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MySpace embauche actuellement sur son site dans le cadre d'un « grand projet secret » si on en croit une annonce publiée récemment sur le réseau social.

Le site, détenu par News Corp firme de Rupert Murdoch a récemment entamé une démarche pour rafraîchir son contenu et son interface : Myspace a ainsi optimisé ses partenariats avec les acteurs majeurs du social gaming, Zynga en tête, et a présenté la semaine dernière les prémices de la nouvelle version de sa page membre, qui devrait arriver dans sa version définitive en fin de semaine.

Selon Read Write Web, ce mystérieux projet pourrait s'inscrire dans un projet proche de MySpace mais pas nécessairement en lien direct avec la plateforme : le site tire sa conclusion d'une phrase de l'annonce : « Bien qu'il s'agisse de MySpace, ce groupe développeurs est autonome, et travaille sur une plateforme et une feuille de route différentes ». Contacté par RWW, MySpace n'a pas désiré communiquer sur ce sujet, indiquant « ne pas pouvoir évoquer le projet à ce stade ». Avec l'omniprésence de Facebook d'un coté et l'ascension attendue par Google dans le milieu des réseaux sociaux, une chose est sûre : MySpace aura fort à faire pour rester dans la course.

Hasard ou coïncidence, MySpace fêtait hier ses 7 ans d'existence.
Google en serait à la dernière étape d'acquisition d'une société de e-commerce baptisée Like.com. Google n'a pas communiqué de détails, mais selon plusieurs sources interrogées par TechCrunch, la somme payée par le géant pourrait atteindre 100 millions de dollars américains.

L'anecdote est intéressante, car derrière Like.com, il y a une entreprise appelée Riya… Dont Google avait justement commencé l'acquisition en 2005. A l'époque, Riya développait la première tentative pour reconnaître des visages sur une image, et les tagguer avec les nom des personnes présentes. Google avait finalement abandonné la transaction avant sa finalisation.

Le produit de Riya avait été fermé en 2009, et l'entreprise s'était alors tournée vers le e-commerce. Elle utilise sa technologie de reconnaissance d'images pour permettre aux gens de chercher des images similaires à d'autres images. Utile par exemple pour des achats de chaussures ou de vêtements, où les recommandations de produits sont effectuées par association visuelle. Like.com est né de cette manière, avec une levée de fonds de 50 millions de dollars. Ce qui est aussi leur chiffre d'affaires moyen.

Google n'a donné aucune indication sur l'utilisation qu'il pourrait faire de cette technologie. Il pourrait revenir à ses fondamentaux, la recherche sur le web, et notamment la recherche d'image.
Le fait que le moteur de recherche Baidu domine le net chinois dans sa catégorie ne semble pas décourager le gouvernement du pays de se lancer, à son tour, à la conquête de la recherche sur le Web : ce dernier a annoncé en fin de semaine dernière qu'il allait lancer un moteur de recherche avec l'opérateur d'Etat China Mobile, et l'agence de presse d'Etat Chine Nouvelle (Xinhua).

La volonté non-dissimulée du gouvernement chinois est bel et bien de concurrencer les deux acteurs majeurs de la recherche en Chine, le déjà nommé Baidu (qui possède 70% de parts de marché) et Google (24%). Ce nouveau moteur de recherche devrait s'appuyer sur les 554 millions d'abonnés que compte l'opérateur téléphonique China Mobile, ainsi que sur la puissance médiatique de l'agence de presse Xinhua.

Pour le moment, le gouvernement du pays n'a rien laissé filtrer concernant la date de lancement du projet, ainsi que son nom. Reste que beaucoup voient dans cette démarche la volonté des dirigeants chinois de contrôler les recherches effectuées sur le Web local, chose qui est, en réalité, déjà d'actualité si l'on se remémore les déboires de Google, Foursquare ou encore Twitter dans le pays. Rappelons enfin qu'à l'heure actuelle, la Chine compte 420 millions d'internautes.
La firme semble apprendre lentement comment générer des ressources sur ses smartphones. Sa plateforme de publicité intégrée aux services mobiles lancée le 1er juillet et appelée iAd ne connaît pas encore de franc succès. Sur les 17 partenaires annoncés, seuls 2 ont une campagne de publicité effective.

