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A l'occasion de la Semaine de l'Innovation Numérique, qui se tient à la Maison du Rhône à Paris du 7 au 9 avril, le Département du Rhône effectue une présentation dans la capitale de trois projets développés par le centre Erasme. Créé en 1998, celui ci a pour but de développer des expérimentations numériques, principalement dans les domaines de l'éducation, des musées et des services aux personnes. Le premier projet présenté par le centre est un site collaboratif pour professeur et élèves, Laclasse.com, déjà en service depuis 2001 dans plus de 160 collèges du département. Le site propose des outils de communication (mail, forum, chat...) ainsi que des ressources pour les élèves, et permet également le travail collaboratif avec des intervenants externes tels que des artistes. Lors d'une conférence de presse précédent la Semaine de l'Innovation, les responsables du centre Erasme ont également annoncé leur intention de se diriger vers les manuels numériques afin d'alléger le cartable des élèves. Le principal obstacle, selon Yves Armel Martin, directeur du centre, est l'absence de couleur : "Les manuels les plus volumineux pour les élèves sont ceux d'Histoire-Géographie et de Sciences de la Vie et de la Terre, des manuels qui nécessitent l'usage de la couleur, ce qui est impossible avec l'encre électronique actuellement".

Au niveau des musées, le centre Erasme souhaite mettre en avant son Museolab, un espace de démonstration destiné à prouver aux directeurs de musées l'intérêt d'utiliser le numérique dans leurs expositions. Les projets développés par Erasme dans son Muséolab concernent notamment l'utilisation de tables tactiles multi-points. Des expérimentations ont déjà été menées, par exemple avec le Musée des Confluences à Lyon : des tables multi-touch ont pu être utilisées pour réaliser des arbres de classification d'espèces ou des atlas interactifs. Le Muséolab réfléchit également sur la création de tickets interactifs qui permettraient au visiteur de recevoir des informations ou des contenus supplémentaires sur son ordinateur.Le dernier projet présenté par Erasme, le Webnapperon, aura peut être de quoi faire sourire certains, mais il faut préciser qu'il est destiné aux personnes agées et notamment aux maisons de retraites. Comme son nom l'indique, le Webnapperon est un napperon "high tech" connecté à un ordinateur (dans la démonstration présentée, il s'agissait d'un Eee Top) et associé à une interface graphique plein écran. A la manière du Nanoztag, le napperon est en réalité un lecteur d'étiquettes RFID que l'on pose sur des objets du quotidien (photos, CD, boite de médicaments...). Ces étiquettes peuvent être associées à des contenus web via une interface d'administration. Ainsi, la personne aura simplement à poser l'objet sur le napperon pour voir ou entendre le contenu correspondant : flux RSS du blog, précautions d'emploi du médicament ou encore galerie photo. Les informations peuvent être affichées mais aussi dictées par un module de synthèse vocale. L'idée du centre Erasme est de vendre l'appareil aux familles ou aux établissements qui se chargeront d'administrer les contenus. Le Webnapperon est déjà expérimenté dans 3 établissements (maison de retraite ou foyer pour handicapés).
Samedi dernier, le magazine AppleInsider rapportait que la firme Hewlett Packard aurait la possibilité de continuer à vendre le système Windows XP sur l'ensemble de ses machines à la place de Windows 7.

Au cours d'un entretien rapporté par Mary Jo Foley, un porte-parole de Microsoft confirme ces propos en expliquant que cette mesure ne sera pas limitée aux clients de HP mais à l'ensemble des partenaires OEM de Microsoft. "Ce n'est pas la première fois que Microsoft propose l'option de rétrograder vers une version de Windows qui n'est pas directement le précédent système", souligne-t-il.

Selon AppleInsider, ce programme de rétrograde devrait débuter à partir du mois octobre prochain (par le passé plusieurs sources tablaient sur la sortie de Windows 7 en novembre) et s'étendre jusqu'au mois d'avril 2010. La firme de Redmond n'a pas souhaité confirmer l'exactitude de ces deux dates.

Pour rappel, Windows XP cessa d'être commercialisé auprès du grand public au 30 juin 2008 et bénéficie actuellement d'une période de grâce. Pour les constructeurs OEM, les netbooks forment désormais le principal marché du système lequel devrait passer ce mois-ci en mode de support étendu jusqu'en 2014.
Les premiers morceaux à 1,29 euros ont aujourd'hui fait leur apparition sur l'iTunes Store. La politique du prix unique en vigueur depuis le lancement de la boutique a effectivement pris fin comme prévu. Toutes les chansons ne seront plus proposées à 99 centimes d'euro, les morceaux s'afficheront désormais à trois tarifs différents, à la discrétion des maisons de disques.

Le prix de 1,29 euro sera vraisemblablement appliqué aux dernières sorties et aux tubes, tandis que le prix de 0,69 euro serait réservé aux promotions et aux titres les plus anciens. Le reste du catalogue restera pour sa part à 0,99 euro. La plupart des albums resteront toutefois à 9,99 euros.

