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Alors que nous apprenions hier qu'un brevet déposé par Apple pourrait compromettre le standard de Widget 1.0, la firme de Cupertino est cette fois attaquée pour sa technologie multipoint embarquée au sein des iPhone, des iPod Touch et du trackpad des Macbook.

La plainte a été déposée par la société Elan Microelectronics et concerne la reconnaissance de deux doigts à l'écran et sur le touchpad. Cette technologie a permis à la firme de Cupertino de programmer plusieurs gestes visant à améliorer l'ergonomie de la navigation (brevets 5,825,352 et 7,274,353).

Selon la firme taïwanaise, les deux parties auraient tenté de résoudre le problème à l'amiable via plusieurs séries de discussions ces deux dernières années. L'affaire est désormais portée en justice. Dans un communiqué, Elan Microelectronics rappelle que l'année dernière la société a gagné un procès contre le fabricant Synaptics spécialiste des touchpad et accusé d'avoir violé le brevet 5,825,352.
A la fin du mois dernier, l'équipe de The Pirate Bay avait fait usage de l'interface de programmation de Facebook afin que les utilisateurs puissent partager leur fichiers torrents favoris avec leurs contacts. Pourtant, Facebook ne tient pas à porter préjudice aux maisons de disque et aux studios d'hollywood, tel est le message que le géant de la Toile vient de faire passer.

En effet, selon Torrentfreak, depuis hier, il n'est plus possible d'utiliser la fonction de partage. Celle-ci aurait donc été bloquée directement par le réseau social suite à des plaintes déposées par les lobbys de l'industrie culturelle. Notez d'ailleurs que le partage illégal de fichiers est clairement interdit au travers des conditions d'utilisation du service communautaire.

A ce sujet, Peter Sunde, l'un des fondateurs de The Pirate Bay explique qu'il s'agit purement et simplement de censure et que l'équipe fera en sorte que la fonctionnalité reste active.
Mardi dernier, nous rapportions que Brandon LeBlanc, en charge du département Windows Communications, annonçait sur le blog officiel de Microsoft que le système Windows était distribué sur 96% des netbooks commercialisés aux Etats-Unis. Ce message ne fut pas sans conséquences et Chris Kenyon, du groupe OEM Services chez Canonical, accuse la firme de Redmond d'intox médiatique.

Selon M.LeBlanc, le consommateur préfererait Windows à Linux parce que le système serait "plus simple à installer, plus simple à utiliser et plus simple d'entretien ". Pour Chris Kenyon, les choses ne se résument pas à cette simple liste et ce dernier souligne que le système Ubuntu propose au client "un environnement sécurisé sans virus qui n'a pas besoin de logiciel de protection ralentissant la machine". Par ailleurs, le système de Canonical embarque plusieurs logiciels libres "comme Firefox et OpenOffice.org". Enfin, contrairement à Windows, Ubuntu démarrerait au quart de tour et "resterait réactif après plusieurs années d'utilisation". C.Kenyon-Crédits:D.Davidson M. Kenyon explique que le taux de retour des machines sous Linux n'est pas plus élevé, contrairement à ce que Microsoft affirme depuis quelques mois. Selon lui, le véritable problème se situerait au niveau du matériel, c'est-à-dire plutôt du côté du fabricant que de Canonical. En outre, Ubuntu embarque par défaut Adobe Flash ainsi que plusieurs codecs libres.

Dans son billet, Brandon LeBanc insistait aussi sur l'éventail des périphériques pris en charge par le système d'exploitation de Microsoft avec "3000 imprimantes, plus de 700 appareils photo numériques, plus de 240 webcams et plus de 180 caméscopes", Pour sa part, Chris Kenyon affirme qu'"Ubuntu et la plupart des distributions de Linux sont compatibles avec 3000 imprimante, 1000 appareils photos numériques et 200 webcams".

