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le 09/04/2008 à 22:01
Chatting with Rasmus : partie 2 et 3
Suite à la partie 1 concernant la discussion sur la doctrine, voici la suite de discussion avec Rasmus Lerdorf :

Partie 2 : Cette partie est axée sur la mise au droit MaxClient des options de configuration d'apache.

Partie 3 : Cette partie traite de la mise en forme correcte des entêtes HTTP (et dyslexique serveurs Web)

Par ailleurs, si vous n'avez pas encore cherché et trouvé, jeter un oeil à la YSlow, l'extension de Firebug

- Chatting with Rasmus
- MaxClients
- HTTP headers
- High Performance Web Sites and YSlow
- Téléchargement Yslow
le 09/04/2008 à 21:59
phpPgAdmin 4.2
phpPgAdmin est un projet proposant d'administrer un ou plusieurs de vos serveurs PostgreSQL à travers un navigateur. Le dimanche 6 avril dernier est sorti la version 4.2 de ce dernier. Cette toute dernière mouture apporte la prise en charge de PostgreSQL 8.3, pas mal de nouvelles fonctionnalités - fonctionnelles ou ergonomiques - et son lot de corrections d'anomalies.

phpPgAdmin est un projet vieux de plus de 5 ans (sous ce nom), est traduit dans 28 langues différentes et continue ainsi son évolution pour servir au mieux possible la "base de données libre la plus avancée au monde".

- Annonce de la publication
- Téléchargement
- phppgadmin
- Captures d'écrans simples
Ocsigen est un projet de recherche visant à développer de nouvelles techniques de programmation Web. Il a abouti après plus de trois ans de travail à l'implémentation d'un serveur Web complet et extensible, et d'un module pour programmer des sites dynamiques en utilisant des concepts de haut niveau. Parmi les fonctionnalités-clés, notons :
- la garantie que les pages générées sont en xhtml valide
- le typage des formulaires et des paramètres
- une gestion simplifiée de l'interaction Web à l'aide de concepts dédiés (continuations, etc.).

Ceci est rendu possible par le choix du langage Objective Caml, pour son expressivité et son système de types. Cette version 1 clôt une première phase de développement. Le projet cherche maintenant des contributeurs et développeurs de sites.

- Ocsigen
- OCaml
Virtual Earth, le système d'information géographique de Microsoft, profitera prochainement des images haute résolution de l'Institut national de géographie (IGN). Concédés sous licence pour une durée de cinq ans, ces clichés du territoire français couvriront l'ensemble du territoire, de la métropole aux DOM-TOM, avec une résolution de générale de 2,5m par pixel. Du littoral jusqu'à 45 Km des côtes, la précision montera à 1m par pixel. Les villes de plus de 50.000 habitants profiteront quant à elle d'une définition de 0,5m par pixel.

Après GeoEye et InterAtlas, l'IGN devient donc le troisième fournisseur de données géographiques concernant la France partenaire de Microsoft Virtual Earth. "L'IGN était le seul à pouvoir nous permettre d'obtenir une couverture exhaustive du territoire français, DOM-TOM compris", commente Arnaud Gstach, responsable du développement commercial de Virtual Earth pour l'Europe du Sud. Licenciée sous le nom BD Ortho, l'imagerie aérienne de l'IGN devrait être progressivement intégrée à Virtual Earth, du mois de mai pour l'ensemble du territoire à l'été pour les images en définition supérieure.

Selon les termes de cet accord, Microsoft pourra également disposer pendant les cinq prochaines années d'une licence lui permettant d'exploiter BD Alti, la technologie de modélisation de terrain de l'IGN, qui permettra de représenter, dès l'été prochain, une vue topographique du territoire français. Fort de cette nouvelle base de données d'image, Microsoft continuera de son côté à développer les fonctionnalités qui positionnent Virtual Earth comme une alternative légitime au populaire Google Earth, à commencer par la modélisation en trois dimensions de certains centres urbains, où son mode « Bird's eye view », qui permet d'afficher les vues selon un angle de 45 degrés.

