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le 07/04/2008 à 22:11
Gmapper 1.2
Gmapper est une classe PHP qui facilite l'intégration de l'(JS-based) API Google Maps dans vos pages Web.

Nous connaissons depuis quelques temps la possibilité de créer vos propres cartes avec API Google.

Maintenant, il est possible de créer vos propres itinéraires et par conséquent vos directions d'un point A vers un point B

Gmapper est aussi doté de fonctionnalités avancées telles que le géocodage, un support XML, KML, Zoom à bornes, et Streetview.

- Demo Itineraire avec Gmapper
- Gmapper Présentation
- Téléchargement Gmapper
le 07/04/2008 à 22:10
Les webinars de Zend Technologies
Zend Technologies par l'intermédiaire de AL'X communication, propose des webinars axés PHP.

Plusieurs rendez-vous sont prévus pour le mois d'avril et vous pouvez participer à distance.

Les thèmes pour ce mois Avril sont :
- Webinar "Créer et déboguez vos applications avec Zend Studio for Eclipse"
- Webinar "Supervisez et optimisez vos applications PHP avec Zend Platform
- Webinar "Zend Framework 1.5 : Zend_form & Zend_layout"

- Les webinars de Zend Technologies axés PHP
Le logiciel Joost veut recentrer ses efforts sur le marché américain et réorganiser son activité, d'après le Sunday Times. Jeune pousse fondée par Janus Friis et Niklas Zennström, les créateurs de Kazaa et de Skype, Joost propose une plate-forme de distribution de programmes TV sur le web basée sur la technologie peer-to-peer.

L'objectif est de fournir aux créateurs de contenus un accès à une plate-forme vidéo de haute qualité et de leur permettre de générer des revenus publicitaires par le biais de partenariats publicitaires. Il s'agit également pour Joost de monter en puissance, d'assurer sa rentabilité et, enfin, de faire de l'ombre à YouTube ou Hulu. Mais n'est pas la "killer video application" qui veut !

Un porte-parole de Joost a confirmé les ambitions américaines de la plate-forme d'origine européenne. Il ne s'agit pas d'une grande surprise étant donné que les principaux investisseurs et partenaires de Joost sont installés aux Etats-Unis (CBS, Viacom...) De plus, la société a récemment déménagé sa division technique à New York. En revanche, Joost parle d'un "réalignement" de ses actifs, et non de "restructuration".

Depuis son lancement, la firme doit faire à face à plusieurs soucis qu'elle a du mal à surmonter. Dans ce registre on peut citer : le manque de téléspectateurs, le manque de nouveaux programmes, les problèmes liés à la négociation de diffusion pour le monde entier ou bien encore l'arrivée de nouveaux concurrents. Sur ce dernier point, on soulignera le succès remporté par le iPlayer de BBC, lequel permet de consulter les émissions de la BBC diffusées qui remontent au maximum à sept jours. Actuellement, le iPlayer de la BBC regrouperait 500 000 programmes chaque jour et une audience de 1,3 million de visiteurs uniques chaque semaine.
Yahoo n'aura mis que deux jours à répondre à l'ultimatum lancé par Microsoft le 5 avril dernier. Dans une lettre ouverte, signée de son PDG Jerry Yang et de Roy Bostock, président du conseil d'administration, le portail américain tient une nouvelle fois la dragée haute au numéro un mondial des éditeurs. Yahoo maintient que la proposition formulée le 31 janvier n'est pas à la hauteur de la valeur de ses actifs, et invite Microsoft à augmenter son offre.

Fixée à 31 dollars par action, celle-ci valorisait le portail américain à hauteur de 44,6 milliards de dollars, soit une prime de 62% par action, lorsqu'elle a été formulée. A la clôture des marchés vendredi dernier, elle représentait encore une transaction de plus de 41 milliards de dollars.

"Nous avons maintenu que nous n'étions pas opposés à l'idée d'une transaction avec Microsoft si celle-ci était dans le meilleur intérêt de nos actionnaires", déclarent les deux dirigeants de Yahoo. "Nous pensons simplement qu'une éventuelle transaction se doit de correspondre à la juste valeur de Yahoo, en tenant compte des bénéfices stratégiques qu'en tirerait Microsoft".

Le point d'achoppement tient donc à la supposée valeur de Yahoo. Alors que dans sa lettre du 5 avril, Steve Ballmer avançait l'hypothèse de parts de marché en baisse sur la recherche en ligne et d'une érosion du trafic sur les sites du groupe, Yahoo répond en annonçant AMP, une nouvelle plateforme publicitaire qui devrait voir le jour avant l'été.

"Nous avons récemment confirmé nos objectifs de résultats pour le premier trimestre et pour l'année complète, ce qui témoigne de notre capacité à enregistrer des performances conformes à nos attentes, en dépit du contexte économique actuel", ajoutent Yang et Bostock.

