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Comme nous l'évoquions il y a quelques jours dans notre actualité, la popularité naissante liée aux ordinateurs portables économiques comme l'Eee PC d'Asus pose quelques soucis à Microsoft qui souhaite arrêter toutes les commercialisations de Windows XP à partir du mois de juin prochain.

Aujourd'hui, Microsoft règle ce soucis simplement en annonçant que les fabricants pourront acheter des licences Windows XP pendant deux années supplémentaires (jusqu'au mois de juin 2010 donc), mais seulement pour équiper des ordinateurs PC portables économiques. Il sera seulement question de vendre Windows XP dans son édition familiale, la version Pro ne sera plus commercialisée.

Par ailleurs, Microsoft précise que dans les pays en voie de développement, il sera possible d'acheter Windows XP Starter Edition jusqu'au mois de juin 2010. Microsoft devrait ensuite basculer l'ensemble de sa commercialisation vers les licences Windows Vista et éventuelles Windows Seven, le successeur de Vista.
MySpace, tueur d'iTunes ? Le réseau social a confirmé jeudi avoir formé une joint-venture (JV) avec Universal, Warner et Sony BMG. Les partenaires lanceront "dans les prochains mois" un service légal de musique en ligne qui entrera en concurrence avec le leader du marché : iTunes d'Apple.

Sur les quatre majors, seule la maison de disques d'origine britannique, EMI, a jusqu'ici refusé de prendre une participation dans la co-entreprise qui sera basée à Los Angeles, Californie. Cette JV portera le nom de la plate-forme existante MySpace Music. Celle-ci regrouperait, à ce jour, plus de 5 millions de profils d'artistes et séduirait 30 millions de visiteurs uniques par mois. Pour leur part, Universal Music Group, Warner Music Group et Sony BMG Music Entertainment en plus d'une participation dans MySpace Music, recevront une partie des revenus publicitaires générés. Les détails financiers de l'opération n'ont pas été précisés.

Du côté des internautes, MySpace Music proposera : l'intégralité des catalogues des majors partenaires, du streaming gratuit audio et vidéo financé par la publicité, du téléchargement de MP3 (sans "verrous numériques" ou DRM) ainsi que des services annexes (personnalisation, création de playlists, sonneries de terminaux mobiles, places de concert, etc.) Dans ce cadre, un service payant de téléchargement par abonnement sera également proposé.

MySpace, dont le réseau a été initialement formé autour de musiciens aux Etats-Unis, entend bouleverser un marché en croissance dominé par iTunes, en associant à la diffusion légale et au téléchargement de musique des fonctions d'échange et de collaboration. Il s'agit également pour le réseau social et sa maison mère, News Corp, de ne pas se laisser voler la vedette par Facebook. Challenger de MySpace, Facebook négocie également avec les majors du disque. Pour ces dernières, il est urgent de ne pas se limiter au modèle et aux exigences d'Apple dans la musique numérique.

MySpace revendique 220 millions d'inscrits à travers le monde, contre 67 millions pour Facebook.
Google ne vendra donc plus de prestations de référencement ! Cédant à la pression, Google a en effet décidé de se séparer des activités Search Marketing de la société Performics acquise lors du rachat de DoubleClick.

Tom Phillips, le responsable de l'intégration de DoubleClick, vient en effet d'annoncer sur le blog officiel que Performics allait être scindée en 2 entités : la première, dédiée à l'affiliation, restera chez Google, tandis que la seconde, dédiée à toutes les activités de Search Marketing (et donc du référencement naturel), est à vendre.

