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le 01/05/2009 à 23:50
PHPPowerPoint 0.1
PHPPowerPoiint est une nouvelle API vous permettant de vous aider à lire les fichiers Microsoft PowerPoint.

Basé sur le même principe que PHPExcel, PHPPowerPoint peut être utiliser pour générer des fichier pptx d'une application PHP. Cela peut se faire par lacréation d'une présentation en mémoire qui se compose de diapositives et de formes différentes qui peuvent être écrites sur le disque au moyen d'un écrivain.

Le blog Maarten Balliauw montre quelques utilisations.

- PHPPowerPoint site officiel
- Extrait de programmation PHPPowerPoint
Un aperçu à la future version d'iTunes laisse entrevoir une allusion explicite à la prise en charge des disques Blu-ray, et laisse penser que les ordinateurs Mac d'Apple pourraient prochainement s'enrichir de la prise en charge de ces disques optiques dédiés à la haute définition.

Apple a publié cette semaine la quatrième version bêta du futur firmware 3.0 destiné aux iPhone et iPod Touch, dont la déclinaison finale devrait être rendue disponible début juin, à l'occasion de la conférence WWDC. Pour la première fois, cette nouvelle bêta, à laquelle seuls les développeurs enregistrés auprès d'Apple peuvent accéder, impose l'installation d'une nouvelle version d'iTunes, également en bêta, estampillée 8.2.

L'écran d'information associée à celle-ci évoque toujours l'association avec le système Gracenote, qui permet de récupérer en ligne des informations contextuelles liées à un CD (la jaquette par exemple), pour laquelle est mentionnée la prise en charge des DVD et des Blu-ray. Jusqu'ici, aucun de ces deux formats n'était indiqué.

Cette discrète apparition n'est-elle qu'une simple mise à jour de routine, visant à maintenir les messages contractuels à jour, ou signale-t-elle la gestion prochaine des disques Blu-ray au sein de Mac OS X ? Pour l'instant, la question reste ouverte.
De l'intérêt de séparer vie privée et contacts professionnels ? Une salariée de l'assurance Nationale Suisse a été remerciée par son employeur, au motif qu'elle avait mis à jour son profil Facebook lors d'un arrêt maladie.

Révélée par l'édition suisse allemande de 20 Minutes, l'histoire remonte à novembre 2008. Souffrant de migraines, la jeune femme demande un congés maladie, au motif qu'elle ne peut passer sa journée devant un écran, et doit rester dans l'obscurité pour soulager ses douleurs. Alitée, elle passe le temps, et décide de mettre à jour son profil Facebook depuis son téléphone portable.

Une semaine plus tard, elle est convoquée par sa direction, qui lui signifie son renvoi, en lui expliquant que si elle pouvait surfer sur Facebook, elle était sans doute en mesure d'accomplir son travail.

Plus fort que l'inspection du travail ? La jeune licenciée raconte que peu de temps avant cet incident, elle a accepté un contact non identifié sur Facebook et suppose que c'est par ce biais que son employeur a eu vent de ses mises à jour. Ce dernier nie toute tentative d'espionnage, et dit avoir été mis au courant par un collaborateur.
Fête du Travail, mais aussi journée traditionnellement dévolue aux revendications sociales, le 1er mai verra cette année un défilé anti-Hadopi. Organisé par différents groupes d'intérêt soucieux d'interpeller l'opinion publique à quelques jours de la reprise des débats relatifs à la loi Création et Internet à l'Assemblée nationale, le 4 mai, le cortège s'ébranlera à Paris, vendredi à 14 heures, à partir de l'angle de l'avenue Denfert-Rochereau et de l'avenue de l'Observatoire, sous l'égide de l'intersyndicale des journalistes, également concernée par le projet de loi de lutte contre le piratage.

« Au prétexte de protéger l'industrie culturelle contre le téléchargement illégal, le gouvernement autorise la mise en place de milices privées du net, la surveillance a priori des réseaux et la coupure de la connexion Internet. », explique dans un communiqué le FDN (French Data Network), rejoint par des associations comme Libre-Accès, Kassandre, Inlibroveritas ou Musique Libre.

« Cédant aux pressions d'une minorité d'éditeurs qui ont tourné le dos à leur engagement premier, la Commission des lois a introduit des amendements qui dépouillent les journalistes de la majorité des droits qu'ils ont aujourd'hui sur leurs oeuvres et ruinent l'espoir d'une sérénité retrouvée dans bien des rédactions. Le SNJ, première organisation de journalistes, dénonce vigoureusement ce revirement qui pourrait conduire le Pouvoir législatif à mettre à mal une démarche portée par une majorité de partenaires sociaux et la totalité de la profession, pour satisfaire les seuls appétits de quelques intérêts privés. », souligne de son côté le syndicat des journalistes dans un communiqué du 29 avril.