Le magazine Computerworld souligne d'ailleurs que même si 96% des netbooks vendus aux Etats-Unis sont sous Windows, l'Amérique du Nord ne représenterait que 20% du marché mondial. A travers le monde, 30% des netbooks commercialisés seraient sous Linux.
Spécialisé dans la conception d'outils destinés à lutter contre le piratage, la société Uniloc vient d'obtenir d'un tribunal américain la condamnation du numéro un mondial du logiciel, Microsoft, à lui verser 388 millions de dollars. L'éditeur était accusé d'avoir violé un brevet déposé par Uniloc dans la mise au point des procédures de vérification de licence de ses logiciels Windows et Office.

Intitulé « System for Software Recognition » et déposé en 1996, le brevet en question décrit une procédure d'enregistrement qui permet à un logiciel de ne fonctionner que si la licence appropriée a été détectée sur la machine. Ce système suppose l'intégration d'un algorithme chargé de créer une clé unique correspondant à la plateforme sur laquelle est installée le logiciel. Uniloc commercialise deux solutions reposant sur ce principe, NetAnchor et SoftAnchor.

Le verdict et la condamnation ne sont pas du goût de Microsoft, dont l'un des porte-paroles a fait savoir que l'éditeur ferait appel de cette décision. "Nous sommes très déçus par ce verdict. Nous pensons qu'il n'y a pas de violation, que le brevet concerné n'est pas valable et que les dommages et intérêts sont injustifiés sur le plan du droit et des faits", a indiqué ce dernier.
Incontournable Facebook ? Le fondateur du service, Mark Zuckerberg, qui s'apprête à fêter son 25e anniversaire, a annoncé mercredi que la barre des 200 millions d'inscrits devrait avoir été franchie dans la journée. Il n'aura fallu que trois mois à Facebook pour passer de 150 à 200 millions d'utilisateurs, soit une progression de plus de 500.000 inscriptions par jour. Le cap des 100 millions avait quant à lui été franchi en août 2008.

Les chiffres ont de quoi faire tourner la tête. En France, Facebook s'est hissé selon ComScore à la 8e place des sites les plus visités, avec 13,7 millions de visiteurs uniques pour le mois de février, une progression de plus de 500% en un an. Selon Zuckerberg, 100 millions d'internautes se connecteraient chaque jour à Facebook, et uploaderaient quelque 850 millions de photos quotidiennement.

« Lorsque nous avons monté Facebook en 2004, notre objectif était d'offrir aux gens le moyen de partager plus vite et de façon plus riche ce qui se passait autour d'eux », commente Mark Zuckerberg. « Nous travaillons dur pour proposer un service que quiconque, personne, société, président ou organisation militant pour le changement puisse utiliser en tout lieu. »

Cette croissance effrénée ne va toutefois pas sans heurts : nombreux sont ceux qui se demandent si Facebook, dont le chiffre d'affaires repose presque exclusivement sur la publicité, lui permettra longtemps de financer ses activités.

Pour célébrer le passage de ce cap, le site a lancé une page baptisée "Facebook for Good", permettant à ses membres de raconter quel impact le réseau a eu sur leur vie, et invite les internautes à s'offrir des cadeaux virtuels, 90% des recettes ainsi générées devant ensuite être reversés à des oeuvres caritatives.
le 08/04/2009 à 12:20
PHP 5.2.9-2
L'équipe de développement PHP vient annoncer une nouvelle version pour de PHP 5.2.9-2 pour Windows.

Cette version se concentre sur la fixation des failles de sécurité inclus dans la bibliothèque OpenSSL (CVE-2009-0590, CVE-2009-0591 et CVE-2009-0789).

La bibliothèque OpenSSL a été mis à jour 0.9.8k, qui comprend des correctifs pour ces failles.

Cette version concerne seulement les possesseurs de Windows.

- Communiqué PHP 5.2.9-2
- Fixation sécurité PHP 5.2.9-2
Alors que le département de la défense américaine annonce avoir dépensé la somme de 100 millions de dollars pour la sécurité de son infrastructure informatique, le Washington Post rapporte que le réseau électrique des Etats-Unis aurait été piraté. Pour l'heure, nul ne sait exactement qui a tenté d'analyser l'architecture électrique du pays mais les soupçons se portent, comme à l'accoutumée, vers la Russie et la Chine.

