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le 12/02/2008 à 22:07
Culture MySQL
Note de l'auteur :

Kaj Arnö, ambassadeur MySQL auprès de Sun, a sondé les employés de MySQL pour savoir ce qui est le plus important à préserver durant l'intégration avec l'éditeur. Le deuxième concept qui est apparu était "Préserver la culture MySQL". Et s'ensuit une liste de 144 caractéristiques de la culture MySQL, qui est généralement assez fun à lire.

En vrac : pas de construction d'empire, Marten Mickos, confiance, honnêteté, couverture de tests, le PDF mail tous les employés, chanter Helan går, courageux.

Je retiendrai d'ailleurs le coté "approchable", fun et multi-culturel. Visiblement, les employés de MySQL sont prolixes quand vient le temps de lister les valeurs de l'entreprise.

- MySQL Culture
Quand on a un tableau multi-dimensionnel, il faut parfois l'analyser de fond en comble, et pour cela, écrire du code spécifique. Un moyen très simple pour y arriver est d'utiliser la bibliothèque SPL de PHP.

C'est aussi vrai pour les autres structures hiérarchisées, telles que les dossiers.

- Tips : RecursiveArrayIterator on mulitdimensional Array
- SPL library of PHP
- classe RecursiveIteratorIterator
- classe RecursiveArrayIterator
- POO PHP5 : Standard Php Library (SPL)
Les trois jours des Techdays sont essentiellement l'occasion pour Microsoft d'initier ou des former des professionnels ou des amateurs à ses technologies, mais quelques unes des sessions techniques adoptent un caractère résolument prospectif, comme la séance "Singularity", animée aujourd'hui par Bernard Ourghanlion, directeur technique et sécurité chez Microsoft France. Lancé en 2003, le projet Singularity vise à "repenser les fondamentaux qui régissent la conception d'un système d'exploitation".

"Les industries changent, les machines sont de plus en plus rapides, les menaces se multiplient, et pourtant les systèmes d'exploitation n'ont pas vraiment évolué depuis 20 ans. Comment se fait-ce ?", a lancé en guise d'introduction Bernard Ourghanlion. Voilà donc l'idée fondatrice du projet Singularity : repenser le système d'exploitation, en abandonnant les présupposés qui régissent sa conception depuis la fin des années 60, de façon à le rendre plus sûr. Elaborée au sein des équipes de Microsoft Research, une première version de Singularity est d'ores et déjà sur pied. Cet objet de recherche n'a cependant pas vocation à déboucher sur un système opérationnel.

Comment rendre un système d'exploitation plus sûr, alors que les menaces informatiques ne cessent de se multiplier ? Singularity repose sur le principe suivant : afin de garantir sa sécurité, le noyau (kernel) du système doit être parfaitement isolé des processus exécutés sur la machine. Cette problématique n'a rien de vraiment nouveau puisque tous les OS tentent à leur façon d'y répondre - notamment avec les rings, ou anneaux de privilèges, grâce auquel on limitera les types d'accès mémoire autorisés à une application. Ces derniers impliquent toutefois de s'appuyer sur le hardware, et ne résolvent pas parfaitement le problème dans la mesure où les processus peuvent toujours corrompre le noyau.

Avec Singularity, Microsoft propose un système d'exploitation basé sur un micro-noyau dans lequel les processus seraient exécutés de façon totalement indépendante, un concept baptisé SIP pour Software Isolated Processes). Vérifiés et scellés avant d'être chargés en mémoire afin qu'aucun code dynamique ne puisse être injecté pendant l'exécution, ils sont automatiquement interrompus en cas de problème, de façon à ne pas interférer avec le noyau. La communication entre les différents processus et le noyau est de son côté assurée par des canaux de communication protégés.

Afin que le système soit fiable, Microsoft préconise le recours à des langages à code managé, en l'occurrence C# et Sing#, une de ses extensions spécialement conçue pour la communication au sein de l'OS. En pratique, Java conviendrait aussi, mais Microsoft a, ô surprise, écarté cette solution. De la même façon, l'éditeur préfère recourir à Bartok, un composant qui réunit compilateur et environnement d'exécution, plutôt qu'au Common Language Runtime (CLR) utilisé avec Windows.

"Le système ne doit pas être victime des défaillances du logiciel", explique Bernard Ourghanlion, "il doit donc embarquer des composants qui vérifient que lui et les logiciels qui l'accompagnent se comportent conformément aux attentes, ce qu'on ne peut pas prouver de façon formelle à l'heure actuelle". L'ensemble serait donc accompagné de "manifestes", chargés de prévenir les éventuels conflits entre deux processus, et de modules de vérification dont la mission serait de vérifier que chaque processus a bien le comportement que l'on attend de lui.

