News

Au motif que le droit de réponse n'est pas appliqué sur Internet, le sénateur Jean-Louis Masson (UMP) a introduit un nouveau projet de loi visant les blogs. Le sénateur de la Moselle a donc présenté une proposition en vue de rendre les blogueurs responsables de leurs écrits, en levant leur anonymat.

La loi LCEN (confiance dans l'économie numérique) introduisait des limitations en matière d'identification pour les blogueurs. Ainsi, ces écrivains non-professionnels doivent seulement « tenir à la disposition du public, pour préserver leur anonymat, que le nom, la dénomination ou la raison sociale et l'adresse de l'hébergeur ». Mais face à certains dérapages et à la difficulté d'identifier certaines sources d'informations, le sénateur souhaite durcir la législation.

Pour Jean-Louis Masson : « Compte tenu de la multiplication des sites et des propos litigieux qu'ils peuvent contenir, il apparaît de plus en plus nécessaire de faciliter l'exercice concret du droit de réponse des personnes nommément mises en cause par des auteurs anonymes. » Histoire « d'ouvrir le dialogue » mais également de mieux les identifier.

Certains internautes soutiennent déjà le projet. Le blogueur Serge Faubert rappelle les lois sur la presse et sur la confiance dans l'économie numérique qui régissent l'expression publique sur Internet. Il précise que « si la proposition du sénateur Masson est exagérée dans sa forme –je pense à l'adresse et au téléphone- elle n'est pas outrancière dans son principe. Assumer la responsabilité de ses propos ou de ses écrits est la contrepartie nécessaire de la liberté d'expression. » Il tient donc à rappeler qu'écrire s'accompagne d'obligations.

Pour autant, cette proposition fait débat puisqu'outre le fait que le droit de réponse existe déjà sur Internet par le biais des commentaires et des messages privés, elle laisse planer un doute quant aux conséquences sur la liberté de ton et d'expression. A l'heure où certains sont licenciés pour des propos déplaisants tenus sur Facebook, le risque est donc clair d'ouvrir la porte à un encadrement du Web.
le 23/05/2010 à 22:33
Pack Magento professionnel
Magento est une eCommerce en ligne, réalisé en PHP.

Magento professionnel rejoint les pack Magento communautaire et Magento entreprise. Il apporte

les mêmes fonctionnalités de base que propose les autres packs. Cependant, il apporte les fonctionnalités suivantes :
- Accroître la rétention des clients
- Augmentation du revenu (certificats cadeaux ou cartes)
- Augmenter le service à la clientèle
- Augmenter la sécurité

Un communiqué est disponible expliquant l'ensemble des nouveautés.

- Communiqué Pack Magento professionnel
le 23/05/2010 à 22:33
Pré requis pour un CMS
Ian Barber a publié sur le blog Ibuildings quelques points qu'il est important de connaître lorsqu'un projet doit utiliser un gestionnaire de contenu en PHP.

Le choix de l'application d'un gestionnaire de contenu (CMS) n'est pas vraiment une priorité car il en existe énormément sur le marché, mais d'autres points doivent être pris en compte pour que le résultat souhaité soit un succès.

Dans son article publié, les points principaux qu'il soulève concerne :
- Un système déjà existant et qu'il faut le faire évoluer
- Des conseils à ne pas tenir compte
- Des points à ne pas rater
- Le maintien du projet dans le futur
- etc

- Creating Content Site Requirements
le 22/05/2010 à 22:35
Code Lobster 3.4.1
Code Lobster est un EDI (Environnement de développement intégré). pour PHP, HTML, CSS, Javascript.

Il intègre un débogeur, tourne que sous windows et est gratuit. Ce qui le distingue des autres EDI, ceux sont ces plugins qui sont proposés en natifs.

Les plugins intégrés sont orientés CMS comme :
- Drupal
- Smarty
- Wordpress
- Joomla
- Jquery
- etc

Grâce à ces plugins, vous pourrez facilement concevoir vos modules, extensions... suivant le CMS que vous avez choisi grâce à l'aide intégré des différentes fonctionnalités.

- Code Lobster 3.4.1
le 22/05/2010 à 22:35
Reporting Open Source
Les rapports d'activités sont toujours utiles à établir lors d'un projet web PHP (internet / intranet / extranet) pour avoir différentes analyses.

Pour établir une étude, il est important de préparer des scénarios sous la format de requêtes SQL. Et lors des différentes opérations de tests , vous pouvez utiliser un des programmes Open source disponible et vous obtiendrez différentes informations que vous souhaitez pour effectuer les analyses.

