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Révélée par le Journal du Dimanche, l'information selon laquelle le chef de l'état avait vu son compte en banque piraté a été confirmée dimanche par l'Elysée. Une enquête a été ouverte afin de déterminer comment des pirates ont pu se procurer les coordonnées bancaires de Nicolas Sarkozy, et effectuer sur Internet des paiements débités sur le compte du président de la République.

D'après une source proche de l'enquête, citée par l'AFP, il se s'agirait que d'un "classique piratage informatique, sans doute dû à un ou des escrocs de faible envergure", qui ne savaient peut-être même pas que le compte qu'ils pirataient était celui de Nicolas Sarkozy. Seules de petites sommes auraient été débitées, avance une autre source, citée par le JDD, notamment pour ouvrir des abonnements de téléphonie mobile.

L'intéressé a logiquement porté plainte, courant septembre. L'enquête sera conduite par la brigade criminelle de Paris et la brigade financière, sous l'égide du procureur de la République de Nanterre, Philippe Courroye. Luc Chatel, secrétaire d'Etat à la consommation, a déclaré dimanche qu'il n'était pas exclu que des sanctions soient prises au sein de la banque s'il était avéré qu'il y avait eu « mauvaise utilisation des données personnelles" confiées à cette dernière. Tous égaux face aux pirates ?
Après avoir illégalement téléchargé des chansons via le logiciel peer-to-peer Kazaa, la jeune Américaine Whitney Harper avait été trainée en justice par l'organisme de surveillance MediaSentry représentée par la RIAA. Les lobbys de l'industrie musicale avaient demandé à ce que le Copyright Act soit respecté, c'est-à-dire, qu'une peine entre 750 et 30 000 dollars soit infligée pour chaque acte jugé illégal; dans le cas présent, il s'agit de 37 téléchargements. Cependant, le juge Xavier Rodriguez  estima qu'à l'époque des faits la jeune fille n'avait pas  : «  la connaissance ni la compréhension de l'échange de fichiers sur les réseaux de distribution en ligne ou des entraves aux droits d'auteurs ». Il proposa donc une remise de peine de 200 dollars par morceau téléchargé, soit une amende de 7400 dollars. De son côté, la RIAA avait le choix d'accepter cette peine ou de laisser les jurés décider de la peine. 

En jugeant cette sentence trop faible, la RIAA s'était donc tournée vers les jurés en espérant pouvoir augmenter la somme de dédommagement pour la maison de disque MediaSentry. Cette décision fut largement contestée, car l'association avait affirmé à plusieurs reprises qu'elle se satisferait de la peine fixée par le juge lors du procès et que ses motivations étaient surtout d'ordre éducatif. Cependant, la RIAA semble avoir changé de stratégie et annonce désormais qu'elle se pliera à la décision du juge Rodriguez. Peut-être s'agit-il pour la RIAA d'un moyen de rehausser son image publique. Plus vraisemblablement, peut-être l'association craint-elle, que l'avocat de Whitney Harper se tourne vers l'argument utilisé dans l'affaire opposant Capitol Records à Jammie Thomas, à savoir la mise en opposition de la distribution intentionnelle de fichiers illégaux et la mise à disposition de ces derniers.
le 19/10/2008 à 22:00
LimeSurvey 1.72
LimeSurvey (anciennement PHPSurveyor) est un logiciel libre de sondage en ligne.

Ce projet a été récompensé l'an passé aux Trophées du libre 2007 et cela vaut le coup d'en parler.

Il est écrit en PHP basée sur une base de données MySQL, PostgreSQL ou Microsoft SQL Server.

Limesurvey permet aux utilisateurs sans connaissance en développement de publier un sondage et d'en collecter les réponses directement dans leur site internet.

Cette nouvelle version se trouve une version de correction de bugs, mais aussi un large choix des langues dont le français, cette version propose de nombreuses fonctionnalités comme :

- Nombre illimité de questionnaires
- Création d'une version imprimante
- De pouvoir groupé les questions
- Etablir des questionnaires d'évaluation
- Gestion illimité du nombre de participants
- Une saisie direct des données
- etc...

