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Toutes ces années à manger ses gommes préférées ne l'auront même pas fait grossir. Si certains ont eu vent du projet dès 1979, c'est en 1980 que le Pac-Man a officiellement débuté sa carrière internationale, débarquant dans les salles d'arcade du Japon puis de l'Europe et des Etats-Unis. Alors qu'il se murmure que de nouveaux projets relatifs à cette sympathique boule jaune pourraient être présentés dans les semaines à venir à l'occasion du salon E3, le moteur de recherche Google a choisi de fêter à sa façon son trentième anniversaire en changeant son logo en niveau jouable !

On savait Google friand des doodles, ces petits logos temporaires qui permettent au moteur de célébrer à sa façon un anniversaire quelconque, mais jamais le moteur n'avait été si loin dans leur intégration. Après avoir cliqué sur le bouton « Insérer Pièces », vous devriez en effet commencer à entendre cette insupportable sourdine qui accompagnait les premières versions du jeu, sorte de sonnerie stridente et parkinsonienne censée vous mettre la pression afin que, le plus vite possible, vous veniez à bout des aliments qui parsèment le niveau.

Bien que la question fasse débat, Google a donc choisi de retenir la date anniversaire qu'il est généralement convenu d'admettre, celle du 22 mai 1980.

Pour la petite histoire, on rappellera que seuls les 255 premiers niveaux de Pac-Man étaient jouables : en raison d'une erreur de programmation, le 256e ne pouvait en effet être affiché correctement. Elle n'aura pas empêché Pac-Man d'être rapidement décliné sur les principales plateformes de jeu de la décennie, de l'Atari 2600 aux Commodore en passant par l'Apple II, jusqu'à devenir, après coup, une véritable icône de la culture populaire des années 80. Un joueur américain du nom Billy Mitchell est entré dans la légende en parvenant pour la première fois, le 3 mars 1999, au terme de ces 255 niveaux, avec un score "parfait" de 3,333,360 points.

De nombreux projets liés à Pac-Man ont été évoqués ces dernières années, à commencer par un film qui, bien qu'annoncé en 2004, n'a jamais vu le jour. Il fera peut-être l'objet de nouvelles annonces en juin puisque Namco a d'ores et déjà prévu un événement Pac-Man lors de l'E3 !

Et parce qu'à nostalgie, nostalgie et demi, n'oublions pas que Pac-Man... c'était ça, aussi, en France ;-)
La Federal Trade Commission américaine a indiqué vendredi avoir finalement pris la décision d'approuver le rachat de la régie publicitaire AdMob par Google, estimant que la transaction ne risquait pas de porter préjudice à la concurrence sur le marché de la publicité mobile.

La partie n'était pas gagnée d'avance, de nombreux acteurs ayant argué du fait que Google détenait déjà une position dominante sur la publicité en ligne avec ses différents outils et services. De ce fait, ils craignaient que le numéro un mondial des moteurs de recherche s'arroge rapidement l'essentiel de la publicité affichée sur les sites et services mobiles suite à son acquisition d'AdMob qui, ces dernières années, a su profiter de l'essor des applications distribuées dans les kiosques tels que l'App Store d'Apple.

Ironie du sort, c'est finalement Apple qui aura servi les desseins de Google. Début mai, la FTC avait en effet indiqué avoir besoin d'un laps de temps pour trancher la question de façon à auditionner la firme dirigée par Steve Jobs qui, elle aussi, prépare son arrivée sur le terrain de la publicité mobile avec sa propre régie, iAd. Elle a manifestement jugé que l'arrivée d'Apple constituait un gage suffisant de la libre concurrence à venir sur ce marché.

« De plus, un certain nombre de sociétés développent ou acquièrent des plateformes mobile de type smartphones pour mieux concurrencer l'iPhone d'Apple et l'Android de Google, et ces ces sociétés auraient tout intérêt à faciliter la compétition dans le domaine des réseaux de publicité mobile », explique le rapport de la FTC.

