News

Leopard, dernière version en date de Mac OS X, connaitrait d'après un rapport du NPD Group un démarrage plus rapide à celui de tous les systèmes d'exploitation antérieurs signés Apple. Lancé le 25 octobre dernier, après un report d'environ quatre mois dû à la volonté d'Apple de se concentrer sur le développement de l'iPhone, Mac OS X 10.5 Leopard aurait totalisé, lors de son premier mois de commercialisation, des ventes supérieures de 20,5% en volume à celles qu'avait connues son prédécesseur, Tiger, durant le mois suivant sa sortie. S'il omet de donner la valeur exacte des volumes constatés, NPD précise que ces chiffres ne prennent pas en compte les éditions de Leopard préinstallées sur des ordinateurs Mac neufs, une méthode de calcul déjà retenue pour Tiger et Panther.

Contrairement à Tiger, lancé le 29 avril 2005, Leopard a vu le jour à quelques semaines des fêtes de fin d'année, une période traditionnellement faste pour les secteurs de l'informatique et de l'électronique grand public. Apple clamait pour sa part avoir vendu deux millions de copies de Leopard après le week-end ayant suivi la sortie de son nouveau système, ordinateurs Mac neufs compris.
Fin novembre, SFR annonçait l'arrivée de Olivier Anstett, ancien directeur général adjoint de Tele2 France, au poste de directeur de l'activité Fixe et ADSL. Certains n'ont pas manqué d'interpréter cette nomination comme le signe avant coureur de l'offensive de SFR, jusqu'ici relativement timoré, en matière d'accès à Internet résidentiel. D'après nos informations, le véritable coup d'envoi devrait être donné dans le courant du mois de mars 2008 avec l'harmonisation des offres jusqu'ici proposées par les deux groupes. De nouveaux forfaits, censés séduire les 350.000 abonnés ADSL et les clients téléphonie fixe de Tele2 (un peu moins de trois millions début 2007), feront pour l'occasion leur apparition.

Les clients Tele2 devraient se voir proposer une migration progressive, basée sur deux offres ADSL "standard", en réalité assez proche de ce qui est aujourd'hui commercialisé sous la marque Tele2. La première, qui devrait être finalisée dans le courant du premier trimestre 2008, associera un accès ADSL, la voix sur IP avec appels illimités vers les téléphones fixes et télévision haute définition, à un tarif de base de 29,90 euros par mois en zone non dégroupée. Cinq euros supplémentaires devraient être facturés aux abonnés en zone non dégroupée, qui verront en outre leurs débits limités à 8 Mb/s.

Une seconde offre reprendra le modèle du Tele2 Box Essentiel, avec lequel l'abonné dispose d'un accès ADSL illimité et d'une offre de télévision sur IP pour 19,90 euros par mois. Dans ce forfait, les communications téléphoniques sont facturées "à la carte". Ces deux formules devraient être proposées sans engagement, des frais de résiliation de 49 euros pouvant toutefois être appliqués. En plus du contenu télévision de base, les clients SFR auront la possibilité de souscrire des bouquets optionnels. Les offres associant box ADSL et clé USB 3G+ ou box ADSL et téléphone mobile compatible Happy Zone seront également proposées.

En octobre 2006, SFR acquiert Tele2 pour 354 millions d'euros. L'opérateur se voit toutefois freiné par l'incursion de la Commission européenne, soucieuse du bon respect des règles de la concurrence dans le cadre de la restructuration du marché des télécoms. Après plusieurs mois d'enquête, SFR finit par obtenir le feu vert de Bruxelles et peut enfin envisager sereinement l'intégration des abonnés Tele2. Aujourd'hui, l'opérateur envisage le lancement d'une OPA sur Neuf Cegetel, dont il utilise le réseau ADSL.
La semaine passée, Opera a pointé du doigt Microsoft pour son manque d'ouverture et son abus de position dominante. La firme spécialisé dans le développement de navigateurs Web avait d'ailleurs profité de l'occasion pour déposer une réclamation à ce sujet auprès de la Commission européenne.