Une partie des députés les plus virulents envers le texte devraient se joindre au mouvement, parmi lesquels Partick Bloche, Jean-Pierre Brard, Nicolas Dupont-Aignan ou Alain Lipietz. Les manifestants défileront pour l'abandon du projet de loi, et demanderont que l'on favorise « l'émergence de modelés économiques alternatifs aux grands conglomérats assurant une juste rémunération des artistes ».
Depuis la mise en place, avec Windows XP, du programme de vérification de licence Windows Genuine Advantage (WGA), Microsoft a pour politique de réserver les mises à jours et téléchargements optionnels à valeur ajoutée aux détenteurs d'un système acquis légalement. En revanche, tous peuvent accéder aux correctifs de sécurité, même ceux qui utilisent un Windows piraté. L'éditeur vient d'indiquer qu'il en irait de même avec son futur système d'exploitation, Windows 7.

"Laissez moi être clair : l'ensemble des mises à jour de sécurité sera accessible à tous les utilisateurs", écrit sur le blog de l'équipe Vista Paul Cooke, de Microsoft. "Non seulement les mises à jour de sécurité iront sur tous les systèmes, mais les systèmes Windows non validés peuvent installer service packs, mises à jour cumulatives, ainsi que les correctifs importants relatifs à la fiabilité ou la compatibilité applicative".

L'objectif, pour Microsoft, est bien sûr d'éviter la propagation des menaces virales, qui pourraient faire des ravages parmi les rangs des détenteurs de systèmes piratés si les mises à jour de sécurité ne leur étaient pas accessibles.

"Cela ne veut pas dire que toutes les mises à jour seront accessibles aux licences non validées. Les mises à jour à valeur ajoutée ou les logiciels (proposés au téléchargement) pourront être bloqués, à la discrétion de Microsoft", prévient-il toutefois. Ce faisant, il confirme indirectement que Windows 7 devrait bien embarquer un module WGA, chargé de vérifier que la licence enregistrée par l'utilisateur est bien valide.
Après que le premier ministre François Fillon a annoncé les conditions d'attribution de la quatrième licence 3G dans l'Hexagone, Eric Besson, alors secrétaire d'État à l'économie numérique, précisait qu'un appel d'offres devrait être effectué à la fin du mois de février.

Pourtant, cet appel d'offres n'a toujours pas été lancé et le gouvernement s'est récemment expliqué au sujet de ce retard. En effet, selon un communiqué de l'AFP, Luc Chatel, secrétaire d'Etat chargé de l'industrie et de la Consommation, a expliqué sur Radio Classique : "nous avons décidé, pour être absolument inattaquables sur ce point, de demander une étude complémentaire sur le montant de la licence".

Dans les années 2000, chacun des trois opérateurs Orange, SFR et Bouygues Telecom avait dû s'acquitter de 619 millions d'euros pour obtenir une licence d'utilisation d'un lot de fréquence à 15 MHz. Puisque les fréquences ont été divisées en trois lots, en février dernier, le gouvernement avait décidé de vendre chacun d'entre eux pour 206 millions d'euros.

Orange, SFR et Bouygues Telecom, qui ne voient pas d'un bon oeil l'arrivée d'un quatrième opérateur sur le marché de la 3G, avaient déclaré à plusieurs reprises qu'ils pourraient très bien saisir la justice s'ils estimaient les conditions financières de ces nouveaux lots anti-concurrentiels.

Monsieur Chatel précise : "nous avons demandé à la commission chargée d'évaluer les actifs de l'État de vérifier que ce montant correspond clairement à l'évaluation de la quatrième licence". Cette étude devrait se dérouler sur plusieurs semaines et l'appel d'offres serait finalement lancé dans le courant de cet été.
Jason Milmont, âgé d'une vingtaine d'années, vient d'être condamné à cinq ans d'emprisonnement avec sursis pour avoir créé l'un des malware les plus sophistiqués selon les experts.

En effet, l'année dernière, le jeune homme de Cheyenne, dans l'état du Wyoming, avait plaidé coupable pour la création du ver Nugache, qui aurait infecté entre 5000 et 15 000 machines en 2007. Ces ordinateurs, devenus zombis, composaient un botnet utilisé pour recueillir des informations bancaires, tels que les numéros de cartes de crédit rentrés sur Internet. En plus de cette peine, il devra payer une amende de 36 859 dollars à hauteur de 250 dollars tous les mois.

Selon John Powell, porte-parole du procureur, le juge Williams Downes - en charge de cette affaire - affirmait que "le jeune était très talentueux et espérait qu'il le mettrait à profit pour la bonne cause".

