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le 09/10/2007 à 23:32
MemHT 3.2 FR
MemHT est un portail pour générer des sites internets.

Ce CMS est écrit en PHP et MySQL, et existe dans de nombreuses langues et arrive actuellement en Français.

Son atout principal se veut la simplicité d'utilisation et d'installation.

La version actuelle propose tout ce que peut offrir un CMS (forum, galerie en Ajax, FAQ, guide, messagerie, RSS...)

- MemHT 3.2
- Site officiel MemHT
le 09/10/2007 à 23:31
Adobe Flex et PHP
Pour ceux qui se souviennent des jours où nous devions faire des pieds et des mains pour forcer Flash / ActionScript à collaborer avec PHP, vous serez heureux d'apprendre dans cet article que que Adobe Flex résout tout cela. De plus, si vous utilisez déjà Eclipse, vous serez enthousiasmé de savoir qu'il existe un module Adobe Flex pour Eclipse.

N'oubliez pas la conférence de Mike Potter cette semaine, à Paris, sur PHP et Flex.

- PHP and Adobe Flex
- Conférence gratuite : Clients Web riche avec PHP et Flex
PHP dispose d'une commande native __HALT_COMPILER__. Cette instruction interrompt l'exécution du compilateur, et peut être utilisée pour introduire du code PHP à l'intérieur d'un script.

Voici ci-dessous un exemple de script PHP auto-extractible.
Quand il est exécuté, un nouveau fichier PHP est créé dans le même dossier, du nom de testscript1.php.

Une fonctionnalité assez obscure, mais finalement utile.

- How to create a self extracting PHP script
Le nouveau site de l'Élysée a été refait avec PHP ! Formats ouverts fait un bilan très détaillé de la nouvelle application, et a identifié un cocktail très varié d'applications et standards ouverts, en même temps que de format propriétaires.

Espérons que l'Élysée fasse mieux que Matignon, en utilisant une version de PHP plus récente que PHP 4.4.1 !

Merci à Thierry Stoehr pour cette information.

- Le site de l'Élysée
- Le site sarkothèque
- Formats ouverts
- Le site du premier ministre
le 09/10/2007 à 23:18
Plus de 100 générateurs en ligne
Plus de 100 générateurs en ligne, pour ne pas refaire manuellement ce qui peut être fait avec l'encadrement d'une application. Cela ne remplace pas le travail, mais permet de le dégrossir rapidement, avant d'apporter la touche finale.

Graphique et image; couleurs; css; noms de domaines; email; favicons; flash; formulaires; metatags; mots de passe, robots.txt; RSS; sitemap; text et ascii; PDF; XML; .htaccess; tooltips et autres.

- web 2.0 & Online generators (100+)
- More than 100 Web 2.0 Online Generators
Dans cet article, nous présentons 30 points d'ergonomie, règles et concepts qui sont souvent oubliés sur un site Web.

Quel est la différence entre lisibilité et la clareté ?
Qu'est-ce que le principe de pareto ou le 80/20 ?
Que signifie déminer et satisfaire ?
Et coudonc de la dégradabilité et des améliorations progressives ?

Il est temps de faire le point, même en anglais.

- 30 Usability Issues To Be Aware Of
Lors des élections présidentielles et législatives en mai et juin dernier, certains sites Internet s'étaient élevés contre la règlementation, qui interdit une communication des premières estimations de résultats avant 20 heures, heure à laquelle ferment les derniers bureaux de vote dans les grandes villes.

La Commission nationale de contrôle de la campagne présidentielle vient de rendre public aujourd'hui son rapport estimant que les scrutins des 22 avril et 6 mai derniers se sont déroulés dans des conditions satisfaisantes. Nonobstant, la Commission suggère plusieurs ajustements dont un horaire de fermeture unique, horaire non précisé au passage, pour tous les bureaux de vote. Cette horaire unique viserait à empêcher toute diffusion prématurée d'indications sur l'issue du scrutin afin de préserver jusqu'au bout sa sincérité.

Par ailleurs, la Commission demande un renforcement des sanctions condamnant la diffusion de sondages sortie des urnes. Elle déplore que des sites Internet aient diffusé dès 17h30 des sondages ou des indications de certains bureaux de vote, alors que la loi l'interdisait (sous peine d'une amende pouvant atteindre jusqu'à 75 000 euros). En revanche, la Commission ne statue pas sur le problème des sites étrangers, qui échappent à la législation française, et qui ont été pris d'assaut par les Internautes le soir des élections.
Le géant de Redmond se lance à la conquête d'un nouveau domaine, celui de la santé. C'est en tous cas ce que laisse penser un nouveau site mis en ligne depuis le 4 octobre et nommé HealthVault, que l'on pourrait traduire par "coffre-fort de la santé".