En attendant la réaction de la Commission en question à ce sujet, Microsoft s'est empressé de répondre aux accusions qui ont été faites à son encontre. La firme de Redmond a ainsi précisé qu'il fournissait un navigateur Web complet dans l'intérêt de ses consommateurs. « Nous pensons qu'inclure un navigateur dans le système d'exploitation profite aux utilisateurs. Les utilisateurs et fabricants de PC restent cependant libres de choisir le navigateur qu'ils souhaitent employer [...] Par ailleurs, Internet Explorer est une partie intégrante de Windows depuis plus de 10 ans et il prend en charge de nombreux standards du Web. Nous collaborerons s'il y a des problèmes à ce sujet ».

Bien que Internet Explorer domine encore largement le marché des navigateurs Web, un autre navigateur commence à reprendre des parts de marché importantes, il s'agit de Mozilla Firefox. Microsoft pourrait d'ailleurs s'appuyer sur les 125 millions d'utilisateurs de Firefox pour présenter un contre-argument et prouver qu'il n'abuse pas d'une position monopolistique.
49% des Français se disent opposés à la suspension de l'abonnement à Internet pour les internautes convaincus de téléchargement illégal, révélait lundi un sondage réalisé par NPA Conseil et le CSA dans le cadre de l'observatoire sur la vidéo à la demande. Cette disposition est l'une des mesures phare préconisées par la mission Olivennes à l'issue d'une concertation avec la majorité des acteurs concernés par la question.

Un tiers des personnes interrogées (32%) indique avoir entendu parler de la mission Olivennes et du rapport dont elle est à l'origine, indique encore cette étude réalisée début décembre sur un échantillon de 1007 internautes âgés de 15 ans et plus. 24% des sondés se disent concernés par cette question à laquelle sont particulièrement sensibles les adolescents puisque la proportion monte à 47% chez les 15 - 17 ans.

Le volet répressif du rapport Olivennes est donc loin de faire l'unanimité puisque seuls 40% des personnes interrogées émettent une opinion positive à l'idée de suspendre l'abonnement des internautes qui téléchargent illégalement. En revanche, ils sont 60% à considérer que la sortie simultanée des films en DVD et sur les services de vidéo à la demande contribuerait efficacement à lutter contre le piratage sur Internet. 55% qualifient d'adaptée la mesure visant à supprimer les mesures techniques de protection qui freinent l'interopérabilité entre les différents baladeurs et services de musique en ligne du marché.

Enfin, 56% des personnes interrogées estiment qu'il "sera possible dans l'avenir de lutter contre le téléchargement illégal sur Internet". Plus pessimistes ou mieux au fait des possibilités techniques en matière d'échange de fichiers, les 15 - 24 ans ne sont plus que 35% à le penser.
La consolidation du secteur des télécoms est en marche. La cotation de l'action Neuf Cegetel a été suspendue ce matin, confirmant les informations relatives à un éventuel rachat par SFR des parts détenues par Louis Dreyfus au sein du groupe Neuf Cegetel. D'après la Lettre de l'Expansion, SFR aurait l'intention de formuler une offre à 40 euros par titre Neuf Cegetel début 2008. Dans le cadre de ces négociations, que l'on dit ouvertes depuis plusieurs semaines, le projet de fusion aurait été présenté par les acteurs concernés au ministère de l'économie.

"La société Neuf Cegetel, ayant été informée de discussions entre ses deux principaux actionnaires, SFR et le groupe Louis Dreyfus, a demandé la suspension de la cotation de ses actions dans l'attente de développements quant à ces discussions", indique ce matin Neuf Cegetel dans un laconique communiqué. SFR, dont 56% du capital appartiennent à Vivendi, possède 40,5% du groupe Neuf Cegetel. En mettant la main sur les 29,5% détenus par le groupe Luis Dreyfus, l'opérateur mobile totaliserait 70% du fournisseur d'accès. La règlementation imposerait donc le lancement d'une OPA sur le reste du capital, ce qui pourrait amener SFR à débourser plus de 5 milliards d'euros pour cette acquisition.