L'ensemble des possibilités sont disponible sur Wikipedia.

- Site officiel LimeSurvey
- Description sur Wikipedia Lime Survey
- Demo de LimeSurvey
le 18/10/2008 à 22:59
Les evolutions du developpeur
Note de l'auteur :

Depuis le temps que je réalise des applications et des programmes pour mon usage personnel ou pour les différentes communautés que je fais parti...

Je ne compte pas le nombre d'années que je fais cela mais la toute première fois, ça doit être quand j'ai pu m'assoir devant un ordinateur.

Les langages ont évolués et ont aussi changés. Bien sur les programmeurs ont aussi évolués... Les premiers langages que nous avons pu connaitre était comme le Cobol, le Pascal, l'assembleur 68000...

Cependant Le blog de Ariel Computing par l'intermédiaire de Jokes, un de ces auteurs, s'est pensé sur les évolutions du développeur.

Le but pour vous, c'est de retrouver où vous vous situer car les exemples sont très nombreux :

- Programmation Ancienne Ecole
- Programmation Professionnel
- Le Webmaster
- Les Hackers débutant à expert

- The Evolution of a Programmer
Lorsqu'on veut commencer un nouveau site, vous êtes presque sur d'avoir l'obligation de réaliser un formulaire... Ce qui est normal et nécessaire.

Mais au lieu de recommencer toutes les lignes en utilisant les fonctions HTML standard, vous pensez utilisation de fonction et pourquoi pas utiliser une classe pour éviter de tout recommencer. C'est très bien !!!

Cependant au lieu de commencer ce travail si vous ne l'avez jamais fait, autant utiliser une Classe déjà existante, surtout elle est déjà réalisé en PHP

Même s'il en existe déjà des différentes, Jarodxxx propose cette classe en PHP 5. Elle mérite d'être soulignée car elle est en documentation française et il s'est pensé à la rendre d'une façon plus logiques et évidentes. Ensuite à vous de la faire évoluer.

- Une class PHP 5 pour générer des formulaires
Dévoilée premièrement aux États-Unis le 17 septembre dernier par Tapan Bhat, la nouvelle page d'accueil de Yahoo! est actuellement testée par un groupe restreint d'internautes et annonce un changement de stratégie pour le moins marquant du portail de Sunnyvale. Aux côtés du nouveau service de Yahoo! Profiles dévoilé hier et du concept de l'inbox 2.0 présenté par Jerry Yang au CES de janvier dernier, la page d'accueil de Yahoo! s'inscrit dans l'esprit de YOS - Yahoo! Open Strategy.

Dans cette optique, la nouvelle page s'ouvre aux interfaces de programmation tierces et embarque une barre latérale configurable sur laquelle l'utilisateur pourra placer les outils de son choix. Votre compte Flickr, mais aussi, Twitter, YouTube ou encore Hulu seront désormais accessibles depuis Yahoo.fr. Par ailleurs, tout comme la nouvelle page de AOL, il sera possible de configurer plusieurs comptes emails tels que Gmail ou AOL Mail.  Notez que la firme travaille aussi sur une solution d'Open ID.

Il est intéressant de noter que cette nouvelle page d'accueil ressemble beaucoup au nouveau service iGoogle dévoilé ce matin par le géant de Mountain View. Les différents modules sont aussi accessibles depuis une barre latérale située à gauche de la page. Cependant, pour Yahoo, il s'agit véritablement d'un enjeu bien plus important. En effet, outre-Atlantique, le portail se doit de conserver sa pôle position en tête des sites les plus visités. Face à la dominance de Google sur le marché de la recherche, Yahoo! mise donc sur la puissance de ses services périphériques. Cependant, il serait légitime de s'interroger sur l'avenir du service de page personnalisable Mon Yahoo! ou la manière dont il se distinguera de Yahoo.fr

Face à la situation de crise que la firme doit endurer depuis que Jerry Yang a refusé la proposition non sollicitée de rachat de la part de Microsoft, Yahoo! semble prêt à prendre tous les paris nécessaires pour trouver une stratégie viable à long terme tout en conservant son indépendance. 