Annoncée fin décembre et portant sur un montant de 750 millions de dollars, l'acquisition d'AdMob par Google devrait donc pouvoir être finalisée dans les semaines à venir.
le 21/05/2010 à 22:27
Un annuaire appelé Bartemis
Bartemis est un script sous la forme d'un annuaire, réalisé en PHP/MySQL sous licence GPL. Il est très léger et se place facilement dans votre site internet car il s'installe et se configure en quelques secondes.

Une interface vous permettra de gérer, de classer l'ensemble des sites proposés.

Par ailleurs, vous pourrez le personnaliser pour le rendre unique par l'intermédiaire de thèmes offerts par l'annuaire.

- Site officiel Bartemis
Fondateur et directeur associé de Neteven, Greg Zemor a accepté de répondre à quelques questions sur sa solution de gestion des places de marché et sur les tendances de l'e-commerce. Choisi par eBay pour aider les marchands professionnels à vendre sur son site, Neteven propose un back-office unique intégré avec les principales places de marché.

Bonjour, Greg Zemor. Ebay a choisi Neteven pour aider les entreprises à vendre sur sa place de marché. Pourquoi cette solution ?

Nous sommes partenaires d'eBay car le site ne gère pas en direct les professionnels. Ils ont accès à un formulaire de vente, commun à tous les marchands, et doivent se débrouiller, ce qui rend complexe le développement d'une activité professionnelle sur eBay. Nous avons développé notre solution pour gérer les places de marché depuis cinq ans. Nous avons déjà plusieurs partenaires : PriceMinister, Amazon, Pixmania, la Fnac, RueDuCommerce, 2xMoinsCher... Nous avons un peu plus de 500 clients, la plupart en France, ou en Suisse, en Belgique et au Luxembourg, mais uniquement avec les versions françaises des places de marché.

Nous avons intégré en 2005 le programme de développeurs tiers d'eBay, qui existe depuis 2003 aux Etats-Unis. Nous avons choisi d'entrer dans ce programme parce que c'est l'époque à laquelle eBay a commencé à passer d'un service C2C à du B2C. Or nous sommes les seuls à proposer ce type de solutions en France. Il est possible pour une entreprise d'entrer dans le programme de développeurs, de développer une interconnexion avec eBay, mais c'est complexe, et ce n'est pas là qu'est leur valeur ajoutée.

Une plate-forme pour les contrôler tous, en somme ?

En passant par Neteven, les marchands en ligne peuvent effectivement vendre sur toutes les places de marché que nous prenons en charge. C'est beaucoup moins long pour eux que de mettre constamment à jour leur passerelle d'interconnexion avec les places de marché, et de maintenir les connecteurs à jour. Nous avons rendu l'univers des places de marché homogène, en permettant d'avoir accès à toutes leurs fonctionnalités avec un seul back-office. Cela permet également de gérer un site dédié. Par exemple, un cybermarchand pourra établir une connexion avec son propre site, et le gérer directement avec le même back-office que les autres places de marché.

Il y a deux phénomènes qui sont liés : des vendeurs déjà présents sur les places de marché uniquement, comme les Power sellers d'eBay, veulent développer leur marque, et ouvrir un site externe pour avoir un canal de vente en plus. D'un autre côté, on trouve des e-marchands qui ont du mal à se développer. Sur le secteur high-tech par exemple, il n'est pas évident de concurrencer Pixmania ou RueDuCommerce en terme de référencement. Ils vont donc chercher à entrer sur les places de marché, plus rentables.

Votre modèle économique est à la commission... Cela multiplie les intermédiaires, et donc les coûts pour les vendeurs ?

Nous travaillons comme les places de marché, avec une commission sur les ventes. 2% en moyenne. Nos tarifs sont dégressifs, en fonction du volume d'affaires mensuel. Ebay a le même modèle dégressif, et les autres ont une commission différente par secteur d'activité. C'est vrai que cela multiplie les intermédiaires, mais les marchands se posent la question différemment. Soit ils mobilisent une équipe de développeurs pendant six mois ou un an, en plus d'employés permanents dédiés à la mise à jour des connexions, soit ils en ont pour une semaine de développement pour intégrer notre solution. Dans ce second cas, ils peuvent se concentrer sur leur produit et leur relation client.

