News

Troquer de petits objets contre des plus gros n'est pas une nouveauté sur Internet on se souvient de ce canadien qui était parti d'un trombone pour arriver à une maison mais les performances sont toujours impressionnantes à constater : ces derniers jours, c'est un lycéen de 17 ans qui fait le buzz autour de cette pratique.

Steven Ortiz est en effet parvenu à échanger un vieux téléphone portable contre une voiture, et pas n'importe laquelle puisqu'il s'agit d'une Porsche Boxster S. Pour en arriver à un tel résultat, l'adolescent a procédé à 14 échanges progressifs réalisés via la rubrique "Troc" du site Craigslist, que l'on peut considérer comme le pendant américain du site Le Bon Coin.

Une série d'échanges qui a duré deux ans, durant lesquels Steven Ortiz a troqué son vieux téléphone mobile donné par un ami contre un meilleur téléphone, échangé ce dernier contre un iPod touch, puis plusieurs vélos, un MacBook Pro ou encore un 4x4 Toyota 4Runner de 1987. Le troqueur en série aurait pu s'arrêter là, mais, pas assez âgé pour conduire le véhicule, il a décidé de le remettre en "jeu" pour viser plus haut : il a alors troqué sa voiture contre une autre, une Ford Bronco de 1975 que les collectionneurs se sont arrachés, et c'est ainsi que le jeune homme s'est retrouvé avec une Porsche d'une dizaine d'années.

Aujourd'hui âgé de 17 ans, Steven Ortiz peut conduire sa voiture, et ne tarit pas d'éloges sur le site Craigslist, selon lui une véritable mine d'or en période de crise. L'échange plutôt que l'achat, la solution pour acquérir de nouveaux objets ? Il ne reste plus qu'à appliquer la méthode sur Le Bon Coin pour tester la chose...
Google récompense internautes et développeurs qui renseignent une nouvelle faille sur leur navigateur. A l'image de Firefox pour la Fondation Mozilla, toute vulnérabilité non-découverte sur Chrome peut être rapportée. A la clé, une prime désormais de 3.133,70 dollars maximum.

Dans la foulée, de l'éditeur de Firefox, Google a donc décidé d'augmenter sa prime au bug puisque la récompense maximale passe de 1 337 dollars à plus de 3.000. Le minimum reste, lui, de 500 dollars. Pour fêter les six mois d'existence de ce programme, le blog de Chromium a donc fait un geste vers les développeurs.

En détail, la somme de 3.133,7 dollars signifie en caractères ASCII « Eleet », traduisible facilement en « Elite ». Google légitime cette augmentation part le fait que la « Sandbox de Chrome rend les failles critiques beaucoup plus difficiles à trouver. » Il faut également croire que Google pense que cette collaboration lui est largement bénéfique pour la découverte de failles jugées critiques.
Twitter serait-il efficace pour mesurer le bonheur des habitants d'un pays ? Oui, selon une équipe de scientifiques de la Northeastern University de Boston, menée par l'informaticien Alan Mislov.

Pour confirmer leurs dires, les scientifiques ont comparé les tweets postés depuis les côtes est et ouest des Etats-Unis, entre septembre 2006 et août 2009. Pour ce faire, ils ont conservé les tweets américains intégrant certains mots, contenus dans le système d'évaluation psychologique Affective Norms for English Words (PDF), dans lequel les mots sont classés de façon positive ou négative – "amour" et "paradis" sont ainsi, très logiquement, plus positifs que "suicide" ou « funérailles » par exemple.

Les 300 000 000 courts messages utilisés pour l'étude ont permis à Alan Mislov et son équipe de suggérer que « la côte ouest est plus heureuse que la côte est, et connaît un pic de bonheur le dimanche matin et un creux le jeudi soir ».Un résultat que les scientifiques qualifient de "pouls de la nation" et qui va sans nul doute apporter de l'eau au moulin des autres chercheurs, qui voient dans les blogs et autres réseaux sociaux un moyen de mesurer l'humeur de la population, et même de prédire l'avenir.

