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Microsoft a annoncé hier, lors de la conférence TechEd à la Nouvelle Orléans, que les versions bêta des Service Pack 1 de Windows 7 et Windows Server 2008 R2 seraient disponibles dès juillet.

Concernant le SP1 de Windows 7, dont une pré-version avait fuité sur Internet il y a deux mois, il ne faudra néanmoins s'attendre à aucune révolution : le pack ne contiendra qu'une compilation de correctifs déjà proposés au compte-goutte depuis la sortie de l'OS sur Windows Update, ainsi que quelques mises à jour supplémentaires. Selon Microsoft, l'objectif de ce SP1 pour 7 est principalement d'assurer un système d'exploitation stable dès son installation par de nouveaux utilisateurs.

Du côté de l'OS serveur , les utilisateurs trouveront également l'ensemble des correctifs proposés depuis le lancement du logiciel, mais également deux ajouts significatifs : Microsoft RemoteFX, un module de virtualisation qui optimisera les capacités du contrôle de bureau à distance, aussi bien niveau graphique que niveau sécurité. Second ajout, la mémoire dynamique (dynamic memory) qui permettra à Windows Server Hyper-V d'allouer de la mémoire à chaque machine virtuelle, selon les besoins. « Ces changements seront important pour les utilisateurs qui prévoient un développement de la virtualisation de bureau » explique le blog de la firme, précisant que cela concerne environ 10% des utilisateurs.

Aucune date précise n'a encore été fournie par Microsoft concernant le déploiement de ces deux Service Pack, mais gageons que cela ne durera pas.
le 08/06/2010 à 21:59
Les 15 ans de PHP
Voilà, le 8 juin 2010 est l'anniversaire de la naissance du langage PHP qui fête ses 15 ans cette année.

Mais il est important de faire un petit résumé des 15 années de PHP et surtout de savoir pourquoi il est devenu le langage incontournable dans les applications Web.

La première page publiée en PHP (1995) a été réalisée par Rasmus Lerdof. Régulièrement, de nombreuses évolutions ont été apportées pour répondre aux différentes attentes. Deux après, Rasmus Lerdof fut rejoint par Andi Gutmans et Zeev Suraski pour redévelopper le coeur de PHP sous une version 3. Dès sa sortie et pour répondre aux attentes, un nouveau coeur a été développé, appelé Zend Engine. Il est utilisé depuis la version 4 de PHP. Depuis la version 5 de PHP, le développement objet a vu le jour, tout en gardant tous les avantages qui ont fait le succès de PHP 4.

Les analyses et sondages montrent que le langage PHP se trouve dans le peloton de tête au coté des langages comme le Basic et le C. En 2008, PHP était déployé sur 35,1 millions de serveurs.

Son image est très populaire et une mascotte existe autour de PHP. Il s'agit d'un elePHPant créé par Vincent Pontier (El roubio), peluche distribuée à travers un site internet www.elephpant.com

Pour cette année exceptionnelle, l'AFUP (l'Association Française des Utilisateurs de PHP) proposera un grand rendez-vous pour marquer les 15 ans.
VirtuOz, spécialiste français des agents virtuels, a des clients comme eBay, Voyages-SNCF, SFR, Ameli ou la Fnac. En 2008, une seconde levée de fonds lui a permis de s'implanter dans la Silicon Valley, faisant passer l'entreprise sous statut américain. Nous avons rencontré Alexandre Lebrun, PDG de VirtuOz, à quelques miles de San Francisco. Il nous explique les choix et les défis de l'implantation.

Alexandre Lebrun, bonjour. VirtuOz est un spécialiste des agents virtuels… Pourquoi être venu dans la Silicon Valley ?

Quand nous avons lancé notre produit, nous travaillions déjà avec eBay au niveau de la France. L'entreprise était intéressée par notre solution d'agents virtuels pour les Etats-Unis, ce qui nous a permis d'envisager une implantation rapide. Nous sommes venus très vite grâce à une levée de fonds de 11,4 millions de dollars, auprès d'un investisseur de la Silicon Valley. Et nous sommes contents d'avoir été un peu tirés par eBay à l'époque. Nous aurions pu nous contenter du marché français, de grossir à cette échelle. Le choix n'est pas facile, notamment quand on a une famille, etc.

