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Samsung a profité d'une matinée de présentation de ses nouveautés photo pour dévoiler un nouveau site lancé aujourd'hui même et consacré à la photo comme l'indique bien son nom "My Photos.fr".

Ce site adopte la forme d'une plate-forme communautaire appelée à ressembler tous les passionnés de photo (et non pas uniquement les possesseurs d'un appareil Samsung) autour de plusieurs rubriques :
- La France en images : une carte de la métropole qui bénéficie d'une fonction de géolocalisation des photos semblable à celle que l'on trouve sur un Flickr par exemple
- Les photoblogs : une zone qui recense tous les photoblogs des membres de la communauté et permet à tout nouveau venu de créer le sien gratuitement
- Un blog officiel : animé par le photographe Gilles Klein, cet espace donne accès à des conseils sur l'utilisation des appareils, des anecdotes sur l'histoire de la photo, des annonces d'événements culturels, etc.

Encore en version beta, ce site s'est ouvert aujourd'hui seulement à tous les utilisateurs. Si l'initiative est intéressante, il reste pour My Photos.fr à parvenir à se constituer une communauté active, ce qui ne sera pas forcément simple dans un contexte marqué par la concurrence de nombreux incontournables parmi lesquels Flickr, Picasa, PBase et deviantART pour ne nommer que les plus connus.
Après avoir annoncé récemment l'ouverture des formats de fichiers Office, voir Microsoft ouvre les binaires de ses formats Office, Microsoft poursuit ses efforts afin de promouvoir une meilleure interopérabilité. Le groupe vient d'annoncer, par le biais d'une conférence téléphonique animée entre autre par Steve Ballmer et Ray Ozzie, de nouveaux efforts visant à garantir une interopérabilité toujours plus large. Ainsi, le CEO de Microsoft a indiqué que le premier axe de cette nouvelle stratégie était de permettre l'ouverture, la transparence et l'accès à l'ensemble des produits à diffusion large via une documentation de l'ensemble des protocoles auparavant considérés par Microsoft comme secret industriel. Le terme produit à diffusion large caractérise ici Microsoft Windows Vista, Microsoft Office, Microsoft SQL, Microsoft Exchange et Microsoft Sharepoint.

Un accès aux secrets industriels de Microsoft

A travers ce premier axe, Microsoft va permettre un accès libre et gratuit à l'ensemble de la documentation des protocoles ou API. Dès demain, le groupe va mettre en ligne sur son site MSDN près de 30 000 pages de documentation technique précédemment disponibles uniquement sous la forme d'accord d'échange de secret industriel. La portée de ces documentations n'est pas encore connue de manière précise : on ne sait par exemple pas si le format de fichiers NTFS est concerné. En revanche le protocole Windows Live Hotmail n'est pour l'instant pas concerné mais rendez-vous au Mix 2008 pour des annonces Windows Live.

... sans licence, royalties... pour le monde du logiciel libre

Concrètement, les développeurs issus du monde du logiciel libre, auront un accès gratuit et entier à ces documents et Microsoft s'engage à ne pas faire valoir ses brevets. Les sociétés développant des logiciels commerciaux pourront également accéder à ces documents mais seront soumises à une licence spécifique, licence accordée de manière non discriminante par Microsoft. Bernard Ourganglian, directeur technique et sécurité de Microsoft France nous a ainsi donné quelques exemples de ce que cette nouvelle ouverture sous tend : dans le cadre du développement d'un logiciel de messagerie, celui-ci pourra dorénavant interagir avec Microsoft Exchange alors que la documentation des protocoles Active Directory va permettre à un serveur Samba de répliquer ses données sur un domaine Active Directory.

Vers une plus grande portabilité des documents dans Office

Deuxième axe de cette annonce, la portabilité des documents. En la matière, Microsoft annonce la mise en place d'un système de plug-ins dans sa suite bureautique Office pour permettre la sauvegarde des documents sous un format autre que l'Open XML avec la possibilité de définir le nouveau format comme format par défaut. Seront concernées par cette nouvelle API les applications Word, Excel et PowerPoint de la suite Office 2007. Seul Office 2007 profitera en effet de cette nouvelle API via son prochain Service Pack 2.