Une partie des ressources physiques devrait donc être allouée à la gestion de processus parallèles, ainsi qu'à toutes les opérations de contrôle et de communication. Pour autant, la méthode Singularity pourrait occasionner un gain de performances, estime Microsoft, dans la mesure où le noyau est considérablement allégé. Aucune application concrète ou commerciale de Singularity n'est prévue pour le moment, notamment parce qu'un tel système impliquerait que l'on réécrive toutes les applications qui lui sont destinées. A moins que la virtualisation ne vienne faciliter la tâche des éditeurs ?
Si 2007 était l'année du poste de travail pour Microsoft avec le lancement de Windows Vista et d'Office 2007 2008 sera l'année du serveur, avec l'arrivée, le 27 février prochain, de Windows Server 2008. Cinq ans après la sortie de la précédente génération de son système d'exploitation pour serveur, Microsoft a procédé ce matin au prélancement de Windows Server 2008 à l'occasion des Techdays, trois jours de conférences et de sessions techniques relatives aux produits Microsoft organisées au Palais des Congrès de Paris. Le succès semble au rendez-vous pour la deuxième édition de cet événement puisque l'éditeur indique avoir enregistré près de 17.000 réservations en ligne, ce qui devrait se traduire par la venue d'au moins 10.000 visiteurs uniques, allant de l'étudiant passionné d'informatique au décideur en passant par les développeurs de tout poil.

Lundi matin, la conférence plénière a été pour les équipes de Microsoft France l'occasion de montrer les applications concrètes en matière de développement d'une technologie comme Silverlight associée à l'outil de développement Visual Studio 2008. Mardi, c'était au tour de Laurent Delaporte, directeur général adjoint de Microsoft France, et d'une poignée d'ingénieurs, de faire la démonstration des nouveautés intégrées à Windows Server 2008 ainsi qu'à SQL Server 2008, dont la version définitive ne sera finalement disponible que dans le courant du troisième trimestre.

Si Server 2008 introduit effectivement un certain nombre de nouveautés fort attendues, le discours de Microsoft s'articule toujours autour du désormais sempiternel « People Ready ». Avec Server 2008, Microsoft entend toujours répondre aux problématiques des utilisateurs dans l'entreprise. Cette année, c'est tout particulièrement grâce à la virtualisation et au développement du concept "software + services" que l'éditeur entend marquer les esprits.

Windows Server 2008 met donc un accent tout particulier sur la virtualisation, qui prendra tout son sens avec l'arrivée de l'hyperviseur Hyper-V, prévue avant l'été. Il sera donc possible d'exécuter sur une même machine physique plusieurs serveurs virtuels, 32 ou 64 bits, avec jusqu'à 4 coeurs et 64 Go ram alloués à une machine virtuelle. Cette nouvelle édition autorisera également la mise en cluster des machines virtuelles, de façon à ce qu'un relai soit assuré en cas de défaillance.

A des fins d'administrations, Server 2008 profitera d'une révision des Internet Information Services (IIS), avec l'apparition de nouvelles fonctionnalités accessibles en ligne de commande. Dans le cas d'un serveur Web, il sera ainsi possible de lancer le déploiement de sites en quelques instants. La configuration des serveurs Web sera conservée au sein d'un fichier XML, pour faciliter son export à destination d'une autre machine.

Enfin, un accent particulier est mis sur les fonctionnalités associées à la sécurité, avec par exemple Bitlocker qui, avec Server 2008 comme avec le SP1 de Vista, permet maintenant de chiffrer l'intégralité des données d'une machine. Du côté de l'administration réseau, on retrouve une fonctionnalité telle que la gestion de prérequis, pour restreindre automatiquement les droits d'une machine en cas de non conformité avec les règles de sécurité établies, fonctionnant aussi bien avec les systèmes Microsoft qu'avec une distribution OpenSUSE ou, dans un avenir proche, Mac OS X.
le 12/02/2008 à 21:59
Yahoo rachète Maven Networks
Alors que Yahoo! a refusé officiellement l'offre de rachat de Microsoft, le célèbre portail américain annonce ce jour de son côté un rachat, celui de Maven Networks. Spécialisée dans la mise à disposition de plateformes pour la distribution de vidéo en ligne, Maven Networks a coûté 160 millions de dollars à Yahoo!

A l'heure actuelle, les solutions proposées par Maven sont utilisées par 30 firmes dont Fox News, Sony BMG, CBS Sports, Hearst, Gannett, Scripps Networks et le Financial Times pour gérer, distribuer et vendre des contenus vidéos sur Internet. Yahoo! devrait donc profiter de cette acquisition pour renforcer sa présence sur ce marché en plein développement.
Les freenautes possesseurs de Freebox v3 ont reçu récemment dans leur boîte aux lettres électronique une bonne nouvelle. En effet, Free a décidé de remplacer gratuitement les modems de ses abonnés en leur envoyant une Freebox de quatrième génération. Précisons que cet échange n'entraine pas de remise à zéro de l'abonnement et que le renvoi de la Freebox v3 n'est pas demandé par le FAI. Elle vous sera toutefois demandée, ainsi que le modèle v4, en cas de résiliation de votre contrat.

Free fait ainsi d'une pierre deux coups en offrant un petit cadeau à ses plus anciens abonnés tout en uniformisant son parc de modem, ce qui est un atout indéniable lorsqu'on pense aux nombreuses mises à jour que subissent les Freebox, mises à jour qui nécessitent un développement différent pour les Freebox v3 et v4.

