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le 07/02/2008 à 20:30
Conférences Zend Framework
Les étudiants de la licence Professionnelle WebDeveloppeur de l'INSSET à Saint-Quentin (Picardie) organisent une journée conférences sur Zend Framework le jeudi 21 fevrier 2008.

La journée se décomposera en 2 :
- Le matin avec une présentation de l'AFUP et de PHP, du Zend Framework, du projet Inist-CNRS et une comparaison des différents Frameworks
- L'apres midi sous la forme de Tutoriaux

- Site officiel de l'évènement
Partant du constat que l'internaute moyen n'a qu'une connaissance limitée des menaces auxquelles il s'expose lorsqu'il utilise ses informations personnelles sur Internet, le Secrétariat général à la défense nationale (SGDN) vient de lancer un portail Web dédié à la sécurité informatique. Tourné vers le grand public, il offre un suivi des actualités relatives à cette problématique et des contenus à vocation pédagogique. Dans quelques semaines sera proposé au téléchargement un logiciel "libre et multiplateformes" de diagnostic de la sécurité d'un système informatique, baptisé Ansmo (apprécier le niveau de sécurité d'un micro ordinateur).

Son lancement s'accompagne de l'ouverture d'un second site de sensibilisation du grand public à la sécurité informatique, ainsi que de la signature d'une "Charte sur la promotion de l'authentification" réunissant le gouvernement et une vingtaine d'acteurs de l'Internet, du commerce électronique ou de l'univers de la banque. Cette charte "engage les pouvoirs publics et les principaux acteurs institutionnels du secteur à se mobiliser afin de sensibiliser et d'inciter les internautes à acquérir de bonnes pratiques d'authentification, de protection et de sécurisation des ordinateurs", explique le SGDN.

Mieux vaut prévenir...

Réalisé sous l'égide du SGDN avec le concours d'une vingtaine de partenaires publics et privés ainsi qu'un budget d'environ 400.000 euros, puis confié à la Direction centrale de la sécurité des systèmes d'information qui l'alimentera en contenus, le portail de la sécurité informatique répond à l'une des propositions formulées par le député Pierre Lasbordes en janvier 2006 dans le cadre de son rapport sur la sécurité des systèmes d'information. "Il est nécessaire de former tous les utilisateurs, quels qu'ils soient, à la sécurité informatique", déclarait ce matin Francis Delon, secrétaire générale de la défense nationale. Ce portail devra donc fournir des informations pertinentes aussi bien au véritable profane qu'à la petite entreprise soucieuse de sa politique de sécurité informatique.

On y trouvera notamment les "10 commandements" de la sécurité sur l'Internet, l'idée étant de faire comprendre à l'internaute néophyte comment mettre à jour son système d'exploitation, choisir un mot de passe effiicace, traiter les courriers non sollicités ou évaluer le risque qu'il prend à diffuser ses informations personnelles. Fiches techniques et guides pratiques (comme la création de comptes utilisateur sous les différents systèmes d'exploitation du marché) permettent ensuite d'approfondir le sujet abordé.

En parallèle, la Direction du développement des Médias, rattachée à Matignon, communiquera sur le site "Surfez Intelligent", un site événementiel vraiment grand public réunissant les quelques fondamentaux de la sécurité informatique sous forme vulgarisée.

... que guérir ?

"Ce portail ne suffira sans doute pas à répondre à tous les besoins", reconnait Francis Delon, mais "cette première démarche est vraiment bienvenue". Enrichi de nombreuses informations et de quelques outils de diagnostic, comme le logiciel Ansmo qui devrait être lancé dans les prochaines semaines, le portail de la sécurité informatique ne sera que d'un secours limité aux internautes qui ont déjà été victimes d'une menace informatique. "Portail de référence, il vise à fédérer au profit du plus grand nombre une information technique de qualité", résume le SGDN.
Dominé par Google, Yahoo et Microsoft, Ask.com tente de séduire davantage d'internautes par le biais de la personnalisation. Désormais, en plus de bénéficier de "l'interface Ask 3D", l'utilisateur peut intégrer ses photos personnelles ou des images préchargées à la page d'accueil du moteur de recherche via la rubrique "skins".

Sur un marché des technologies de recherche web en ébullition (Microsoft qui a fait l'acquisition de Fast, se propose désormais de racheter Yahoo près de 45 milliards de dollars), Ask.com, un outil édité par le groupe américain IAC Search & Media, peine à bousculer les leaders du secteur.

En octobre 2007, d'après comsCore, 58,5% des 10,5 milliards de recherches web effectuées par les internautes aux Etats-Unis ont transité par Google, 22,9% par Yahoo, 9,7% par Live search (Microsoft). En France, Ask.com reste quasi inconnu du grand public avec 4,7% de part de marché.
Les consommateurs sont plus connectés, mais la qualité des prestations déçoit et le nombre de plaintes augmente. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a dénombré tous secteurs confondus, plus de 109.500 plaintes en 2007 soit une hausse de près de 46% sur un an !

