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le 21/10/2008 à 23:03
Le système gOS débarque sur Moblin
gOS, le système d'exploitation basé sur Linux qui reprend une interface largement inspirée de Mac OS X en proposant des fonctionnalités des services de Google, annonce son arrivé sur la plateforme Moblin

Lors du forum Intel Developer, la société a présenté son nouveau projet et a annoncé qu'elle a signé un partenariat OEM avec le fabricant MiTAC travaillant actuellement sur une version Linux de leur netbook David Liu, fondateur et PDG de Good OS déclare : "aujourd'hui nous voyons d'excellentes opportunités sur le marché du netbook et les technologies de Moblin nous permettrons de baisser les coûts de développement [...] il y a plein de nouvelles choses à faire avec Moblin, c'est assez excitant et nous entendons bien développer la meilleure interface de cloud computing sur Moblin"

C'est au mois d'août que la société Good OS LLC, a dévoilé une bêta pour la troisième version de son système. En se basant sur Ubuntu, gOS reprend le gestionnaire de fenêtre GNOME et intègre Mozilla Prism pour proposer les services de Google sous forme d'applications à part entière. Actuellement, deux versions de gOS sont disponibles au téléchargement: gOS Gadgets est le système principal proposant les widgets de Google Desktop et gOS Space, en version 2.9, est dédié au réseau communautaire MySpace.

De son côté, au salon de l'IFA, MiTAC avait présenté son netbook, le MiStation tournant sous un processeur Intel Atom N270 cadencé à 1,6 GHz, avec 1Go de mémoire vive et doté d'une webcam 1.3 mégapixel ainsi qu'un disque dur de 60Go ou d'une mémoire flash de 20 Go. En plus de trois ports USB et d'un lecteur de carte mémoire SD/SDHC, le MiStation pourrait aussi embarquer un module GPS et être livré avec petit modem USB 3G/3G+ accueillant une carte SIM.
le 20/10/2008 à 23:02
OurDelta : tous les patchs MySQL
OurDelta est un site communautaire, qui a pour but de rassembler les patchs MySQL qui existent, mais qui n'ont pas été intégré dans les versions officielles de MySQL. On en connait de nombreux (Google, Percona, ) qui corrigent des bugs ou bien ajoutent des fonctionnalités intéressantes. Malheureusement, le processus d'intégration dans MySQL est très long, et frustrant : quelques lignes de code, beaucoup de bienfait, mais 2 ou 3 ans de publication.

Arjen Lentz a donc rassemblé une équipe d'élite, et publie maintenant une version communautaire de MySQL, patchée au possible. Vous les trouverez sur le site de Our Delta : Our (notre) se détache de plus en plus comme le préfixe associé à la communauté MySQL, par opposition à My (Mon, mais aussi le prénom de la fille de Monty).

Un site Launchpad a été monté, et vous pourrez y trouver le code source dans le SVN. Il ne reste plus qu'à le charger, et le compiler.

- OurDelta
- Patches Our Delta
- A few tidbits
- Launchpa OurDelta
le 20/10/2008 à 23:02
Rendez-vous de la semaine
Ce soir, à Lille, il y a un apéro PHP, à l'écart, rue Jeanne d'Arc. Il y aura à écouter (PHP 5.3), à boire et à manger (Merci à l'AFUP et à SoLinux), et à caresser. Vous pourrez aussi vous procurer des elephpants, et des inscriptions à l'AFUP, ainsi que des livres blancs. Ouf.

Et je rappelle le premier BarCamp MySQL, pour Samedi 25 Octobre, où nous discuterons de MySQL, son utilisation et ses trucs. C'est un barcamp, où les sujets seront choisis et organisés directement sur place, ce qui les positionnera rapidement proches des préoccupations habituelles des admins et développeurs.

Bref, à vos agendas !

- Apéro LILLE, le lundi 20/10/2008 à 19:30
- 1er BARCAMP LeMUG.fr
le 20/10/2008 à 23:01
Comment concaténer en PHP
David Sklar avait lancé un sujet de recherche sur la concaténation : combien y a t il de manières de rassembler deux chaînes en PHP. Le sujet est assez académique à la base, mais a donné lieu à des recherches intéressantes et des idées farfelues. C'est à lire !

