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Amazon Web Services vient d'annoncer une nouvelle option de stockage au sein de son Simple Storage Service (S3), du nom de Reduced Redundancy Storage (RRS). Elle doit permettre à ses clients de réduire leurs coûts en utilisant des niveaux de redondance moins élevés qu'Amazon S3 standard pour les informations non-critiques et reproductibles.Amazon propose donc une solution annoncée comme plus rentable pour la distribution et le partage de contenus stockés dans le cloud. Le RRS stocke les données dans plusieurs centres, apportant une pérennité 400 fois supérieure à celle d'un disque dur, mais en le répliquant moins que la version standard de S3 pour réduire les coûts.

« Les clients qui utilisent Amazon S3 pour partager des contenus stockés de façon pérenne n'importe où, ou qui stockent des vignettes, des médias transcodés, ou d'autres données faciles à reproduire, nous ont dit qu'ils n'avaient pas toujours besoin du niveau de pérennité offert par Amazon S3 standard. Ils nous ont demandé une solution de stockage encore plus rentable pour ce type de données, » selon Alyssa Henry, responsable d'Amazon S3. « RRS offre une redondance plus basse à un prix plus bas, tout en garantissant une disponibilité aussi grande. »

Les deux options de redondance permettront toujours de stocker des données dans de multiples centres et appareils. Amazon S3 assure la pérennité des informations en détectant rapidement les appareils plantés, corrompus ou qui ne répondent pas, et réplique les données pour ne pas perdre la redondance. A titre d'illustration, la version standard continuera donc à proposer une durabilité à 99,999999999% et à assurer contre la défaillance de deux centres de stockage à la fois, alors que la version RRS se limitera à assurer cette durabilité à 99,99% en assurant la défaillance d'une seule installation.
Suite au coup de pression orchestré par l'équivalent allemand de la Cnil, cette fois la France a décidé de mener une enquête auprès de Google pour savoir quelles données ont été collectées par les Google cars. La Commission nationale Informatique et Libertés fera donc un contrôle. Reste à savoir comment.

Alors que l'Allemagne a donné à Google jusqu'au 26 mai pour montrer ses disques durs et prouver que les données concernant les réseaux WiFi ont bien été effacées, la France veut une enquête. La Cnil cherche à savoir où sont depuis 2006, les 600 Go de données collectées par erreur par Google. De même, la question devrait être posée de savoir si comme l'a affirmé la firme, toutes ces données ont bien été supprimées.

Sur son site, la Cnil informe donc de son intention d'agir. Elle affirme que « Google a déclaré le 14 mai que les voitures Street View, chargées de prendre les images utilisées par son service de cartographie, ne se sont pas contentées de capter des photographies. En effet, des données WiFi relatives au contenu des communications, c'est-à-dire les échanges entre les ordinateurs et les points WiFi ouverts, ont également été enregistrées par erreur. Or cette collecte n'était pas mentionnée dans la déclaration de Google à la CNIL. C'est pourquoi la Commission réalise actuellement un contrôle de Google, dans le but d'obtenir toutes les informations sur cette affaire et décider des suites à donner. »

Reste à savoir comment sera orchestré ce contrôle. En vertu de la loi Informatique et Libertés, la Cnil peut mener des « visites », notamment pour vérifier si les entreprises observent bien le droit à l'oubli. Sur le coup, même si elle doit se conformer à la loi, il n'est pas certain que Google laisse facilement la Cnil accéder à ses données. Il se pourrait donc que la firme la joue « à l'irlandaise » en prouvant, pdf à l'appui, que les données ont bien été effacées par une entreprise tierce.
Le spécialiste du filtrage de contenus numériques Profil Network Filter a publié hier le Top 25 des sites les plus visités par les utilisateurs d'Internet en entreprise. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les sites prônant le divertissement tiennent le haut du pavé.

Google arrive en tête, non pas uniquement grâce à son moteur de recherche, mais grâce à sa multitude de services annexes - Maps et Gmail entre autres. Viennent ensuite Facebook, Youtube, Live, MSN ou encore Deezer. Wikipedia arrive en treizième position, suivi par Aufeminin.com ou encore le site de l'opérateur Free. Leboncoin est quand à lui vingt-cinquième.

En toute logique, l'étude conclut que « l'utilisation d'Internet en entreprise se fait principalement à titre personnel », ce qui entraîne des risques en termes de productivité dans les entreprises, mais également au niveau de la sécurité des réseaux. « L'encadrement des accès et des utilisations par groupe d'utilisateurs, tranches horaires et produits devient indispensable afin de limiter les abus et protéger l'entreprise » commente le chef de produit de Profil Technology Antoine Gilles.