"Nous sommes au regret d'affirmer que votre lettre caractérisent mal la nature des discussions conduites ensemble. Nous avons tenu des conversations constructives, sur des sujets variés allant de l'intégration aux problèmes de régulation. Votre commentaire selon lequel nous avons refusé d'engager des négociations sont particulièrement étranges compte tenu du fait que nous avions déjà refusé votre offre initiale...", fustigent les deux responsables, "de plus, Steve, vous avez personnellement assisté à deux de ces réunions et vous pouviez conduire des discussions avancées de la façon qui vous convenait".

Bien que les négociations conduites avec d'autres acteurs du Web tels que Google, AOL ou News Corp. n'aient semble-t-il mené à rien, Yahoo refuse pour l'instant de céder aux sirènes de Microsoft. Le groupe publiera ses résultats financiers pour le premier trimestre 2008 le 22 avril prochain, soit quatre jours avant que l'ultimatum de Microsoft n'expire, ce qui précipitera peut-être la fin des négociations.
Cachez cette pomme que je ne saurais voir... Traditionnellement implacable dès qu'il s'agit de défendre son image et les droits qui lui sont associés, Apple souhaite faire opposition à un dépôt de marque organisé par la ville de New York, au prétexte que le logo utilisé par cette dernière présenterait de nombreuses similitudes avec son propre emblème.

Après avoir pacifié ses rues sous l'ère Giuliani, New York entend maintenant assainir ses murs, ses entreprises et son mode de vie dans le cadre d'une vaste campagne de communication en faveur de l'environnement. Baptisée GreeNYC, elle est illustrée par un logo en forme de pomme, un clin d'oeil évident au surnom de la ville de New-York : The Big Apple.

Cette pomme, stylisée, viendrait selon Apple parasiter l'image de sa propre marque. Dans un document déposé auprès du Bureau de la propriété intellectuelle américain (l'USPTO) et publié (PDF, en anglais) par le site du magazine Wired, la firme de Cupertino précise qu'elle utilise son logo en forme de pomme pour communiquer dans les rues de New York, notamment par l'intermédiaire de ses magasins, et qu'il lui serait donc préjudiciable à sa marque de voir des pommes concurrentes fleurir à côté des siennes dans les rues et les espaces publicitaires.
Un couple américain a décidé de poursuivre Google après avoir découvert que le service Google Street View permettait de visionner certaines parties de leur propriété. Aaron et Christine Boring ont effectivement décidé d'attaquer Google devant la justice pour violation de la vie privée, d'autant plus que les images incriminées auraient été prises à partir d'une voie privée. Dans leur plainte, ils évoquent notamment des "souffrances mentales" suite à la publication de ces images.

De son côté, Google précise que les propriétaires de biens immobiliers peuvent demander à ce que les images de leurs propriétés soient retirées du service Google Street View s'ils évoquent une bonne raison et peuvent prouver le fait qu'ils sont bien les propriétaires.

"Nous respectons le fait que certaines personnes ne soient pas à l'aise avec nos images [...] Nous faisons en sorte de faciliter le procédé qui permet à n'importe quel propriétaire de demander le retrait de certaines images", précise un représentant de la firme à ce sujet. Il ajoute que si les plaignants avaient fait une demande dans ce sens, les photos auraient été retirées du service.

L'avocat des plaignants estime que l'intimité de ses clients a été envahie après que le véhicule de Google soit rentré dans dans la rue privée pour prendre des clichés de façon non-autorisée. Il ajoute que supprimer les photos ne suffira pas à réparer les dommages qui ont déjà été causés et que cela n'empêchera pas Google de recommencer dans le futur.

On notera que Google n'est pas le seul service à afficher des photos de la propriété des Borings. Ainsi, le site du "Allegheny County" présente une photo de la propriété avec une description détaillée. L'avocat des Borings précise que cette photo a été prise depuis une rue publique et ne pose pas de soucis particuliers.

Les informations publiées par le site du "Allegheny County" ne permettent toutefois pas de voir les deux garages et la piscine qui sont liés à la propriété, chose que permet Google Street View, comme le souligne la plainte déposée.
Sur Internet, certains noms de domaine peuvent rapporter gros ! A ce sujet, nous avions déjà évoqué le cas de "sex.com", vendu 12 à 19 millions de dollars. Aujourd'hui, dans un tout autre registre, nous pouvons citer la revente de l'adresse Internet "www.pizza.com". Un nom de domaine a qui de quoi faire saliver et qui a été revendu au prix de 2,6 millions de dollars US.

Chris Clark, 43 ans, avait déposé le nom de domaine en 1994 pour environ 20 dollars (somme versée chaque année pour conserver la propriété). Après l'avoir mis aux enchères il y a une semaine, il devrait donc en tirer 2,6 millions de dollars. A l'époque, l'homme avait déposé le nom de domaine dans l'espoir de décrocher un contrat pour sa société de conseil avec une grosse chaîne commerciale dédiée à la pizza.