Alan Mislov reconnaît néanmoins que ce procédé, réalisé de façon automatique en raison du grand nombre de tweets analysés, a ses limites. Ainsi, un message de type "je ne suis pas heureux" sera considéré comme positif en raison du mot "heureux", alors qu'il est clairement négatif.

En attendant de connaître la suite du projet mené par Alan Mislov, il est possible de découvrir de façon détaillée et didactique le résultat de la première étude sur le site de l'équipe.
Betable, un site où les utilisateurs peuvent parier sur n'importe quoi avec leurs amis, vient de lever 3 millions d'euros auprès du fonds d'investissement européen Atomico Ventures. Fondé par les fondateurs de Skype Niklas Zennström et Janus Friis, Atomico place ainsi l'ancien CSO de Skype, Geoffrey Prentice, au conseil d'administration de Betable.

Bien que cet investissement ait pu étonner - car après tout Betable est un site de paris - il semblerait que la dimension sociale du projet ait particulièrement intéressé Atomico. Le site, qui a été construit majoritairement aux Etats-Unis, est d'origine britannique. Le PDG et fondateur Christopher Griffin s'est installé au Royaume-Uni, notamment parce que la loi sur les paris y est beaucoup moins stricte qu'aux Etats-Unis. Betable, qui sera notamment en compétition avec Smarkets sur le marché des paris, mise énormément sur le côté social, se voulant un Twitter pour les paris.

Côté business model, Betable récupère 10% des gains sur les mises. Les utilisateurs récupèrent pour leur part 30% des recettes d'un pari qu'ils ont créé, ce qui incite fortement à en publier. Le site agit comme tiers de confiance, en récupérant tout l'argent misé par les participants, pour assurer au gagnant de toucher ses gains. Il ne fonctionne pour l'instant pas vraiment aux Etats-Unis, où les joueurs sont bloqués par la loi, mais se concentrera pour l'instant sur le marché anglais puis certaines parties de l'Europe moins restrictives quant à la législation sur les paris. On ne sait pas encore si la France pourrait être une option pour Betable.
Selon le site Donanza.com, spécialisé dans les études relatives au travail à distance, les employeurs rechercheraient davantage de personnes capables de manier les technologies du HTML 5. Parallèlement la demande de développeurs utilisant Flash aurait enregistré une baisse au second trimestre.

Flash vs HTML5, voici sans doute le grand débat technologique de cette année et incarné par les dirigeants d'Adobe et le PDG d'Apple Steve Jobs. Apple a en effet toujours refusé d'accueillir la technologie Flash sur ses appareils tournant sous iOS (iPad, iPod Touch, iPhone), lui préférant les technologies web du HTML5. De son côté Adobe pointe du doigt une vaste hypocrisie puisqu'Apple refuse d'accepter les logiciels édités sur la plateforme Flash mais compilés spécifiquement pour l'iOS.

Si Apple semble être la seule société à refuser de voir des applications mobiles développées par les technologies d'Adobe, Steve Jobs semble tout de même avoir gagné une bataille puisque qu'au second trimestre le nombre d'offres d'emploi s'adressant aux développeurs web HTML5 aurait enregistré une hausse de 474%. En comparaison, les projets relatifs à Flash auraient connu une décroissance de 24% ces trois derniers mois. Ces données ont été agrégées à parti de différents sites spécialisés tels que oDesk.com, Elance.com, Freelancer.com, Vworker.com ou encore Scriptlance.com.

Il ne s'agit cependant que d'une petite victoire puisque le HTML5 n'en est qu'à ses balbutiements mais surtout parce que les offres d'emplois ciblant les spécialistes de Flash restent tout de même 11 fois plus importantes que celles décrivant un projet en HTML5. Notons également qu'un projet en Flash serait rémunéré en moyenne 790 dollars contre 697 dollars pour une application web en HTML5.
le 22/07/2010 à 21:26
France.fr devrait rouvrir fin août
Ce qui ressemble à un « ratage à la française » devrait prendre fin vers la fin du mois d'aout. Le site France.fr, censé être la vitrine du pays aux yeux des touristes verra donc bien le jour, mais après que tous les vacanciers soient rentrés chez eux. Il faut dire qu'à peine lancé (le 14 juillet), le site est tombé, puis… plus rien.

