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En dépit d'un contexte économique difficile, et des frais liés à l'intégration d'Alice, Iliad se dit aujourd'hui satisfait de son exercice 2008, et optimiste pour l'année en cours, qui verra l'accélération des deux prochains gros chantiers de l'opérateur : le déploiement de la fibre optique, pour lequel un investissement d'un milliard d'euros d'ici 2012 est toujours prévu, et l'entrée dans la téléphonie mobile, via la très médiatisée quatrième licence 3G, à laquelle Free entend toujours bien se porter candidat. A l'occasion de la présentation de ses résultats financiers, l'équipe dirigeante d'Iliad a dévoilé une partie de sa stratégie pour les années à venir, sans oublier de tailler des croupières à France Telecom, qualifié de « délinquant multi-récidiviste » par Xavier Niel.

Résultats : Free plus efficace que jamais ?

Pour 2008, Iliad annonce un chiffre d'affaires en hausse de 29% à 1,56 milliard d'euros, doublé d'un bénéfice net de 100,4 millions d'euros, en baisse de 33,4% sur un an. La maison mère de Free explique ce recul par l'intégration d'Alice, racheté fin août dernier, à une période où l'ex filiale de Telecom Italia « brulait le cash » à hauteur d'un million d'euros par jour, selon Xavier Niel.

Free reste donc la principale locomotive du groupe, avec un nombre d'abonnés en hausse (485.000 recrutés sur l'année), et un ARPU (revenu moyen par abonné) qualifié de « record », à 36,9 euros par mois pour le dernier trimestre 2008.

Fibre : quelques milliers d'abonnés

Pour l'heure, Iliad indique avoir consacré entre 150 et 160 millions d'euros au déploiement de la fibre optique, et n'avoir ouvert son offre commerciale qu'à quelques milliers de clients. Les efforts s'intensifieront au second semestre de l'année, a toutefois déclaré Maxime Lombardini, qui confirme que l'objectif reste de couvrir horizontalement (la fibre arrive au moins au pied de l'immeuble) 70% de Paris au cours du second semestre 2009 et disposer d'une couverture de 4 millions de foyers à fin 2012, pour une facture globale d'un milliard d'euros.

La fibre a donc pris du retard, mais le cadre réglementant son déploiement devrait être mis en place dans les prochaines semaines, espère Iliad, dont la position ne varie pas d'un iota. La firme de Xavier Niel estime toujours qu'il faut baisser le prix de location des fourreaux, faire fibrer chaque immeuble par tous les opérateurs afin que ne se créent pas des zones de monopole et, surtout, permettre aux concurrents de France Telecom d'utiliser une partie de l'espace disponible au coeur de ses noeuds de raccordement et répartiteurs.

A terme, la fibre sera pour Free le moyen de considérablement augmenter ses marges, a répété Thomas Reynaud, directeur financier d'Iliad, qui passeraient d'environ 50% pour un abonné ADSL dégroupé à plus de 80% avec la fibre.

France Télécom : un « délinquant multi-récidiviste »

France Télécom « n'a qu'un point fort, c'est son carnet de chèques », a répété Xavier Niel jeudi, décidément remonté contre un opérateur historique dont « la dernière grande innovation, c'est le minitel ». X. Niel, dont la société vient de joindre ses forces à celles de Vivendi Universal contre France Telecom pour abus de position dominante dans la boucle locale (ADSL), estime que l'opérateur historique n'a pas évolué, et réclame une séparation fonctionnelle entre les « réseaux et les services ».

Mobile : cap sur la 4e licence 3G

Plus que jamais, Iliad se dit prêt à partir à la conquête du marché mobile. Xavier Niel et Maxime Lombardini n'ont toutefois pas renouvelé la fameuse promesse « nous diviserons par deux la facture mobile des foyers français » : jeudi, l'idée était plutôt de convaincre que la firme avait les reins assez solides pour se lancer dans ce nouveau chantier, en parallèle de celui de la fibre. Celui-ci demandera en effet également un investissement d'un milliard d'euros sur les prochaines année.

