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Note de l'auteur :

Richard Heyes publie 7 expressions rationnelles, qui sont utilisées très classiquement dans une application Web, pour valider différentes informations : email, date, numéro de telephone, code postal, etc. Pour ce dernier, c'est la version anglaise (comme dans Royaume-Uni), qui est proposée.

Quand je tombe sur ces listes de validateurs, je me prend toujours à réver d'une extension du HTML : ne pourrait-on pas avoir des attributs étendus, comme 'phone','date','email', en plus des 'text' et 'checkbox' actuel, qui se transformeraient en un ou plusieurs champs HTML équivalents, avec une validation Javascript optionnelle, puis, à l'arrivée dans PHP, seraient validés par un filtre coté serveur, et livré tout prêt dans $_POST ?

On pourrait alors avoir des listes de regex comme ci-dessus, avec des tests unitaires complets.

- Some common regular expressions
Cet après-midi, la commission Copé effectuait un point presse qui visait d'une part la définition de modalités de la suppression de la publicité sur France Télévisions, et d'autre part la mise en place d'un calendrier.

Ainsi, dès le 1er septembre 2009, la publicité serait supprimée sur toutes les antennes de France Télévisions après 20H. Dans un deuxième temps, dès le 1er janvier 2012, la publicité serait totalement supprimée. Seuls le parrainage, la publicité dans les régions et la pub dans les sites internet seraient conservés.

Dans son intervention, Jean Francois Cope a également présenté trois scénarios financiers "non définitifs, non exclusifs". Le premier privilégierait une compensation par une hausse de la redevance avec une indexation sur l'inflation et un élargissement de l'assiette (les tuners TNT inclus dans les ordinateurs et les résidences secondaires seraient pris en compte).

Un second scénario, pour lequel Jean-François Copé a exprimé sa préférence « à titre personnel », privilégie un panachage de taxes dont une sur les entreprises de télécommunications. Ainsi, les fournisseurs d'accès à internet qui fournissent à leurs abonnés un service de télévision verraient leur chiffre d'affaires taxé à hauteur de 0,5%. De plus, une part de la redevance des fréquences radio-électriques serait affectée à l'audiovisuel public (100 millions d'euros dans un premier temps).

Enfin, le troisième scénario prévoit lui aussi un panachage de taxes, dont la principale viserait le secteur de l'électronique grand public.

Dans les trois scénarios, l'Etat procéderait à une réaffectation des recettes de la redevance en allouant à France Télévisions la part qui revient actuellement à RFI et à l'INA. Cette dernière entreprise serait alors financée par une taxe sur le chiffre d'affaires des télévisions privées.

Nos confrères d'Ozap.com ont réalisé un reportage sur le sujet.
Du journalisme citoyen en ligne au cimetière pour malfaçons. Le portail de partage de vidéos YouTube (Google) vient de lancer une chaîne d'information alimentée par les internautes (User Generated Content).

Ce nouveau service, baptisé CitizenNews, parent de CitizenTube, devrait permettre aux internautes issus du monde entier d'être le relai d'une information de terrain. La masse des contenus ainsi recueillie par YouTube ou par d'autres comme CNN, qui lançait en février iReport.com ou encore France 24 avec les Observateurs, Yahoo-Reuters avec You Witness News ou Your News de la BBC, est énorme. Un phénomène qui s'explique, selon Olivia M., la rédactrice en chef de CitizenNews, par la "démocratisation des équipements vidéo" et qui pose la question de la rémunération des auteurs, de leur responsabilité vis-à-vis du droit à l'image ainsi que de la pérennité des méthodes et de la déontologie journalistique.

En parallèle des étudiants du groupe culturel au MIT (Université du Massachusetts), ont créé le portail YouTomb. Destiné à identifier et archiver les vidéos qui ont fait l'objet d'une procédure de retrait du portail de vidéo de Google, il compte pour le moment plus de 223.000 vidéos, dont 4425 pour violation du droit d'auteur et 13.507 retirées pour d'autres raisons. Il n'est pas possible de les visualiser, mais on y trouve leur titre, leur description, le nom de l'auteur à l'origine du chargement, leur date de retrait, et des captures d'écran.