Quelques jours après la disparition du site suite à « de trop nombreuses connexions », la page d'accueil expliquait qu'un audit de l'ensemble des systèmes allait rapidement être mis en place. Les conclusions de ce rapport ont été annoncées, il s'agirait en fait d'une mauvaise gestion de la part de l'hébergeur, Cyberscope.

La radio France Info, explique que selon France.fr et le Sig (service d'information du gouvernement), « il est probable que nous devrons, malgré la période estivale et en tenant compte des contraintes administratives et réglementaires propres aux marchés publics, changer d'hébergeur et vérifier l'ensemble des paramètres d'un site complet et complexe (3.000 pages, 12.000 liens, 1 million de documents indexés, 5 langues. Cela va prendre plusieurs semaines. »

Du coup, on ne devrait plus revoir France.fr d'ici la deuxième quinzaine du mois d'août. Après un lancement tardif (et raté), le site devrait donc être tout à fait prêt pour la rentrée. No comment.
Alors que les sites de jeux en ligne commencent à pulluler sur le Web français suite à l'ouverture des paris en ligne le 8 juin dernier et l'autorisation des jeux de cercles le 28 juin dernier, un site de paris d'un nouveau genre vient d'ouvrir ses portes : MulteeGaming, c'est son nom, propose en effet aux adeptes de jeux de foot sur console de miser sur leurs propres performances.

Un modèle original

Imaginé l'année dernière par 5 jeunes diplômés issus de Télécom SudParis et Télécom École de Management, MulteeGaming s'est illustré en 2009 en gagnant le Challenge Projets d'Entreprendre organisé par Télécom SudParis. Le projet a ensuite demandé un an de développement avant d'être lancé samedi dernier. « C'est un projet qui s'inspire beaucoup de ce qui est fait dans le monde du poker en ligne » explique Yoann Saubot, responsable communication de la Start Up. « Dans le monde du poker, les gros joueurs peuvent vivre de leur passion. Mais dans le monde du jeux vidéo, les joueurs qui s'investissent beaucoup reçoivent souvent peu en retour. »

Ainsi est né MulteeGaming, sur lequel les joueurs peuvent proposer des paris sur des matchs dans lesquels ils prennent part : un utilisateur inscrit transfère sur son compte une somme d'argent, choisit ensuite le jeu – actuellement, seuls FIFA 10 et PES 10 sont disponibles -, l'horaire du match, la mise, et n'a plus qu'à attendre qu'un adversaire se déclare. Quand c'est le cas, rendez-vous est pris sur le Xbox Live ou le PSN – le service n'est pas présent sur PC « moins sûr et plus facile à pirater » -, dans le salon créé par MulteeGaming. Le match, qui doit impérativement être classé, se déroule, puis à la fin, le vainqueur retourne sur le site déclarer sa victoire et empocher les gains.

Parier sur son jeu, une démarche qui rappelle effectivement ce que propose le poker en ligne. Mais « paradoxalement, les deux systèmes n'ont rien à voir » commente Yoann Saubot. « Le poker est un jeu de hasard, alors que les jeux vidéo sont des jeux de compétences où le talent et la stratégie sont prépondérants ». Et la différence est de taille, puisqu'en France, miser sur des jeux de compétences est autorisé depuis longtemps, et la pratique ne dépend pas de l'Arjel, - l'autorité de régulation des jeux en ligne – et de sa liste conséquente de restrictions. Par conséquent, même s'il surfe sur la mode du jeu en ligne, MulteeGaming n'a pas grand chose à voir avec les sites qui émergent actuellement dans ce sens.