Dave Dittrich, un chercheur de l'Université de Washington, affirme que Jason Milmont aurait crée une nouvelle technique de gestion de botnets en utilisant un réseau peer-to-peer. "Il s'agit d'une manière très différente de contrôler plusieurs ordinateurs tout en se dissimulant davantage", explique l'expert à ComputerWorld. D'ailleurs le ver Conficker, qui défraie la chronique depuis quelques temps, utiliserait une méthode similaire. "D'un certain côté, Nugache faisait un meilleur usage du peer-to-peer que Conficker", ajoute Dave Dittrich.
L'éditeur français des solutions Mandriva Linux annonce aujourd'hui la disponibilité de Mandriva Linux 2009 Spring en version finale. Initialement développée en juillet 1998 sous le nom de Mandrake Linux, la distribution compterait à ce jour 4 à 5 millions d'utilisateurs à travers le monde.

Pour cette nouvelle mouture, la société a misé sur l'ergonomie de l'interface tout en axant sur un usage multimédia. L'interface choisie par défaut est KDE en version 4.2.2 mais il est toujours possible d'installer GNOME (v 2.26) ou un autre gestionnaire de fenêtres. Nous retrouvons toujours l'intégration de Compiz qui permet d'obtenir des effets 3D. Selon Anne Nicolas-Velu, vice-président Engineering de Mandriva, ce serait d'ailleurs un élément crucial pour populariser le système.

La société Mandriva s'investit dans plusieurs projets, notamment ceux concernant la sémantique tel que Nepomuk et Scribo. A ce sujet, Hervé Yahi, PDG de la société, explique : "pour avoir plus d'utilisateurs, il nous faut une rupture technologique (...) c'est par exemple ce qu'a fait Apple avec l'iPhone". Alors qu'aujourd'hui c'est à l'utilisateur de faire le lien entre l'ensemble des informations relatives à la réalisation d'une tâche (emails, événements, lieux géographiques, contacts...), la technologie de Nepomuk - un peu plus intégrée au sein de cette version - permet de déléguer ce travail au système lui-même.

Mandriva Linux 2009 Spring embarque également plusieurs outils de sécurité comme un contrôle parental afin de gérer les plages d'horaires autorisant les connexions à Internet ainsi qu'un pare-feu interactif. "Le pare-feu est basé sur des briques open source et présenté en mode graphique pour que l'utilisateur n'ait pas à ouvrir le terminal", explique Anne Nicolas-Velu.

L'un des autres points de sécurité que l'on trouve rarement au sein des distributions de Linux concerne la sauvegarde des données. Si Canonical LTD, éditeur d'Ubuntu, prévoit d'intégrer des services web au sein de son système, la semaine prochaine Mandriva dévoilera une solution de sauvegarde en ligne directement embarquée et baptisée Mandriva Click and Backup. "Cette solution se divise en deux parties", affirme Mme Nicolas-Velu, "d'un côté nous avons un utilitaire pour choisir les fichiers devant être sauvegardés de manière chiffrée, puis de l'autre nous avons un espace de stockage en ligne". Pour ce service - que l'on pourrait comparer à l'iDisk d'Apple - Mandriva a signé un partenariat avec la société Rackspace, spécialisée dans les solutions d'hébergement à destination des entreprises. Cet espace de stockage sera accessible à la manière d'un disque réseau, disposera de fonctionnalités de partage, de restauration et garantira une disponibilité d'accès, de confidentialité et de bande passante. Si aucun tarif n'a été communiqué à ce sujet, les offres débuteront à partir de 20 Go "à des prix très compétitifs", nous assure-t-on.

Parallèlement à la distribution principale, Mandriva développe une version optimisée pour les netbooks baptisée Mandriva Mini. Afin d'obtenir un démarrage rapide du système (une dizaine de secondes), l'équipe s'est jointe aux développeurs de Moblin pour travailler sur un noyau de Linux optimisé. Le gestionnaire de batterie est plus efficace avec notamment des composants développés par Intel. Aussi, les données du disque sont pré-chargées (prefetch) pour un accès plus rapide au fichiers. Le serveur graphique X.Org a également été revu et selon Olivier Blin, Ingénieur Linux de Mandriva, ces modifications devraient prochainement être distribuées à la communauté entière. Le gestionnaire de fenêtres sur Mandriva Mini est LXDE, plus léger que KDE.

A l'avenir, l'équipe de Mandriva - composée de 45 personnes dans l'Hexagone - souhaite se pencher sur l'idée d'un Web OS, à l'image de la distribution gOS. Mandriva planche également sur la technologie de démarrage instantané (Instant On), non seulement pour Linux mais aussi pour Windows. Instant On sera commercialisé aux OEM pour 1 euro par machine à partir du mois de juin. Enfin, la firme pourrait aussi s'aventurer du côté du BIOS libre.