Que pouvaient-ils faire d'autre ? On ne peut pas demander aux millions de webmasters d'être clean et en même temps être juge et partie. En attendant que la vente soit faite, on imagine bien la tentation des référenceurs chez Performics de passer un petit coup de téléphone à leurs nouveaux collègues de Mountain View pour obtenir des infos sur la formule secrète la plus commercialement/financièrement stratégique du monde, à savoir l'algorithme de Google Search !
La taxation des internautes dépendra ... des internautes. Suite à la publication par le Figaro d'un article évoquant les axes de réflexion de la commission Copé sur le financement de la télévision publique -un financement qui reposerait majoritairement sur une taxe prélevée sur le chiffre d'affaire des fournisseurs d'accès à internet- le député a vigoureusement démenti ces rumeurs diffusées, selon Libération, par un autre député UMP : Frédéric Lefebvre.

"Les membres de la Commission n'ont défini unanimement qu'une seule position ferme : celle de demander à l'État un geste fort pour compenser les pertes de recettes de France Télévisions pour 2008, qu'ils ont évaluées à 150 millions d'euros [...] il est particulièrement choquant, que ce soit à l'égard des membres de la Commission, à l'égard des différents acteurs de l'audiovisuel public auditionnés, qu'à l'égard des Français, de laisser entendre que les décisions ont d'ores et déjà été prises, ce qui est la négation même de l'esprit de rigueur et d'indépendance qui anime tous les membres de la Commission", explique Jean-François Copé dans un communiqué.

Une polémique qui intervient en tout cas au moment du lancement du site matelepublique.fr, justement censé collecter les idées des internautes sur le financement de France Télévisions. "Le débat sur l'avenir de la télévision publique ne doit en aucun cas être réservé aux seuls experts. Le site Internet va ainsi permettre d'informer les Français des travaux, et de les associer à la réflexion de la Commission. [...] La plate-forme participative ainsi mise en ligne permettra d'élargir considérablement la base des personnes consultées au cours des auditions"; explique M. Copé qui s'est d'ailleurs offert les services de la Netscouade, à l'origine des différents sites de campagne de... Ségolène Royal.

Un site participatif qui devrait en tout cas permettre à la commission Copé de dialoguer avec les internautes en attendant la remise d'un rapport d'étape le 16 avril et de ses conclusions définitives à la fin du mois de mai.
La redevance pour copie privée appliquée aux téléphones dotées de fonctionnalités multimédia tels que l'iPhone entrera finalement en vigueur un mois après la date prévue. Votée le 27 février dernier, cette décision a été publiée jeudi au Journal Officiel et sera donc appliquée le premier jour du mois suivant, soit le 1er mai. Les téléphones dotés d'une quantité de mémoire supérieure à 128 Mo, capables de restituer des contenus audio ou vidéo et dotés de caractéristiques physiques ou logicielles dédiées à ces fonctionnalités de lecture seront donc frappés de la redevance pour copie privée.

Le montant de cette redevance dépend de la capacité de stockage de l'appareil concerné ainsi que de son aptitude à lire et enregistrer des vidéos. Si le téléphone se présente comme un simple baladeur audio, et n'autorise ni l'enregistrement de contenus, ni la lecture de vidéos, la redevance s'échelonne de 1 euro pour 128 Mo de mémoire à 20 euros pour une capacité comprise entre 20 et 40 Go. S'il permet la lecture et l'enregistrement de vidéos, le barème passe de 5 euros pour une capacité inférieure à 1 Go à 50 euros pour une capacité comprise entre 400 et 560 Go.

Pour un iPhone 8 Go, une redevance de 7 euros sera donc appliquée. Ce montant, qui se greffe au prix nominal de l'appareil avant application de la TVA, pourrait donc faire passer le tarif de l'appareil de 399 à environ 407 euros si Apple et Orange décidaient de la répercuter directement. La redevance devrait s'appliquer jusqu'au 31 décembre 2008, date à laquelle la commission copie privée procèdera au calcul d'un barème définitif, sur la base d'une étude destinée à évaluer "l'évolution des technologies, des matériels, des usages de consommation, des pratiques d'enregistrement et de copie privée".