L'étude a été menée entre le premier janvier et le 31 mars 2010 sur plus de 150 000 visites de sites Internet, dans les entreprises utilisant les solutions de Profil Network Filter.

Voilà qui devrait donner des idées aux entreprises en matière de sites à filtrer... Même si Google risque d'être difficile à mettre de côté !

Voici la totalité du Top 25 :

1 - google.fr (y compris gmail)
2 - facebook.com
3 - youtube.com
4 - live.com
5 - msn.com
6 - deezer.com
7 - dailymotion.com
8 - yahoo.com
9 - bing.com
10 - apple.com
11 - microsoft.com
12 - jeuxvideo.com
13 - wikipedia.org
14 - aufeminin.com
15 - free.fr
16 - ebuddy.com
17 - laposte.net
18 - tf1.fr
19 - allocine.fr
20 - wat.tv
21 - lequipe.fr
22 - nrj.fr
23 - ebay.com
24 - pagesjaunes.fr
25 - leboncoin.fr
Le réseau social aux presque 500 millions de membres et l'éditeur de jeux viennent d'annoncer la signature d'un contrat qui les lie pour les 5 années à venir.

Zynga, qui propose sur Facebook des jeux comme Farmville, Mafia Wars ou encore Café World, compte plus de 230 millions d'adeptes sur le réseau social, dont 65 millions qui jouent quotidiennement. « Nous sommes ravis de l'engagement à long terme de Facebook vis-à-vis du social gaming et de Zynga, et nous sommes impatients de travailler avec eux et d'autres plate-formes pour offrir la meilleure expérience de jeu aux utilisateurs du monde entier. » a déclaré Mark Pincus, le créateur de l'éditeur de jeux.

Ce partenariat, outre lier les jeux au réseau social, permettra d'étendre les crédits Facebook - la monnaie virtuelle du site accessible en convertissant d'authentiques deniers – à l'ensemble des services proposés par Zynga.

L'annonce arrive quelques jours seulement après une rumeur qui évoquait l'envie de Zynga de s'émanciper de Facebook, en raison du trop fort pourcentage prélevé par le réseau social sur les ventes d'objets virtuels réalisées sur les différents jeux de l'éditeur. Même si les termes de l'accord n'ont pas été divulgués, on imagine sans mal que Facebook a su trouver des arguments de poids pour garder sa poule aux œufs d'or près de lui...
Pas encore sortie, elle pourrait déjà être enterrée. Le président de la République aurait pris la décision de reporter le lancement de l'opération Carte musique-jeunes à la rentrée prochaine. Initiée à l'issue de la Commission Zelnik (hypothétique Hadopi 3) et bien qu'ayant les faveurs du ministère de la Culture, la carte sortira bien après la fête de la musique. Si elle sort un jour…

Un pavé vient, semble-t-il, d'être jeté. Selon ElectronLibre, la sortie de la carte musique dédiée aux jeunes serait repoussée à la rentrée 2010. Censée mettre un coup d'arrêt au téléchargement illégal, elle propose aux 18-24 ans pour 50 euros de télécharger légalement pendant un an. Financée à 50 % par l'Etat, le reste aurait incombé aux FAI. Pour autant, du côté de l'Elysée même si les mots sont pesés, l'ambiance n'est pas à la dépense mais plutôt à la rigueur.

Côté FAI, la question de l'extension de l'assiette de TVA à 19,6 % dans les offres Triple-play n'a toujours pas été réglée. L'Union européenne avait alors sévèrement critiqué la France à propos du système des taux de TVA différenciés appliqués aux fournisseurs Internet. Vu que le projet est désormais au point mort, la carte musique ne progressera plus d'un fifrelin…

De même, l'accueil réservé à cette carte par les « jeunes » a été des plus frais. Outre les commentaires sur Clubic, sur Waka la nouvelle plate-forme du gouvernement dédiée aux jeunes, les commentaires sont plutôt rudes. La plupart sont clairement contre le projet du gouvernement, particulièrement sur le prix de 50 euros proposé.