Si le PDG Hervé Yahi fait mention des netbooks et des MID, il précise cependant : "je ne vise pas le marché du téléphone mobile". Face à la montée d'Android, il reste sur une position défensive : "je n'ai pas d'avis sur Android. On cite toujours Google comme concurrent d'un peu tout. Ca va sûrement inquiéter des acteurs. Pour l'instant on s'occupe du court terme et du moyen terme. Il faut voir ce qu'Android va donner. Mais c'est intéressant à suivre".Mise à jour - Téléchargement disponible.

Pour de plus amples informations sur Mandriva Linux, rendez-vous ici.
Selon une étude du cabinet Forrester Research, Internet Explorer 6 et 7 seraient toujours en tête du marché des navigateurs utilisés dans un cadre professionnel. Cependant, à l'image de l'utilisation par le grand public, le logiciel de Microsoft afficherait une baisse d'activité notamment au profit de solutions concurrentes telles que Mozilla Firefox et Google Chrome.

L'analyste Sheri McLeish explique que de plus en plus de sociétés s'orientent vers un modèle SaaS (Software as a Service) - avec par exemple des outils du type Google Documents. En conséquence, les DSI reconsidèrent le navigateur par défaut déployé sur les machines des employés.

L'étude de Forrester, effectuée au second semestre de l'année dernière, a pris en considération les usages de 51,913 employés. En décembre 2008, la part de marché d'Internet Explorer 6 était de 60,2% (contre 66,6% six mois plus tôt). Cette baisse s'explique en partie par une mise à jour vers Internet Explorer 7 qui enregistrait une part de 39% en décembre 2008 contre 33,4% en juillet de la même année. D'une manière générale, le navigateur de Microsoft a vu son taux d'utilisation baisser de 81,3% en juillet à 78% en décembre.

L'histoire est tout autre pour le logiciel Firefox dont le taux d'utilisation est passé de 16,9% à 18,2% sur cette même période. Introduit au mois de septembre dernier, Chrome a d'emblée recueilli 1,6% des utilisateurs puis 2% en décembre. Enfin, les navigateurs Safari et Opera ont affiché une part de marché régulière, respectivement de 1,4% et 0,2%.

Reste à savoir si cette tendance se confirmera, si Internet Explorer 8 rectifiera le tir pour Microsoft ou si Firefox 3.5 et Chrome 2.0 augmenteront leur part de marché respective.
Un compromis a finalement été trouvé mercredi entre le parlement européen et les représentants des différents états membres au sujet du fameux amendement 138, devenu 46, alors que les députés français entamaient leur nouvel examen de la loi Création et Internet. Si le texte initialement déposé par Guy Bono puis repris par Chaterine Trautmann risquait d'entrer en contradiction avec le principe de riposte graduée prévu par le gouvernement français, la version finalement retenue laisse une certaine latitude d'action à l'Hadopi. Les députés européens à l'origine du texte se disent toutefois satisfaits de ce compromis.

Dans sa version initiale, votée par le Parlement européen puis rejetée par le conseil de l'Union, l'amendement 138 prévoyait qu'aucune restriction à une liberté fondamentale ne puisse être prononcée sans l'accord d'une autorité judiciaire. Une composante préjudiciable au projet de loi Création et Internet, puisque ce dernier propose la mise en place d'une autorité administrative, l'Hadopi, capable de prononcer une suspension de l'abonnement à Internet alors qu'elle ne relève pas du pouvoir judiciaire.

Le compromis du 29 avril énonce maintenant qu'une suspension interférant avec la liberté d'utilisation des moyens de communication électronique ne peut être prononcée que par un « tribunal indépendant et impartial établi par la loi et agissant dans le respect du procès équitable en conformité avec l'article 6 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme ».

Pour Alain Lipietz, député Vert qui rapporte cette décision, ce choix est une avancée dans la mesure où il aurait suffi au gouvernement français de changer l'autorité administrative en autorité judiciaire pour se mettre en conformité avec cette disposition du paquet Télécoms. « Je rappelle qu'en France les commissaires de police par exemple sont "officiers de police judiciaire", ce qui a permis au gouvernement français de prétendre que l'amendement 138 n'empêchait pas l'adoption de la loi Hadopi : il suffisait de proclamer l'Hadopi "autorité judiciaire" ! », explique-t-il.

Guy Bono se félicite également de cette décision, qui a selon lui « l'avantage de constituer une base juridique contraignante qui permettra par la suite de lancer une procédure d'infraction contre le gouvernement français pour non respect du droit communautaire si le projet de loi Hadopi est adopté en l'état ».

Il faudra maintenant attendre que le Parlement européen s'empare du sujet en session plénière, la semaine prochaine, date à laquelle l'Assemblée nationale conclura ses discussions sur la loi Création et Internet.
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