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Joerg Jasper, de l'équipe de développement du système Linux Debian, vient de publier un nouveau message à destination des utilisateurs sur la liste de diffusion officielle. Le système dispose désormais de deux architectures optionnelles FreeBSD à savoir : kfreebsd-i386 AKA GNU/kFreeBSD i386 et kfreebsd-amd64 AKA GNU/kFreeBSD amd64.

Les utilisateurs disposant d'une machine basée sur une architecture i386 ou AMD64 pourront donc tester le système d'exploitation sur un nouveau kernel. Notons cependant que ces versions de FreeBSD ne sont pas stables et à un stade relativement peu avancé de leur développement.

Les kernels de FreeBSD et Linux sont tous les deux basés sur UNIX. Pour l'utilisateur final, le système d'exploitation ne présentera pas ou peu de différences, à l'exception du système de fichiers. En terme de performances, FreeBSD est généralement reconnu pour obtenir de meilleurs résultats que Linux lorsqu'il est installé sur un serveur web (jusqu'à 30% plus réactif selon le site officiel de FreeBSD).
Après le papier et le CD-Rom, Le Robert se décline maintenant en ligne. Le grand public peut en effet maintenant accéder, via le site lerobert.com, aux contenus de trois dictionnaires : Le Grand Robert, sa version de poche Le Petit Robert et le dictionnaire bilingue Robert & Collins.

Pour ces versions en ligne, l'éditeur a fait le choix d'un modèle payant, sur le mode de l'abonnement. L'internaute dispose de deux formules, trois et douze mois, avec des prix allant de 9 euros pour trois mois de Petit Robert à 48 euros pour un accès d'un an au Grand Robert, ses 100.000 mots et ses 325.000 citations. L'éditeur indique que ces versions en ligne ne sont pas un simple portage du papier ou du CD-ROM : elles seraient enrichis de nouveaux contenus et de nouvelles fonctionnalités de recherche.

L'attrait sera-t-il suffisant pour détourner l'internaute des ressources gratuites, Wikipedia et autres Wiktionnaire, qui bien souvent sont à même de répondre à des besoins courants ? Selon La Tribune, l'objectif serait dans un premier temps d'atteindre dix mille abonnés payants d'ici la fin de l'année.
le 05/04/2009 à 23:53
Massive CSS
Le magazine Tripwire offre un tour d'horizon sur les boites à outils CSS, de tutorials et code secrets

Pour certains développeurs, l'utilisation des CSS est une des parties les plus importantes du web basé sur des normes modernes de conception par rapport à d'autres techniques.

Cependant quelque soit votre choix, vous aurez besoin d'utiliser un peu les CSS pour vos projets Webs en PHP et MySQL.

- 100+ Massive CSS Toolbox
le 03/04/2009 à 23:52
CrawlTrack 3.0.0
CrawlTrack est une application destinée avant tout pour les webmasters et toutes les personnes qui désirent connaitre le type de visiteurs, les robots, les tentatives de prises de contrôle...

Cette nouvelle version propose maintenant un véritable tableau de bord pour effectuer une très bonne analyse. Elle propose aussi une vue complète de l'activité de votre site internet.

- Demo CrawlTrack 3.0.0
- Telechargement CrawlTrack 3.0.0
Symantec annonce la disponibilité en France du service de sauvegarde en ligne Norton Online Backup. Dévoilé il y'a quelques semaines propose un espace de stockage en ligne de 25 Go, ce qui correspond selon Symantec à "6000 titres musicaux, 7000 photos numériques et 100 heures de contenus vidéo ou 200 000 feuilles de calcul". A celà, il faut préciser que les débits montants des fournisseurs d'accès en France se prêtent encore assez mal à la mise en ligne de fichiers audio ou vidéo.

Symantec affirme néanmoins que sa solution inclut une technologie de compression des données susceptible d'accélérer les transferts ainsi qu'une méthode de sauvegarde incrémentielle. Norton Online Backup est disponible pour Windows XP et Vista, et peut être administré depuis une interface web compatible avec Internet Explorer 7, Mozilla Firefox et Safari. Le service est commercialisé au prix de 49,99 euros TTC par an pour 25 Go. Des packs de 10, 25, 50 et 100 Go supplémentaires peuvent également être achetés.
Selon des chercheurs de l'Université de Melbourne en Australie, les employés surfant sur Internet au travail auraient plus de facilité à se concentrer sur leurs tâches journalières. Plus précisément, le docteur Brent Coker, du département de gestion et de marketing affirme : "les gens s'amusant sur Internet au travail - dans la limite raisonnable de moins de 20% de leur temps total de la journée - se révèlent plus productifs d'environ 9%".