Même si, pour l'instant, et ce n'est qu'un début seuls Nissan et Unilever ont lancé leur campagne via iAd, les autres clients d'Apple invoquent un retard du fait de la nouveauté des supports. De même, selon le Wall Street Journal, les équipes du marketing ne seraient pas habituées au contrôle strict exercé par Apple sur le contenu publicitaire.

Autre critique formulée par le site, les délais de réalisation seraient ainsi plus importants que pour des publicités classiques. L'écart serait de 10 semaines par rapport à une campagne traditionnelle. De même, Apple ne proposerait aucun kit de développement, ni guide d'usage montrant les possibilités et/ou limitations du HTML5. Un kit a été annoncé mais n'a pas encore été proposé.

Annoncée en avril dernier, la plateforme iAd se présente sous la forme de mini-sites interactifs spécialement conçus pour l'iPhone, c'est-à-dire avec une ergonomie proche de celle d'une application standard. Si ces débuts poussifs ne sont pas inquiétants, les critiques avaient déjà été soulignées par Lars Bastholm, directeur artistique d'Ogilvy du groupe WPP. Il estimait qu' : « en tant que directeur artistique je comprends tout à fait qu'ils aient créé un nouveau bébé et souhaitent le mener à terme de manière époustouflante. Cependant, je ne me sens pas totalement rassuré de laisser Apple s'occuper du côté créatif ».

Reste à connaître les revenus que seront générés par la plateforme iAd. Apple estimait début juin attendre 60 millions de dollars de la part des publicitaires. Une promesse qu'il faudra tenir.
Oracle n'autorisera désormais plus OpenSolaris à publier des builds de son système d'exploitation professionnel Solaris avant les releases officielles. Pour la communauté de développeurs autour du projet OpenSolaris, « c'est une perversion de l'esprit de l'open source. »

C'est une nouvelle attaque contre les anciens produits open source de Sun, qu'Oracle a racheté au début de l'année pour 7,4 milliards de dollars. Cette acquisition a laissé beaucoup de questions en suspens quant à l'avenir des technologies open-source de Sun (MySQL, OpenSolaris entre autres).

Depuis quelques mois déjà, le travail des développeurs sur OpenSolaris a bien ralenti, à mesure que l'intérêt d'Oracle pour le projet s'amenuisait. Auparavant, OpenSolaris publiait le code au travers de nightly builds, avant son introduction dans un produit commercial. Désormais, le produit open-source sera publié après la version commerciale.

Une situation rendue possible grâce à la licence Common Development and Distribution License (CDDL) de Sun. « Nous distribuerons les mises-à-jour pour les produits sous licence CDDL ou sous autre licence open-source après la sortie complète de notre système d'exploitation d'entreprise Solaris, » a précisé un mémo d'Oracle aux ingénieurs d'OpenSolaris. « De cette façon, les nouvelles innovations technologiques seront dévoilées dans nos releases avant d'apparaître ailleurs. Nous ne distribuerons plus le code source de l'intégralité de notre système d'exploitation Solaris au fur et à mesure de son développement, par le biais de nightly builds. »

L'ingénieur d'OpenSolaris Steve Stallion, qui a dévoilé l'email interne sur son blog, a critiqué cette position d'Oracle. Elle serait une sentence de mort pour OpenSolaris, selon lui. « C'est un coup terrible pour des heures de travail indénombrables - pour un travail de qualité qui sera maintenant commercialisé que nous (les auteurs d'origine) ne pourrons plus obtenir sans restriction. Je peux seulement réaffirmer que le logiciel sur lequel nous avons travaillé était destiné à l'amélioration de tous, pas seulement pour le résultat financier d'une entreprise. C'est vraiment une perversion de l'esprit de l'open-source. »

Oracle, de son côté, n'a pas souhaité commenter la nouvelle et les réactions indignées des développeurs.
le 16/08/2010 à 19:01
Street View en Allemagne va voir flou
On savait Google Street View impopulaire en Allemagne depuis un moment – la CNIL locale est d'ailleurs à l'origine du tollé provoqué par l'affaire des données WiFi récupérée par les Google Cars. Mais depuis l'annonce du lancement du service très prochainement dans le pays, cette méfiance envers Street View s'accentue fortement.