Le principe de ce site est le stockage et la gestion de données médicales que l'utilisateur (américain pour l'instant) est libre de mettre lui-même en ligne. Ces données peuvent ensuite être consultées par le patient en question, qui peut décider (ou non) de donner un droit d'accès au praticien de son choix, afin que ce dernier puisse rapidement retrouver les informations sur les traitements en cours ou les différentes opérations subies par le patient.

Conscient que ces données sensibles doivent rester confidentielles, Microsoft assure que la sécurisation et la protection de ces informations est une de ses préoccupations principales. Si ce service est gratuit, sachez aussi que c'est la publicité (ciblée, bien entendu) qui financera le fonctionnement du site, Microsoft précisant à l'AFP que "le transfert de données vers l'extérieur ne sera possible qu'avec le consentement explicite de l'intéressé, et les annonceurs publicitaires s'engageront à protéger toute information".

Ce type de marché semble a priori assez prometteur outre-atlantique, puisque Google aurait dans l'idée de suivre un chemin similaire avec Google Health, proposant des services tels que des messages d'alerte pour le renouvellement d'ordonnance ou les rendez-vous médicaux, des conseils personnalisés... Autant de choses qui pourront sembler intéressantes à certains et accréditer la thèse du "Big Brother is watching you" pour d'autres.
L'utilisation de la célèbre encyclopédie en ligne Wikipedia a une fois encore été le terrain de règlements de comptes peu scrupuleux. Devons-nous vous rappeler cette improbable histoire à propos du nombre de réacteurs nucléaires de quatrième génération ? Les partisans des deux candidats au second tour la présidentielle avaient tour à tour modifié l'article concernant cette technologie sur Wikipedia pour donner raison à leur candidat préféré. Visiblement ce jeu est de plus en plus apprécié des internautes, et cette fois ce sont les fans de rugby néo-zélandais qui s'en sont donnés à coeur joie.

Pas vraiment ravis de l'arbitrage de l'anglais M. Wayne Barnes, quelques supporters des All Blacks ont en effet pris d'assaut l'article de Wikipedia concernant l'homme en noir dont on pouvait apprendre la prétendue mort, dimanche soir, "lynché par une foule qui avait lu les règles du jeu". On pouvait également lire que l'Angleterre l'avait « payé pour gagner plus facilement sa demi-finale » ou que Wayne Barnes souffrait "d'un trouble de la vision qui l'empêche de voir les en-avants", rapport à une phase de jeu ayant amené les
Ballon de rugby
Français à prendre l'avantage au score lors de leur quart de finale samedi soir. En réponse à ces amabilités, d'autres utilisateurs n'ont pas manqué de corriger la fiche, décrivant l'arbitre comme "le bouc émissaire des fans néo-zélandais pour l'incapacité persistante de leur équipe à emporter le trophée le plus convoité du rugby, malgré leur étiquette de meilleure équipe du monde". Finalement, tout est revenu à la normale et l'actuelle fiche de M. Barnes ne contient qu'un bref et très neutre passage sur sa prestation lors de ce match.

Critiqué par l'homme à l'origine du projet, Wikipedia est régulièrement victime du principe même de sa conception, à savoir la liberté pour tous d'éditer un article, liberté par ailleurs à l'origine de son succès.
le 09/10/2007 à 23:08
Les spammeurs détournent Youtube
Les spammeurs ne sont jamais à court d'idées quand il s'agit de polluer les boîtes électroniques avec (bien souvent) des attrapes-nigauds. Dernièrement, des spammeurs ont ainsi utilisé une mini-faille dans le service de partage vidéo de Google : Youtube. Grâce à son utilisation, ils ont effectivement réussi à envoyer des publicités non-sollicitées avec comme adresse de l'expéditeur service@youtube.com.

Les spammeurs cherchent ainsi à abuser de la confiance de l'internaute en faisant passer pour une source jugée « saine » (Youtube dans le cas présent). Pour cela, ils contournent le module du service de vidéo qui permet d'inviter un ami sur Youtube en lui envoyant un email. Elle permet, en outre, de passer au travers des filtres antispam puisque l'adresse service@youtube.com apparait comme une adresse tout à fait légitime.

En attendant une probable réaction de Youtube, il est conseillé de ne pas trop se fier aux messages en provenance de "service@youtube.com"...
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