Mais partir tôt, comme nous l'avons fait, est un excellent choix à mon avis. Le produit est encore flexible du côté software, et on a une attente supérieure en terme de qualité. Le problème, c'est comment partir sans argent. La levée de fonds – et la demande d'eBay qui nous assurait un gros client dès notre implantation – nous a beaucoup aidés à ce niveau. Je pense que c'est un bon schéma, avec le recul : démarrer en France, parvenir à la profitabilité du produit, lever des fonds aux Etats-Unis avec un fort soutien logistique de l'investisseur.

C'est un succès enviable, mais est-ce vraiment aussi simple ?

Non, bien sûr que non. D'abord parce qu'il faut prendre en considération la vie personnelle de chacun. Ce n'est pas toujours évident de déménager à l'autre bout du monde lorsqu'on a une famille par exemple. Et même sur place, il y a beaucoup d'obstacles ou de pièges. Il vaut mieux être parano parfois, car on peut voir arriver assez rapidement des mercenaires, qui viennent réclamer un salaire énorme pour faire du consulting ou comme employés. Ils vont être payés 300 000 dollars par an, faire semblant de travailler pendant un an, et développer leur propre projet à côté. Au final, j'ai vu des entrepreneurs français perdre un an de développement et des sommes d'argent importantes à cause de ça.

Une autre tendance assez importante : les Français qui arrivent vont naturellement se tourner vers des Français déjà établis. Certains entrepreneurs ici sont très bons comme consultants, mais pas tous. Ce n'est pas toujours une bonne idée, parce que, si c'est confortable d'avoir des interlocuteurs de la même langue, ça n'aide pas à s'ouvrir à des investisseurs ou des entrepreneurs américains. Et c'est l'une des clés. Attention, il ne faut pas renier toutes les initiatives sérieuses, comme ce que font Ubifrance ou le French Tech Tour. Cependant, on reste là dans une phase de découverte. C'est très intéressant, car l'entrepreneur désirant s'implanter va avoir un maximum de rendez-vous en quelques jours, avec un temps de préparation réduit en amont. Mais ce n'est pas ça qui créera le business.

Une erreur classique des entreprises françaises intéressées par le marché américain, c'est de faire des économies en envoyant une personne en éclaireur, seule , pour essayer de signer deux ou trois contrats. Je n'ai jamais vu cela marcher nulle part.

Après, il y a d'autres soucis, qui semblent des détails… Par exemple, certains arrivent aux rendez-vous avec 20 minutes de retard. Ca semble dérisoire, mais c'est éliminatoire ici. Il faut savoir qu'un rendez-vous avec des entrepreneurs ou des investisseurs américains ne commencera jamais deux minutes plus tard. Quand on a une conférence téléphonique au sein de VirtuOz à 8h, tout le monde est en ligne à 7h59, c'est assez impressionnant. Et si quelqu'un est bloqué au téléphone avec un client par exemple, il va envoyer un mail à tout le monde 5 minutes avant.

Quelles sont les bonnes pratiques pour avoir des opportunités intéressantes ?

Il y a deux cadres différents pour une implantation : soit on vient avec un fonds d'investissement local, soit on arrive sans soutien. Nous, par exemple, du jour où nous avons signé pour le financement, nous avons été très épaulé. Financièrement, mais surtout en terme de crédibilité. On vient d'un pays lointain, avec juste nos valises, un accent horrible, et sans avoir fait Stanford… Il faut équilibrer ces désavantages absolument. Avoir un financement d'un fonds qui fait partie du top 20 apporte cette crédibilité. Ca joue beaucoup sur le recrutement.

C'est un point très important : le recrutement. L'avantage de la Silicon Valley, c'est qu'on va avoir accès à des gens qui ont été cadres dans de très grosses entreprises, comme SAP, Microsoft, Google, etc, et également dans des startups. Ils vont donc apporter une expérience énorme, beaucoup de crédibilité. Mais ces gens-là, qui ont un réel esprit de startup, et un enthousiasme authentique, sont demandés de partout. Si on ne veut pas tomber sur les mercenaires dont nous parlions, il faut un réseau et une crédibilité importante. La bonne idée ne suffit pas. On peut, et on doit, recruter à la fois des jeunes et des stars. C'est un vivier de cadres expérimentés que l'on ne trouve pas en France.