En effet, pour limiter les réticences de nos voisins allemands, la firme de Moutain View a mis en place une démarche simple pour permettre aux habitants du pays de s'opposer à l'apparition de leur domicile dans Street View. Réalisable sur le Net via un formulaire ou par courrier, cette demande aurait, selon le quotidien Süddeutsche Zeitung daté d'aujourd'hui, déjà été effectuée 150 000 fois par des citoyens allemands.

« Si l'on prend en compte le fait que de nombreuses demandes portent sur plusieurs bâtiments, on devrait largement dépasser les 200.000 adresses d'ici à la fin de l'année » explique le journal en citant une source proche du gouvernement allemande. Ilse Aigner, ministre fédérale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Protection des consommateurs, est par ailleurs intervenue à la radio Bayern2 pour demander à Google un prolongement du délai de protestation instauré par le service, limité à 4 semaines.

Du côté de Google, le chiffre de 150 000 demandes est rejeté : le géant du Web indique s'attendre à un nombre "à 5 chiffres" qui ne devrait donc pas dépasser les 100 000 requêtes : autant de bâtiments que le service devra flouter au risque de se retrouver hors-la-loi. Rappelons que seules 20 grandes villes sont concernées pour le moment par le déploiement du service en Allemagne, prévu à la fin de l'année.
A malin, malin et demi ? L'hébergeur allemand CB3ROB, qui a un temps abrité le site The Pirate Bay vient de mettre les pieds dans le plat de la neutralité du Net en annonçant qu'il n'autoriserait plus les grandes majors du disque à profiter gratuitement de ses capacités réseau. Si ces dernières souhaitent que leur trafic Web puissent transiter par les interconnexions Internet gérées par CB3ROB, elles devront s'acquitter d'un forfait mensuel de 10 000 euros hors taxe. C'est du moins ce qu'a annoncé Sven Olaf Kamphuis, patron de l'hébergeur, expliquant vouloir faire comprendre aux maisons de disque le concept de neutralité du Net.

Discrimination au nom de la net neutralité ?

« Salut, partant du principe que certaines sociétés ont sérieusement sapé la neutralité du Net ces derniers mois, cette dernière leur paraissant bien moins importante que leur connerie de copyright, nous avons décidé de faire un exemple », a annoncé Kamphuis le 11 août dernier, par l'intermédiaire d'une liste de diffusion spécialisée.

« Si les réseaux qui suivent, à la liste desquels s'ajouteront de nouveaux noms le mois prochain, veulent échanger du trafic avec (notre point d'interconnexion), ils pourront obtenir un contrat auprès de (notre contact commercial), ce qui leur coûtera 10.000 euros par mois, hors 19% de TVA. S'ils ne veulent pas, hé bien, il n'y aura tout simplement plus de réseau pour eux... désolé les petits lapins », a-t-il ajouté, avant d'énumérer quelques-uns des réseaux d'entreprise concernés, parmi lesquels apparaissent les noms Sony Music ou Universal.

De quoi est-il question ici ? Comme beaucoup d'hébergeurs, CB3ROB entretient son propre réseau IP, par le biais d'un système autonome (AS) directement connecté aux infrastructures des grands opérateurs. Chaque AS est administré indépendamment du reste du réseau, comme l'entend son propriétaire, qui choisit généralement de mettre en place des voies vers d'autres réseaux que le sien de façon à favoriser la circulation des données sur Internet. Ces voies peuvent prendre la forme d'un accès d'égal à égal (ce qu'on appelle le peering), ou constituer un relai entre deux autres réseaux (on parle dans ce cas de transit).