Adressé aux particuliers, qui profiteront bientôt d'une localisation française du moteur de recherche géographique Live Maps, Microsoft destine également Virtual Earth aux entreprises, et revendique en France des accords commerciaux avec TF1 ou Voyages-sncf.com. Selon nos informations, l'éditeur devrait dévoiler vendredi l'introduction de nouvelles fonctionnalités associées aux interfaces de programmation de Virtual Earth, comme la possibilité d'appliquer des textures sur les surfaces des bâtiments en 3D.
Iliad, maison-mère de Free, annonce aujourd'hui l'amélioration de son service de serveur dédié. L'offre Dedibox se compose désormais de deux formules dont les détails suivent :

* Un serveur Dedibox v2, qui possède les éléments suivants :
- un processeur Intel Celeron 220, comportant 512 Ko cache, pour une fréquence de 1,2 GHz
- un disque dur de 160 Go en Serial-ATA 2 utilisant 16 Mo de cache et de marque Hitachi actuellement
- 1 Go DDR2 en ce qui concerne la mémoire vive
- une bande passante de 100 Mbits/sec pour un trafic illimité enfin

* L'offre Dedibox XL se compose elle :
- d'un processeur Intel Core 2 Duo T7200 avec 4 Mo de cache, une fréquence de 2 GHz
- d'un disque dur d'une capacité de 500 Go en Serial-ATA 2 avec technologie PMR et utilisant 16 Mo de cache
- de 3 Go de mémoire vive en DDR2
- d'une bande passante dédiée de 100 Mbits/sec et d'un trafic illimité

Si cette dernière formule est inédite, la première existe déjà depuis plusieurs années. La nouveauté réside en fait dans le changement de processeur, le CPU VIA C7 faisant place à un Celeron 220 dans le cadre d'un partenariat entre Iliad et Intel et pour des performances doublées selon Iliad. D'après quelques tests publiés sur le Net, il semblerait que ce soit le cas, notamment au niveau du calcul CPU (l'utilitaire Super Pi a été utilisé pour ce test). Au niveau de la consommation électrique, les 19 W de TDP (enveloppe thermique) du Celeron sont légèrement inférieurs aux 20 W associé au processeur VIA et Iliad annonce même une consommation globale de 45 W pour ses serveurs XL.

Commercialisées par défaut sous Linux (et la distribution Gentoo 2007.0), ces deux nouvelles Dedibox pourront également accueillir des logiciels Microsoft grâce à un "pack étudiant", permettant d'installer sans surcout et sans limitation de durée Windows Server 2008, Microsoft Visual Studio 2008, Microsoft Expression Studio, SQL Server 2005, Developer Edition, Microsoft Office Visio 2007 ou encore Microsoft Office Project 2007. Cette offre, qui s'accompagne d'un mois gratuit, n'est toutefois valable que pour un inscription avant le 25 avril 2008.

Les plates-formes à base de processeur Via ne sont d'ors et déjà plus disponibles à la location et iliad annonce conserver la maintenance de ces serveurs jusqu'en septembre 2009. Les conditions de migration ne sont pour l'instant pas connues. Ces deux solutions sont en location respectivement à 29,99 euros HT et 49,99 euros HT, l'option RAID étant proposée à 9,99 euros HT. Une offre intéressante qui reste néanmoins légèrement plus chère que les serveurs Kimsufi d'OVH (pour quatre fois plus de mémoire vive tout de même), également sous Intel Celeron (cadencé à 2,6 GHz), et qui devra également faire face à la concurrence de l'hébergement à la demande de Gandi, Amazon (EC2) voire de Google avec son App Engine.
Mandriva annonce aujourd'hui la sortie de Mandriva Linux 2008 Spring, ou 2008.1,, la dernière évolution de sa distribution Linux. L'éditeur promet une nouvelle interface utilisateur, plus intuitive, un bureau entièrement remanié, ainsi que de nouvelles applications. Reposant sur le noyau Linux 2.6.24.4, cette mouture de printemps permet de profiter de la mise à jour des principaux composants logiciels du système : l'environnement de bureau Gnome passe ainsi en 2.22, alors que KDE est embarqué en version 3.5.9, la 4.0.3 étant proposée à l'installation dans les dépôts Mandriva. Xfce est également de la partie, en version 4.4.2. Compiz Fusion passe en 0.7.2 et les logiciels Firefox, Thunderbird et OpenOffice.org profitent également d'une mise à jour.