L'expert explique que les sociétés dépensent plusieurs millions de dollars afin d'empêcher leurs employés de regarder des vidéos de YouTube, de visiter des sites communautaires ou de faire leur shopping. "Ils avancent des pertes de plusieurs millions de dollars en terme de productivité, pourtant ce n'est pas toujours le cas", explique-t-il.

Selon le rapport, sur 300 salariés, 70% d'entre eux se connecteraient à Internet sur leur temps de travail. La recherche d'informations est en tête des activités ainsi que la consultation des sites d'actualités. En revanche, les parties de jeux en ligne n'arrivent qu'en cinquième position et la lecture des vidéos de YouTube en septième place.

Pour M. Coker, il s'agirait pour l'employé de se remettre en condition de concentration en prenant brièvement de la distance avec son travail en cours. Le spécialiste souligne tout de même que cette pratique doit être faite avec modération afin de ne pas inverser le problème. En effet, selon plusieurs études, "14% des internautes australiens montreraient des signes d'addiction - ils ne prennent pas leurs pauses aux heures convenues, passent beaucoup de temps à surfer la Toile et peuvent être facilement irritables lorsqu'ils sont interrompus ".
La musique n'a plus droit de cité sur YouTube en Allemagne. Trois semaines après la branche anglaise du site de partage de vidéos (en savoir plus), c'est au tour de sa petite soeur allemande de supprimer l'accès aux clips musicaux pour les visiteurs du site. En cause, comme en Angleterre, un désaccord avec l'organisme chargé de récolter les royalties dont doivent s'acquitter les diffuseurs de musique.

La GEMA, équivalent allemand de notre Sacem, demanderait trop d'argent à YouTube pour que le modèle économique du site de Google soit viable. D'après Variety, YouTube devrait en effet verser 12 centimes d'euros pour chaque visionnage d'un clip par un visiteur. Le site a donc préféré bloquer l'accès de tous les clips de sa plate-forme aux internautes allemands.

Et la France pourrait être la prochaine sur la liste. La Sacem "pourrait prendre des mesures sévères" si le site ne parvenait pas à un accord sur le versement des royalties, annonce ainsi Catherine Kerr-Vignale, membre du directoire, dans un entretien à E24.fr. L'organisme envisage même des "actions judiciaires" ! "Nous établissons des constats afin de montrer que notre répertoire est utilisé par YouTube", ajoute ainsi Catherine Kerr-Vignale.

Contrairement à ses voisines anglaise et allemande, la Sacem ne réclame pas de versement par vidéo vue, mais "un pourcentage bas des recettes publicitaires totales du site", sur le modèle des accords déjà signés en France avec Dailymotion et Deezer, notamment.
L'Association Familiale Mulliez (AFM) aurait négocié auprès du groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR) le rachat de Surcouf, la boutique en ligne spécialisée dans l'informatique. Le premier magasin Surcouf a été créé en 1992 par Olivier Dewavrin et Hervé Collin. Après son entrée en bourse en 1998, la firme Surcouf est devenue une filiale de la Fnac en avril 2001 lorsqu'elle fut rachetée par le groupe PPR. La marque a été mise en vente en janvier 2008.

Outre divers participations dans plusieurs enseignes majeures (Banques Accor, Midas, Top Office, 3Suisses, Auchan), l'AFM possède 34% de parts dans la société GrosBill, 85% dans la chaîne des magasins Boulanger ainsi que des actions au sein de Yougs. L'achat de Surcouf viserait donc à consolider la position du groupe sur le marché de l'informatique. D'après les termes du rachat les cinq magasins Surcouf devraient se joindre à la société Yougs fondée par Hugues Mulliez.
le 03/04/2009 à 23:48
ASP.NET MVC 1.0 passe en open source
Le mois dernier, lors de la conférence MIX 09, Microsoft a dévoilé ASP.NET MVC 1.0. Basé sur ASP.NET 3.5, cet environnement Modèle-Vue-Contrôleur permet de créer des applications web, en manipulant chaque composant HTML de la page, en y rajoutant des modules d'interactivité en Ajax ou en y apposant un système d'authentification. Le développeur pourra aussi créer des bases de données et manipuler facilement l'interface de l'application web. Enfin MVC 1.0 propose des éléments offrant à l'utilisateur une plus grande interaction avec une carte géographique.

Aujourd'hui Microsoft annonce que la plateforme est distribuée en open source sous la licence MS-PL qui permet au développeur d'intégrer cet environnement au sein de n'importe quelle application, d'en modifier le code et de redistribuer librement la source.

L'environnement ASP.NET MVC 1.0 est disponible au téléchargement ici.
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