Et la promotion tous azimuts de l'interopérabilité Open Source

A travers son annonce, Microsoft veut remettre sur le devant de la scène son ouverture vis à vis des communautés Open Source avec la mise en place de diverses initiatives pour la création de plugfest ou interopfest afin que les développeurs puissent tester l'interopérabilité effective des protocoles documentés par Microsoft. La firme de Redmond s'apprête également à lancer un forum sur l'interopérabilité afin d'ouvrir le plus largement possible les discussions et favoriser ainsi la coopération des différentes communautés de l'industrie.

Vers des logiciels Microsoft en Open Source ?

Nous avons profité de notre conversation avec Bernard Ourghanlian pour interroger ce dernier sur les implications de ces annonces autour des développements futurs de Microsoft. Est-ce un signe de l'arrivée prochaine de logiciels Open Source chez le géant des logiciels ?

Bernard Ourghanlian : Des logiciels Open Source Microsoft, il y en a déjà un certain nombre notamment sur MSDN. Cependant ce ne sont pas des logiciels à diffusion large. Et en la matière, ce n'est toujours pas la direction de notre groupe pour le moment. Aujourd'hui il y a deux modèles de logiciels : l'open source et les logiciels commerciaux. Il faut créer des ponts entre ces mondes pour que le consommateur trouve les solutions répondant à ses besoins. Il faut être capable d'échanger des documents ou protocoles sans contraintes exagérées.

Une annonce pour satisfaire la Commission Européenne ?

Bernard Ourghanlian : Cet accord va plus loin que ce que nous a demandé la Commission : on couvre non seulement l'Europe mais surtout le monde entier. Par ailleurs, alors que les objections de la Commission concernent le domaine des serveurs, nous adressons ici deux environnements : serveurs bien sûr mais aussi poste de travail. Je ne sais pas comment la Commission Européenne va réagir à cette annonce. On espère que ça sera accueilli favorablement. Il n'y a aucun accord spécifique avec la Commission Européenne lié à cette annonce.
Microsoft a publié une première liste concernant les applications qui ne devraient pas fonctionner avec le système Windows Vista accompagné de son Service Pack 1. La plupart des programmes cités sont liés à la sécurité : antivirus, pare-feu ... ou des applications de lecture multimédia.

Si certains programmes seront mis à jour pour résoudre les problèmes, ça ne sera pas le cas de tous... Par ailleurs, il s'agit d'une première liste qui n'a rien de définitive qui devrait évoluer avec le temps. Certains des programmes cités seront directement bloqués au démarrage du système, d'autres ne fonctionneront pas du tout alors que certains proposeront des fonctionnalités limitées.

La liste en question peut être consultée à partir de cette page.
Concentration sur le marché belge de l'accès à Internet. Belgacom, l'opérateur historique détenu à plus de 50% par l'Etat, a annoncé le 15 février dernier l'acquisition de son concurrent Scarlet, qui dispose à l'heure actuelle d'une base d'environ 180.000 abonnés, pour un montant de 185 millions d'euros. L'acquisition, qui renforcera la position dominante de Belgacom sur le marché local de l'ADSL, reste toutefois soumise à l'approbation des autorités de la concurrence.

Scarlet, qui dispose de son propre réseau, propose en Belgique et aux Pays-Bas des forfaits téléphoniques et Internet à des prix généralement inférieurs à ceux pratiqués par Belgacom, même si de nombreux internautes déplorent que la politique des quotas soit toujours en vigueur. Dans un communiqué, Belgacom précise que l'offre Scarlet sera maintenue sous sa propre marque et que les deux entités continueront à fonctionner de façon distincte même si des synergies seront réalisées.