Il serait impossible de réussir dans les mêmes conditions en France ?

Il est beaucoup plus facile de lancer un business en France, grâce aux aides gouvernementales. Entre Oséo, les lois Tepa sur la réduction d'ISF, etc, c'est un super climat. Mais quand il s'agit de faire grossir son entreprise, les difficultés arrivent. Tous les avantages des débuts disparaissent, et comme je vous le disais, il est difficile de recruter tous ces grands cadres venus de Google, d'Oracle ou de SAP. La France est un peu trop cloisonnée pour ça. Or nous avons besoin d'eux pour grandir. C'est la principale différence que je vois entre les deux situations.

Mais ce qui est fait avec les pôles de compétitivité, c'est une bonne chose. Il faut un bouillonnement, des gens qui se trouvent. Ce qui m'inquiète un peu, c'est que c'est quelque chose qui ne se décrète pas. La Silicon Valley est le fruit de plusieurs choses : des gens qui ont fait fortune grâce aux stocks-options – et allez proposer des stocks-options à de grands cadres français… Des gens qui sortent de Stanford, des gens qui ont travaillé pour des entreprises comme HP, des business angels ou des capitaux-risqueurs… Il est possible de créer tout cela en France, mais comment les faire se rencontrer ? Allez dans un café de Palo Alto, on les trouvera tous. Est-ce qu'ils auront envie de traîner dans un café à Saclay ?

Il faut, en clair, de bonnes universités, un endroit assez éloigné de la ville pour ne pas que les gens s'en aillent, et des entrepreneurs qui ont fait fortune. Le rêve américain est un vrai moteur de l'enthousiasme. Pourquoi croyez-vous qu'on peut faire travailler neuf personnes comme des esclaves, sans sécurité sociale ? Parce qu'une personne a réussi en partant de rien. L'exemple est un moteur fort, qu'il ne faut pas négliger. Mais peut-on décréter qu'une personne sur dix travaillant à Saclay aura fait fortune ?

Alexandre Lebrun, je vous remercie.
La sécurité informatique ne connaît pas de trêve. Alors que le patch de sécurité de Microsoft de ce mois de juin promet d'être bien dodu, cette fois, c'est Adobe qui explique être victime d'une faille critique. Les trois produits Flash, Reader et Acrobat sont touchés dans leurs versions Windows, Mac, Linux et Solaris.

L'éditeur a donc fourni un bulletin d'alerte afin d'expliquer que la faille était déjà exploitée et qu'elle était déjà présente dans plusieurs versions de Flash (10.0.45.2 et antérieures) mais également d'Acrobat et Reader 9. Pour autant, Flash 10.1 et Acrobat 8 ne sont pas touchés.

La faille permettrait de pouvoir mener une attaque de type DoS (déni de service) afin de prendre à distance le contrôle d'un poste. Pour autant, une parade existe sur Flash Player. Il est possible d'installer la récente version 10.1, qui en est à sa version RC7 (proche de la version finale), et qui n'est pas affectée par cette vulnérabilité.

A la loupe, la vulnérabilité sur Adobe Reader et Acrobat touchent les environnements Windows mais aussi Macintosh et les systèmes UNIX, ou la vulnérabilité critique vient du fichier authplay.dll. Pour autant, aucun correctif n'est encore programmé à ce jour...
Après Yahoo! Microsoft serait désormais intéressé par AOL pour étoffer son portail Internet. C'est du moins la rumeur qui court sur la Toile suite à la publication d'un article par Business Insider. En effet, selon une source proche de l'affaire les deux parties seraient en cours de négociation, pas simplement pour installer Bing sur le portail américain - et donc remplacer Google - mais pour le rachat global de la société.

Les dirigeants de Microsoft seraient-ils toujours en train de scruter le marché des portails Internet ? Rappelons que le 1 février 2008 Microsoft publia un communiqué annonçant son intention de racheter Yahoo! pour la somme de 44,6 milliards. Après plusieurs mois de négociation les discussions se sont finalement orientées vers le marché de la recherche en ligne.