Il existe un pack Open source qui est regroupé sous JasperForge avec de nombreux modules vous permettant de faire ces analyses comme :
- JasperReports
- JasperServer
- JasperAnalysis
- JasperETL

- JasperForge site officiel
Lors de la seconde journée de la conférence I/O, Google a annoncé en détail sa stratégie pour le marché de la télévision connectée. Google TV se présente comme un ensemble de services venant se greffer au téléviseur pour en simplifier son usage. Google TV sera pré-installé sur certains postes mais sera également disponible sous la forme d'un boitier numérique connecté en HDMI et doté d'un lecteur Blu-ray. Parmi les premiers partenaires nous retrouvons Sony et Logitech.

Avec Google TV la traditionnelle grille des programmes se voit simplifiée par un moteur de recherche universel via lequel il est possible de rechercher ses types d'émission favories ou effectuer certaines commandes comme l'enregistrement. A l'image d'un navigateur, l'utilisateur sera en mesure d'ajouter en favoris une requête, une émission ou encore une radio directement sur un écran d'accueil personnel.

Plus qu'un simple moteur de recherche, Google TV embarque également le navigateur Chrome couplé au plugin Flash ainsi qu'Android. En effet, pour une requête donnée des résultats de sites Internet apparaitront également à l'écran, par exemple pour la location de films en streaming, ou l'accès à une version de YouTube spécialement optimisée pour grands écrans.

La plateforme Google TV, ouverte aux développeurs, est aussi basée sur Android. En version 2.1 pour l'instant, le système initialement développé pour terminaux mobiles recevra régulièrement des mises à jour. La présence d'Android est intéressante à plusieurs niveaux. D'une part, cela signifie qu'il est possible d'interagir avec de véritables applications. D'autre part cela ouvre de nouvelles opportunités aux développeurs souhaitant créer des logiciels (gratuits ou payants) spécifiquement conçus pour les besoins et la taille d'un écran de télévision. Côté utilisateur, ce dernier sera en mesure de piloter le téléviseur directement depuis son téléphone, et même en utilisant la recherche vocale.

En rassemblant à la fois Chrome et Android, Google TV semble alors être au coeur d'une véritable stratégie multi-écran. Les premières télévisions embarquant la plateforme verront le jour en automne aux Etats-Unis.
Puissance, ouverture et fonctionnalités : si le nouvel Android dévoilé par Google jeudi à l'occasion de sa conférence I/O n'est pas une déclaration de guerre à l'encontre d'Apple et de son iPhone, la présentation à laquelle il a donné lieu aurait pu le laisser penser. « Si Google n'agit pas, nous risquons de faire face à un futur sombre dans lequel la société d'un homme, un appareil et un unique opérateur seraient le seul choix », a ainsi lâché en introduction Vic Gundotra, vice-président en charge de l'ingénierie chez Google, revenant sur l'arrivée du numéro un mondial des moteurs de recherche dans l'univers de la téléphonie mobile avant de présenter les nouveautés d'Android 2.2, nom de code « Froyo » (yaourt glacé).Plus rapide, toujours plus connectéAvec Android 2.2, Google promet une augmentation significative des performances, notamment grâce à la mise en place de nouvelles options de compilation qui permettraient aux applications de s'exécuter jusqu'à 2 ou 2,5 fois plus vite qu'avec la précédente mouture du système. La firme signale également l'intégration du moteur JavaScript V8, qui serait lui aussi 2 fois plus rapide que l'existant. La gestion de la mémoire vive a enfin été revue, afin que les applications la libère plus efficacement à la fermeture. Comparée à l'actuel Android 2.1 « Eclair », la version 2.2 doit donc offrir une expérience utilisateur bien plus fluide, y compris sur des terminaux qui ne bénéficient pas d'une configuration haut de gamme.

Plus rapide, Android 2.2 se veut également plus ouvert. Google n'a logiquement pas manqué de revenir sur l'intégration de Flash Player 10.1 à son système, un point souvent pointé du doigt comme l'une des principales lacunes de l'écosystème développé par Apple. Le système profite par ailleurs pleinement des possibilités offertes par le HTML5, à commencer par l'exploitation depuis le navigateur de certains éléments matériels comme le capteur photo.