Des jeux sous surveillance

Reste que l'absence du spectre de l'Arjel ne signifie pas que le joueur se retrouve livré à lui-même sur le site : « Nous avons une politique de jeu responsable qui se veut innovante » explique Yoann Saubot. Un utilisateur nouvellement inscrit ne pourra pas exemple pas miser immédiatement la somme maximale autorisée (50 euros) et devra gagner des niveaux sur le site pour débloquer des paliers, actuellement au nombre de 3. A l'inverse, un joueur qui multiplie les défaites verra son palier maximum baisser, de sorte à l'empêcher de perdre trop d'argent. A noter également que, comme sur un site de poker, le nouvel inscrit devra prouver qu'il est majeur en envoyant une copie d'une pièce d'identité par mail ou par courrier.

Par ailleurs, dans la mesure où les paris se basent sur les compétences des joueurs, il ne fallait pas défavoriser les plus faibles au profit des plus forts : le site adopte en ce sens un système de handicap qui oblige un joueur de niveau supérieur à parier plus, s'il est confronté à un joueur de niveau inférieur. Si un joueur de niveau 1 qui mise 10 euros est opposé à un joueur de niveau 2, ce dernier devra miser 14 euros. Le gagnant reporte alors les 24 euros.

Enfin, autre enjeu est pas des moindres : celui d'empêcher la triche sur la plateforme. « C'est le problème numéro un » avoue Yoann Saubot, qui identifie deux types de fraude : la fausse déclaration de victoire, et le « lag forcé » du jeu par un adversaire en train de perdre.

Dans le premier cas, un système de contestation permet au joueur lésé de déposer une requête pour rectifier l'issue du match. Un système qui oblige cependant le joueur en question à fournir au service son login et son mot de passe Xbox Live ou PSN, pour permettre aux modérateurs de vérifier l'information directement sur son compte. Dans le second cas, si l'un des joueurs fait laguer sa connexion pour être déconnecté et ainsi ne pas terminer le match, il perd tout simplement la mise engagée. La perte des gains est d'ailleurs automatique en cas de déconnexion en cours de match, si l'adversaire déclare le match comme non terminé pour cette raison. Gare donc aux connexions bancales !

Des précautions qui, selon Yoann Saubot, ont prouvé leur efficacité lors de la bêta privée du site, réalisée en mai dernier, durant laquelle entre 1 et 2% des matchs réalisés ont fait l'objet de contestations.

Des ambitions affichées

Ouvert depuis moins d'une semaine, le site compte à l'heure actuelle environ 500 membres, et des partenariats réalisés avec de « gros forums communautaires » devraient permettre à la communauté de se développer. « Notre objectif pour le moment est de l'ordre de 20 à 50 joueurs en ligne, en permanence » explique le responsable de la communication, qui espère également « plusieurs centaines de paris par semaine ». Une évolution nécessaire pour l'entreprise, puisqu'elle prélève 10% sur chaque pari. A l'heure actuelle, la mise moyenne est de 5 euros, pour des paliers allant de 1 à 50 euros.

Pour le moment axé sur la France, MulteeGaming dispose néanmoins d'ores et déjà d'une version anglaise de son site : la Start Up compte en effet commencer sa communication en Angleterre et en Allemagne dès septembre. Quant aux jeux proposés sur le service, s'ils sont pour le moment très limités, ils devraient s'étoffer début 2011 avec d'autres jeux, a priori principalement sportifs.
RockYou, l'un des plus importants éditeurs de jeux vidéos sociaux et d'applications, vient d'annoncer qu'il avait signé un accord avec Facebook, pour utiliser Credits, la monnaie virtuelle du réseau social. Ce sera l'unique devise acceptée dans les applications et jeux de RockYou pour les cinq prochaines années.

RockYou a donc accepté les termes de Facebook, qui lui assurent 70% des revenus totaux générés par ses propres applications, tandis que le réseau de Mark Zuckerberg conserve les 30% restants. C'est donc une nouvelle réussite de Facebook dans sa volonté d'imposer sa monnaie virtuelle aux développeurs et éditeurs tiers.