Ce rapprochement ne manque toutefois pas d'inquiéter en Belgique, où Belgacom serait en passe de détenir 85% du marché large bande selon son concurrent Telenet. "Aucune autre entreprise en Europe est aussi dominante sur le marché DSL", déclare au quotidien La Libre Duco Sickinghe, PDG de Telenet.
Fondée en décembre 2007, l'Association des services internet communautaires (Asic) qui réunit des acteurs du Web tels que Dailymotion, Google, Yahoo, PriceMinister, MySpace ou Wikimedia ambitionne de promouvoir les fondements et les valeurs de l'Internet nouvelle génération, de sensibiliser les pouvoirs publics à l'importance de la nouvelle économie de l'immatériel. Clubic.com revient en trois questions sur le lancement de l'association, ses objectifs et ses récentes prises de position avec Giuseppe de Martino, directeur juridique de Dailymotion et co-président de l'Asic.

Clubic.com : Le lancement de l'Asic est intervenu quelques jours seulement après la remise du rapport Olivennes au chef de l'état. Faut-il y voir un lien de cause à effet ?

Giuseppe de Martino : Non, le lancement n'a en aucun cas été motivé par la mission Olivennes, simple hasard du calendrier. Les membres de l'Asic sont toutefois convaincus de l'absolue nécessité de protéger le droit d'auteur. Dailymotion utilise par exemple depuis le mois de juillet dernier une solution de fingerprinting. Les ayants droits n'ont donc plus qu'à envoyer l'empreinte numérique de leurs contenus à l'Inria ou à Audible Magic, ce qui permet ensuite à Dailymotion de les supprimer automatiquement. Il faudrait donc que cette démarche, gratuite pour les ayants droits, soit généralisée. Nous ne sommes pas signataires de l'accord Olivennes, mais l'Asic s'inscrit dans cette démarche de protection des droits de la propriété intellectuelle.

Pourquoi une association telle que l'Asic, quelles ont été vos premières actions ?

L'Asic a été lancée il y a environ trois mois, début décembre, parce que nous avions besoin d'une entité qui puisse rassembler les acteurs de l'Internet communautaire. Les associations existantes n'étaient pas forcément à même de comprendre et de défendre nos particularités. L'objectif pour nous est de prendre position sur des questions comme la responsabilité d'un hébergeur de contenus, la protection de l'enfance ou des données mais également sur la neutralité du Net, un débat dont on risque d'entendre à nouveau parler prochainement.

En termes d'actions, nous continuons à recruter des membres. Récemment, Wikimedia, Over-Blog, Kewego ou MySpace nous ont rejoints. Nous essayons d'expliquer clairement aux acteurs du Web l'intérêt de se regrouper au sein de cette association. Lycos devrait d'ailleurs être le prochain à nous rejoindre, dans les jours à venir. Quelques jours après la création de l'Asic, nous avons réussi à obtenir le retrait de l'amendement qui proposait la taxation de la vidéo à la demande. Enfin, nous nous sommes exprimés au sujet du projet de loi qui propose la taxation de l'internet.

Au sujet de ce projet de loi justement, et du comportement général par rapport aux sociétés du monde de l'Internet, que demanderiez-vous à un éventuel secrétaire d'état au numérique ?

Internet est un atout pour la France. Le haut débit marche très bien, mais la propagation d'Internet reste relativement limitée auprès de la population. Le taux d'équipement des ménages en matériel informatique reste dans la moyenne basse européenne. Il faudrait que toutes les couches de la population puissent découvrir Internet, un peu comme lors de l'essor de la téléphonie mobile. Nous demanderions donc à un tel secrétaire d'état d'être notre porte-parole et d'aider au développement du secteur. On devrait nous soutenir, nous appuyer, plutôt que d'essayer à tout prix de nous taxer. Il devrait y avoir une rupture dans la façon de penser l'Internet en France : le concevoir comme un relais de croissance et non comme une vache à lait.
Champion de la vidéo sur internet depuis le rachat de YouTube pour 1,6 milliards de dollars, Google poursuit ses tests publicitaires. Après les Click-to-play (bannières vidéos du programme AdSense) ou les 'YouTube video Units' (bannières textes s'affichant sous un bloc Video), Google a décidé d'essayer deux nouveaux formats.

