RIAA pour collecter les adresses IP suspectes ne possède pas de licences de détective privé dans le Minnesota.
L'éventualité de nouveaux démêlés avec les sociétés d'auteur américaines n'empêche pas Google de continuer à avancer sur son projet de "bibliothèque universelle", Google Book Search. Le numéro un mondial de la recherche en ligne a en effet procédé cette semaine à une légère refonte de son service.

Parmi les nouveautés, on signalera une navigation améliorée au sein des ouvrages, avec un menu permettant d'accéder directement à un chapitre donné, un nouveau mode de visualisation basé sur des miniatures, ou la possibilité d'effectuer un lien hypertexte vers un contenu bien précis. Outre un moteur de recherche amélioré, Google Books permet maintenant d'intégrer à son site ou à son blog un lecteur affichant le contenu d'un des ouvrages stockés sur le service.

Depuis l'ouverture du service en 2004, Google suscite la désapprobation des principales sociétés d'auteur américaines, qui lui reprochent de diffuser des ouvrages soumis au droit d'auteur sans autorisation préalable des ayants droit. Google légitime quant à lui sa démarche en expliquant qu'il met à disposition des extraits ou l'intégralité d'ouvrages qu'il est difficile de se procurer, et dynamise le marché en proposant des liens directs vers les services marchands susceptibles de les commercialiser.

Depuis, il a été décidé qu'une partie des revenus publicitaires générés par Google via son outil recherche de livres soit redistribuée aux auteurs et aux éditeurs américains. Le département de la Justice américain vient toutefois d'ouvrir une enquête afin de déterminer si cet accord ne viole pas les lois antitrust. Les autorités européennes de la Concurrence pourraient également se pencher sur le dossier.
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