Au chapitre des nouveautés, Mandriva évoque une amélioration sensible du gestionnaire de paquets RPMDrake, l'intégration d'un module de contrôle parental, un nouveau centre multimédia baptisé Elisa, une application de partage de fichiers baptisée Coherence ainsi que l'ajout du frameword Codeina. Mandriva 2008 Spring offrirait également une meilleure prise en charge des téléphones mobiles Windows Mobie, Nokia ou Blackberry, avec des fonctionnalités de synchronisation améliorée.

Le logiciel Avant Window Navigator permettra de profiter d'un dock à la Mac OS X, alors que Conduit offrira la possibilité de synchroniser ses données entre de multiples appareils (baladeurs, téléphones), machines et services en ligne. On mentionnera également l'intégration de PulseAudio, un composant permettant de définir le volume sonore de chaque application indépendamment des autres ou de transférer des flux audio d'une machine à l'autre du réseau. L'éditeur souligne enfin la compatibilité sans faille de cette distribution mise à jour avec l'Eee PC d'Asus.

Mandriva One, édition gratuite, et Mandriva Powerpack, version payante, sont dès à présent disponibles sur le site de l'éditeur.
Tous filmés ? Qui va contrôler ? La Commission nationale informatique et libertés (CNIL) a annoncé, mardi 8 avril 2008, avoir adressé une note à la ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, sur la nécessité d'assurer un "contrôle indépendant" des systèmes de vidéosurveillance. Relayée par l'AFP, cette information faite suite au souhait du gouvernement de tripler le nombre de caméras, pour atteindre les 30.000 dispositifs dans les rues, afin, officiellement, de lutter contre le terrorisme.

La CNIL qui est chargée de protéger les libertés individuelles face à l'explosion des stockages de données personnelles aurait reçu 1400 déclarations (installation, demande de conseils et plaintes) en 2007, contre seulement 300 en 2005.

"La question du contrôle, par un organisme véritablement indépendant, des dispositifs de vidéosurveillance, autrement dit 'le contrôle des surveillants', constitue désormais, dans les sociétés démocratiques modernes, une exigence fondamentale, nécessaire pour asseoir la légitimité du développement de ces systèmes, offrant les meilleures garanties de prise en compte des droits et libertés des personnes", souligne la CNIL. La Commission vante ainsi ses "garanties d'indépendance fortes", puisque l'exécutif ne nomme que 3 de ses 17 membres et que "la loi prévoit qu'elle ne reçoit d'instruction d'aucune autorité".

Problème : la loi du 21 janvier 1995 soumet les systèmes de vidéosurveillance visionnant les lieux ouverts au public à une autorisation préfectorale. Tandis que la loi "informatique et libertés" du 6 janvier 1978, modifiée en 2004, réglemente ceux installés dans un lieu non ouvert au public, comme une entreprise, ou encore les systèmes implantés dans les lieux publics lorsqu'ils sont couplés à une technique biométrique (de reconnaissance faciale par exemple).

"Face à cette situation d'incertitude, voire d'insécurité juridique, la CNIL estime nécessaire de clarifier rapidement le régime juridique actuel de la vidéosurveillance". Outre le passage au tout numérique autorisant le stockage des données ou l'apparition de logiciels "d'analyse intelligente" détectant des "comportements suspects", un arrêté du 26 septembre 2006 imposant le respect de normes techniques, permettrait à terme "l'interconnexion et la centralisation des images à des fins policières".

Pour alimenter sa réflexion, la CNIL a confié à l'institut Ipsos la réalisation d'une étude sur l'opinion des Français à l'égard de la vidéosurveillance. Réalisée du 14 au 17 mars 2008 auprès de 972 personnes, ce sondage confirme qu'une large majorité de Français (71%) se déclare favorable à la vidéosurveillance dans les lieux publics et que 65% d'entre eux estiment qu'elle permettra de lutter efficacement contre la délinquance et le terrorisme. D'autre part, l'idée que les dispositifs de vidéosurveillance soient placés sous le contrôle d'un organisme indépendant, pour parer à toute dérive, séduit une large majorité des Français (79%).