Le premier test consiste à diffuser des publicité vidéos directement dans les pages de résultats du moteur de recherche. Jusqu'à présent, ces publicités vidéos contextuelles s'affichaient uniquement sur des blogs ou des sites ayant rejoint le programme AdSense.

Le second format, baptisé AdSense for Videos, devrait quand à lui consister à intégrer des bannières texte contextuelles en sur-impression des fichiers vidéos, par exemple dans les bandes noires d'une vidéo 16/9e s'affichant dans un lecteur 4/3. Ce test complète un autre format, baptisé "InVideo Ads" consistant à intégrer une petite animation en surimpression d'un fichier vidéo.

"Des formats comme le pre-roll, avec l'affichage d'une publicité vidéo avant la diffusion d'une oeuvre, sont mal acceptés par les internautes et ne seront pas proposés par Google." précise une représentante de la société, pour justifier cette profusion de formats alternatifs, pour le moment essentiellement disponibles aux Etats-Unis.

Selon une récente étude comScore, les différentes plates-formes vidéos de Google (essentiellement YouTube) captent aujourd'hui près de 31% de l'audience vidéo sur internet aux Etats-Unis. Une audience de près de 76 millions d'internautes que Google entend bien à terme monétiser et ainsi rivaliser avec les grandes chaînes de télévision américaines.
22 millions de dollars (ou près de 15 millions d'euros), c'est la somme que devrait débourser l'Union européenne pour mettre au point un réseau P2P qui s'inspire de la technologie BitTorrent. Baptisé "P2P Next", ce réseau aura pour objectif principal de distribuer des contenus vidéos légaux.

La BBC, l'European Broadcasting Union, la Lancaster University, Markenfilm, Pioneer et le VTT (Technical Research Centre) seraient notamment associés à ce vaste projet. En tout plus de 21 partenaires industriels seront liés à P2P Next. Le client logiciel qui sera mis au point pour l'occasion devrait notamment permettre la diffusion en direct (streaming) et le téléchargement.

P2P Next prévoit la mise en place d'un logiciel compatible Windows, Mac et Linux, on parle également d'une box pouvant se connecter directement à la TV. Le tout devrait normalement être basé sur des standards ouverts. Le système devrait normalement être testé à l'occasion de la prochaine édition de l'Eurovision.
Déjà partenaires autour de la Livebox, Orange, Sagem et Thomson viennent de créer une société commune baptisée Soft At Home dont l'objectif sera de développer un standard logiciel appliqué au domaine de la domotique, qui permettra de simplifier le déploiement et l'interconnexion des différents équipements connectés présents dans la maison. Soft At Home, qui ambitionne de proposer ses solutions aux opérateurs et fabricants du monde entier, se dit prête à accueillir de nouveaux actionnaires.

Le système d'exploitation de la maison de demain ? Soft At Home se veut, selon ses fondateurs, le socle logiciel des applications multimédia connectées. Télévision, ordinateur, téléphone et autres périphériques multimédias pourraient alors communiquer les uns avec les autres au travers de la maison, via un protocole normalisé. On pourrait alors répondre au téléphone depuis la télécommande de son téléviseur, tout en consultant les photos stockées sur son ordinateur, expliquent les trois fondateurs.