David sera au forum AFUP 2008, et si vous ne l'avez pas encore rencontré, c'est le moment de venir l'écouter.

- Let a thousand string concatenations bloom
- PHP Temporary Streams
Après avoir dévoilé les premières machines fonctionnant sous Mac OS X, la société Psystar fut aussitôt mise en justice par Apple pour violation de propriété intellectuelle, compétition déloyale et violation des accords CLUF. Face à cette plainte, Psystar dénonça les pratiques anticoncurrentielles d'Apple et souligna la violation de deux lois antitrust. Au début du mois, les avocats d'Apple ont envoyé une lettre à la Cour fédérale de San Francisco dans laquelle ils expliquent que les plaintes déposées par Psystar ne viseraient qu'à dissimuler les entraves à la CLUF et aux droits d'auteur.Mais l'affaire opposant les deux sociétés prend des dimensions de plus en plus mystérieuses. En effet, le magazine Mac Observer rapporte que les deux parties auraient signé un accord de résolution à l'amiable, et ce, sous la pression du juge de la Court. S'il n'est officiellement pas possible de savoir qui aurait initié cette demande, Colby Springer, l'avocat de Psystar aurait déclaré à InternetNews : "il s'agit d'une procédure standard que nous devons suivre [...] ce que chacune des parties pense n'a aucune importance, au final, c'est le juge qui décide". Selon le document signé, Apple et Psystar devraient entamer des sessions de discussions privées au plus tard à partir du 31 janvier 2009.

D'un côté comme de l'autre, les deux parties jouent gros sur cette affaire. Dans le cas où Psystar gagnerait ce procès, la firme de Cupertino pourrait devoir autoriser l'installation de son système d'exploitation sur des machines bien moins chères que les Mac Pro, iMac ou Macbook. De son côté, Psystar est représenté par le cabinet d'avocats Carr & Ferrell réputé pour avoir déjà gagné quelques procès contre Apple. Cependant, la semaine dernière, George W Bush a fait voter une loi visant à renforcer les amendes en cas d'infraction au Copyright Act. Puisque ces discussions seront confidentielles, il faudra donc jeter un oeil sur la boutique de Psystar pour voir de quelle manière la situation évolue.
L'album In Rainbows du groupe Radiohead célèbre son premier anniversaire, l'occasion pour leur maison de disque Warner Chappell de révéler les résultats de son audacieuse méthode de distribution. Avec plus de 3 millions d'exemplaires écoulés au total à ce jour, l'initiative est un succès.

Numéro un des ventes au Royaume-Uni et aux Etats-Unis avec 1,75 million d'exemplaires vendus sous forme de CD, numéro un en ligne avec 30 000 ventes en une semaine sur l'iTunes Store américain, on peut désormais déduire que In Rainbows a été distribué à environ 1,12 million d'unités sous forme numérique directement sur le site dédié, sur lequel les internautes pouvaient l'acquérir gratuitement ou pour le montant de leur choix.

Le disque est resté exclusivement disponible par ce biais pendant trois mois et, en dépit d'un grand nombre de téléchargements sur BitTorrent, il a rapporté plus d'argent sur cette période que son prédécesseur Hail To the Thief n'a rapporté au total, toutes voies de distribution confondues. Il a également largement dépassé ce que tous les précédents albums avaient rapporté par le biais d'une distribution en ligne. La maison de disque n'a toutefois pas détaillé ces déclarations, en particulier le prix moyen d'acquisition de l'album pendant l'opération pay what you want (payez ce que vous voulez) n'a pas été dévoilé. L'album a par ailleurs généré 17 millions d'écoutes rémunérées sur le service Last.fm et 1,2 millions de personnes devraient avoir assisté à la tournée au total.

Le groupe ne compte néanmoins pas renouveler l'expérience. C'est effectivement l'initiative de la vente à prix libre qui a défrayé la chronique, et non la musique en tant que telle. Les membres du groupe regrettent d'avoir été interrogés au sujet de la distribution de leur album plutôt que de l'album lui-même. Quoi qu'il en soit, il s'agit d'une leçon riche en enseignement pour l'industrie du disque.
Initialement prévue pour le 13 octobre dernier puis retardée pour cause de crise financière, la présentation du plan France Numérique 2012 a finalement eu lieu lundi matin dans les salons de l'Elysée, mais sans Nicolas Sarkozy, « retenu par la préparation des prochaines conférences sur le système financier international » selon Eric Besson, secrétaire d'Etat à la prospective, qui a donc remplacé au pied levé le président de la République.