Reste à trouver les morceaux à 70 centimes, dont Apple avait promis qu'ils seraient plus nombreux, et à espérer que ces nouveaux accords conclus avec les labels profiteront également aux artistes, ce dont on peut douter à en croire les récentes révélations d'adhérents de la Featured Artists Coalition, qui regrettent le manque de transparence sur les ventes dématérialisées.

L'annonce de la fin du prix unique par Apple au profit notamment des maisons de disques s'accompagnait également de l'annonce de l'abandon des verrous numériques (DRM), de quoi faire mieux passer la pilule ? L'essentiel des plateformes de téléchargement légal concurrentes commercialisent quant à elle des morceaux dépourvus de DRM au prix de 99 centimes, pour le moment.
Aux Etats-Unis, le site Yahoo! Music entend bien être la destination favorite des mélomanes en misant sur la personnalisation et les outils communautaires. En effet, la stratégie d'ouverture (Open Strategy) du portail de Sunnyvale permet cette fois d'accueillir directement au sein de Yahoo! Music du contenu proposé par des éditeurs tierces.

Parmi les changements notables, les artistes bénéficient d'une nouvelle page présentant différents modules dont l'agencement est personnalisable via du glisser-déposer. Il est désormais possible de choisir les widgets de son choix parmi ceux proposés par Yahoo! mais aussi ceux de Last.fm, YouTube, Flickr, Pandora ou encore iTunes.

En tout, Yahoo! Music dispose d'une base de 500 000 artistes mais prévoit d'ouvrir ce répertoire à de petit labels indépendants souhaitant promouvoir leur musiciens au travers d'outils communautaires. "A l'avenir, les utilisateurs seront en mesure de créer et de publier leur propre page d'artistes (...) afin de tirer parti de l'énorme audience de Yahoo!", précise la société dans un communiqué. Si l'utilisateur le souhaite, il peut aussi publier ses activités via son profil Yahoo! comme par exemple une liste des albums ou artistes favoris.

Voici un exemple de profil.
Pour la 20th Century Fox, il y a certainement des coups de griffe en adamantium qui se perdent. Début avril, le studio a eu la désagréable surprise de constater qu'une copie du film X-Men Origins : Wolverine circulait sur les réseaux d'échange P2P, alors que le film n'est pas censé sortir en salles avant la fin du mois (29 avril en France, 1er mai aux Etats-Unis). Selon le studio, il s'agirait d'une version non définitive du film, à laquelle manqueraient certaines scènes, une partie des effets spéciaux, ainsi que des éléments sonores. Les internautes confirment, mais plus de cent mille téléchargements ont tout de même été enregistrés.

Logiquement, la Fox fulmine : disponible sur Internet avant même sa sortie en salle, le film risque de réaliser moins d'entrées que prévu. Le studio argue en outre que l'expérience permise par le téléchargement risque de se révéler décevante pour l'internaute, puisque celui-ci n'aura droit qu'à une version dégradée du long métrage s'il le télécharge.

Enfin, il déplore que suite à cette fuite, l'intrigue soit dévoilée par les premiers spectateurs du film, qui ne se privent pas pour donner leur avis. Y compris en interne, puisque le blogueur Roger Friedman, employé de la Fox, s'est récemment fendu d'une critique (pleine de louanges) du nouvel opus des X-Men. La situation n'est pas encore tirée au clair, mais ce papier réalisé à partir d'une copie piratée pourrait lui coûter son poste.

L'affaire est donc prise très au sérieux. Elle a été confiée par la Fox à la MPAA, association qui représente les studios américains, ainsi qu'au FBI qui devra localiser l'origine de la fuite. La Fox compte sur l'utilisation d'un système de tatouage numérique de ses fichiers pour y parvenir. Quoi qu'il en soit, et en dépit d'allégations rassurantes indiquant que les fichiers ne sont plus disponibles, il reste possible de se procurer - illégalement, et dans une qualité décevante - le dernier volet des aventures de Wolverine.
A partir d'aujourd'hui, les fournisseurs d'accès européens doivent se plier à une directive (PDF) de Bruxelles obligeant ces derniers à enregistrer pendant un an l'intégralité de l'historique de navigation des internautes ainsi que les appels en VOIP. Cette mesure, entrée en vigueur en France en 2007, est désormais appliquée au Royaume-Uni.

Alors que la problématique de la protection de la vie privée est à nouveau soulevée, plusieurs entités - FAI, associations - contestent cette décision. Ainsi Jim Killock, directeur du groupe Open Right, souligne "l'incompatibilité de cette directive avec les lois régissant les droits de l'homme". M. Killock estime par ailleurs que cette rétention de données pourrait s'avérer particulièrement dangereuse pour le citoyen. De leur côté, les fournisseurs d'accès à Internet pointent du doigt les coûts associés à la maintenance de cette base de données. Selon la BBC, au Royaume-Uni, le gouvernement remboursera ces dépenses.