Pour rappel, la redevance pour copie privée part du principe que l'on tolère la copie des oeuvres culturelles lorsque celle-ci se cantonne à la sphère privée, mais qu'il convient d'indemniser les ayant-droits pour le potentiel manque à gagner consécutif à cet acte. Les fabricants d'électronique grand public, dont les représentants sont censés siéger au sein de la commission chargée de l'étude de cette redevance, dénoncent depuis le mois de février le fonctionnement de cette institution.
Référence mondiale des réseaux sociaux, MySpace devrait annoncer ce jeudi la signature de contrats avec Universal, Warner et Sony BMG Music Entertainment, d'après News.com. EMI resterait encore à convaincre.

"Dans les prochains mois", le réseau social pourrait proposer sa propre plate-forme de musique en ligne, avec au menu : streaming financé par la publicité, téléchargement de MP3 (sans "verrous numériques" ou DRM), services annexes (sonneries de terminaux mobiles, places de concert, etc.) Par ailleurs, les majors auraient une participation dans MySpace Music et recevraient une partie des revenus publicitaires générés.

Que le service soit financé par la publicité et/ou la vente au titre ou par abonnement, MySpace et sa maison mère, News Corp, ne veulent pas tarder à intégrer un marché en croissance dominé par iTunes d'Apple. Il s'agit à la fois pour MySpace de fidéliser une cible très convoitée, de trouver de nouvelles sources de revenus et de ne pas se laisser voler la vedette par Facebook. Challenger de MySpace, Facebook négocie également avec les majors du disque.

[MAJ 19h : MySpace a confirmé le 3 avril 2008 l'information dans un communiqué. Le co-fondateur et président du réseau social d'origine américaine, Chris DeWolfe, a déclaré : "c'est le premier service qui proposera un catalogue complet de musique (NDLR : l'intégralité des catalogues des majors partenaires) en streaming gratuit, avec des fonctions communautaires avancées."]
Alors que le monde financier attend avec impatience de connaitre le résultat des tractations engagées avec Microsoft, Yahoo! profite du CTIA, le salon américain du mobile, pour dévoiler les nouvelles fonctionnalités de son service de recherche sur mobile, OneSearch, qui passe en version 2.0 et s'ouvre pour certains terminaux à la recherche vocale.

Mis au point en collaboration avec Vlingo, une start-up spécialisée dans la reconnaissance vocale basée dans le Massachusetts, le logiciel est aujourd'hui proposé au téléchargement aux Etats-Unis pour quelques-uns des téléphones Blackberry de RIM, mais Yahoo! promet d'étendre rapidement cette disponibilité aussi bien à l'international qu'à d'autres familles de mobiles.

OneSearch 2.0 permettrait donc de lancer une recherche en prononçant les termes de son choix au micro de son téléphone. "Les utilisateurs n'ont pas à parler d'une façon particulière ou à mémoriser une liste de commande. Ils peuvent dire ce qu'ils veulent, comme ils le veulent et Vlingo enregistre le résultat - mot à mot", promet la start-up, qui annonce dans le même temps l'entrée de Yahoo! à hauteur de 20 millions de dollars dans son capital.
L'ISO, organisme international de standardisation, a finalement décidé d'accorder son aval au format Open Office XML (OOXML) de Microsoft, qui deviendra de fait une norme internationale une fois finalisé, sous la référence ISO 29.500. Open XML a finalement reçu 75% de votes positifs parmi les membres "P" du comité de normalisation de l'ISO, contre 14% de votes négatifs. L'Afnor, agence française de normalisation, a pour sa part décidé de s'abstenir de voter, six mois après avoir remis un avis négatif assorti de nombreux commentaires lors de la précédente consultation. Cette abstention soulève une légitime interrogation : pourquoi l'Afnor a-t-elle choisi la voie médiane, au lieu d'accorder sa voix à un projet de norme qu'elle aurait jugé valide ou au contraire de le refuser en bloc ?