Jusqu'ici, SFR se disait satisfait de sa position d'actionnaire majoritaire de Neuf Cegetel, mais la donne pourrait changer alors que le gouvernement est en passe de faciliter les modalités d'accès à la quatrième licence 3G dans le cadre de la révision de la loi de finances. Iliad et sa filiale Internet Free devraient en effet tenter de se porter acquéreurs de cette licence qui simplifierait le lancement d'une offre associant fixe et mobile. France Telecom dispose déjà, via Orange, d'un opérateur actif sur ces deux secteurs. SFR, qui avait déjà timidement amorcé la convergence avec Neuf Cegetel avec le lancement de son offre ADSL, parait aujourd'hui décidé à prendre la main sur le fournisseur d'accès à Internet.
Pour le quatrième trimestre de son exercice fiscal, clos au 30 novembre dernier, Adobe affiche un résultat net en progression de 21% sur un an avec des bénéfices s'établissant à 222 millions de dollars contre 183 millions de dollars un an plus tôt. Sur le trimestre, il réalise un chiffre d'affaires de 911 millions de dollars, en progression de 34% sur un an. Le trimestre précédent avait déjà été l'occasion de résultats record pour Adobe, dont les finances surfent toujours sur la vague de la suite Creative Suite 3, lancée en avril dernier.

Shantanu Narayen, directeur exécutif d'Adobe, a profité de l'annonce de ces résultats pour indiquer que de nouvelles mises à jour majeures devraient intervenir avant la fin de son exercice fiscal 2008 et qu'il comptait sur ces dernières pour que l'année à venir soit l'occasion de réaliser une nouvelle progression sur le plan financier.

Il a par ailleurs précisé qu'Adobe devrait procéder en 2008 au lancement de la version finale de son environnement de développement AIR, pour Adobe Integrated Runtime. Précédemment connu sous le nom de code Apollo, AIR à concevoir des applications multiplateformes à partir de technologies issues de l'univers du Web comme le xHTML, le JavaScript, Flash ou Flex et se présente comme un concurrent de la technologie Silverlight développée par Microsoft. Pour 2008, Adobe indique s'attendre à des revenus en hausse de 13%.
Apple a publié ce jour un ensemble de mises à jour pour corriger des failles de sécurité présentes dans ses systèmes Mac OS X Tiger et Leopard. En tout, ce sont 31 correctifs qui sont proposés à travers ce pack.

Ils touchent principalement les modules suivants du système :
- Core Foundation
- CUPS
- Flash Player Plug-in
- Launch Services
- perl
- python
- Coup d'œil
- ruby
- Safari
- Samba
- Shockwave Plug-in
- Spin Tracer

Ces correctifs peuvent être téléchargés et installés directement via le module de mise à jour automatisé du système. L'ensemble pèse un peu plus de 35 Mo et nécessite un redémarrage de la machine.
le 17/12/2007 à 21:01
Google Agenda sur votre site
De nombreuses applications et services sont proposés pour l'utilisation d'agenda sur internet. Il s'agit de Webservices permettant entre autre d'afficher sur un site internet personnel les évènements programmés dans son agenda.

Un article réalisé par IBM, propose l'utilisation et le traitement des informations renvoyées par les webservices, c'est à dire le parsing des flux (DOM, SAX, Simple XML, Xpath)

- Display Google Calendar events on your PHP Web site with XPath
- Sample PHP code
Le dernier système d'exploitation de Microsoft, Windows Vista, continue de défrayer la chronique puisque PC World vient de le nommer dans sa liste des quinze plus grandes déceptions technologiques de 2007. Dans son papier, PC World (voir ici) indique pour commencer, que le système n'est tout de même pas si affreux. La sécurité intégrée ainsi que les contrôles parentaux sont bienvenus tout comme l'interface Aero et la meilleure gestion du réseau sans fil.