Dépôt d'un dossier de candidature fin mai, décision du gouvernement au quatrième trimestre : si sa candidature est retenue, Free entreprendrait rapidement de déployer les prémices de son réseau, avec comme objectif d'atteindre le plus rapidement possible un réseau couvrant 25% de la population, seuil à partir duquel l'opérateur pourra mettre en place des accords d'itinérance avec ses concurrents. « Notre objectif, c'est d'avoir le plus rapidement notre réseau, ouvrir notre offre commerciale dès que l'on a les accords d'itinérance, puis profiter des avancées technologiques, d'abord la 3G, mais aussi le LTE », résume Maxime Lombardini.

Partage des points hauts où sont situées les antennes, et partenariats avec des acteurs disposant déjà des infrastructures et autorisations nécessaires permettront un déploiement rapide, assure-t-on chez Iliad. Reste à trouver les deux milliards d'euros nécessaires à la conduite de ces deux projets. La très bonne rentabilité de Free, la mise en place de nouveaux services à valeur ajoutée et des lignes de crédit ouvrant droit à quelque 360 millions d'euros devraient permettre d'assurer l'essentiel, déclare, confiant, le directeur financier d'Iliad. Il faudra cependant aussi jongler avec une dette nette s'élevant à 882 millions d'euros à fin 2008, motivée par les emprunts souscrits pour le rachat d'Alice.
SFR chercherait un nouveau fournisseur de décodeur de télévision. L'opérateur aurait effectivement lancé un appel à candidature, d'après le quotidien Les Échos, et les français Thomson et Sagem, le coréen Samsung ou encore l'américain Cisco se seraient d'ores et déjà montrés intéressés. L'opérateur, qui commercialise depuis le rachat de Neuf Telecom une offre d'accès à Internet triple play souhaiterait prendre son indépendance, puisque pour l'heure il ne fait appel qu'à un seul fabricant de décodeur, le français Netgem.

Un tiers des 3,9 millions d'abonnées à Internet de SFR auraient activé l'offre de télévision et disposeraient donc d'un tel décodeur. Pour Netgem, qui a profité des rachats successifs de fournisseurs d'accès concurrents par son client et des nombreux nouveaux abonnés qui en résultent, SFR représente désormais 80% du chiffre d'affaires, d'après Joseph Haddad, PDG du fabricant.

La décision de SFR est attendue dans quelques mois, Netgem compte pour sa part se diversifier en se développant dans le domaine de la vidéo à la demande (VOD) et en vendant sous licence des micro-logiciels pour équiper les décodeurs de ses concurrents. L'action de Netgem quant à elle n'a pas attendu pour chuter de 13% aujourd'hui en répercussion de cette annonce.
En développement depuis de trop longs mois, la version finale d'Internet Explorer 8.0 est aujourd'hui disponible pour tout un chacun. La nouvelle mouture du célèbre navigateur Microsoft apporte divers changements à commencer par le plus discutable d'entre tous, le changement de moteur de rendu. Sur le papier, ce changement avait pourtant tout pour plaire puisqu'avec son nouveau moteur d'affichage des pages Web Internet Explorer 8.0 se vantait de respecter enfin les standards du Web. Oui mais voilà à trop vouloir respecter les standards du Web, Internet Explorer 8.0 pose de nouveaux problèmes puisqu'un certain nombre de sites optimisés pour les précédentes versions du logiciel sont aujourd'hui tout simplement incompatibles avec le nouveau fureteur. Du coup, Microsoft a du faire machine arrière en introduisant un mode de compatibilité qui permet de revenir au moteur de rendu d'Internet Explorer 7.0 pour les pages récalcitrantes.

Au delà de ce changement majeur mais hélas invisible pour beaucoup, Internet Explorer 8.0 profite de nombreuses améliorations. Pour la stabilité, chaque onglet s'exécute dans un processus séparé et peut être récupéré en cas de plantage. Du côté de la sécurité, la barre d'adresses met en surbrillance le nom de domaine du site visité pour bien faire ressortir toute tentative de détournement alors que le navigateur intègre une protection contre le cross site scripting qui vise à rediriger un trop grand nombre de fois une action.

Passons maintenant à l'ergonomie : le dernier navigateur de Microsoft propose de colorier les onglets appartenant au même site Web lorsque plusieurs onglets sont affichés alors que les accélérateurs font leur apparition. En sélectionnant simplement du texte, on peut, via un clic droit notamment, l'envoyer par email, le blogguer sur Live Spaces ou encore rechercher l'adresse sur Windows Live Maps (par exemple). Parallèlement, Microsoft introduit les Web Slices, une fonction de découpage d'une page Web, à condition que le site Internet visité soit prévu pour. Et Microsoft de proposer un mode de navigation discret, baptisé InPrivate, qui permet de visiter des sites Web sans laisser des traces.

