News

le 18/03/2009 à 16:20
Le Web a 20 ans
Que le temps passe vite... En plus vous utilisez le Web presque tous les jours, si ce n'est tous les jours...

Mais il est important de le souligner que le Web fête ses 20 ans en 2009.

Depuis la toute première page internet, à nos jours avec les nombreux langages qui sont apparus comme PHP et aussi les bases de données comme MySQL.

Le site Echos du Net, en consacre quelques lignes qu'il faut consulter.

- Le Web fête ses 20 ans
Le 23 février dernier, le Tribunal de Commerce a ordonné à France Télécom de ne plus réserver sa chaîne de télévision « Orange Sports » à ses seuls clients haut débit, cassant ainsi l'exclusivité de l'opérateur télécom. Selon La Tribune, France Télécom serait tenté de stopper la commercialisation de sa chaîne dans l'attente du résultat de son appel.

Une décision qui lui permettrait de ne payer une amende chaque jour. En effet, si France Télécom ne se soumet pas à la décision du Tribunal de commerce d'ici le 24 juin, l'opérateur devra s'acquitter de 50 000 euros par jour. « Une piste écartée », écrit La Tribune.

Une troisième possibilité serait l'exécution de la décision judiciaire en proposant "Orange Sports" à la concurrence. « Mais l'opérateur estime cela impossible techniquement dans un délai aussi court », écrit le quotidien, précisant que cette chaîne permettrait à Orange de recruter 4 600 clients ADSL par mois.

France Télécom attend les décisions de la Cour d'Appel. L'opérateur a engagé une première procédure en référé qui sera rendue le 31 mars. Une seconde, sur le fond de l'affaire, devrait être jugée cet été.

A noter que la Ligue de Football Professionnel soutient France Télécom dans cette affaire. L'opérateur télécom avait déboursé 203 millions d'euros il y a un an pour alimenter "Orange Sports" en acquérant plusieurs droits de la Ligue 1 de football, dont le grand match du samedi soir. Logiquement, la LFP s'inquiète donc d'une baisse de la valeur des droits sportifs si Orange devait abandonner le marché.
Hier, sur son blog officiel, l'équipe de développement de Google Chrome a annoncé la disponibilité d'une nouvelle version bêta du navigateur. Cette mouture, 2.0.170.0, est distribuée au travers d'un nouveau canal spécifiquement réservé aux versions non finalisées.

La particularité de cette nouvelle bêta : la rapidité. Selon Brian Rakowski, chef de produit chez Google, cette version serait jusqu'à 25% plus rapide que Chrome 1.0 au travers du test V8 et jusqu'à 35% sur le test SunSpider. Ce taux monte jusqu'à 50% face à la première bêta du navigateur!

De nouvelles fonctionnalités ont aussi été introduites, notamment la possibilité de glisser des onglets au bord de l'écran afin de pouvoir les consulter côté à côte, une option qui n'est pas sans rappeler le gestionnaire de fenêtre de Windows 7. Chrome 2.0.170.0 prend désormais en charge le remplissage des champs (nom, prénom, adresse...), le défilement automatique du curseur ainsi qu'une amélioration du zoom sur la page.
En détaillant la fonctionnalité Aero Snap de Windows 7, c'est l'essence même des systèmes d'exploitation de Microsoft qui est aujourd'hui abordée dans le bulletin d'information hebdomadaire du blog des ingénieurs. Aero Snap améliore effectivement l'ergonomie des fenêtres, domaine dans lequel Windows (mot signifiant fenêtres en anglais) se doit d'être à la pointe.

Partant du constat que les définitions des écrans augmentent, avec notamment l'avènement de la haute définition, autant qu'elles s'élargissent, avec le passage du 4:3 au 16:10 puis plus récemment au 16:9, les concepteurs de Windows 7 ont conçu de nouveaux moyens de gérer les fenêtres. Ils ont ainsi ajouté de nouvelles possibilités aux traditionnelles formes réduites, restaurées et agrandies de ces dernières.

Il est désormais très simple de placer deux fenêtres côte à côte, pour faciliter le glisser-déposer ou pour comparer le contenu de deux documents ou dossiers. Il suffit pour cela d'attraper une fenêtre et d'amener le pointeur sur l'un des bords latéraux de l'écran pour que celle-ci occupe la moitié de l'écran. On peut dès lors décaler la fenêtre de gauche à droite ou lui redonner sa taille d'origine en la déplaçant vers le bas.

Agrandir un email ou un site internet sur toute la largeur d'un écran panoramique n'est pas toujours très confortable. En redimensionnant une fenêtre à partir de sa bordure supérieure et en amenant le pointeur en haut de l'écran, celle-ci est agrandie verticalement. Elle occupe toute la hauteur de l'écran mais ne change pas de largeur. En revanche, attraper une fenêtre et l'amener vers le haut de l'écran aura pour effet de l'agrandir. Elles retrouveront leurs tailles d'origine en faisant la gestuelle inverse. Il est aussi possible de déplacer des fenêtres agrandies d'un écran à l'autre d'un seul geste, d'un simple glisser-déplacer, sans repasser par l'état restauré de celle-ci.