Notez que le site de partage de photos Flickr, filiale de Yahoo!, vient aussi d'officialiser sa nouvelle page d'accueil dévoilée dimanche dernier.
Le roi des herboristes derrière les barreaux ? D'après Spamhaus, une organisation de lutte contre le spam, la Federal Trade Commission américaine et les autorités néo-z&landais seraient parvenues à enrayer, au moins partiellement, les activités du groupe HerbalKing, responsable de l'envoi de millions de courriers électroniques non sollicités à travers le monde. D'après l'une des firmes en sécurité associée à l'enquête, le réseau de machines zombies - ou botnet - utilisé par les membres de HerbalKing compterait quelque 35.000 machines, et serait en mesure d'expédier jusqu'à dix milliards de courriers par jour. Au plus fort de ses activités, il aurait représenté jusqu'au tiers du volume de spam mondial, et rapporté plusieurs millions de dollars à ses fondateurs.

Il aura fallu plusieurs mois d'enquête pour remonter jusqu'aux deux responsables de HerbalKing, animateurs au travers de quatre sociétés d'un réseau dont les membres évolueraient aussi bien en Australie qu'en Chine, en Russie ou aux Etats-Unis. Lance Atkinson, néo-zélandais, et Jody Smith, Texas, qui n'en sont pas à leurs premières démêlées avec la justice en matière de spam, ont vu leur matériel saisi, et devront répondre de leurs actes devant la justice. Une pilule (bleue ?) qui pourrait bien se révéler difficile à avaler : en mai dernier, deux autres rois du spam ont été condamnés à verser au réseau MySpace la bagatelle de 230 millions de dollars pour l'avoir inondé de messages non sollicités.
En octobre 2007, après avoir ignoré une lettre d'avertissement de la RIAA pour téléchargements illégaux, Jammie Thomas, fut condamnée à payer 222 000 dollars pour avoir partagé 24 chansons sur la Toile, soit 9250 dollars par morceau. Cependant, le juge ordonna un second procès après qu'il a décidé que le jury n'avait pas pris en compte les bonnes instructions. En effet, pour sa défense, Thomas affirma n'avoir jamais partagé de chansons et présenta un disque dur sans traces de logiciels peer-to-peer. Puisqu'aucune preuve ne peut être apportée dans le partage de fichiers, Jammie Thomas ne peut donc être accusée que d'avoir mis ces fichiers à disposition.

De son côté, la RIAA entend bien gagner ce procès, et pour ce faire, les avocats ont publié un ordre d'appel réfutant la nécessité de recommencer le procès dans la mesure où un verdict est déjà tombé. La RIAA ajoute qu'elle détient des preuves que Mme Thomas a bien "distribué du contenu illégal sur Internet" mais ne souhaite certainement pas dépenser plus d'argent dans ce procès.
Le 3 octobre, le président de la Commission Européenne, Emmanuel Barroso a rejeté la demande de Nicolas Sarkozy concernant le retrait de l'amendement 138 au sein du Paquet Telecom. En stipulant qu'« aucune restriction ne doit être imposée aux droits et libertés des usagers sans une décision d'un juge judiciaire » , le texte de Guy Bono s'oppose directement au principe de riposte graduée, une méthode chère au président de la République dans la lutte contre la violation des droits d'auteurs.

Si le concept de riposte graduée est en contradiction avec le droit communautaire, le gouvernement n'en reste pas moins déterminé à en faire passer les idées fondamentales dans l'Hexagone au travers du projet de loi Création et Internet. C'est le 29 octobre que les sénateurs se pencheront sur le sujet, et ce, sans attendre l'avis consultatif de la Commission Européenne sur le principe de riposte graduée qui devrait être rendu le 23 octobre prochain au terme de la première lecture. Si loi création et Internet devait être adoptée, alors celle-ci devancerait le processus législatif européen. En effet, c'est le 27 novembre que les ministre du Conseil européens valideront ou non l'amendement 138. 