Entre mise au point poussive et critiques répétées, ce report de la carte Musique-jeune, censée être l'alternative légale à l'Hadopi ressemble à un demi-enterrement.
Crédits EngadgetSi la plupart des navigateurs embarquent peu à peu les spécificités du HTML5, l'un des points particulièrement sensibles qui divise les éditeurs de navigateurs reste véritablement la prise en charge de la balise . Google, Apple et Microsoft ont choisi le codec H.264 protégé par des droits de propriété intellectuelle tandis Mozilla et Opera ont privilégié la solution open source Theora. Mais voici qu'une nouvelle alternative est désormais disponible : WebM

Lors de la conférence Google I/O Sundar Pichai, chef produit de Google Chrome, revient sur VP8, le codec video développé par la société On2 technologies. Cette dernière fut rachetée par Google pour 106,5 millions de dollars en janvier 2010. De l'ordinateur à la télévision en passant par le téléphone portable, la technologie de On2 est présente un peu partout chez AOL comme chez Skype, Nokia, Sony ou encore Yamaha. VP8 se révèle particulièrement performant en ce qui concerne la gestion de la bande passante, un souci permanent pour l'équipe de Youtube.

"Nous estimons que la vidéo devrait avoir une vraie alternative open source (...) Aujourd'hui nous avons publié VP8 en open source", explique ainsi M. Pichai. Il en résulte WebM, un tout nouveau codec couplé à Ogg Vorbis (pour l'audio) que les éditeurs sont invités à embarquer au sein de leurs logiciels. WebM se révèlerait particulièrement performant aussi bien sur ordinateur classique que sur les netbooks ou les smartphones.

Invité à s'exprimer sur le sujet, Mike shaver , vice-président en charge de l'ingénierie chez Mozilla, explique qu'une version alpha de Firefox embarque ce nouveau codec. Hakon Wium Lie, de l'équipe d'Opera Software présente également une version du navigateur éponyme embarquant cette technologie. WebM sera implémenté au sein de YouTube, ce qui devrait lui assurer une adoption massive.

Reste à savoir si Microsoft et Apple l'adopteront également au sein de leur logiciels.
Lors de la conférence Google I/O, Sundar Pichai, chef produit de Google Chrome, annonce le lancement de Chrome Web Store, un répertoire censé faciliter la découverte de nouveaux services Internet. Chrome Web Store se présentera sous la forme d'une nouvelle page par défaut au sein du navigateur Google Chrome. La firme de Mountain View devrait en profiter pour promouvoir certains services hébergés mais également des jeux.

Directement à parti de cette nouvelle galerie, il sera possible pré-visualiser une application mais également de l'acheter via le système de paiement électronique Google Checkout. Les applications seront classées sous forme de catégories (divertissements, communication, productivité...). Nous y retrouverons également des thèmes et des extensions pour le navigateur Chrome.

"Les éditeurs pourront promouvoir leurs produits auprès 70 millions d'utilisateurs" explique M.Pichai avant de préciser que Chrome Web Store sera disponible sur toutes les versions du navigateur (Windows, Mac OS X, Linux et Chrome OS). Crédit CNET US
Toujours à l'occasion de la conférence Google I/O, Google annonce la disponibilité générale de son service collaboratif Wave ainsi que son intégration au sein de Google Apps. Dévoilé l'année dernière à la même conférence par l'équipe de Google Australia, Wave se trouve à mi-chemin entre l'email, la messagerie instantanée et le wiki.

Contrairement au modèle traditionnel qui consiste à envoyer et recevoir plusieurs messages sur un même sujet, Wave permet de créer une nouvelle discussion et d'y inviter les participants de son choix. L'internaute reçoit une notification à chaque fois qu'une discussion est mise à jour, à la manière d'un forum privé. Wave se complète d'une galerie d'extensions permettant de mettre en oeuvre toutes sortes d'interactions entre les utilisateurs (jeux, cartes géographiques, sondages...).

Initialement disponible sur invitation, Wave est donc accessible au public ainsi qu'aux utilisateurs de Google Apps qui devraient recevoir une mise à jour dans leur interface d'administration. Retrouvez notre test de Google Wave ici
le 19/05/2010 à 19:54
Joomla 1.6 bêta
La nouvelle version du CMS Joomla en version bêta en PHP vient d'être libérer.

Cette version très attendue auprès de la communauté Joomla comprendra de nombreux nouveaux outils, permettant de gérer plus facilement votre site web.

Un communiqué de cette version est disponible pour en savoir plus dont vous pourrez tester mais surtout ne pas le déployer.

- La version Beta de Joomla! 1.6 est disponible
le 18/05/2010 à 23:50
En Mai, le mois de la sécurité
La sécurité est un point à ne pas négliger pour vos sites Webs en PHP. Ce mois-ci, le site PHP-Security en consacre un dossier spécial.

Chaque jour, une ou plusieurs failles de sécurités sont expliquées sous la forme de petits tutoriaux avec des exemples. Ces aides vous montreront des points touchant les fonctions PHP, mais aussi des exemples de cas d'applications (API).

Tous les points sont importants que tous les développeurs doivent appliquer.

- Les rappels de la sécurité
- Sommaire du mois de Mai
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