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le 13/03/2009 à 23:49
Le navigateur Opera 10 met le Turbo
Le mois dernier, l'éditeur norvégien Opera Software annonçait une nouvelle technologie baptisée Turbo permettant de rivaliser avec Safari, Chrome, Firefox ou Internet Explorer. Turbo permet de compresser à la volée les données sans transcodage. Concrètement, en saisissant une URL dans la barre d'adresse, ce sont les serveurs de Opera qui vont télécharger la page web, la compresser et l'envoyer ensuite à l'internaute ou au mobinaute dans un format plus compact. Le navigateur sera ensuite capable de décompresser les données à la volée pour les afficher.

La firme norvégienne dévoile aujourd'hui une version bêta d'Opera 10 intégrant cette nouvelle technologie. Lors du chargement d'une page Opera indiquera le degré de compression ainsi que la bande passante économisée.

Pour de plus amples informations, une vidéo de démonstration et les liens de téléchargement pour Windows, Mac OS X et Linux, rendez-vous ici.
En quoi consiste réellement une attaque de botnets ? Pour le savoir et mesurer les risques, le département Click de la BBC a lancé un programme d'expérimentation en matière de cyber-fraude et a acheté plus de 20 000 machines. L'équipe a ensuite testé plusieurs types d'offensives couramment pratiquées par les hackers notamment une attaque par déni de service sur le site de l'éditeur Prevx, spécialisé dans la sécurité informatique... avec son consentement bien sûr.

Après avoir envoyé plusieurs courriers indésirables sur une série de comptes Gmail et Hotmail sous contrôle, l'équipe en charge de cette expérience a aussi réussi a pénétrer au sein de plusieurs ordinateurs et s'est même amusée a changé le fond d'écran des machines, tout en alertant leur utilisateurs. A l'issu de ces tests, l'équipe annonce avoir désactivé ce réseau de machines.

Pourtant cette pratique n'est pas du goût de tout le monde. En effet, pour John Pescatore, analyste chez Gartner, il ne s'agit même pas d'"une expérience douteuse, c'est clairement irresponsable (...) c'est comme payer un pyromane pour qu'il brûle un immeuble désaffecté juste pour voir à quoi ressemble les flammes qui en jailliraient. Ils auraient aussi bien pu se rendre chez un vendeur de solutions de sécurité qui leur aurait démontré la sévérité des botnets". Ces propos furent d'ailleurs repris par Greg Day, analyste chez McAfee.

Les anglophones pourront lire les détails des différentes expériences sur le site de Click.
Au mois de janvier dernier, Opera Software portait plainte devant la Commission Européenne en pointant du doigt la monopole de Microsoft sur le marché des navigateurs. La firme norvégienne estime en effet que l'intégration d'Internet Explorer à Windows porte préjudice aux logiciels concurrents. Cet argument fut ensuite repris par la fondation Mozilla et Google qui ont publiquement soutenu la plainte d'Opera Software. Quelques semaines plus tard, Microsoft annonçait sur l'un de ses blogs officiels qu'Internet Explorer 8 pourrait être désinstallé de son prochain système d'exploitation Windows 7. Clubic s'est penché sur le sujet et s'est entretenu avec Jon S. von Tetzchner, PDG d'Opera Sofwtare.

Sur le blog Engineering Windows 7, Microsoft a clairement annoncé qu'Internet Explorer 8 pourrait être désinstallé du système d'exploitation Windows 7. Pensez-vous que cette initiative soit la conséquence directe de la plainte d'Opera Software déposée auprès de la Commission Européenne en janvier dernier ?

Jon S. von Tetzchner : Nous pensons effectivement que c'est la cas. Pour Microsoft, il s'agit d'une première car ils ont intégré Internet Explorer au sein-même du système de fichiers. Je pense que leur intention de permettre la désinstallation complète d'Internet Explorer 8 rendra Windows plus sécurisé.