La question revêt d'autant plus d'importance qu'en Norvège, par exemple, s'élèvent des voix qui dénoncent les conditions du scrutin au niveau national, et affirment que le vote finalement rendu ne reflète pas l'opinion de la majorité des membres concernés. En France, certains comme l'April (Association de promotion et de recherche pour le logiciel libre) estiment que des pressions ont été exercées au sein de la commission chargée d'étudier le cas Open XML. "Quelques heures donc avant la clôture du vote, la Direction Générale des Entreprises (DGME) et la Direction Générale de la Modernisation de l'Etat (DGE) ont changé de position et sont passés du non à l'abstention, sans fournir de réelles explications", affirme ainsi l'April.

Interrogée, l'Afnor réfute ces allégations et affirme que le scrutin n'a pas été perturbé. Elle refuse par ailleurs de commenter l'information selon laquelle la Commission européenne aurait ouvert une enquête à ce sujet.

De l'inconvénient d'une procédure d'urgence...

En septembre 2007, Microsoft, soutenu par l'Ecma, un organisme industriel de normalisation européen, soumet une première fois son format à l'ISO. Open XML ne recueille pas les suffrages nécessaires à son approbation, et plusieurs milliers de commentaires techniques sont déposés, notamment par l'Afnor. L'Ecma et Microsoft élaborent alors leurs réponses aux objections formulées, et soumettent ces dernières pour un nouvel examen le 29 février dernier. Les différents membres de l'ISO ont alors un mois pour étudier cette nouvelle documentation et décider s'ils se prononcent pour ou contre la normalisation de ce format. La majorité des votants approuve, tandis que l'Afnor s'abstient.

"La procédure d'urgence ne convient guère à l'examen d'un texte de plusieurs milliers de pages", admet Olivier Peyrat, directeur général de l'Afnor. "Le non n'était plus vraiment tenable au vu des avancées consenties", constate pour sa part Frédéric Bon, président de la commission de normalisation de l'Afnor. "alors que le oui se révélait encore problématique, dans la mesure où nous n'avons pas encore les spécifications finales du format". L'Afnor a donc opté pour une "abstention motivée et documentée".

L'agence confirme par ailleurs la réception, dans les derniers jours précédant la clôture des débats, de trois documents dont on pourrait penser qu'ils ont eu un impact sur la décision finale. Le premier est une lettre de Microsoft France, tandis que le second est une prise de position officielle en faveur d'Open XML de la part du fabricant américain Hewlett Packard. Le troisième émane de Patrick Durusau, qui contribue aux évolutions du standard concurrent, ODF, au sein de l'Oasis (Organization for the Advancement of Structured Information Standards). Sans vraiment appuyer la normalisation d'Open XML, ce dernier indique qu'un rejet au niveau de l'ISO risque de se révéler contre-productif au niveau de l'interopérabilité.

Deux standards bientôt intéropérables ?

"A l'origine, ODF et Open XML ont été créés avec des objectifs différents. Il n'est donc pas invraisemblable qu'il y ait deux normes différentes", commente pour Clubic.com Bernard Ourghanlian, directeur technique chez Microsoft France. "Ce qui compte maintenant, c'est de parvenir à la meilleure interopérabilité possible. Des propositions concrètes allant dans ce sens ont déjà faites". Le DIN, équivalent allemand de l'Afnor, a d'ores et déjà proposé la création d'un groupe de travail visant à améliorer cette interopérabilité, auquel l'agence française envisage effectivement de collaborer.

En septembre dernier, l'Afnor proposait que l'éventuel standard Open XML soit décomposé en deux parties principales : un "coeur", comportant l'essentiel des spécifications du format, et un ensemble d'extensions destinées à garantir la compatibilité ascendante avec d'autres formats. Cette séparation devrait selon l'Afnor être maintenue, avec un "Open XML Strict", destiné à la création de nouveaux documents, et un "Open XML Transitional" pour les conversions et problèmes d'interopérabilité ; une dichotomie qui n'est pas sans rappeler celle que l'on observe avec le langage HTML et son évolution, le xHTML...