Le parc Freebox se voit donc entièrement compatible avec l'ADSL2+, même si tous les DSLAM sur lesquels Free est implanté ne supportent pas encore tous cette technologie.
PHP dispose de méthodes magiques. Absentes, elles forcent PHP à utiliser un comportement par défaut. Présente, elles permettent de personnaliser un comportement. Et avec la venue de PHP 5, elles sont nombreuses. Les connaissez-vous toutes ?

__construct(), __destruct(), __set(), __get(), __call(), __toString(), __sleep(), __wakeup(), __isset(), __unset(), __autoload(), __clone()

- Exploring Magic Methods in PHP 5
Pour générer un nombre aléatoire, il y a la fonction rand() de PHP. Pour créer une date aléatoire, vous pouvez créer directement un timestamp : cela vous donnera des dates dans l'époque Unix, à partir du 1er janvier 1970. Ou bien ajouter un nombre de secondes aléatoire à partir d'une date arbitraire, pour obtenir des valeurs plus concentrées autour d'une date particulière.

- How to Create a Random Date in PHP
"Come in my world" est un univers virtuel dédié à la rencontre amoureuse tout droit sorti de l'Explocentre d'Orange, l'unité de recherche dédiée à l'exploration de nouveaux services et modèles économiques intégrée au sein des Orange Labs. Dans Come in my world, chaque utilisateur est incarné par un avatar personnalisable qui évolue dans un espace de dimensions humaines à la recherche de l'âme soeur où la voix et l'image remplacent les traditionnels courriers et messagerie électroniques. Plus coloré que Meetic, moins vain que Second Life ? Présentation, en avant-première, de cette récente application pour l'instant distribuée sous la forme d'une bêta fermée.

Comme dans tout bon univers virtuel, tout commence par la définition de son profil : d'abord quelques informations personnelles, puis les critères de choix des personnes que vous aimeriez rencontrer, du sexe à l'allure générale en passant par le poids, sans oublier la zone géographique. Vient ensuite la phase de personnalisation de son avatar, avec une série de modèles prédéfinis. Quelques minutes après le lancement de l'application, ce double virtuel est prêt à être lâché dans l'univers de Come in my world.

Cet univers ne recèle ni lugubres donjons à explorer en instance, ni vastes étendues au travers desquelles errer sans but : l'espace y est restreint, de façon à ce que les membres n'aient aucune difficulté à entrer en contact les uns avec les autres, mais de nouvelles zones feront leur apparition au fur et à mesure que la densité de population augmentera. Un marqueur vous signale les avatars qui correspondent aux critères que vous avez sélectionnés. Un clic suffit à afficher son profil.

Puisqu'il est si facile d'abuser quelqu'un grâce à l'anonymat procuré par la messagerie écrite, Orange prend ici le pari d'imposer des communications vocales entre les différents utilisateurs du service. On pourra bien laisser un message écrit à quelqu'un, mais les conversations doivent être conduites à l'aide d'un casque et d'un micro, la voix jouant un rôle certain dans le processus de séduction. Les avatars ne servent ainsi qu'au premier contact entre deux personnes bien réelles. Au sein de cet univers en trois dimensions, il est possible de s'isoler, mais chacun dispose en plus d'un espace qui lui est propre. Baptisé "In Situ" et personnalisable, il permet à l'utilisateur du service d'approfondir ses relations en exposant, par exemple, ses propres photos pour, au final, parvenir à décrocher une nouvelle rencontre, bien réelle celle-ci.
Comme prévu, le conseil d'administration de Yahoo! vient officiellement de rejeter la proposition de rachat formulée le 31 janvier dernier par Microsoft, en déclarant que cette offre ne valorisait pas suffisamment les actifs et la marque Yahoo. L'éditeur de Redmond avait pourtant offert 31 dollars par action Yahoo!, soit une valorisation globale de plus de 44 milliards de dollars, 62% supérieure à la capitalisation boursière de la firme au moment des faits.

"Après un examen attentif, le conseil estime que la proposition de Microsoft sous-évalue Yahoo!, sa marque, son importante audience au niveau mondial, ses significatifs investissements dans les plateformes publicitaires et ses perspectives de croissance", explique Yahoo! dans un communiqué. Conseillée par diverses banques d'affaires, la firme indique toutefois rester à l'écoute des offres qui pourraient être formulées.

Ouverture officielle des enchères ? Le conseil d'administration de Yahoo!, qui affirme ne vouloir écarter aucune option stratégique, aurait d'ores et déjà entamé selon le Times des négociations avec AOL, parallèlement aux discussions engagées sur une éventuelle collaboration avec Google.

Microsoft, qui n'a pas encore réagi officiellement au rejet de sa proposition, a donc maintenant deux possibilités s'il souhaite toujours s'emparer de Yahoo! : passer outre le conseil d'administrations pour s'adresser directement aux actionnaires et tenter de les convaincre de vendre, ou formuler une nouvelle offre. D'après certains analystes, Yahoo! accepterait sans broncher une offre à 40 dollars par action, qui valoriserait la société près de 58 milliards de dollars.
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