Mais ne nous voilons pas la face, Microsoft a l'habitude de ne pas tenir ses promesses. Il s'agit d'ailleurs d'un point important de la plainte que nous avons déposée. Nous voulons que Microsoft tienne sa promesse et adopte finalement les standards du web. C'est bien beau de tenir des discours mais il faudrait songer à passer à l'action. Notre plainte oblige Microsoft à rendre le web plus ouvert et interopérable. J'aurais souhaité que les choses se passent autrement mais la réalité est là : nous avons dû procéder à des actions judiciaires.

Vous avez récemment annoncé que la désactivation d'IE8 au sein de WIndows 7 n'était pas suffisante. Dans la mesure où l'utilisateur requiert un navigateur initial afin de télécharger un logiciel alternatif, selon vous quelle serait la solution idéale ? Si Opera venait à être installé par défaut sur Windows, ne serait-ce pas au détriment de Firefox, Chrome ou Safari ? Peut-on réellement imaginer que Windows embarquerait par défaut l'ensemble des navigateurs existants? Concrètement quelle serait votre solution idéale ?

JSVT : Il est clair qu'aujourd'hui un ordinateur nécessite un navigateur. Nous ne suggérerons jamais qu'une machine soit livrée sans un tel logiciel. Cependant, il existe des manières de permettre à l'internaute de choisir son navigateur favori, lors de l'installation de Windows, par exemple. Ce serait facile de faire en sorte que Windows installe le navigateur via un mécanisme complètement transparent pour l'utilisateur.

Nous ne voulons pas rendre la tâche compliquée pour les gens souhaitant surfer sur Internet. Pour cette raison, l'approche que nous avons choisi protège non seulement les notions de choix et d'innovation sans pour autant contraindre l'utilisateur.

Selon un récent entretien recueilli par Beta News, vous expliquez qu'il n'est pas très important qu'une petite distribution de Linux embarque tel ou tel navigateur par défaut car cette distribution « ne change pas la dynamique du marché » contrairement à Windows. Cependant, cela ne contredirait-il pas votre argument initial, à savoir, le consommateur doit être en mesure de choisir son navigateur ?

JSVT : En ce qui concerne l'intégration d'un navigateur au sein d'un système d'exploitation, je comprends ce point de vue. Cependant ce n'est pas le cas. Windows est un cas à part car il représente plus de 90% du marché du système d'exploitation. A cause de la dominance d'Internet Explorer (grâce au monopole de Windows), les développeurs web sont forcés de coder pour Internet Explorer. Au final Microsoft s'est permis de faire l'impasse sur les standards du web. Pourtant ces derniers sont garants d'un web ouvert pour tout le monde et permettre une véritable interopérabilité. Si le lecteur de cet article devrait retenir quelque chose c'est bien que cette bataille a pour but de rendre le web interoperable et ouvert pour tous.

Que pensez-vous de la déclaration de Sundar Pichai, VP chez Google, qui expliquait : « nous allons probablement commencer des partenariats de distribution (...) il se pourrait que nous travaillions avec des fabricants OEM afin qu'ils vendent des ordinateurs sur lesquels Chrome serait pré-installé ». Ne s'agirait-il pas là encore d'établir une sorte de monopole similaire ? Avez-vous envisagé de tels partenariat OEM ?

JSVT : Pendant longtemps Microsoft a interdit ses partenaires OEM d'installer d'autres navigateurs. Même si les OEM peuvent désormais ajouter d'autres logiciels sur les PC tournant sous Windows, cela aurait pour conséquence d'établir un autre monopole sur le marché dominant du PC, qui pourrait par la suite affecter l'interopérabilité du web et son ouverture.

Bien sûr nous nous sommes penchés sur de tels partenariats OEM. Nous nous sommes même heurtés aux avocats de Microsoft chargés d'étudier la question des navigateurs alternatifs. Par ailleurs nous aurions dû payer les fabricants OEM pour installer Opera. Au final, cela revient très cher et je préfère dépenser de l'argent là où c'est utile comme dans la recherche et le développement pour s'assurer d'être au top de l'innovation et en promouvant les standards du web qui rendront l'Internet plus ouvert et plus interopérable.