L'initiative n'est bien sûr pas sans rappeler les développements entrepris par Microsoft avec des produits comme Windows Media Center, ou Windows Home Server, qui ambitionnent également de faciliter le raccordement de tous les appareils multimédias de la maison, autour d'un socle logiciel commun. Orange, Sagem et Thomson disposent toutefois d'arguments de taille pour convaincre opérateurs et fabricants, au moins sur le marché européen, puisque le premier ne compte pas moins de six millions de Livebox en France et que les deux autres sont à l'origine de la majeure partie des box et décodeurs numériques présents sur le marché.
Note de l'auteur :

Cette année, PHP Québec propose un salon d'emploi PHP, où les développeurs et les compagnies pourront se rencontrer durant une soirée, dans une ambiance décontractée.

Trouver une bonne entreprise pour faire évoluer ses compétences, et dénicher la perle rare qui s'intègre dans les équipes sont deux problèmes différents qui doivent se résoudre par le même accord. Avec des salons comme ceux-ci, bien ciblés, on peut rencontrer rapidement des développeurs et des responsables, et se faire une idée rapide de l'intérêt d'une candidature : dans les deux sens!

De notre coté, Philippe Gamache et moi-même mettons les dernières touches à une belle application pleine de trous de sécurité. Nous rions comme des lutins démoniaques à toutes les vulnérabilités et exploitations que nous envisageons, mais je crois que cela sera encore plus intéressant quand cet atelier sera livré aux visiteurs de PHP Québec : quelles idées encore plus tordues vont-ils trouver ?

Par ailleurs, durant notre atelier, tous les participants recevront un livre 'Sécurité PHP 5 et MySQL 5', de chez Eyrolles. Et cela sera surement les premiers exemplaires à être dédicacés par les deux auteurs...

Bref, on vous attend avec impatience !

Du 12 au 14 mars 2008 prenez part à la 6e édition de la Conférence PHP Québec à l'hotel Sofitel Montréal.

Assistez à plus de 30 conférences le jeudi et vendredi avec les meilleurs conférenciers locaux et internationaux et des sujets actuels à la pointe de la technologie, permettant d'améliorer la performance des employés et de leur entreprise.

Participez aux PHPLabs où l'interactivité avec les conférenciers et autres participants sera favorisée, par exemple le PHPLab sur la sécurité mettra les visiteurs face à une application construite exprès pour la Conférence qu'il faudra débogguer et sécuriser. Plus de 1000 lignes de code, 100 boggues ou trous de securité, 2h30 pour corriger !

A partir de 15h30 le mercredi, profitez du salon d'emploi Open Source ouvert au public. Venez rencontrer et discuter avec des développeurs, chefs d'équipe et administrateurs talentueux. Vous souhaitez plus de visibilité? Des kiosques sont disponibles en nombre limité. Réservez le votre dès maintenant !

Le salon d'emploi se poursuit à 17h00 avec un cocktail, dans une ambiance détendue ainsi qu'un décor luxueux et moderne. Invitez vos collègues ou partenaires d'affaires.

Inscrivez-vous maintenant, les place sont limitées !

- Conférence PHP Québec 2008
- Salon de l'emploi PHP Québec 2008
- Conférence PHP Québec Inscriptions
- Sécurité PHP 5 et MySQL 5
Note de l'auteur :

Matt Reid publie les premières requêtes SQL qu'il exécute sur une nouvelle installation MySQL :

mysql> use mysql
mysql> delete from user where User='';
mysql> delete from db where User='';
mysql> update user set Password=password('password_here') where User=root;
mysql> flush privileges;

Cela modifie le mot de passe root (ligne 4), et supprime les utilisateurs anonymes (ligne 2), ainsi que les utilisateurs globaux (ligne 3).

J'ajouterai aussi avant la ligne 5, la suppression des utilisateurs sans mot de passe.

mysql> delete from user where Passwd='';

Et ceux qui ont suivi mes conférences sur la sécurité, sauront qu'il est bon de surveiller les connexions distantes, notamment celles qui contiennent des %. Je ne suggère pas de les supprimer directement, mais au moins de jeter un oeil sur leur liste.

mysql> select * from user where Host LIKE '%\%%';

- SQL commands for a fresh install
- Conférences Nexen.net
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