D'après Fabrice Milhoud, porte parole de Microsoft France : "Internet Explorer 8.0 apporte des améliorations en terme de sécurité avec la mise à jour de ses filtres ainsi que l'apparition du XSS, mais aussi de respect de la vie privée avec le mode InPrivate, et en terme de simplicité et de rapidité pour l'utilisateur avec l'apparition des web slices et des accélérateurs".

De son côté, Tristan Nitot, président de l'association Mozilla Europe et ardent défenseur de Firefox, a pu s'exprimer sur la sortie d'Internet Explorer 8.0 dans les colonnes de NetEco. Selon lui : "On note des progrès en terme de support des standards (CSS, principalement) et aussi en terme de rapidité, dans une moindre mesure. Mais aujourd'hui, les navigateurs modernes travaillent sur deux aspects essentiels : d'une part, des moteurs JavaScript avec compilation juste à temps, ce qui permet de faire passer les applications Ajax à la vitesse supérieure, d'autre part, HTML 5, particulièrement Canvas (graphiques manipulés par JavaScript) et la vidéo native. Internet Explorer ne propose rien sur ces différentes technologies et sur SVG (Scalable Vector Graphics)".

Attention aux utilisateurs de Windows 7 : Microsoft précise que l'actuelle mouture de Windows 7 intègre une version d'Internet Explorer en pre-release 8.0 optimisée pour ce système et activant des fonctions spéciales. La version finale du navigateur sera intégrée dès la publication de la première release de Windows 7 !
Lancée au mois de juillet 2008 dans nos contrées à l'occasion du Tour de France, la fonction Street View permet au travers du service de cartographie Google Maps de visiter les rues de certaines villes sous forme de multiples photos panoramiques. En France les visites virtuelles n'étaient jusqu'à présent disponibles que dans six des plus grandes villes, mais les voitures de Google ont depuis sillonné les routes et des centaines de kilomètres supplémentaires ont aujourd'hui été publiés d'un coup.

Une trentaine d'agglomérations supplémentaires sont désormais couvertes en France, dont Le Havre, Montpellier, Nantes, Reims, Rennes ou Strasbourg pour ne citer que les plus grandes, tandis que la couverture est également étendue à la périphérie des six premières villes (Lille, Lyon, Marseille, Nice, Paris et Toulouse). Bordeaux manque en revanche toujours à l'appel.

C'est aussi l'occasion pour Google de lancer Street View dans d'autres pays puisque 25 villes sont couvertes au Pays-bas et au Royaume-Uni, dont Amsterdam et Londres. Street View fait enfin son apparition dans d'autres villes européennes, en Espagne et en Italie notamment, pays dans lesquels il était déjà disponible.

La chasse aux scènes insolites et aux procès pour non respect de la vie privée est de nouveau ouverte !
Mercredi dernier, lors de la conférence MIX09, Scott Guthrie, vice-président de la plateforme de développement .NET chez Microsoft, a présenté la version 3 beta de l'environnement Silverlight.

Parmi les fonctionnalités majeures annoncées pour cette nouvelle mouture, Microsoft explique que Silverlight sera capable de faire tourner des applications web en mode déconnecté. La technologie de Microsoft s'aligne donc sur Adobe AIR ou Gears. Thomas Serval, directeur de la division Plate-forme et Ecosystème, chez Microsoft France, nous précise que par la suite il sera possible de synchroniser automatiquement en mode hors-ligne des applications Silverlight développées spécifiquement pour l'utilitaire Live Mesh. "C'est un outil tellement puissant qu'on est capable de porter de véritables applications sur le web avec très peu de latence" affirme-t-il.

Silverlight 3 beta intègre aussi de meilleurs codecs multimédia avec notamment une prise en charge native du format H264 et du codec AAC pour une lecture en full HD (720p+). En termes graphiques notons aussi l'introduction de la 3D au niveau des animations et des perspectives.