Jusqu'ici, Facebook n'avait convaincu que deux éditeurs d'utiliser exclusivement sa monnaie universelle, CrowdStar et LOLapps. D'autres concurrents de RockYou, comme Zynga, avaient accepté de participer, tout en conservant l'utilisation d'autres solutions. Il faut dire que Zynga et Facebook ne se sont pas séparés en très bons termes lors de leurs négociations sur la monnaie, l'éditeur de jeux tentant évidemment de réduire la marge accordée au réseau social.

RockYou et Facebook ont également annoncé dans des communiqués séparés avoir fait équipe plus tôt cette année pour le programme Deal of the Day, qui récompense les utilisateurs du réseau lorsqu'ils interagissent avec les publicités présentes dans les jeux. Plus d'un million de personnes ont participé à ce programme au cours des quatre premiers jours, selon un communiqué commun des deux entreprises.

Aujourd'hui, RockYou affirme avoir fait transiter 5 millions de Credits sur son unique jeu Zoo World, à la fois par les paiements directs et les solutions sponsorisées par les annonceurs.
le 22/07/2010 à 00:12
Open World Forum : Démo Cup
Organisée dans le cadre de l’Open World Forum, avec le soutien opérationnel du Groupe Thématique Logiciel Libre du pôle Systematic, la Demo Cup est un concours de démonstrations ouvert à tous les innovateurs du libre et de l’open source. L'appel à candidatures lancé par l'Open World Forum pour l'édition 2010 de la Demo Cup touche à son terme. Les jeunes pousses souhaitant proposer leur projet ont jusqu'au 31 juillet 2010 pour déposer leur candidature.

Bien sur, le concours est ouvert à tous les projets open source prêts à être lancés ou déjà sur le marché. Le jury distinguera les projets les plus innovants, et les vainqueurs seront choisis pour leur capacité à réaliser la démonstration d’un produit innovant, à le positionner sur le marché, mettre en avant ses caractéristiques les plus attractives et le différencier des produits existants.

Douze sociétés, sélectionnées sur dossier de candidature, seront nominées et invitées à se présenter en 8 minutes chacune devant l'auditoire de l’OWF composé de décideurs, et d'un jury composé d’experts, d'investisseurs et d'intégrateurs open source.

Les auteurs des démonstrations les plus convaincantes seront récompensés par 5 Open Innovation Awards qui seront remis au cours de la keynote de clôture du forum, le 1er octobre 2010.

- Dossier concours 2010
Alors que dans d'autres pays en France, au hasard les arrestations et les condamnations d'internautes téléchargeant en peer-to-peer sont relativement courantes depuis plusieurs années, au Japon, ce type d'affaire est bien plus rare : parmi les cas rapportés jusqu'ici, Torrentfreak rappelle celui d'un homme de 33 ans, condamné en 2008 à 2 ans de prison avec sursis pour avoir téléchargé le film Wanted sur le réseau WinNY, très populaire au Pays du Soleil Levant.

Aujourd'hui, le site rapporte la première arrestation japonaise en lien avec Bittorrent : un homme de 31 ans a en effet été arrêté par la section de la police de Tokyo spécialisée dans la cybercriminalité. Shuichiro Tanaka, c'est son nom, a avoué avoir partagé sur le réseau des émissions de télévision, pour un total de 165 fichiers torrents. « Je l'ai fait pour les gens qui ont raté les emissions à la télévision. Il y a des risques de virus sur WinNY alors j'ai utilisé Bittorrent, j'avais également entendu dire que la police ne s'y intéressait pas » a-t-il expliqué, avant de plaider coupable.

La police tokyoïte a confirmé au site japonais 47news qu'il s'agissait de la première arrestation pour violation de copyright au Japon. Après l'arrestation médiatisée du premier pirate de jeux PSP en mai dernier, on peut imaginer que le pays veut durcir sa politique en matière de piratage, et faire plus d'exemples...
LoadingChargement en cours