Les futures évolutions du format sont maintenant entre les mains de l'ISO, qui devrait fournir dans les prochains jours un document relatif à ses spécifications finales à ses différents membres. Comme avec le standard C# en son temps, Microsoft ne s'interdit toutefois pas de soumettre des propositions d'évolution à l'ISO par l'intermédiaire de l'Ecma.
Parallèlement à son dixième anniversaire, Mozilla publie la beta 5 de Firefox 3. Le fichier est d'ores est déjà disponible sur les serveurs FTP de Mozilla mais les informations concernant cette nouvelle beta n'ont pas encore été publiées à l'heure où nous écrivons ces lignes. On peut d'ores et déjà affirmer qu'elle améliore légèrement le score du navigateur sur le fameux Acid Test 3 : la beta 5 réalise un score de 71% contre 67% sur la beta 4. Seules des versions internes de Webkit (Safari) et Opera passent actuellement le test à 100%.

La beta 5 de Firefox 3 devrait être la dernière avant la sortie de la RC1 début mai, ce qui permettra aux développeurs de rendre leurs extensions compatibles. La version finale est quant à elle prévue pour le mois de juin. Firefox 3 intègrera un nouveau moteur (Gecko 1.9) qui améliore les performances et optimise la consommation de la mémoire, une interface revue et corrigée pour s'intégrer à chaque système d'exploitation, un module antimalware ou encore un gestionnaire de téléchargement amélioré. La version 3.0 beta 5 peut être téléchargée sur notre logithèque. Rappelons qu'il s'agit d'une version bêta, à utiliser uniquement à des fins de test.

- Télécharger Firefox 3.0 beta 5 pour Windows et Linux
- Télécharger Firefox 3.0 beta 5 pour Mac OS X
Microsoft semble être face à un véritable dilemme aujourd'hui sur le marché des systèmes d'exploitation. Le géant de Redmond a certes réussi à imposer son nouveau système d'exploitation, Windows Vista, notamment grâce aux ventes de nouvelles machines. En effet, la plupart des PC récents sont désormais fournis avec Windows Vista. Malgré cela, de nombreux utilisateurs restent attachés à Windows XP, pourquoi ?

Disponible depuis 2001, Windows XP offre encore bien des avantages par rapport au système fraichement sorti : stabilité accrue, pilotes plus nombreux et souvent mieux développés/gérés, exigences matérielles moins importantes...

Malgré cela, Microsoft qui avait déjà offert une extension de vie à Windows XP en prolongeant du 31 janvier au 30 juin 2008, semble décidé à tuer Windows XP qui profitera malgré tout d'un Service Pack 3 très prochainement. (Mal)heureusement, le succès remporté par un nouveau type de machines risque de donner du fil à retordre à Redmond. Il s'agit des nouveaux PC portables économiques et peu puissants, représentés principalement actuellement par l'Eee PC d'Asus.

Il y a encore quelques mois, l'Eee PC d'Asus n'était proposé qu'uniquement sous Linux avec une distribution basée sur Xandros. Suite au succès remporté par le petit objet technologique portatif, Asus et Microsoft ont décidé de s'associer pour proposer l'Eee PC 4G-X, un Eee PC doté de Windows XP qui sera proposé dès ce mois-ci aux Etats-Unis.

Pour le moment, étant donné la capacité de stockage (4 Go dont 1,8 Go occupés par Windows XP, mais possibilité de descendre sous la barre du Go avec une solution comme nLite) et les performances délivrées par ce nouveau type d'ordinateurs, il semble impossible de placer un très gourmand Windows Vista sur ces machines. Reste donc une grosse interrogation en suspens. Microsoft va-t-il prendre le risque de se couper d'un marché naissant, en plein essor, le 30 juin prochain en tuant Windows XP et laissant le champ libre à Linux ? Réponse dans quelques mois...
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