L'UFC-Que Choisir a donc envoyé une lettre à la Commission Européenne visant à empêcher le gouvernement de se pencher sur le projet de loi Création et Internet. L'association rappeler que plusieurs états membres tels que le Danemark et la Suède ont affiché des positions claires sur le principe de riposte de graduée en la jugeant " liberticide et inspirée par les vieux modèles commerciaux".

L'argument principal avancé par le président de l'UFC-Que Choisir Alain Bazot, est que la France ne respecte pas l'article 9. 4 de la Directive 98/34/CE du Parlement Européen qui stipule que "l'adoption d'un projet de règle technique de douze mois à compter de la date de la réception (...) si, dans les trois mois qui suivent cette date, la Commission fait part du constat que le projet de règle technique porte sur une matière couverte par une proposition de directive, de règlement ou de décision présentée au Conseil conformément à l'article 189 du traité".. Ainsi, les discussions actuelles concernant un projet de loi sur l'encadrement des téléchargements et la protection du droit d'auteur au niveau européen - le Paquet Telecom - empêche toutes discussions similaires au niveau national.

Dans le cas où la Commission Européenne ne réagirait pas à cette demande et si le projet de loi Création et Internet venait à être adopté, la validation de l'amendement 138 n'aurait pas d'effet rétroactif et n'annulerait donc pas le principe de riposte graduée.
Le 4 novembre prochain, jour des 24 ans de Canal+, CanalSat va lancer "Le cube", un nouveau décodeur haut de gamme commercialisé 51 euros par mois (abonnement CanalSat inclus). Ce décodeur est un boîtier révolutionnaire : connecté à une box ADSL (Freebox, Livebox, Neufbox, etc.), il permettra aux téléspectateurs de visionner sans surcoût des contenus en avant-première mais aussi en rattrapage, en vidéo à la demande.

Ainsi, les "Avant-premières" permettront aux abonnés de découvrir des séries télévisées une semaine après leur diffusion américaine, en version originale sous-titrée. Parmi les premiers titres proposés : le téléfilm spécial 24 heures chrono, Cold case et Desperate Housewives. Jusqu'ici, ce service était proposé exclusivement par le service TF1 Vision. Les téléspectateurs devaient débourser 2 à 3 euros pour chaque épisode.

Les "Avant-dernières" permettront elles de voir ou revoir des épisodes des saisons précédentes. Une fonction qui rappelle l'innovation introduite par le bouquet "Cinéma Séries" d'Orange qui propose un service similaire. Les possesseurs du Cube auront également accès aux services "Canal+ à la demande" et, dans le courant de l'année 2009, "CanalSat à la demande".HD et magnétoscope numérique de 320 GoD'autre part, "Le cube" reprend les innovations introduites par le "Pilotime" : la HD, le double tuner, le contrôle du direct et le magnétoscope numérique. Il embarque pour cela un disque dur de 320 Go permettant, selon Canal+, l'enregistrement de 100 heures de programmes en haute-définition. Leur programmation sera facilitée par un guide des programmes "intelligent" capable de suggérer des émissions en fonction des goûts de l'abonné, à l'image du nouveau système Genius d'Apple dans iTunes.

A noter enfin que Canal+ lance aussi un décodeur de poche. Il s'agit en fait d'une clé USB munie d'une carte SIM et d'une antenne TNT qui permet aux abonnés de recevoir, sur leur ordinateur, les 18 chaînes gratuites de la télévision numérique terrestre ainsi que Canal+, Canal+ Cinéma et Canal+ Sport, trois chaînes disponibles sur la TNT payante. Ce décodeur est commercialisé 99 euros auxquels il faut ajouter un abonnement mensuel : 10 euros pour les abonnés à Canal+ et 20 euros pour les non-abonnés.
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