Reste donc aux pouvoirs publics à compléter les financements, pour assurer, sans plus attendre, un contrôle fiable et indépendant des systèmes de surveillance. Même si, quel que soit l'organisme en charge de la tâche, la volatilité des données semble problématique pour mettre en oeuvre la "vidéoprotection" évoqué par Michèle Alliot-Marie.
Microsoft a indiqué mardi mettre à disposition des développeurs tiers de nouvelles données techniques. Plus de 14.000 pages d'une documentation préliminaire relative aux protocoles intégrés à Microsoft Office 2007, Office SharePoint Server 2007 et Exchange Server 2007, auraient été mises en ligne sur MSDN (Microsoft Developer Network). Au total, le numéro un mondial du logiciel, déclare avoir publié 44.000 pages de documentation technique (protocoles) pour assurer l'interopérabilité entre ses solutions et celles de la concurrence.

Comment en est-on arrivé là ? En février 2008, la Commission européenne a infligé une nouvelle amende, 899 millions d'euros, à la firme de Redmond. Pour la Commission, il s'agissait de mettre un terme au non-respect de sa demande initiale prononcée en mars 2004. A l'époque, l'exécutif européen avait infligé une amende de 497 millions d'euros à l'éditeur américain pour abus de position dominante, et lui avait imposé des mesures correctives visant à garantir l'interopérabilité entre PC/Serveurs sous Windows et logiciels concurrents.
Attendue de longue date, la vidéo fait cette semaine son entrée sur le service d'hébergement de photos Flickr, aujourd'hui propriété de Yahoo. L'objectif affiché n'est cependant pas de s'inscrire comme un nouveau concurrent pour les YouTube et autres Dailymotion : les vidéos sont limitées à une durée de 90 secondes, et sont pour l'instant réservées aux utilisateurs de comptes Pro, la version payante du service (25 dollars par an).

L'idée, explique Flickr, est de ne pas dénaturer le service : les amateurs de photo qui viennent sur le site y consulter des clichés ne souhaitent vraisemblablement pas se voir pollués par des milliers de vidéos hétéroclites. Pour autant, l'équipe qui préside aux destinées du service estime que de courtes vidéos lui confèreront une certaine valeur ajoutée.

"Nous ne voulons pas brider votre créativité artistique, nous essayons juste de créer quelque chose de nouveau", explique Flickr dans sa FAQ. "L'intégration de vidéos sur Flickr repose sur l'idée de "longue photo", c'est pourquoi nous avons choisi de limiter la lecture des vidéos aux 90 premières secondes même si cela peut paraître un peu arbitraire".

Si l'envoi de vidéos est limité aux utilisateurs de comptes Pro, les contenus hébergés peuvent ensuite être consultés par le tout venant, via un lecteur Flash. Sur le plan technique, Flickr précise qu'il est possible d'uploader des vidéos allant jusqu'à 150 Mo, mais que seules les 90 premières secondes seront lues. Le formulaire d'envoi accepte les formats AVI, WMV, MOV, MPEG 1, 2, 4 et 3gp.
Le bureau du haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés a publié au travers de Google Earth des informations pour sensibiliser le grand public sur certains sujets humanitaires. Ce projet met notamment en avant les camps de réfugiés, mais également les points/lieux liés à l'éducation, à l'actualité et à la santé. Notons aussi des informations relatives aux réseaux de distributions et d'accès à l'eau potable. Le tout est associé à des articles et à des photos/vidéos. Pour activer l'accès à ces informations dans Google Earth, il suffit d'ajouter ce fichier.

Dans ce registre, on peut également citer les nouvelles couches d'informations pour Google Earth liées aux sujet suivants : droits de l'homme, Greenpeace et US Holocaust Memorial Museum. Elles peuvent être activités par le biais de la fenêtre "infos pratiques" à la rubrique "sensibilisation mondiale".
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