Composé de 154 points, ce plan s'articule autour de quatre axes principaux : permettre à tous les Français d'accéder aux réseaux et aux services numériques ; développer la production et l'offre de contenus numériques ; accroître et diversifier les usages et les services numériques ; et enfin moderniser la gouvernance de l'économie numérique. En résumé : réduire la fracture numérique et favoriser le développement de la nouvelle économie pour que la France puisse figurer « parmi les grandes nations numériques » à l'horizon 2012.

Garantir l'accès de tous à Internet

Premier volet du plan France Numérique 2012 : ne laisser personne à l'écart des autoroutes de l'information, y compris dans les DOM-TOM, et parvenir à ce que la totalité de la population ait un accès haut débit avant la fin 2012. Pour ce faire, le gouvernement souhaite la mise en place d'une prestation d'accès universel à Internet, et lancera dans ce but un appel d'offres en 2009, l'idée étant de parvenir à une offre d'au moins 512 Kb/s pour moins de 35 euros par mois. « Chaque Français, où qu'il habite, bénéficiera ainsi d'un droit à l'accès à Internet haut débit, opposable à des opérateurs clairement identifiés », affirme le texte.

Le très haut débit n'est pas oublié. Le plan prévoit ainsi de « simplifier la réglementation technique d'ici à fin 2008 en matière de pose de fibre optique » afin d'en accélérer le déploiement. Dans la même optique, le gouvernement indique son intention de publier d'ici la fin de l'année les premiers décrets d'application sur la politique de développement de la fibre optique prononcés dans le cadre de la loi de modernisation de l'économie. Sont concernés la mutualisation des équipements, le pré-câblage obligatoire des immeubles neufs et le « droit à la fibre ». Objectif : quatre millions d'abonnés d'ici 2010.

Développer le haut débit mobile

Internet pour tous passe également par le développement d'une offre variée de fourniture d'accès mobile. Pour répondre à la demande croissante, le plan Besson prévoit de réutiliser pour la 3G les fréquences de la bande 900 MHz, aujourd'hui utilisées par le GSM (2G), réadapter les sanctions du non respect des obligations de déploiement souscrites par les opérateurs dans le cadre de leur licence et créer un réseau rural de téléphonie mobile de troisième génération. Ce dernier aura pour but de mutualiser les investissements des opérateurs au-delà d'un seuil de couverture défini par le régulateur.

L'objectif est donc ici « d'affecter la sous-bande 790-862 MHz des fréquences libérées par l'extinction de la télévision analogique à la couverture du territoire par les réseaux très haut débit fixe et mobile de nouvelle génération ». La procédure d'attribution de ces fréquences sera lancée d'ici à la fin de l'année 2009, mais l'on sait déjà qu'elles profiteront aux trois grands opérateurs mobiles.

Enfin, concernant les bandes de fréquences de la 3G actuelle (les bandes des 2,1 GHz), la candidature de Free/Iliad n'est pas officiellement écartée, mais semble tout de même compromise. Le Plan Besson compte en effet lancer au premier trimestre 2009 un « appel à candidature pour l'utilisation des fréquences disponibles dans les bandes des 2,1 GHz sur la base de trois objectifs : favoriser la concurrence, valoriser au mieux le patrimoine immatériel de l'État et assurer la meilleure couverture possible du territoire ». Dans le même temps, les conditions d'attribution de la bande 2,6 Ghz, utilisée notamment le WiMax américain, seront précisées l'année prochaine.

Outre l'abandon progressif de l'analogique au profit de la télévision numérique, le plan Besson s'intéresse également à la télévision mobile personnelle (TMP). Il prévoit ainsi le déploiement de deux réseaux de TMP, avec un objectif de couverture de 70% de la population d'ici 2012. Les technologies DVB-H et DVB-SH (qui utilise en complément le satellite) font figure de favorites.