De nouveaux raccourcis claviers permettent quant à eux d'effectuer la plupart de ces tâches sans toucher à la souris, une aubaine pour les utilisateurs d'ordinateur portable. Les combinaisons de la touche Windows et des flèches gauche, droite, haut et bas permettent respectivement de placer la fenêtre sur la moitié gauche ou sur la moitié droite de l'écran, de l'agrandir ou de la réduire.

Ces gestuelles s'ajoutent à la fonction Aero Shake qui consistaient par exemple à secouer une fenêtre pour l'isoler en réduisant toutes les autres. Ne manquent que des bureaux virtuels et une fonction permettant d'afficher toutes les fenêtres à l'écran pour réunir le meilleur des deux mondes...
Hébergé aux Pays-Bas, le célèbre site de partage de liens BitTorrent Mininova.org fait depuis près d'un an l'objet de menaces répétées émanant de l'organisation hollandaise chargée de la lutte contre le piratage, la Brein (Bescherming Rechten Entertainment Industrie Nederland), et pourrait bientôt avoir à justifier sa position devant la justice locale puisque selon le site TorrentFreak, un procès serait prévu pour la date du 20 mai prochain. Les administrateurs de Mininova risquent d'avoir fort à faire : la déclaration de revenus déposée par leur société révèle des revenus de l'ordre de 1,03 million d'euros pour l'année 2007, un chiffre d'affaires que la Brein tentera logiquement d'interpréter comme une conséquence indirecte du piratage.

Mininova n'héberge pas son propre tracker BitTorrent mais référence des milliers de liens permettant d'accéder à des contenus, légaux ou illégaux, et revendique quelque 25 millions de pages vues par jour. La Brein réclame la mise en place d'un dispositif de filtrage sur le site, de façon à ce que tous les contenus soumis au droit d'auteur et ne pouvant légalement être distribués par ce biais soient systématiquement évincés, avant même leur publication.

Cette nouvelle affaire interviendra après que le verdict a été rendu dans l'affaire The Pirate Bay, dont le procès a récemment pris fin en Suède. A la différence de The Pirate Bay qui, souvent, a joué l'arme de la provocation, Mininova pourra arguer disposer d'une page de contact expliquant aux ayant-droits comment faire retirer d'éventuels liens torrent litigieux. Ses administrateurs défendent un point de vue similaire à celui que règlemente la loi pour la confiance dans l'économie numérique (LCEN) française : ils refusent la mise en place d'un filtrage a priori, mais se disent prêts à supprimer rapidement les contenus qui pourraient poser problème une fois avertis.

Les importants revenus générés par le site, dont l'unique activité est la distribution de liens torrent (certains sont parfaitement légaux - distributions Linux par exemple, mais l'on trouve dès la page d'accueil du site films, albums et logiciels qui normalement sont payants) risquent de servir le propos de la Brein. D'après ArsTechnica, le chiffre d'affaires réalisé par Mininova, essentiellement grâce à la publicité affichée sur ses pages, s'élevait en effet à 600.000 euros en 2006, puis 1,03 million en 2007. Un trésor de guerre qui, à tout le moins, lui permettra d'armer quelques avocats compétents pour son procès !
le 17/03/2009 à 16:16
Test avec PHP
Lors de la réalisation de pages Web, de nombreux moyens existent pour être sur du bon fonctionnement de vos pages internet. Cependant, la mise en route de tout ceci, peut ralentir son utilisation à cause de manques d'aides ou d'informations.

Gabor Szabo a décidé de réaliser une série d'articles pour permettre à tous, l'utilisation de différents moyens pouvant exister.

Actuellement, son choix s'est orienté sur l'utilisation de SimpleTest.

- Testing PHP code with SimpleTest
- Testing PHP Applications
Selon une étude publiée par le cabinet IDC, la crise économique actuelle qui sévit à travers le monde devrait favoriser l'adoption de Linux au sein des entreprises.

Du côté du consommateur, l'on prédisait un phénomène similaire en pariant sur le fait que Microsoft commercialiserait son système Vista sur le marché du netbook... et avant que Microsoft ne décide d'étendre les ventes de Windows XP auprès des fabricants OEM. Au final, la différence de prix entre une même machine commercialisée avec les deux systèmes n'est pas si flagrante. En revanche, l'histoire serait bien différente dans le monde professionnel.

En effet, un sondage mené sur 334 organisations disposant de 100 employés ou plus révèle que 53% d'entre elles envisageraient de déployer une solution Linux sur leurs serveurs et 48% planifient d'installer une distribution de Linux sur les machines des employés. Dans 62% des cas, ce choix stratégique est principalement motivé par la crise économique et les réductions budgétaires qui ont suivi.