Scott Guthrie précise que l'un des avantages de Silverlight par rapport à Flash est l'indexation au sein des moteurs de recherche en générant automatiquement du code HTML facilement identifiable. D'ailleurs, Silverlight 3 prend en charge les liens profonds (deep linking) qui permettent aux utilisateurs de marquer en favori une page particulière chargée au travers de Silverlight.

Scott Guthrie note aussi que Silverlight est plus simple qu'Adobe AIR puisqu'il ne requiert qu'un seul téléchargement - la troisième version étant plus légère que la seconde - pour une installation qui ne prendrait pas plus de 8 secondes. "AIR est un téléchargement séparé de Flash et Silverlight a déjà plus d'utilisateurs ", explique Brad Becker de Microsoft.

A travers le monde, la firme de Redmond aurait comptabilisé 350 millions d'installations de Silverlight, une technologie qui aurait attiré 300 000 développeurs. "On constate une accélération qui devrait s'accentuer par la suite ", déclare Thomas Serval lors d'une conférence téléphonique.

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Coutumier des déclarations fracassantes, Xavier Niel n'a une nouvelle fois pas mâché ses mots à l'égard de la loi "Création et Internet" jeudi matin, à l'occasion de la présentation des résultats financiers annuels de la société qu'il préside, Iliad. Tout en reconnaissant que les fournisseurs d'accès Free et Alice se conformeraient aux éventuelles dispositions légales qui découleront du texte final de la loi, il a tenu à souligner que selon lui, cette loi sera mal appliquée, et ne résoudra pas les problèmes liés au piratage des oeuvres sur Internet.

Sur la forme, les responsabilités techniques liées à la suspension de l'abonnement à Internet ne semblent pas insurmontables, a estimé Xavier Niel : "On peut le faire, mais c'est une question de prix". Selon lui, couper l'accès à Internet sans pénaliser téléphonie et télévision sur IP impliquerait la mise en place d'équipements spécifiques au niveau des DSLAM, et pourrait représenter des charges importantes, de l'ordre d'une centaine d'euros par abonné.

Le ministère de la Culture affirme quant à lui que la facture se monterait, au global, pour les différents acteurs concernés, à 60 ou 70 millions d'euros. Quel que soit le coût, "on doit indemniser les charges des FAI", a sobrement rappelé le président d'Iliad.

« Sur le fond, on pense que cette loi est une bêtise. Ce sera une loi mal appliquée, qui risque de couper d'Internet des personnes qui ne sont pas de grands délinquants », a-t-il ajouté, sur un ton nettement plus virulent. « Les modes de fonctionnement du piratage ont évolué, avec le streaming, les newsgroups ou le téléchargement sur des réseaux P2P chiffrés. Il y a des dizaines de situation différentes, et là on ne s'occupe que d'une seule, qui n'est plus adaptée ».

Dépourvue de sens économique, puisque ne promouvant pas l'offre légale, « cette loi risque de créer une scission entre les gens qui connaissent Internet et ceux qui ne le connaissent pas », a estimé X. Niel. « Pourquoi ne pas couper l'électricité, puisqu'elle sert aussi à pirater, ou confisquer les ordinateurs. Et pourquoi pas brûler les voitures qui sont mal garées ? ».

« C'est une volonté présidentielle, et personne ne veut vexer », a encore laissé entendre Xavier Niel, avant de souligner que si Internet n'était pas une nécessité première pour le Français d'aujourd'hui, les opérateurs télécoms subiraient peut-être plus durement les effets de la crise économique.

Très en verve, Xavier Niel s'est toutefois montré moins éloquent à l'heure de proposer une alternative au projet de loi actuel. Insistant sur l'« éducation », le fondateur d'Iliad n'a pas évoqué les projets de licence globale ou licence collective défendus par certains députés de l'opposition. « Il y a sans doute un intermédiaire à trouver. Une amende de première catégorie, de 11 euros, qui servirait d'avertissement, serait sans doute plus adaptée », a-t-il finalement laissé tomber.
Lors du sommet MIX09 dédié aux nouvelles technologies de l'Internet chez Microsoft, la firme de Redmond a dévoilé Windows Live Messenger Toolkit permettant aux utilisateurs d'interagir directement avec ses contacts Windows Live depuis leur sites Internet.