Android 2.2 se dote également d'un nouveau module permettant de partager la connexion GSM / 3G avec un autre terminal comme un ordinateur. Ce mode modem fonctionnera en USB, mais aussi en WiFi, le téléphone se comportant alors comme un hotspot capable d'accueillir jusqu'à 8 terminaux invités.

Tout à ses efforts de démocratisation, Google n'oublie pas l'univers de l'entreprise et annonce une prise en charge améliorée des fonctionnalités de Microsoft Exchange : nouvelles options de sécurité, partage des agendas avec Google Calendar ou intégration des annuaires d'entreprise devraient ainsi renforcer l'attrait d'Android du point de vue des grands comptes.De nouvelles interfaces de programmation "cloud to device" font également leur apparition, de façon à permettre des interactions plus poussées entre le terminal de l'utilisateur et un service en ligne. Elles permettront par exemple d'ouvrir Google Maps Navigation avec une adresse précise, récupérée en ligne, ou d'installer une application directement depuis la version Web de l'Android Market, qui elle aussi profite d'une mise à jour. Les logiciels pourront également être utilisés par le biais d'une carte mémoire externe.

L'interface enfin n'est pas oubliée, avec quelques évolutions d'importances diverses : nouvelles bulles d'aide en page d'accueil, claviers internationaux, révision de la galerie photos, nouveaux raccourcis, etc. La version anglaise du système profite enfin d'une amélioration des fonctions de reconnaissance vocale (speech to text).

Si les outils de développement (SDK) ainsi que la version de test du système sont dès à présent disponibles pour les développeurs, les utilisateurs finaux devront quant à eux attendre quelques semaines - sans plus de précision - pour profiter d'Android 2.2.
Hier, le Wall Street Journal a mis le doigt sur une nouvelle indélicatesse des réseaux sociaux en déclarant que certains d'entre eux bravaient leurs propres politiques de confidentialité, en fournissant à leurs annonceurs des informations qui permettraient d'identifier les utilisateurs qui cliquent sur les publicités.

Si de nombreux sites seraient concernés, c'est surtout Facebook qui semble au cœur de cette affaire, qui risque de remettre de l'huile sur le feu concernant la protection de la vie privée sur les réseaux sociaux.

En cause, le referrer, c'est-à-dire le lien de la page sur lequel était l'utilisateur avant de cliquer sur la publicité, qui est donné aux annonceurs pour leur permettre d'identifier sa source et comptabiliser les clics. Problème : le lien en question peut, dans certains cas, en dire long sur l'identité du membre, à commencer par son nom. « Quand un utilisateur visite son propre profil, ou une page associée à son profil, un tag "?ref=profile" est ajouté à l'URL, et indique ainsi l'identité du membre » explique Ben Edelman, professeur à la Harvard Business School.

Interrogé par le journal, Facebook a confirmé la véracité de cette nouvelle faille, tout en affirmant qu'elle était d'ores et déjà corrigée. « Nous avons été récemment informés d'un cas de figure dans lequel les annonceurs pouvaient identifier un utilisateur ayant cliqué sur leur publicité, s'il avait suivi avant un itinéraire spécifique sur le site », a expliqué un porte-parole de Facebook. « Nous avons réglé ce problème dès que nous en avons eu connaissance. En outre, nous avons fait en sorte de ne plus inclure l'identité des utilisateurs dans les liens referrer. »

Si le site de Mark Zuckerberg est une cible privilégiée en ce moment par les détracteurs des réseaux sociaux, ce n'est cependant pas le seul à mal protéger l'identité de ses membres vis-à-vis des annonceurs : une étude, menée en août dernier par des chercheurs de l'AT & T Labs et du Worcester Polytechnic Institute sur 12 sites de réseaux sociaux, a conclu que plusieurs d'entre eux offraient des opportunités aux annonceurs pour récupérer des informations sur les utilisateurs. Les chercheurs avaient alors communiqué les failles aux sites concernés, mais leurs appels étaient restés jusque-là sans réponse.

Par ailleurs, les réseaux mis en cause, parmi lesquels MySpace, LiveJournal, Xanga et Digg, se défendent en prétextant que « contrairement à Facebook, les utilisateurs ne sont pas tenus de mettre leur vrai nom lors de leur inscription ». De plus, selon eux, les seules informations fournies par le referrer concernent la page sur laquelle la publicité est apparue et non l'identité de l'utilisateur qui clique sur la bannière : le lien n'aurait donc, dans ce cas, qu'une simple valeur statistique.