A elles seules, les plaintes concernant Internet et la téléphonie représentent 28% du total. Par ailleurs, sept entreprises du secteur génèrent plus de 65.000 réclamations. La DGCCRF rapporte, enfin, que près de 33% des plaintes déposées ces six derniers mois concernent la vente en ligne. La rançon de la gloire ou une réelle défaillance de la prestation client ?

Parallèlement au baromètre de la DGCCRF, le récent bilan du cabinet d'étude Gfk, qui montre une augmentation en valeur de 8% des dépenses consacrées à l'électronique grand public, relativise quelque peu ce constat. De son côté, l'Afutt (Association française des utilisateurs de télécommunications) s'inquiète, de la dégradation de la qualité des services proposés par les FAI :

"Si, comme les standards de qualité l'exigent, les hotlines répondaient aux appels en moins de 1 minute, personne ne parlerait du coût de l'attente. Si, en outre, la réponse permettait de rétablir rapidement un fonctionnement normal de la ligne ou du service, le coût de l'appel serait moins controversé. Enfin, si le taux de dysfonctionnement par accès tombait en dessous de 0,25% (une panne par an), les hotlines seraient moins surchargées et la qualité réelle au rendez-vous".
Les modalités d'application des mesures issues de la mission Olivennes commencent à se préciser. Dans son édition du 6 février, le quotidien Les Echos indique en effet qu'un avant-projet de loi a été présenté cette semaine aux signataires des accords de l'Elysée. Ce texte, qui devrait faire l'objet d'un examen par le Conseil constitutionnel avant d'être soumis au Conseil des ministres, puis aux deux chambres du Parlement, instaure comme convenu un dispositif dit de "riposte graduée", dans le cadre duquel les internautes convaincus d'échanges illégaux de fichiers recevront divers messages d'avertissement avant de voir leur abonnement à Internet suspendu pendant un mois. En cas de récidive, une suspension d'un an est prévue.

Comme prévu, une autorité publique sera dévolue "à l'avertissement et à la sanction" des internautes, selon les termes du rapport Olivennes. Instituée en 2006 suite au passage de la loi sur le droit d'auteur (DADVSI), elle ne s'appellera finalement pas Autorité de régulation des mesures techniques mais "Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet".

Sur plainte des ayants droit, elle transmettra aux fournisseurs d'accès à Internet les courriers à faire suivre aux abonnés, puis se chargera des éventuelles sanctions en cas de récidive. En outre, elle devrait se charger de la constitution d'un répertoire national des internautes dont le contrat de fourniture d'accès à Internet a été résilié de façon à ce qu'ils ne puissent pas s'engager auprès d'un autre opérateur. Bon gré, mal gré, les FAI devront se soumettre à ce dispositif, en dépit de leurs réticences.

Le volet répressif prévoit donc qu'un message d'avertissement soit envoyé à l'abonné lorsqu'un téléchargement illégal est signalé par les ayants droits à la nouvelle Autorité. En cas de récidive, un second message sera envoyé. Si une nouvelle infraction est constatée, l'abonnement Internet sera suspendu pendant un mois. Une nouvelle récidive sera punie de la résiliation pure et simple de l'abonnement, avec impossibilité de se réengager après d'un opérateur pendant douze mois.

Pour l'instant, les volets du projet de loi relatifs à la promotion de l'offre légale ainsi qu'à la question du filtrage des réseaux P2P par les fournisseurs d'accès n'ont pas encore été abordés. Les internautes qui estiment avoir été injustement sanctionnés pour téléchargement illégal devraient avoir la possibilité de demander un recours auprès de l'Autorité nouvellement instituée.
Il y a quelques semaines, le site américain InfoWorld mettait en ligne une pétition numérique que les internautes étaient libres de signer. La pétition en question s'adressait directement à Microsoft puisqu'elle demandait à la firme de Redmond de prolonger la vente et le support de Windows XP, y compris après la date fatidique du 30 juin 2008, date à laquelle Microsoft devrait cesser de vendre Windows XP aux OEM.

Après avoir recueilli plus de 75 000 signatures, la pétition a finalement provoqué une réaction de Microsoft, mais pas forcément celle qu'attendaient les protestataires. Un responsable de la firme a ainsi déclaré à ce sujet que : "nous sommes au courant de l'existence de cette pétition, mais nous allons continuer de nous concentrer sur les retours de nos partenaires et de nos clients qui nous sont faits directement et qui sont basés sur leurs réels besoins. C'est en procédant ainsi que nous avons décidé d'étendre la disponibilité de Windows XP il y a quelques mois et nous allons continuer de fonctionner ainsi".