Selon Microsoft, l'intégration du client de messagerie instantanée devrait permettre aux webmasters de retenir leurs visiteurs tout en apportant une dimension communautaire qui n'est pas sans rappeler les plateformes Friend Connect de Google ou PingBox de Yahoo!

Lors de son implémentation dans le code HTML de la page, le développeur bénéficiera de plusieurs options. La plupart des internautes choisiront Web bar, un composant pré-développé à personnaliser soi-même (Web Bar). Pour plus de souplesse, Microsoft met également à disposition la technologie sous la forme de 16 modules de contrôle personnalisables. Enfin pour une intégration encore plus poussée, le développeur peut réécrire l'ensemble du logiciel en se basant sur la bibliothèque de Windows Live Messenger. De son côté, lorsqu'il décide de s'identifier au travers d'un site Internet, le visiteur peut gérer son statut, voir lesquels de ses contacts sont en ligne et engager une conversation.

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Orange fait du neuf avec du vieux; ou tout du moins avec du "rétro". Près de deux ans après la sortie de la première Liveradio, un poste de radio WiFi autonome, Orange annonce aujourd'hui le lancement de la "Liveradio Vintage" dotée d'un design "rétro" avec un habillage en bois.

Livrée avec une télécommande infrarouge, elle permet, une fois reliée à une box ADSL, d'accéder à 5000 web radios et à 11 000 podcasts classés par catégories (actualité, sports, musique ou humour), et le tout sans nécessiter l'utilisation d'un PC. Elle peut néanmoins interagir avec les contenus multimédia stockés sur un PC - ou sur une simple clé USB - en pouvant lire les fichiers WMA, MP3, WAV et Real.

Côté technique, la Liveradio vintage intègre un haut-parleur d'une puissance de 10 Watts, une sortie casque, une sortie stéréo RCA, un écran LCD bleu de 128 x 80 pixels, un Tuner FM, une prise Ethernet et enfin une compatibilité WiFi 802.11b/g (WEP/WPA). Pour le reste, ce poste de radio WiFi permettra d'accéder à des contenus payants comme des livres audio proposés en partenariat avec Audiolib et Litteratureaudio. Disponible à la vente depuis le début du mois, la "Liveradio Vintage" est commercialisée au prix de 99 euros.

A noter qu'une application développée par Orange nommée "Liveradio" est également disponible sur iPhone et iPod Touch. D'ailleurs, l'opérateur vient d'annoncer avoir franchi le cap des 300 000 téléchargements de ce programme gratuit référencé sur l'App Store.
Petit à petit, le navigateur web mobile dérivé de Firefox portant le nom de "Fennec" évolue. Après avoir été proposé pendant près d'un mois en téléchargement en version alpha pour smartphones Windows Mobile et tablettes Internet de Nokia, c'est désormais sa version bêta 1 qui est disponible.

En revanche, Fennec bêta 1 est encore loin d'être un logiciel multiplateforme, n'étant compatible pour l'heure qu'avec les tablettes WiFi N800 et N810 de Nokia sous Linux Maemo. Néanmoins, cela permet d'en savoir plus sur les nouvelles fonctionnalités qui seront très certainement disponibles également pour les versions Windows Mobile et Symbian du fureteur.

Et ces nouveautés semblent nombreuses, d'une possibilité d'utiliser des plugins à une meilleure gestion des favoris (édition et organisation des adresses par répertoire) en passant par un temps de démarrage plus rapide ou une gestion du zoom améliorée. Fennec bêta 1 propose également désormais le nouveau moteur Javascript de Mozilla nommé "TraceMonkey".

Pour le reste, Fennec permet toujours d'avoir une navigation optimisée pour les terminaux dotés d'un écran tactile. Reste à savoir si cela sera suffisant pour concurrencer les navigateurs web mobiles phare du marché dont Safari Mobile, Navigateur S60 (Symbian) ou Opera Mobile.
Depuis que le langage PHP, de nombreuses documentations et sources exemples montrent de gérer les erreurs du exécutions ou fonctions avec une base de donnée (comme MySQL) avec « or die »

Mais les techniques ont évolués, et ils existent d'autres moyens de gérer les erreurs en générales.

Le site « Alsacréations » montrent quelques techniques comme :
- Know your enemy
- Retour aux sources
- La POO
- Utilisation de PDO

- Gérer les erreurs MySQL en PHP sans or die
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