Du côté des annonceurs, on se défend de toute pratique illégale : « Nous ne cherchons en aucun cas à faire usage de tous les noms d'utilisateur ou informations que leurs URL peuvent contenir » a expliqué un porte-parole de Google. Chez Yahoo, cela semble même aller plus loin : « Nous interdisons à nos partenaires d'envoyer des informations personnellement identifiables pour nous » commente la directrice de la vie privée de la société, Anne Roth. « Nous leur avons dit que nous n'en voulions pas, qu'ils ne devaient pas nous les envoyer. Et si elles sont là, nous ne les utilisons pas. ». Mais les régies présentes sur les sites de réseaux sociaux sont très nombreuses, et il n'est pas certain qu'elles aient toutes la même éthique...
Les Etats-Unis pointent, une fois encore, les pays « mauvais élèves » en matière de sécurité informatique et de piratage. Un groupe de parlementaires s'est récemment réuni pour montrer du doigt cinq pays : La Chine, la Russie, le Canada, l'Espagne et le Mexique comme étant des « pays à surveiller ».

Le Congressional International Anti-Piracy Caucus (Réunion du Congrès Contre le Piratage International) ne fait pas dans la dentelle. En dévoilant sa liste des pays les moins soucieux de la préservation de la sécurité informatique de ses citoyens, le groupement en profite pour faire un tacle appuyé sur les méthodes qui permettent de télécharger illégalement du contenu. Il est donc clairement fait mention du suédois The Pirate Bay, de la société allemande RapidShare, du canadien IsoHunt mais également du moteur chinois Baidu, de mp3fiesta ou encore de RMX4U.com.

Toutes ces échardes dans le pied du Congrès américain sont censées être le reflet des motivations américaines puisque depuis 2003, ce groupe de 70 parlementaires américains, sénateurs et membres de la Chambre des représentants confondus, dresse une liste noire. Les Etats sont alors considérés comme des mauvais élèves de la préservation de la propriété intellectuelle des biens culturels américains. Force est de constater que depuis 2008, les 5 pays de « l'Axe du Mal numérique » sont restés les mêmes...

Ces Etats ne protégeraient donc pas suffisamment les auteurs et favoriseraient le développement de l'offre illégale de contenus culturels illégaux. Pour preuve, membre du Caucus, le sénateur Whitehouse explique que : « le piratage de nos propriétés intellectuelles dans le monde affaibli un segment de notre économie qui a longtemps entretenu l'innovation et la création d'emplois aux États-Unis doit s'arrêter, et vite ». Selon ce groupement, le « piratage »aurait représenté un manque à gagner de 25 milliards de dollars. Ambiance.

De son côté, la France n'apparaît pas dans ce classement. Les sénateurs ont, peut-être, déjà été séduits par l'approche de la riposte graduée et de l'Hadopi. Qui sait...
Un temps l'apanage de spécialistes du secteur, le débat sur la neutralité du Net prend désormais un tour officiel, avec le lancement, jeudi, d'une consultation publique sur le sujet par l'Autorité de régulation des télécoms française. Un mois après l'organisation d'un colloque dédié à cette épineuse thématique, l'Arcep dit vouloir recueillir un maximum de contributions qui viendront étayer le rapport qu'elle rendra au gouvernement fin juin.

Dans un document d'une cinquantaine de pages (PDF), elle rappelle les principaux tenants et aboutissants du dossier, qui oppose partisans d'un accès libre et ouvert à toutes les ressources du Web, indépendamment de toute considération économique, et défenseurs d'une régulation préventive du trafic.

Bien qu'elle affiche un soutien ouvert à la première des deux propositions, l'Arcep rappelle ne pas pouvoir ignorer les arguments avancés pour la défense de la seconde, qui justifient la mise en place de cette consultation, au terme de laquelle elle espère être en mesure de formuler des propositions concrètes garantissant les trois points suivants :
- un accès transparent et non discriminatoire à tous les contenus services et applications
- une qualité de service satisfaisante sur l'ensemble des réseaux
- la mise en place d'un cadre économique et réglementaire favorisant le développement à long terme des réseaux.

Entre autres points, la consultation invite donc internautes et spécialistes du secteur à plancher sur des thématiques telles que les conditions de l'équilibre entre accès à l'internet et services gérés, l'encadrement des mécanismes de gestion de trafic mais aussi à réfléchir à des problématiques telles que la neutralité au niveau des terminaux, la situation concurrentielle des marchés des moteurs de recherche et de la publicité en ligne ou l'attribution des compétences réglementaires relatives au Net.
LoadingChargement en cours