Si le rachat d'AOL par Microsoft fait sens sur le plan des médias en ligne, Business Insider souligne tout de même que la firme de Redmond souhaiterait attendre que la situation financière d'AOL se redresse suite à un dernier trimestre financier particulièrement mauvais. Interrogé à ce sujet par Reuters, Clayton Moran, analyste à l'institut Benchmark Co, souligne qu'avant la scission avec Time Warner en fin d'année dernière, le groupe médiatique avait vainement tenté de revendre le portail Internet. Yahoo! s'était notamment montré intéressé.

Il faut dire que la situation d'AOL n'était pas des plus brillantes. Aussi, pour faire face à son indépendance la firme a dû procédé à plusieurs restructurations internes. Après avoir licencié un tiers de sa masse salariale fin 2009 (2500 emplois), la société a fermé ses portes dans plusieurs pays européens dont la France. Par ailleurs, AOL a également vendu le logiciel de messagerie instantanée ICQ et serait en train de chercher des repreneurs pour le service de cartographie MapQuest et le réseau communautaire Bebo.

Tim Armstrong, anciennement chez Google et PDG d'AOL depuis mars 2009 aurait-il réussi à redresser la pente ? La société AOL passera-t-elle sous la directions de Microsoft aux côtés de MSN.com ? Après tout, Carol Bartz, l'actuelle PDG de Yahoo, avait souligné qu'à la place Jerry Yang, anciennement à la tête du groupe, elle aurait accepté de vendre le portail à Microsoft.
Au mois de décembre dernier, Yahoo avait levé le voile sur un partenariat de cinq ans avec le réseau communautaire Facebook en annonçant l'intégration de la technologie Facebook Connect sur l'ensemble de son portail Internet. Cette stratégie, baptisée en interne Project Rushmore, devait permettre aux internautes de se connecter à leur compte Facebook sur les sites de Yahoo! et de prendre connaissance des dernières mises à jour de leurs amis directement sur Yahoo! Mail, Yahoo! News, Yahoo! Sports et autres sites du portail.

Jim Stoneham, vice-président du département Communities chez Yahoo!, expliquait fin 2009 qu'un peu plus de la moitié des utilisateurs du portail possédaient un compte Facebook. Il ajoutait que le déploiement de Facebook Connect sera finalisé début 2010. C'est désormais chose faite et le portail est en train de mettre à jour son réseau. Sur sur le blog officiel de la société M.Stoneham explique : "quand vous créez et partagez du contenu sur nos propriétés - Yahoo news, Yahoo Sports, Yahoo Questions/Réponses et plusieurs de nos sites de divertissements comme OMG!, Yahoo!TV et Yahoo Music - vous pouvez le partager sur Facebook".

Le déploiement de Facebook Connect se traduira également par une refonte de Yahoo! Profile qui se revoit baptisé Yahoo! Pulse et qui permet désormais d'agréger 80 réseaux sociaux. Yahoo! Pulse sera prochainement disponible sur pulse.yahoo.com. Par la suite Yahoo! devrait intégrer Twitter sur ses différents sites thématiques et donc combiner la popularité de ces deux réseaux communautaires.
Pour le moment uniquement disponible sous Android, l'application Google Goggles sera prochainement disponible sur iPhone : c'est Shailesh Nalawadi, chef de projets de la firme de Moutain View, qui l'a annoncé en fin de semaine dernière lors d'un événement californien consacré à la réalité augmentée.

Google Goggles permet d'effectuer des recherches sur Internet via des photographies réalisées via le mobile équipé de l'application. Récemment, le service s'est doté d'une fonction de traduction de textes photographiés.