En 2000, il revend sa société, mais décide de garder à titre personnel le nom de domaine pizza.com qu'il employait alors pour afficher de la publicité sur Internet. En janvier dernier, après avoir eu écho que le nom de domaine vodka.com avait changé de main pour 3 millions de dollars en 2006, il décide de mettre en vente pizza.com.

Chris Clark attend désormais de finaliser la vente et de recevoir son gros chèque. Il n'a qu'un seul regret dans cette affaire : "ne pas avoir acheté d'autres noms de domaine importants au début des années 90".
Le crime s'attaque à la Toile US. L'Internet Crime Complaint Center (IC3) publie son Internet Crime Report 2007 (www.ic3.gov/media/annualreports.aspx.), relayé par le FBI. Le centre de réclamation aurait enregistré quelque 206.884 plaintes cette année, représentant près de 152 millions d'euros de perte, soit 16% de plus qu'en 2006. Pourtant, moins d'Américains auraient été victimes de fraudeurs sur internet en 2007, mais la totalité des sommes détournées en ligne aurait atteint un record historique.

L'Internet ouvre de belles perspectives aux criminels pour s'attaquer à d'insouciantes victimes. Ce rapport montre l'évolution constante de ce type de crime", explique James E.Finch, sous directeur de la FBI Cyber Division. "Ce que ne montre pas le rapport c'est, quand et à quelle échelle ce phénomène passe inaperçu. Déposer plainte auprès de l'IC3 reste le meilleur moyen d'alerter les pouvoirs publics sur la prolifération des crimes liés à l'Internet."

Bien que la fraude sur les enchères ait été la plainte la plus largement rapportée (35,7%), d'autres concernent des activités frauduleuses telles que la non-livraison d'achats (24,9%), la fraude sur les cartes de crédit (6,3%), les intrusions de spam ou de courrier électronique non sollicité. Dans un effort visant à sensibiliser le public, le rapport décrit également les caractéristiques des escroqueries fréquemment rapportées telles que celles portant sur l'achat ou la vente d'animaux de compagnie, les escroqueries ou encore l'e-mail. Le courrier électronique (73,6%) et les pages Web (32,7%) seraient les deux principaux mécanismes par lesquels le contact aurait eu lieu .

Le rapport constate aussi que "parmi les plaignants, 57,6% étaient de sexe masculin, près de la moitié étaient âgés entre 30 et 50 ans et un tiers résidait dans l'un des quatre États les plus peuplés: Californie, Floride, le Texas et New York". Pourtant, alors que la plupart étaient originaires des États-Unis, l'IC3 a également reçu un certain nombre de plaintes provenant du Canada, du Royaume-Uni, l'Australie, l'Inde et le Mexique. Des menaces globalisées ?
On trouve tout sur Facebook ? Le réseau social en croissance a officiellement lancé dimanche la version stable de sa messagerie instantanée. Avec ce client, les quelque 67 millions d'utilisateurs de la plate-forme à travers le monde pourront échanger en direct directement depuis Facebook. Le client de messagerie, "discret et non intrusif", associé à la liste de contacts Facebook, s'affiche en bas de l'interface utilisateur. Aucun téléchargement n'est nécessaire et l'outil est censé fonctionner avec les principaux navigateurs web.

Facebook l'a signalé dans un billet : le déploiement de son client de sera "progressif". Par ailleurs, l'outil n'est pas encore compatible avec des services tiers, bien que la jeune pousse envisage une interopérabilité avec Jabber. Il est peu probable, par conséquent, que les utilisateurs du site communautaire abandonnent du jour au lendemain leur client de messagerie par défaut : AIM, Yahoo Messenger, Google Talk ou encore Windows Messenger de Microsoft (l'éditeur, rappelons-le, a pris une participation minoritaire dans Facebook l'an dernier).
C'est sous le nom d'Orange Cinéma Séries que l'opérateur historique annonce aujourd'hui un nouveau service de télévision destiné à tous ses abonnés, tant au niveau téléphonie que de l'Internet. En effet, Orange Cinema Séries sera disponible sur le téléviseur des abonnés au service TV, sur l'ordinateur des abonnés ADSL ou encore sur le téléphone portable des abonnés mobile, ce qui vaut à ce service le qualificatif "d'universel" employé par Orange.

Au programme, six chaînes de cinéma dont le contenu reprendra le catalogue de la Warner, de Fidélité Films ou de Gaumont, ainsi que des séries de la chaîne américaine HBO. Vous pourrez donc retrouver sur votre mobile ou sur votre écran d'ordinateur des films comme Harry Potter et l'Ordre du Phénix, Ocean 13 ou I am Legend et des séries comme In Treatment, Six feet under ou encore Les Sopranos. D'autres partenariats sont également à l'étude d'après l'opérateur historique.

Cette offre devrait être disponible durant le 4ème trimestre de cette année à des tarifs qu'Orange ne souhaite pour l'instant pas communiquer. Aucune précision n'a par ailleurs été faite sur les détails techniques de ce service, tant au niveau de la qualité des vidéos que de leur mode de diffusion, notamment au niveau des appareils mobiles.
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