Selon un ancien employé du département de la sécurité intérieure, ces derniers temps il y aurait eu "de plus en plus d'intrusions", notamment l'année dernière. Cette nouvelle menace aurait été détectée par des services de renseignements enquêtant sur la cyber sécurité de la nation. Selon les autorités, l'intrusion au sein des serveurs des sociétés en charge de réguler l'infrastructure électrique sur le territoire de l'Oncle Sam présenterait des risques de différentes natures aussi bien au niveau de la régulation de l'eau, que des centrales nucléaires.

Dennis Blair, directeur du service national des renseignements, aurait récemment affirmé : « ces dernières années nous avons obervé des cyberattaques sur les infrastructures clés à l'étranger et beaucoup de nos propres réseaux sont tout aussi vulnérables », avant d'ajouter : « plusieurs nations, dont la Chine et la Russie peuvent mettre à mal le système de communication américain. ».

De leur côté la Russie et la Chine se défendent de toute accusation : "ce ne sont que des spéculations", déclare Yevgeniy Khorishko, porte-parole de l'ambassade russe. "La Russie n'a rien avoir avec les cyberattaques sur les infrastructures américaines ni sur celles des autres pays", ajoute-t-il. La Chine a récemment réitéré sa position contre tout acte criminel pratiqué sur Internet.

Interrogé par le Washington Post, la firme privée PJM Interconnection LLC, chargée de réguler l'électricité dans 13 états américains, n'a pas souhaité s'exprimer sur le sujet mais annonce avoir augmenté son niveau de sécurité.
le 08/04/2009 à 12:18
L'Europe s'attaque aux sites du Jihad
Les gouvernements du Royaume-Uni, de l'Allemagne, des Pays-Bas et de la République tchèque ont joint leurs efforts afin d'éradiquer la propagation sur Internet des campagnes islamistes extrémistes. C'est une technologie de filtrage qui devrait être mise en place auprès des fournisseurs d'accès à Internet pour bloquer les sites hébergés en dehors de l'Union européenne.

En effet, le département de l'Intérieur britannique révèle que les demandes de mise en demeure envoyées en dehors des frontières européennes ne donnent jamais suite. En revanche, les fournisseurs d'accès locaux sembleraient plus enclins à prendre les actions nécessaires pour clôture les sites jugés inappropriés.

L'une des porte-paroles du département de l'Intérieur du Royaume-Uni explique au magazine The Register : "la plupart des sites web violents des extrémistes ne sont pas hébergés dans ce pays mais outre-mer. Il est nécessaire d'organiser une coopération multilatérale afin de prendre des mesures punitives. Nous travaillons actuellement avec la Commission Européenne, les Nations Unies et Europol afin de mettre en oeuvre une collaboration internationale efficace".

La Commission Européenne a mis en place un projet baptisé Exploring the Islamist Extremist Web of Europe - Analysis and Preventive Approaches afin de déterminer la nature exacte des cyber menaces du Jihad et des moyens permettant de stopper leur propagation au sein de l'Union.
Alors que le consortium W3C, en charge de réguler les standards du web, tente de spécifier la nature du widget XML, le groupe doit faire face à un brevet déposé par Apple. Plus précisément, la firme de Cupertino aurait déposé des droits sur une technologie de mise à jour.

Selon le document soumis par Apple auprès du bureau d'enregistrement en juin 1995 et accepté trois ans plus tard, ce procesus de mise à jour s'apparenterait à :

"Un logiciel informatique fonctionnant sur un ordinateur (et qui) se remplace lui-même par une nouvelle version de manière automatique, sans interruption de ses fonctionnalités principales et de façon complètement transparente pour l'utilisateur de l'ordinateur".

L'une des spécificités de Widget 1.0 dictées par le groupe W3C stipule que le widget installé doit être en mesure d'être mis à niveau automatiquement au travers du protocole HTTP et d'une mémoire cache locale.

Le W3C a formé une commission en charge d'examiner la nature exacte du brevet déposé par Apple jusqu'en juin 2009.
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