Après avoir, rappelons-le, encensé Vista à son lancement, PC World reproche au système de ne pas avoir tenu ses promesses sur les opérations courantes comme la gestion de fichiers ou bien encore sur les performances : Windows Vista étant plus lent que Windows XP. PC World revient bien sûr sur le contrôle de compte qui irrite plus les utilisateurs qu'il ne les fait se sentir en sécurité. Nos confrères reviennent également sur l'absence de pilotes ou de logiciels compatibles au lancement alors que le prix du système fait lui aussi l'objet de vive critiques. Reste que si Windows Vista n'est pas la révolution attendue, tirer à boulet rouge toutes les semaines sur le système comme le fait PC World n'est peut être pas non plus la bonne solution...
L'internaute américain moyen serait encore fort peu soucieux de ce qui peut se dire à son sujet sur Internet, ce qui ne l'empêche pas d'effectuer à l'occasion une recherche sur son nom, indique une étude réalisée par le Pew Internet & American Life Project en décembre 2006. Et pourtant, il mène de plus en plus fréquemment des recherches sur les gens qu'il est amené à rencontrer dans sa vie sentimentale ou professionnelle.

Environ un tiers des internautes interrogés dans le cadre de cette enquête pense savoir que des informations personnelles les concernant sont disponibles en ligne : adresse de courrier électronique, numéro de téléphone, position professionnelle. A l'inverse, entre un quart et un tiers des personnes sondées affirme ne pas savoir si leurs informations personnelles sont accessibles en ligne. Les internautes semblent toutefois de plus en plus enclins à surveiller leur présence en ligne puisque 47% d'entre eux auraient au moins une fois cherché des informations à leur propre sujet sur Internet alors qu'ils n'étaient que 22% en 2002. Seuls 3% de ceux qui effectuent ce type de recherche la renouvelleraient régulièrement.

De la même façon, la donne semble changer au niveau de la gestion de son image en ligne. Si 60% des sondés affirment ne pas être dérangés par les données qui peuvent circuler à leur sujet, 38% reconnaissent limiter sciemment la diffusion de leurs informations personnelles.

17% des internautes adultes appartiendraient à la catégorie des "Confident Creatives" qui n'ont rien contre le fait d'avoir une présence identifiable en ligne et participent activement à cette dernière tout en prenant soin de limiter la divulgation de leurs données personnelles. Les jeunes actifs, particulièrement présents sur les réseaux et services comme Facebook ou Flickr, tombent naturellement dans cette catégorie, remarque le Pew Internet Project. Environ un internaute adulte sur cinq (21%) veillerait soigneusement à la préservation de leurs données personnelles.

18% se sentiraient concernés par les problématiques liées au respect de la vie privée sur Internet, mais ne limiteraient pas activement la diffusion de leurs informations personnelles. Enfin, 43% des internautes adultes n'auraient cure de la propagation de leurs informations et n'adopteraient pas de comportement spécifique visant à restreindre cette dernière.

Le sens de l'expression "to Google someone" dépasse maintenant le simple cercle du recrutement puisque 53% des sondés reconnaissent avoir déjà entré le nom d'un collègue, d'un ami ou d'un membre de sa famille dans un moteur de recherches. 36% se seraient intéressé à quelqu'un qu'ils ont connu dans le passé, alors que 19% se renseignent sur leurs collègues de travail et que 9% effectuent une recherche relative à la personne avec laquelle ils s'apprêtent à avoir un rendez-vous galant...

Enfin, 11% des internautes ayant déjà cherché à vérifier quelle image d'eux véhiculait Internet auraient découvert que des informations erronées circulent à leur sujet, alors même que les actifs sont de plus en plus enclins à vouloir réguler leur image en ligne pour des raisons professionnelles. Un argument que ne manqueront pas d'utiliser les récentes sociétés investissant le secteur du marketing personnel.
LoadingChargement en cours