Plutôt que de laisser les données émanant des réseaux des grandes maisons de disque emprunter librement son infrastructure, CB3ROB entend donc maintenant les faire payer pour ce service. La nouvelle ne devrait faire ni chaud ni froid aux majors concernées, dont les données emprunteront simplement d'autres routes : sa portée se veut donc plus symbolique qu'autre chose.

Oeil pour oeil, dent pour dent

CB3ROB n'en est en effet pas tout à fait à sa première prise de position sur le sujet de la neutralité du Net. Il a assuré un temps l'hébergement du très controversé tracker BitTorrent The Pirate Bay, objet de nombreuses procédures judiciaires en Europe, au sein de son Cyberbunker (un centre de données installé dans un ancien bunker anti-atomique aux Pays-Bas). En mai dernier, il a finalement dû couper l'accès au site, après réception d'une injonction l'exposant à 250.000 euros d'amende par infraction au droit d'auteur constatée par l'intermédiaire de son réseau.

Sven Olaf Kamphuis a manifestement eu du mal à avaler cette pilule. « On ne sent pas vraiment de leur offrir quoi que ce soit s'ils se comportent de façon hostile. S'ils ne parviennent pas à faire fermer The Pirate Bay lui-même, on peut tout simplement en conclure que The Pirate Bay a le droit à Internet au même titre qu'eux, et même plus en fait, puisque TPB nous a payé, et pas eux », explique-t-il encore. Il ajoute que les défenseurs du droit d'auteur, MPAA et RIAA en tête, trouvent plus facile de s'attaquer aux fournisseurs de services qu'aux internautes finaux qui se rendent finalement coupables d'infractions au droit d'auteur. En ceci, il estime défendre la neutralité du Net - un fournisseur d'accès n'étant pas responsable des contenus qui transitent par son réseau, ce à quoi certains lui ont rétorqué qu'il enfreint lui-même la règle qu'il entend défendre en pratiquant cette discrimination.

Bref, une polémique de spécialistes qui illustre bien la complexité du débat autour de la neutralité du Net, objet d'un récent rapport gouvernemental largement qualifié de décevant. A ce sujet, on pourra d'ailleurs lire le très long mais très instructif point de vue de Benjamin Bayart, président du FAI FDN, dans les colonnes de Libération.Merci à M@tt pour l'info !
La phrase émane du co-fondateur du site Peter Sunde, vidéo à l'appui. Lors d'une conférence baptisée Campus Party au Mexique, celui qui est également porte-parole de The Pirate Bay s'est lâché sur son site en ne comprenant pas pourquoi il était encore utilisé alors que plus personne n'y travaille…

Selon Peter Sunde, les internautes se reposent sur leurs lauriers. A en croire des propos rapportés par Torrentfreak, il estime que « The Pirate Bay devrait mourir, vraiment. Si vous regardez le site, rien ne s'est passé en cinq ans et pourtant de plus en plus d'utilisateurs continuent de l'utiliser, ce qui n'est pas bien. Nous avons besoin d'une nouvelle forme de technologie. Donc, c'est en quelque sorte l'avenir de The Pirate Bay, espérons-le mourant, et remplacé bien sûr par quelque chose de mieux, parce que The Pirate Bay est vraiment naze ».

Il faut savoir qu'alors que la pression de certains gouvernements s'accentue autour de la technologie du P2P et des torrents, Peter Sunde, lui, souhaiterait que de nouvelles méthodes émergent grâce aux internautes. Un appel en forme aussi de clin d'oeil à son nouveau projet baptisé Flattr. Le principe est de permettre à l'internaute de voter pour ce qu'il aime le plus et qui donne droit à une micro-rémunération pour le créateur du contenu qui a reçu le vote.

Cette forme de participation et de rémunération entre internautes est encore en version bêta et demande à être confrontée à un large public. Pour autant, à l'heure actuelle, The Pirate Bay est encore largement utilisé et n'est pas encore prêt à être coulé par les internautes.
Numericable renouvelle ses offres triple-play à l'approche de la rentrée. La "nouvelle" offre "NCBox" remplace ainsi la précédente offre Numeribox, lancée il y a seulement un trimestre.