Je vous remercie.
Aujourd'hui l'organisation européenne pour la physique nucléaire, plus connue sous le nom de CERN, fête les vingt ans du World Wide Web. Dans les années 1980, le centre de recherche bouillait de nouvelles idées et de projets ambitieux nécessitant une organisation soutenue. C'est ainsi que le 13 mars 1989, Tim Berners-Lee proposa le premier schéma de ce qui s'appellera plus tard le World Wide Web.

Plus particulièrement, Tim Berners-Lee inventa le concept du lien hypertext permettant alors de relier chacune des informations entre elles et de passer rapidement d'un texte à l'autre. Par la suite, le scientifique mit au point le premier navigateur Internet basé sur l'architecture des ordinateurs NeXT, une firme créée par Steve Jobs en 1985 après son premier départ d'Apple.

L'histoire de l'Internet remonte cependant bien plus loin dans le temps. En 1957, la guerre froide bat son plein, et suite au premier lancement d'un satellite russe dans l'espace, les Etats-Unis mirent en place DARPA (Defense Advanced Research Project Agency), un système permettant de centraliser l'information au sein d'une infrastructure partagée et d'en optimiser son traitement. Par la suite DARPA sera renommé ARPANET. En plus de ce premier réseau trois autres initiatives similaires furent établies autour du monde : l'infrastructure militaire américaine RAND, le système de transaction financières anglais NPL et le réseau scientifique français CYCLADES. A elles quatre, ces organisations sont véritablement le fondement de l'Internet moderne d'aujourd'hui.

Le protocole TCP fut inventé sur le réseau ARPANET afin de vérifier le transfert des fichiers d'une machine à l'autre. Le transfert de paquets fut optimisé en Angleterre pour les transactions financières opérées sur NPL. Enfin le modèle d'interconnexion entre plusieurs machines fut mis en place sur CYCLADES afin de décentraliser l'information. Le 28 février 1990 sera alors la date symbolisant la fusion des diverses technologies.

Les célébrations des vingt ans du World Wide Web débuteront cet après-midi à 14h et seront retransmises en direct sur le site officiel du CERN.
Le navigateur internet de Microsoft est certes toujours leader avec 58,1% des parts de marché, il est en perdition depuis plusieurs mois (8 points de moins en un an) et subit la concurrence d'autres navigateurs, en particulier Mozilla Firefox qui est quant à lui utilisé par près d'un internaute sur trois (32,5%). Libre et gratuit, ce dernier bénéficie d'une bonne image en plus de mieux respecter les standards, à l'instar de Chrome, d'Opera ou de Safari qui cumulent tous trois 8,6% des parts de marché.

Il est donc temps pour la firme de Redmond de réagir et Internet Explorer 8 serait la réponse. IE8 se veut bien plus respectueux des standards, ouvrant de nouveaux horizons aux concepteurs de sites internet, et intègre de nombreuses nouvelles fonctionnalités plus en phase avec ses concurrents, qui ont pris depuis la sortie d'Internet Explorer 7 plusieurs longueurs d'avance.

Une indiscrétion de la part d'un représentant de Microsoft Taiwan indique que Internet Explorer 8 sera officiellement lancé le 20 mars 2009 dans le cadre du MIX 09, un des rendez-vous annuels du web organisé par Microsoft à Las Vegas. Pete Le Page, chef produit d'Internet Explorer, y présentera des nouveautés telles que les accelerators, qui permettent d'accéder directement à de nombreux services en ligne (cartes, traduction, partage) simplement en surlignant le contenu d'une page web.
Les sites YouTube et Dailymotion auraient récemment reçu une réquisition judiciaire relative à des commentaires insultants déposés par les visiteurs du site suite à la publication de vidéos montrant Nadine Morano, secrétaire d'Etat à la Famille, a révélé mercredi le site du quotidien 20 Minutes. La Brigade de répression de la délinquance contre la personne requiert que les deux sites fournissent « en urgence la date, l'heure et les adresses IP utilisées et tout élément d'identification, pour la mise en ligne des commentaires ». Une première "historique" selon Dailymotion.