Protéger les contenus numériques

« Développer l'offre légale de contenus numériques » était l'un des points que devait aborder le projet de loi « création et Internet », dont le passage devant le Sénat est prévu pour la fin du mois. Le plan Besson reprend à son compte cette thématique, et propose différentes pistes d'études, à commencer par la mise en place d'un observatoire public des technologies de marquage de contenus, ainsi que d'un groupe de travail chargé d'étudier comment détecter les contenus protégés par le droit d'auteur lors de leur envoi sur les sites de partage.

« Le fichage méticuleux des oeuvres à protéger et la mise en oeuvre de procédés de vérification automatique induiront une raréfaction des copies illicites en libre accès, et rendront leur recherche moins aisée. Partant, elles réduiront grandement les risques de poursuite par les détenteurs de droit lésés », suppose le plan Besson, qui propose donc la création d'un répertoire national des oeuvres. Il suggère par ailleurs que les mesures techniques de protection contre la copie (DRM) soient évincées du domaine de la musique numérique, au profit de ces technologies de marquage.

De DRM, il sera toutefois toujours question pour les contenus audiovisuels. « les DRM sont les seules à même de faire respecter la chronologie des médias et les fenêtres d'exploitation successives, dont dépend le financement de toute l'industrie de contenus filmés », analyse le texte.

L'impopulaire redevance pour copie privée ne sera pas amenée à disparaitre, mais le plan Besson indique que le fonctionnement de la commission qui préside à ses destinées doit être revu de fond en comble : cette dernière devrait par exemple se voir dotée de moyens propres, « affectés à la réalisation d'études indépendantes, portant sur l'usage par les consommateurs des supports de copie assujettis à la rémunération », ou s'ouvrir « aux secteurs de l'économie nouvellement assujettis » dès le printemps 2009.

Industrie du logiciel et... vente liée !

Désormais considéré comme la première industrie de biens culturels, avec un chiffre d'affaires annuel supérieur à celui du cinéma, le jeu vidéo « à la française » devrait être encouragé, estiment les auteurs du plan Besson, ce pour quoi il suggère une refonte du cadre juridique qui l'entoure, et la mise en place de soutiens à la création. De logiciel libre, il n'est guère question, même si une mention semble avoir été ajoutée in extremis. Aucun engagement ne semble toutefois avoir été pris en la matière, au grand dam de l'April, qui réclamait la mise en place d'un objectif visant à garantir qu'au moins 20% des marchés publics logiciels soient alloués à des propositions « open source ».

En revanche, un engagement est pris en faveur de l'« affichage séparé des prix des logiciels et systèmes d'exploitation pré-installés », démarche qui semble pour l'instant laissée à l'appréciation du distributeur mais pourrait être généralisée en 2009, après qu'un groupe de travail dédié aura été créé.

Renforcer la confiance numérique

L'avenir sera numérique, ou ne sera pas. Alors que l'administration électronique poursuit sa progression, « il est nécessaire d'aller plus loin dans la sécurité des accès et de garantir des échanges à forte valeur d'engagement » selon le plan Besson. Pour ce faire, il prône la généralisation de la carte d'identité électronique. « Nous avons souhaité développer un outil d'authentification ultra-sécurisé qui permettra de prouver sans faille son identité sur internet », a déclaré lundi Eric Besson. La confiance passerait également par la protection des données personnelles, au sujet de laquelle la Cnil devrait être sollicitée, mais aussi par la luttre contre la cybercriminalité, qui devrait être renforcée.

Présenté devant sept ministres du gouvernement, le plan France Numérique se veut un moteur pour l'ensemble des secteurs de l'état français, de l'éducation avec la création d'une véritable université numérique, à l'économie. Tout en favorisant le télétravail ou la création du statut d'auto-entrepreneur, il envisage le développement conjoint des infrastructures, du commerce et de l'administration électronique. En parallèle, le gouvernement insiste sur la nécessité de former et sensibiliser aux usages numériques, tout en dynamisant la recherche.

Sur la gouvernance enfin, la France pose désormais de façon ouverte la question de la gestion du réseau, aujourd'hui confiée à l'Icann, association indépendante à qui l'on reproche souvent sa trop grande proximité avec les Etats-Unis. « L'Internet est désormais une infrastructure vitale, mondiale, d'intérêt général et doit être régulé comme tel », a déclaré Eric Besson. Le décompte est maintenant lancé.
Entre deux procès et après avoir introduit quelques innovations mineures, le célebrissime site d'enchère eBay ambitionne de "réinventer la manière de vendre, acheter et louer des biens immobiliers sur Internet" en lançant eBay Immo.