Il poursuit en ajoutant que : "les OEM pourront vendre XP jusqu'au 30 juin 2008 et les fabricants de PC pourront le faire jusqu'en janvier 2009 pour satisfaire le marché des petites entreprises. Sur les marchés émergents, la version XP Starter Edition sera vendue jusqu'au 30 juin 2010". En clair, pour le moment, Microsoft ne veut pas céder et reste fidèle à son dernier calendrier, bien que la pétition laisse entrevoir des arguments d'utilisateurs très recevables...
Alors que certaines analyses annoncent qu'un million d'iPhone seraient désimlockés, il semblerait qu'en France, cela donne des idées à certains. Si de petits génies parviennent, dans un anonymat relatif, à pirater l'iPhone, il était jusqu'alors rare de voir des sociétés profiter de ces failles. C'est pourtant ce que propose Free sur son site sip.free.fr.

En effet, l'agitateur des télécoms, comme elle aime à se qualifier, joue sur le tableau de l'underground en expliquant, en détail et sur son propre site, une méthode pour bénéficier des services SIP (voir l'article de nos confrères de Mobinaute : Téléphonez "presque" gratuitement avec votre appareil mobile) et du réseau Freephonie émis par les Freebox v5. Malicieusement nommée "Siphon", l'application développée par l'équipe de touchmods.net s'installe donc sur des iPhones jailbreakés en version 1.1.2 ou 1.1.3 et s'installe simplement après avoir mis à jour les sources de l'installeur avec une adresse fournie par Free. Cette étape passée, vous n'avez plus qu'à configurer l'application comme vous le feriez avec n'importe quel logiciel SIP pour bénéficier des tarifs d'appel de Free, si tant est que vous vous trouviez à proximité d'un réseau Freephonie actif. D'après nos tests, il semblerait toutefois que ce programme ne soit pas encore tout à fait au point, une erreur à l'installation empéchant son fonctionnement.

Sans aucun avertissement concernant les risques de jailbreaker un iPhone, le site précise même que cette fonction sera "étendu prochainement à tous les utilisateurs dans le monde possédant un iPhone", puisque ce logiciel sera compatible avec tous les FAI offrant un service SIP. Les possesseurs de l'iPod Touch ne seront pas en reste grâce aux micros vendus sans l'accord d'Apple, Free précisant où s'en procurer. Attendons de voir si la firme à la pomme, voire Orange, auront une réaction à ce sujet.
Fin de partie. La ligue de football professionnel a attribué mercredi soir les douze lots portant sur la diffusion de la Ligue 1 pour les saisons 2008-2012. Le montant des droits s'élève à 668 millions d'euros.

Canal+ a décroché les deux lots premium 1 et 2 : la chaîne cryptée diffusera ainsi les dix plus belles affiches de la saison le dimanche soir, mais aussi chaque "grand match du dimanche soir". De son côté, l'opérateur de téléphonie mobile Orange obtient le lot premium 3 portant sur le grand match du samedi soir.

Concernant les autres lots :
- Canal+ obtient également les lots 7, 8, 9 et 10 portant sur les magazines et le multiplex.
- Le lot numéro 11 portant sur un magazine en VOD est attribué à Orange.

Par ailleurs, l'opérateur décroche les droits de la Ligue 1 sur mobile. D'autres, SFR, TF1, M6, France Televisions, Direct 8, Eurosport et Dailymotion avaient également fait des propositions sur certains lots, sans succès. France Televisions perd donc les droits du magazine dominical (l'actuelle France 2 Foot).

La ligue se félicite de ce dénouement qui lui permet d'augmenter le montant total des droits qui s'établit désormais à 668 millions d'euros, contre 653 jusqu'à maintenant.
le 06/02/2008 à 23:49
Les elephpants sur Facebook
Note de l'auteur :

Il semble que je vais finalement devoir ouvrir un compte facebook : les éléphpants ont leur groupe maintenant sur facebook !

Il y a aussi un groupe sur flickr.

Rien encore dans les videos, mais je n'ai pas encore posté ma création du salon linux... wait and see.

- Groupe elephpant facebook
- Groupe elephpants Flickr
- Boutique elephpants
Colin Charles reçoit Mårten Mickos en entrevue pour faire le point sur l'acquisition de MySQL par Sun. On y apprend que si MySQL visait le milliard l'an dernier, c'est toujours d'actualité : leur objectif est d'atteindre 1 milliard de dollars de revenues, (et pas de prix d'acquisitions). Il reste beaucoup de chemin à faire, mais MySQL espère y arriver plus vite avec l'aide de Sun.

Mårten Mickos insiste aussi sur les bonnes relations que MySQL entretient avec de nombreuses bases de données (hormis les grosses, apparemment), et qui lui permettront de cohabiter de manière fructueuse avec la communauté PostGreSQL chez Sun.

- A Q&A Session with Mårten Mickos, CEO of MySQL AB, about the Sun Acquisition
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