Une nouvelle fois, cette procédure soulève la question de la valeur juridique de l'adresse IP, récemment contestée par un jugement du tribunal de Guingamp. Dans une affaire de diffamation, celui-ci a estimé le 23 février dernier que l'adresse IP ne suffit pas à établir la culpabilité d'un internaute. Un débat qui prend tout son sens dans le cadre du projet de loi "Création et Internet", puisque c'est justement l'adresse IP qui sert à identifier les présumés téléchargeurs illégaux...
Quel est le navigateur le plus rapide ? Voilà une question sujette à de nombreux débats. En effet, le marché ne cesse d'évoluer et chaque éditeur concentre ses efforts à la fois sur le moteur de rendu et l'interpréteur JavaScript. Avec TraceMonkey, Firefox saura-t-il faire face à SquirrelFish de Safari ou au V8 de Chrome? Et quid d'Opera 10 ou d'Internet Explorer 8?

Si chacun peut apporter son grain de sel à toutes ces interrogations, il n'existe clairement aucune réponse définitive pour la simple raison que les utilisateurs disposent de configurations matérielles spécifiques. Ainsi Safari 4, par exemple, affichera des performances bien différentes selon le système d'exploitation sur lequel il tourne.

Afin que chacun puisse apprécier la rapidité des navigateurs en fonction de sa propre machine, l'éditeur finlandais Futuremark, spécialisé dans les logiciels de benchmarking (tests des performances) a mis à disposition le site PeaceKeeper. L'outil en ligne commence par analyser la configuration du système comme le type de processeur utilisé, la carte graphique embarquée et la quantité de mémoire vive. Par la suite, le test passe en revue les performances JavaScript et DOM (Dynamic Object Model) du navigateur afin d'évaluer ses capacités à rendre les sites particulièrement lourds faisant usage de l'Ajax.

A l'heure actuelle, c'est le navigateur Safari 4 qui domine le classement. En même temps, la machine utilisée tourne sous Windows Vista et embarque un processeur Intel Core i7 965 Extreme Edition avec 6 Go de mémoire vive et une carte graphique NVIDIA GeForce GTX 280.

Pour procéder vous-mêmes au test en question, rendez-vous ici
Au premier de septembre dernier, la Fondation Mozilla annonçait un prolongement de son partenariat avec Google jusqu'en 2011. Par cet accord, Mozilla place Google comme moteur de recherche par défaut sur son navigateur Firefox, ainsi que sur une page d'accueil dédiée. En retour, Google reverse à la fondation une partie des revenus générés par le trafic des recherches depuis le navigateur.

Pour Google, cet accord permet de consolider sa position sur le marché des moteurs de recherche. Du côté de Mozilla, cette rentrée d'argent régulière est nécessaire pour assurer le développement du navigateur et représentait pas moins de 85% des revenus globaux de la fondation en 2006 (57 millions de dollars). Mitchell Baker, présidente de la fondation, déclarait alors : "nous venons de renouveler notre partenariat avec Google pour trois ans (...) nous assurons donc une stabilité de nos revenus ".

Seulement à l'avenir, il se pourrait que ce partenariat soit compromis. En effet, au lendemain de cette annonce, Google dévoila Chrome, son propre navigateur venu chasser sur le terrain de Firefox. Interrogée à ce sujet par le magazine BusinessWeek, Mitchell Baker explique : "il y a d'autres moteurs de recherche qui seraient prêts à nous payer". La présidente de la fondation fait remarquer qu'"un des acteurs du marché a proposé de faire un gros chèque pour remplacer Google", avant de préciser qu'il ne s'agissait pas de Microsoft.