Celle-ci n'apporte guère que quelques destinations internationales supplémentaires en téléphonie illimitée (désormais 100 destinations contre 92 auparavant), ainsi que le remplacement par "les chaines les plus demandées" de quelques unes des chaines des bouquets, dont les nombres de chaines restent néanmoins inchangés, en marge de nouvelles dénominations commerciales qui semblent de fait être la principale nouveauté.

On retrouve par ailleurs les mêmes promesses "de fiabilité et de confort", avec un accès internet à 30 Mbps sur l'ensemble du réseau, et jusqu'à 100 Mbps (sauf avec l'offre premier prix) pour les 4,5 millions de foyers dont l'immeuble (et non l'appartement) est fibré (technologie FTTB plutôt que FTTH), et jusqu'à 4 postes TV en simultané (option payante) sans aucun impact sur la bande passante internet.

Numericable annonce en outre l'ouverture d'une boutique de vidéo à la demande en 3D à l'automne 2010, qui sera immédiatement accessible à 8,3 millions de foyers.

L'offre "NCBox" offre donc 120 chaines pour 30 euros par mois, tout comme la précédente offre Numeribox. L'offre "NCBox Power" succède quant à elle à l'offre Numeribox Large, avec un nombre inchangé de 150 chaines pour 40 euros par mois (réduits à 30 euros les 4 premiers mois). Avec 170 chaines, l'offre "NCBox Premium" perd enfin 10 chaines, contrairement à son prix qui reste figé à 50 euros par mois (réduit à 30 euros par mois les 4 premiers mois également).

Chacune de ces offres comprend le décodeur et le modem routeur Wi-Fi, et est soumise à un engagement d'un an, les nouveaux abonnés aux deux dernières offres étant gratifiés en promotion de frais d'ouverture de service offerts (contre 50 euros pour l'offre premier prix), d'une séance de vidéo à la demande offerte par mois pendant un an, et d'un remboursement allant jusqu'à 60 euros en cas de résiliation d'un autre opérateur.

Les offres NCBox de Numericable sont disponibles dès à présent.
le 16/08/2010 à 19:01
Plainte d'Oracle : Google réplique
Google se lance dans la guerre contre Oracle, après la récente plainte déposée par ce dernier pour violation de sa propriété intellectuelle sur Java dans le système d'exploitation mobile Android. Selon le porte-parole de Google Aaron Zamost, l'attaque d'Oracle est décevante et « sans fondement », pas uniquement pour Google mais aussi pour toute la communauté open-source autour de Java.

« La communauté open-source de Java va au-delà d'une unique entreprise et travaille chaque jour à faire du web un endroit meilleur. Nous défendrons avec force les standards open-source et nous continuerons à travailler avec l'industrie pour développer la plateforme Android. »

Dans la plainte déposée jeudi par Oracle, ses avocats estiment que Google a enfreint sa propriété intellectuelle « consciemment, directement et de façon répétée. » Avec l'acquisition de Sun Microsystems en début d'année, Oracle a aussi obtenu sa technologie Java. L'éditeur s'inquiète de l'outil Dalvik, présent dans Android, qui rend la technologie Java compatible sur ce système d'exploitation. Dalvik est néanmoins une machine virtuelle optimisée pour les mobiles, qui a été réécrit depuis zéro.

Pour l'analyste de Forrester Jeffrey Hammond, Oracle pourrait s'aliéner une relation stratégique importante sur le long-terme en attaquant Google. « Google va probablement donner de l'argent à Oracle et mettre fin à tout ça. Mais cela met en place une relation de mauvaise qualité, alors que beaucoup de gens se demandent quel sera l'avenir de Java entre les mains d'Oracle. » Pour Hammond, ce procès semble donner le ton : Oracle compte contrôler l'innovation sur Java. Google, lui, pourrait commencer à regarder des alternatives.
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