Shailesh Nalawadi n'a pas précisé de date d'arrivée pour cette version iPhone, mais à néanmoins donné une autre information intéressante concernant l'application Goggles : Google serait en effet tenté de proposer prochainement sa technologie de reconnaissance par l'image sous forme d'API, pour permettre à des développeurs tiers de se l'approprier dans de nouvelles applications. Là encore, pas de date, mais selon les propos de l'intéressé rapportés par Read Write Web, cela pourrait prendre plusieurs trimestres avant de voir arriver les APIs en question.
Une fois de plus la politique de Google en matière de vie privée est au coeur d'une polémique et cette fois c'est l'Australie qui devrait s'y intéresser. L'affaire fait suite à la collection accidentelle des données récupérées sur les réseaux WiFi publics par les Google Cars. Averties de ce problèmes, les autorités australiennes estiment que le géant de la recherche aurait été en violation de la loi locale Telecommunications Interceptions Act.

Après avoir accepté de livrer les données récoltées auprès de la Commission Européenne, Google a annoncé hier vouloir de collaborer avec l'Australie. "C'était une erreur. Nous sommes en discussion avec les autorités afin de répondre à toutes leurs question", explique un porte-parole de la société.

Ce n'est pas la première fois que la fonctionnalité Street View est au coeur du débat. Outre les différents procès de particuliers, en août 2009, Hans-Peter Thür, Préposé fédéral à la protection des données (PFPDT), demandait le retrait pur et simple de la fonction, arguant qu'elle portait atteinte à la vie privée des résidents suisses, dans la mesure où visages et plaques d'immatriculations n'étaient pas toujours correctement floutés. Au mois de mars dernier, ce sont les autorités de Bruxelles qui se sont penchés sur le service web. La commissaire Viviane Reding, chargée de la société de l'information et des médias, déclarait alors :"En Europe, nous avons des critères très élevés en ce qui concerne la protection de la vie privée. J'attends que toutes sociétés jouent selon les règles prédéfinies".
Les sociétés ARM, Freescale, IBM, Samsung, ST-Ericsson et Texas Instruments ont annoncé la création de l'organisation à but non-lucratif Linaro. Cette dernière a pour mission de faciliter et d'accélérer le développement des systèmes embarqués basés sur Linux.

Plus précisément les constructeurs mettront à disposition des outils de développement afin que les programmeurs puissent créer des applications de bas niveau en directe communication avec le kernel et la puce de silicium des terminaux. L'éditeur Canonical devrait également prendre part à ce projet notamment via la plateforme de développement Launchpad.

Puisqu'il s'agit de programmation à bas niveau, Linaro fonctionnera avec l'ensemble des distributions existantes comme Android ou MeeGo. Dans la FAQ du site Internet il est stipulé : "le but de Linaro est de réduire le temps de développement afin de permettre aux produits innovants d'arriver plus vite sur le marché". Dans la mesure où les fabricants s'accorderont sur les spécificités logicielles, l'utilisateur devrait pouvoir bénéficier de terminaux optimisés par exemple pour la durée de vie d'un cycle de batterie. Par la suite, ces types d'optimisation pourraient se traduire par des terminaux plus fins.

Les outils de Linaro seront disponibles dans le courant du mois de novembre et seront mis à jour tous les six mois. Retrouvez de plus amples informations sur le site Internet officiel.
Lors du sommet Tech Ed 2010, l'équipe chargée du développement de Bing a annoncé l'ouverture d'une interface de programmation auprès de la communauté des développeurs. Plus précisément, le service de cartographie Bing Maps devrait s'enrichir de nouvelles couches d'informations.

La version américaine de Bing Maps propose déjà une trentaine d'"applications" afin d'afficher sur une carte différents types de données. Cette fonctionnalité requiert Silverlight. Ainsi il est possible de visualiser les derniers messages publiés sur Twitter, obtenir le trafic routier en direct, prendre connaissances des événements locaux, admirer les graffitis urbains ou encore récupérer des photos de Flickr pour un monument donné.

Désormais, Microsoft passe la main aux développeurs, l'on imagine ainsi quelques couches supplémentaires par exemple une carte des radars routiers. Pour les sociétés ce pourrait également être l'occasion de cartographier leurs magasins ou restaurants en y ajoutant des informations personnalisées pour chacun d'eux (horaires d'ouverture, menus, contacts, photos...). Reste à savoir quand toutes ces fonctionnalités seront portées sur la version française du moteur de recherche.

Pour télécharger le kit de développement rendez-vous ici.
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