Les entreprises qui ont déposé le plus de plaintes auprès de YouTube, en vertu du Digital Millennium Copyright Act, sont TV Tokyo, Viacom, Warner Bros. et World Wrestling Entertainment. Mais encore ?
Microsoft parviendra-t-il à fédérer de nouveaux utilisateurs autour de son moteur de recherche en les appâtant avec la perspective de réaliser quelques économies ? Live Search, qui dispose déjà d'un module spécialisé dans la recherche de produits, s'enrichit aujourd'hui aux Etats-Unis d'un système de cashback, grâce auquel les internautes pourront se voir rétrocéder un petit pourcentage (de 2 à 5% environ) du montant qu'ils dépensent chez les commerçants en ligne. Seule contrainte : utiliser Live Search pour effectuer la recherche qui mène à ce produit, et cliquer sur un lien menant à une boutique partenaire, identifiée par un petit logo ô combien sugggestif, puisqu'il représente le symbole "$".

Le cash back, concept déjà exploité en France par des sociétés comme eBuyClub ou Cashstore, consiste pour une société à jouer le rôle d'un apporteur d'affaires pour un marchand en ligne, qui accorde à cet intermédiaire un pourcentage sur les ventes réalisées par son entremise. Celui-ci, à son tour, rétrocède une partie des montants perçus à l'internaute, qui réalise ainsi une petite économie sur ses achats. La réduction n'est pas immédiate : les gains collectés par l'internaute s'amoncellent sur son compte Live Search Cashback, et peuvent lui être reversés dès qu'un total de cinq dollars est atteint.

A l'annonceur, on fait miroiter le fait que l'internaute sera plus facilement enclin à se tourner vers sa boutique s'il sait qu'il profitera d'une légère économie sur le prix de ses articles. A la différence de la publicité, qui lui est facturée au clic ou à l'affichage, il ne paie ici que lorsqu'un achat est effectué, ce qui lui garantir en théorie un retour sur investissement plus intéressant. De quoi fédérer de nouveaux internautes sur Live Search, qui marque clairement le pas par rapport à Yahoo et Google ?

Alors que Google dispose d'un outil de comparaison de prix, Froogle, les deux premiers moteurs de recherche du marché n'ont jamais entrepris de développer ce type d'activité, peut-être parce qu'ils préfèrent que cybermarchands et comparateurs prennent position dans l'esprit des internautes à grand renfort de liens sponsorisés qui, eux, rapportent de l'argent à chaque clic...
Le phishing n'est définitivement plus l'apanage des banques et établissements financiers. L'éditeur en sécurité Proofpoint vient ainsi de lancer une alerte relative à la découverte d'une campagne de diffusion de messages frauduleux visant à abuser la confiance des internautes pour les détrousser de leurs identifiants iTunes.

Ces courriers, qui constituent la première opération d'une telle ampleur visant le service de vente de contenus numériques en ligne d'Apple, affirment à l'internaute qu'un problème a été détecté sur son compte iTunes, et le conduisent vers une page copiant l'apparence du site pour l'inviter à saisir ses identifiants, code de carte bleue et numéro de sécurité sociale, sans oublier le nom de jeune fille de sa mère.

Le phishing, terme francisé en "hameçonnage" ou "filoutage" est pour mémoire une technique de type ingénierie sociale qui vise à usurper l'identité d'un établissement et contrefaire son site Internet. Il suffit ensuite d'attirer l'attention de l'internaute en lui envoyant un courrier électronique l'invitant, sous un prétexte fallacieux, à saisir ses informations personnelles sur le site contrefait.