Lors du sommet de la PDC (Professional Developer Conference) d'octobre 2008 Microsoft a levé le voile sur Windows Server 2008 R2, la déclinaison serveur du prochain système Windows 7 qui devrait apporter plusieurs améliorations au niveau de la virtualisation, de la consommation d'énergie ou encore des outils de gestion. Récemment Steve Ballmer, le PDG de la firme de Redmond a laissé entendre qu'il voulait mettre en place une stratégie plus agressive sur le marché professionnel. Microsoft a d'ailleurs proposé des réductions sur certains de ses logiciels afin de concurrencer Oracle.

Reste à savoir si le phénomène de masse aura bien lieu et si Linux saura convaincre en entreprise face aux solutions de Microsoft.
Les internautes ne sont pas les seuls à manifester la désapprobation que leur inspire le projet de loi "Création et Internet" : dans un communiqué, trois associations réunissant les professionnels de l'Internet dénoncent cette semaine la "mission d'encouragement au développement de l'offre légale" qui incomberait à la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi).

Initialement réservée à l'offre commerciale, cette mission d'encouragement a été étendue à l'ensemble de l'offre légale suite au vote de l'amendement 318, défendu Franck Riester dans la nuit de jeudi à vendredi. La mesure pourrait paraitre bienvenue : valoriser l'offre légale et la promouvoir est sans doute une bonne façon d'encourager les internautes à se tourner vers elle, mais elle ne recueille pas l'approbation de l'Acsel (Association de l'Economie Numérique), du Geste (Groupement des éditeurs de services en ligne) et de l'Asic (Association des services Internet communautaires), qui redoutent le principe de « labellisation »

« Quels seraient les critères d'appréciation retenus par la Haute Autorité pour octroyer un tel label ? », se demandent les trois organisations, après avoir souligné le caractère inconstitutionnel d'une notion qui « n'est définie par aucun texte de loi ». Elles disent donc préférer « que le texte de loi garantisse plutôt des conditions équitables d'accès aux catalogues, seul élément réellement déterminant pour la construction d'une vraie alternative légale, attractive et pérenne, et respectueuse des droits de chacun ».
Il n'y a pas si longtemps, le mini-portable était perçu comme une aubaine pour les distributions de Linux. En effet, par défaut, les performances modestes de ces machines se révèlent plus adaptées à des systèmes d'exploitation légers. Pourtant l'éditeur Novell choisit d'en faire l'impassse.

Conscient de ce phénomène, Microsoft a donc décidé d'étendre le marché de Windows XP auprès des distributeurs OEM sous certaines conditions matérielles. Rapidement, les ambitions de Linux sont peu à peu retombées et Windows XP serait aujourd'hui installé sur 80% des netbooks vendus à travers le monde. Cependant, un autre secteur semble se dessiner, celui des machines tournant sous un processeur ARM. Puisque Microsoft ne semble pas vouloir développer une version de Windows compatible, il s'agirait peut être d'une seconde chance pour les éditeurs de Linux.

A ce sujet, la semaine dernière, l'analyste Robert Castellano, d'Information Network, affirmait qu'en 2012 55% des futurs netbooks seront basés sur l'architecture ARM Cortex-A9 et surpasseront donc le marché actuellement dominé par l'Atom d'Intel. Depuis quelques temps, la société Canonical LTD développe une version compatible de son système Ubuntu à destination des MID. Aussi, ce matin nous apprenions que la fondation One Laptop Per Child pourrait décider d'implémenter un processeur ARM dans sa prochaine machine, le XO-2, afin de réduire la consommation d'énergie.

L'éditeur Novell affirme de son côté qu'il n'est pas prévu de compiler la distribution OpenSuse pour fonctionner sur les processeurs ARM. Markus Rex, vice-président de la société affirmait à ComputerWorld : "il y a certainement beaucoup de battage publicitaire autour des netbooks basés sur un l'architecture ARM (mais) actuellement nous ne développons rien pour ces appareils". La firme serait plutôt entrain de finaliser la prochaine version du système : Suse Linux 11.
Le 2 septembre dernier, lorsque Google dévoila son navigateur Chrome doté d'un moteur JavaScript ultra-rapide, beaucoup regrettèrent que le logiciel ne soit développé que pour le système Windows. Cependant, en janvier dernier nous apprenions que les versions pour Mac OS X et Linux étaient bien en cours de développement et devraient être révélées dans le courant du premier semestre de cette année.

Au mois de janvier dernier, Brian Rakowski, en charge du produit chez Google, confirma ces informations et ajouta que ces versions étaient: "capables d'afficher plutôt correctement les pages web. Mais c'est encore très rudimentaire sur le plan de l'expérience utilisateur."

Il y a quelques semaines, la première capture d'écran de la version pour Mac OS X circula sur la Toile et aujourd'hui nous apprenons que les développeurs du projet Chromium viennent de mettre à disposition une version pre-alpha pour Linux et plus précisément pour le système Ubuntu. D'après les premiers tests SunSpider JavaScript effectués, notamment par magazine Tombuntu, Chrome serait 4,7 fois plus rapide que Firefox 3 et 2,9 fois plus rapide que Firefox 3.1 beta 3.

Pour de plus amples informations et suivre la procédure d'installation rendez-vous ici
LoadingChargement en cours