De toute évidence, si Google venait mettre un terme au financement de Firefox, certains voient en ce navigateur l'occasion d'attirer de plus en plus d'internautes. Si les moteurs de recherche se divisent le marché de l'Internet mobile en signant différent accords avec les opérateurs mobiles du monde entier, le navigateur traditionnel reste un territoire très convoité. Dans tous les cas, Firefox ne sera donc pas oublié.
Au cours même du débat sur la loi "Création et Internet" au parlement, jeudi 12 mars 2009, un appel à manifester était lancé. Le message s'est rapidement diffusé sur la Toile. À 18 heures 30, pourtant, moins d'une centaine de personnes s'étaient rassemblées aux abords de l'Assemblée nationale. Les milliers d'autres seraient-ils restés scotchés à leurs écrans ?

Le débat ne fait que commencer, car rien ne sera fixé avant le début du mois d'avril. Pourtant, les industries discographiques et cinématographiques pressent le pas. Et pour cause, la première accuse une division par deux de son chiffre d'affaires en six ans. EMI France a, par exemple, récemment vu ses effectifs fondre de 500 à 200 salariés.À cela, les "anti-Hadopi" opposent les erreurs de la filière, son retard en particulier. "Comment expliquer qu'un 'ado' de 15 ans puisse se procurer l'épisode d'une série américaine diffusée pour la première fois le jour même, la sous-titrer, puis la mettre à disposition des internautes en moins de 24 heures, alors que les industriels, eux, mettent plus de six mois pour le faire ?", se demande Guiral Lacotte, un membre de l'association de promotion du logiciel libre (l'April), présente à la manifestation. "Ils sont d'abord restés collés au CD, n'ont pas cru au téléchargement, puis ont voulu mettre des verrous partout pour multiplier leurs profits", a d'ailleurs déclaré Jérémy Zimmermann, responsable du collectif la Quadrature du Net, dans l'édition du journal Le Monde, aujourd'hui. Le débat sur la démocratisation de la culture et le financement de la création sur Internet n'en est qu'à ses débuts.La mise en scène organisée ce jeudi par le Mouvement des jeunes socialistes (MJS), entre autres, en dit long sur la situation. D'un coté un Nicolas Sarkozy factice, accompagné des représentants de l'industrie musicale, scandent "logique dépressive pour profits maximums", de l'autre, les internautes leurs rétorquent "notre alternative c'est la licence globale". "Le problème de la licence globale, c'est la répartition des bénéfices", explique pourtant Olivier, dit "Bagozor" des Travailleursduweb.com. Payée chaque mois par les internautes, elle serait redistribuée entre producteurs, éditeurs, auteurs et fournisseurs d'accès. Une solution qui laisse la profession perplexe.

"On met des radars pour faire du chiffre" pour certains. "C'est une loi 'copinage'", pour Sébastien. "On nous demande d'être responsable de notre réseau, alors qu'eux n'y arrivent même pas. C'est une loi injuste et inapplicable". Alors, comment rémunérer la création tout en démocratisant la culture ?Il y a bien Deezer, "qui bénéficie d'un forfait de diffusion tel que celui payé par les radios", selon un proche de l'affaire. Mais, ses complications avec les industriels du secteur, ainsi que son modèle qui "n'est pas à l'équilibre", laissent douter. Une affaire de philosophie ? Les débats du 2 avril prochain devraient apporter un début de réponse à cette "crise", finalement assez représentative de "l'atmosphère économique" ambiante.NDLR : Une vingtaine de CRS sécurisait les abords de la manifestation, aucune déclaration n'ayant été faite à la préfecture.
le 12/03/2009 à 22:32
Google Summer of code 2009 est ouvert
Le Google Summer of code (GSoC) 2009 est lancé. Comme les autres années, PHP va prendre part à cet évènement.

David Coallier (Président de PEAR et membre de PHP Irlande) a regroupé les premières idées et bien sur tous les développeurs sont invités à en soumettre d'autres touchant PEAR, PECL et PHP sur la page GSoC 2009 du Wiki PHP.

- Ideas for the Google Summer of Code 2009
- Annonce officielle GSoC 2009
- Les anciens liens GSoC pour PHP et MySQL
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