Rançon du succès ? "Cette attaque signifie probablement que les "méchants" voient Apple comme une présence suffisamment importante en ligne pour en faire une cible, cela fait partie intégrante de leur succès tardif >, commente Andrew Lochart, représentant de Proofpoint. Quelle que soit la société, rappelez-vous qu'aucun service, surtout s'il est à vocation commerciale, ne vous demandera jamais par courrier de saisir vos identifiants en ligne.
Alors que le service de partage en ligne de Free a fait grand bruit dans les plus hautes sphères de l'état, Orange propose désormais un service tout à fait similaire pour ses abonnés téléphonie et/ou Internet.Mes données, tel est son nom, met à votre disposition un espace de 2 Go, voire 4 Go pour les abonnés à la fois téléphonie mobile et Internet. A partir du mois d'août, il sera même possible d'ajouter 10 Go à cet espace réservé pour 3 euros par mois. Mais si le service d'Orange ne peut être comparé à celui de son concurrent Free en ce qui concerne l'espace de stockage, l'interface utilisée semble en revanche plus conviviale. Deux types de téléchargement sont possibles : léger ou volumineux. Dans ce dernier cas, le recours à un client Java est requis et permet le glisser-déposer et le contrôle sur l'avancement de l'opération. Autre possibilité pour charger un fichier dans votre zone de stockage dédiée, l'utilisation d'un petit logiciel gratuit disponible sur la page du service et qui crée un disque dur virtuel dans votre Poste de travail. Par un simple copier-coller (ou glisser-déplacer), vous pouvez donc partager vos documents dans votre espace et placer en sécurité quelques fichiers importants. Quelques restrictions tout de même : il n'est possible de charger que 4 fichiers simultanément et ces fichiers ne doivent pas dépasser 600 Mo.

Autre avantage de ce service, sa complémentarité avec les autres modules d'Orange. Il sera ainsi possible à moyen ou court termes :
- de transférer facilement des photos stockées sur "Mes données" vers leurs albums pour les imprimer
- d'inviter leurs contacts à consulter leurs contenus stockés sur mes données ;
de sauvegarder dans "mes données" des fichiers reçus par mail ou aller y chercher un élément à envoyer
- d'envoyer une photo ou une vidéo prise avec un mobile sur "Mes données" par MMS ou grâce à l'application Orange Photo.

Avec "Mes données", Orange fait un pas supplémentaire vers la multiplication les services délocalisés sur le Net, même si ce genre de possibilité n'attire encore aujourd'hui qu'un public restreint.
Le projet de loi contre le piratage, inspiré des conclusions de la mission Olivennes remises fin novembre au gouvernement, devrait être présenté le 11 juin prochain au conseil des ministres, indique cette semaine l'AFP. Actuellement en cours d'examen par le Conseil d'état, ce texte qui prône la mise en place d'un dispositif de riposte graduée, a déjà suscité de nombreuses réactions au niveau français et européen, avant même d'avoir été débattu à l'Assemblée nationale.

Conformément aux recommandations formulées par Denis Olivennes, ex PDG de la Fnac et chargé de mission par le gouvernement, le projet de loi préconise la mise en place d'une Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur l'Internet (Hadopi) et l'instauration d'un dispositif de riposte graduée qui viendrait se substituer aux procédures pénales actuellement en vigueur en matière de téléchargement illégal sur Internet.

Cette autorité serait investie d'un pouvoir d'avertissement et de répression. Dans un premier temps, elle enverrait aux internautes convaincus de téléchargement illégal un ou plusieurs courriers d'avertissement, avant d'éventuellement prononcer une sanction allant d'une interruption temporaire de l'abonnement à Internet à la résiliation pure et simple de ce dernier, avec impossibilité d'ouvrir une nouvelle ligne avant un laps de temps donné. Les dernières versions du projet de loi laissent apparaitre une alternative médiane : la signature par l'internaute d'un engagement écrit à ne pas télécharger de nouveau des contenus illégaux, cas dans lequel la sanction serait revue à la baisse.