Il s'agit ni plus ni moins d'un site de petites annonces immobilières, et non d'enchères. La publication des annonces est gratuite pour 14 jours. Elles peuvent intégrer 12 photos, une vidéo (service disponible fin octobre), un descriptif de 30 lignes et être géolocalisées sur une carte interactive. Bien que le communiqué soit muet à ce sujet, nul doute qu'à l'instar des enchères, de nombreuses options payantes seront disponibles. De nombreuses catégories sont disponibles : vente, achat, location, location saisonnière, et ce partout en France, de résidence principale, secondaire, cave, bureau, parking, chambre d'hôte ou encore gîte.

Quelques services complémentaires sont également proposés, comme une rubrique aide et conseils qui porte bien son nom puisqu'elle propose des astuces et informations pour vendre, acheter et louer, ou encore un service de cotation qui permet d'obtenir gratuitement une estimation d'un bien immobilier.

Ce nouveau service est d'ores et déjà disponible à cette adresse.
Après avoir confirmé mercredi dernier la préparation d'un Service Pack 2 pour Windows Vista et Windows Server 2008, Microsoft aurait commencé à distribuer des invitations pour une première bêta, d'après un informateur du magazine anglophone Neowin.

Comme à l'accoutumée, ce Service Pack compile l'ensemble des correctifs, mises à jours de sécurité et optimisations publiées pour chacun des deux systèmes d'exploitation et introduit quelques nouveautés. On en sait désormais un peu plus sur ces dernières.

Ainsi, Windows Vista SP2 devrait incorporer Windows Search 4, l'outil d'indexation et de recherche déjà disponible en téléchargement séparé, il devrait également supporter les processeurs 64 bit de VIA, améliorer le support du Bluetooth (et de sa version 2.1 en particulier) et corriger les soucis de compatibilité de quelques applications.

Toutes les éditions de Windows Server 2008 obtiennent quant à elle des améliorations sur le plan de la gestion du système mais aussi des améliorations des performances du côté du stockage ou de l'impression.

Cette première bêta privée devrait voir le jour dans les quatre prochaines semaines, la version finale étant pour sa part toujours attendue avant la sortie de Windows 7, soit avant la fin de l'année 2009.
Selon un article du New York Post, le géant Facebook pourrait prochainement proposer une plateforme d'écoute musicale, et ce, afin d'afficher un service compétitif face MySpace Music.

Mark Zuckenberg, PDG de Facebook, serait actuellement en discussion avec plusieurs sites communautaires spécialisés dans la musique en streaming tels que Rhapsody.com, iLike.com, Lala.com ou encore iMeem.com. Aussi, plusieurs maisons de disque auraient été contactées pour mettre en oeuvre une stratégie, laquelle serait cependant différente de celle de MySpace. En effet, Facebook ne souhaiterait pas créer un service dédié en interne, ni signer des licences de distribution directement auprès des fournisseurs. A l'heure actuelle, les utilisateurs de Facebook peuvent déjà utiliser des applications dédiées telles que celles de iLike ou Rhapsody mais ne dispose pas d'une branche musicale à part entière. A en juger par les motivations de la firme, l'on pourrait imaginer que Facebook signe un accord avec une plateforme existante telles que Amazon ou Rhapsody.

De son côté, MySpace est réputé pour accueillir plusieurs artistes qui ont misé sur la popularité du réseau pour se faire connaître, et ce, bien avant la création du service MySpace Music. C'est le 25 septembre dernier que la filiale de NewsCorps a officiellement lancé son service d'écoute musicale en streaming; une semaine plus tard, plus d'un milliard de morceaux auraient été écoutés. Après avoir enregistré une croissance globale de 153%  (ComScore) entre juin 2007 et juin 2008 - dont plus de 300% en Europe -  Facebook a récemment dépassé MySpace en terme de visiteurs uniques.

Cela suffira-t-il à la firme de Mark Zuckenberg pour attirer les mélomanes de MySpace?
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