Isabella Sankey, directrice de l'association Liberty explique : "le problème de ce régime c'est que ces informations ne seront pas seulement accessibles par la police mais par des centaines d'institutions publiques". Selon les autorités, la conservation des données restent cependant un dispositif indispensable dans la lutte contre le crime. Cette loi a d'ailleurs été adoptée après les attentats de 2005 à Londres.
le 06/04/2009 à 23:07
Utilisation de PHP et Jquery
Votre langage PHP vous permet de réaliser de nombreuses choses, mais il peut être souvent d'utiliser votre langage avec d'autres environnement comme Jquery

Le site Noupe.com propose et montre la possibilité d'utiliser 20 façons différentes PHP et Jquery, vous permettant ainsi de réaliser vos sites internet différents.

La liste des thèmes sont :
- Répertoire des arbres avec PHP et jQuery
- Créer un site de photos d'administration et l'utilisation de PHP jQuery
- Commentaires Asynchronous avec PHP, jQuery, JSON et
- PHP ajax formulaire de connexion en utilisant JQuery
- PHP + jQuery Liste de tâches à la partie 1, partie 2
- Module Newsletter
- À partir de PHP XML pour jQuery et Ajax
- Comment valider les formes des deux côtés en utilisant PHP et jQuery
- Créer une shoutbox en PHP et AJAX
- HOWTO: PHP et jQuery télécharger la barre de progression
- Auto-Complete Field avec jQuery, JSON et PHP
- Une fantaisie Apple.com style suggestion de recherche
- PHP & jQuery image upload and crop v1.2
- FlickrScrollr
- Reddit style voter avec PHP, MySQL et jQuery
- Commentaires SMTP Mail classe avec jQuery Slide Effect
- Ajax Ajouter un enregistrement à l'aide du bouton Changer Situation jQuery
- Rafraîchissement d'un élément à un intervalle de temps ensemble en utilisant jQuery et une pincée d'Ajax
- CakePHP Ajax "Quick Save" avec jQuery
- PHP / jQuery Image de remplacement

- 20 Useful PHP + jQuery Components & Tuts for Everyday Project
Le célèbre groupe Radiohead, auteur de tubes interplanétaires comme Karma Police, continue son virage à 180 degrés en s'émancipant encore un peu plus des maisons de disques. Après avoir quitté EMI puis distribué à prix libre son dernier album In Rainbows, Radiohead s'est récemment associé à d'autres artistes et est sur le point de témoigner contre l'industrie du disque.

Le groupement d'intérêt Featured Artists Coalition (FAC) a ainsi vu le jour il y a un mois sous l'impulsion du groupe anglais, s'attirant les faveurs de nombreux autres auteurs comme Craig David, Iron Maiden ou encore Robbie Williams. Au travers de cette association, ces artistes militent pour un meilleur contrôle et une répartition plus juste des droits d'auteur, au détriment des labels.

Ils reprochent notamment à l'IFPI ou à la RIAA, représentants de ces maisons de disques, de ne pas consulter les artistes, pourtant principaux intéressés, lorsqu'ils poussent de nouvelles lois comme la riposte graduée. Le manque de transparence sur les accords passés avec les sites marchands comme l'iTunes Store, et le non versement des revenus en résultant, sont également dans leur ligne de mire. Les maisons de disques auraient largement abusé de l'avènement de la dématérialisation, d'après un des membres du groupe.

Radiohead aurait donc accepté d'apporter son soutient à un internaute suspecté de téléchargement illégal, d'après le site internet TorrentFreak. En 2003, la RIAA avait proposé à cet étudiant de l'université de Boston, en vain, de lui verser 500 dollars en règlement à l'amiable. Une fois n'est pas coutume, c'est un groupe de musique et non un de ses représentants qui va témoigner dans une affaire de partage de fichiers, et il se pourrait bien que le discours tenu ait une toute autre couleur... À suivre !
Tous les éditeurs de sécurité s'accordent à le dire : les réseaux communautaires forment une cible privilégiée pour les hackers. Ainsi, depuis quelques temps, les utilisateurs de Facebook, MySpace et autres plateformes sociales sont victimes d'un ver baptisé Koobface (W32/Koobface.A.wormW32 et W32/Koobface.B.worm).

François Paget, chercheur au groupe Alerte chez McAfee, expliquait au mois de décembre 2008 : "alors qu'il y a quelques années, nous observions des scams par email, désormais, ces derniers arrivent directement dans la boite électronique du réseau social ". En tout, plus de 20 000 variantes de Koobface aurait ainsi été observées.

Jeudi dernier, Jeff Williams, en charge du centre de protection contre les malware chez Microsoft a publié un billet sur le blog officiel de Facebook. L'expert explique que la victime du cheval de Troie ne peut accéder à son compte utilisateur, lequel est transformé en passerelle permettant de continuer la propagation du malware à ses contacts.

La firme de Redmond a donc travaillé conjointement avec Facebook afin d'ajouter la détection de Koobface à son outil de détection des malware (Malicious Software Removal Tool). Le cheval de Troie aurait été identifié et nettoyé 200 000 fois sur 133 677 ordinateurs dans 140 pays.
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