"La coupure d'un accès internet est une mesure disproportionnée au regard des objectifs. C'est une sanction aux effets puissants, qui pourrait avoir des répercussions graves dans une société où l'accès à l'internet est un droit impératif pour l'inclusion sociale", avait objecté le député européen Guy Bono, qui a fait voter début avril par le Parlement européen un amendement invitant les états membres à éviter l'adoption d'une telle mesure. Christine Albanel, ministre de la Culture, qui soutient le projet, aurait selon l'AFP fait part de son intention d'aller "dissiper certains malentendus" devant le Parlement européen.

Du côté des ayants droit, on espère que le projet de loi pourra être examiné par les deux chambres avant la trêve estivale, de façon à ce que le budget nécessaire au fonctionnement de cette Autorité soit voté dans le cadre du projet de loi de Finances 2009.
le 20/05/2008 à 23:30
Ca bouge chez Zend
Zend Technologies vient de licencier 10 personnes de son service de R&D. TechCrunch, qui rapporte le fait, estime que c'est dans un objectif de vente de la compagnie que ce licenciement aurait lieu : il permet en effet de remettre les comptes à flot.

Oracle, Microsoft et IBM seraient possiblement intéressés. En 2006, Oracle aurait émis une offre entre 100 et 200 millions, sans prise d'effet. Le rachat de MySQL par Sun, en début d'année, va surement peser dans la situation, aussi bien au niveau des prix que de la valeur stratégique de Zend.

A suivre...

- Scoop: Job Cuts at PHP Startup Zend Could Be Aimed With An Eye Towards a Sale
le 20/05/2008 à 23:28
Introduction à phpWiki
Note de l'auteur :

Ce mois-ci, il est temps de jeter un oeil sur ces applications PHP que je trouve si utiles quotidiennement. J'ai utiliser les "wiki" pour la documentation de nombreux projets. La plupart d'entre vous sont familiers avec le terme wiki, qui provient de la langue hawaïenne, et qui signifie 'rapide' (wikiwiki). Il y a de nombreux wiki publiés, incluant mediawiki (qui est la base de Wikipedia), PmWiki et DokuWiki.
Dans cet article, nous allons étudier PhpWiki, et nous verrons comment le configurer et l'utiliser pour vos propres projets.

- phpwiki - The Wiki for PHP Developers
- phpWIki
Logiciel plus service. Microsoft vient officiellement de lancer la bêta en langue française de son "espace de travail" et de partage en ligne Office Live Workspace, quelques mois après l'ouverture de la version anglophone. Ce service compatible avec Office 2003 et Office 2007 permet entre autres aux utilisateurs d'accéder en ligne à leurs documents Microsoft Office (Word, Excel et PowerPoint). "Les utilisateurs peuvent se connecter dès maintenant à ce nouveau service gratuit pour stocker, modifier et partager en ligne leurs documents Microsoft Office depuis n'importe quel ordinateur".

La nouvelle plateforme en ligne de Microsoft, censée concurrencer des services similaires comme Google Docs ou encore Zoho Office, offre environ 250 Mo d'espace de stockage, soit plus d'un millier de documents. Elle permet d'enregistrer directement ses fichiers sur le Web, d'avertir ses contacts de leur mise en ligne et de les commenter sans l'installation d'un logiciel. Seule l'édition du document requiert une installation préalable d'Office, ce qui fait qu'Office Live Workspace n'est pas tout à fait une suite bureautique en ligne.

Outre la possibilité de synchroniser son agenda ou d'accéder à Hotmail, on note également quelques nouveautés: un volet d'activité qui affiche toutes les opérations de l'espace de travail, un service de notifications par courrier électronique sur les changements apportés à l'espace de travail ou aux documents, une fonction permettant de créer un signet pour l'espace de travail via une URL unique dans une fenêtre de navigation, ainsi qu'une fonctionnalité permettant aux utilisateurs d'importer plusieurs fichiers par simples opérations de glisser-déposer à partir de leur poste de travail. À terme, le service devrait être rentabilisé par l'insertion de publicités dans les pages du service.
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