C'est leur valeur ajoutée. Nous, nous apportons le collecteur, et des fonctionnalités qui ne sont pas disponibles sur les places de marché. Les ventes flash, par exemple. Et nous optimisons leur référencement, qui plus est, pour faire en sorte que leurs annonces soient toujours en tête de liste. Nous avons une partie technique, mais aussi une expertise sur les marchés. Les taux de vente sont d'ailleurs nettement supérieurs en passant par Neteven. Sur le high-tech par exemple, on a pu voir un marchand qui gérait seul ses ventes sur eBay gagner 20% en six mois avec Neteven. Dans d'autres domaines, comme les articles de sport, c'est bien supérieur. Mais dans tous les cas, il faut compter trois à six mois pour que l'effet se fasse ressentir, car les places de marché ont un système d'historique, qui fait qu'ils faut un certain temps pour se construire une réputation et monter dans les listes d'annonces.

Vous prévoyez un développement à l'international ?

C'est presque naturel, puisque nos partenaires ont des entités partout en Europe. On prévoit de se développer d'abord sur leurs extensions européennes, puis sur des places de marché locales. La première annonce devrait intervenir en 2011, avec une levée de fonds, en cours, à la clé. Mais il y a de toute façon des perspectives pour le e-commerce. Je pense que l'étape suivante dépendra du développement offline : la mise en place d'une logistique nécessaire à la distribution européenne permettra d'ouvrir les frontières pour les marchands. On en est au début, et les entreprises sont très concentrées sur leur marché d'origine, mais Internet favorise un marché européen. Cela dit, il y a beaucoup de défis à relever : il faut un service client multilingue, une chaîne de distribution dans tous les pays... C'est un axe stratégique dans le développement du e-commerce.

Nous dépendons donc aussi du développement de nos clients à l'étranger. Nos partenaires peuvent les aider pour les questions logistiques sur le marché européen. Nous nous appuyons sur ces partenaires, mais ce n'est pas notre vocation de le faire nous-mêmes.

Une autre tendance du e-commerce : le social commerce. Cette forme de commerce sur les réseaux sociaux peut être un axe de développement, même si c'est pour l'instant plus un concept qu'une réalité. Il y a beaucoup de monde sur Facebook, mais la promotion d'offres ne fonctionne pas très bien aujourd'hui. Cela dit, c'est moins notre problématique, parce que nous ne faisons pas de gestion d'image. C'est aux marchands de trouver comment capter l'audience sur les réseaux sociaux. Ce sera amené à se développer s'ils y parviennent, même si pour l'instant les visiteurs de Facebook ne cliquent pas beaucoup sur les publicités. Ils s'inscrivent dans des groupes, deviennent fans de marques ou d'entreprises, mais il n'y a pas encore un taux de transformation suffisant. Et c'est précisément ce qui intéresse les marchands. Il faudra voir si Facebook parvient à se transformer d'un lieu d'échange à une place de communication réellement intéressante. Pourquoi pas, le portail Orange.fr est bien passé d'un modèle très éditorial avec un taux de clic très faible à un site qui intègre la marque, avec des mini-sites événementiels, etc. Tout le problème pour Facebook sera de chercher sa voie intelligemment, pour ne pas faire fuir l'audience plutôt que de la capter.

Greg Zemor, je vous remercie.
Après avoir dévoilé Google App Engine à destination des développeurs afin qu'ils puissent créer leurs propres applications hébergées à distance, voici désormais une version ciblant spécifiquement les entreprises. Basé sur le même principe, Google App Engine for Business embarque cependant de nouvelles fonctionnalités offrant plus de souplesse pour les grosses infrastructures.Google App Engine for Business propose ainsi une console d'administration centrale permettant de gérer l'accès aux différentes applications hébergées. Par défaut, seuls les comptes Google Apps d'une société auront la possibilité d'utiliser ces applications. Ces dernières seront chacunes facturées 8 dollars par utilisateur et par mois. Notons par ailleurs que Google s'engage à offrir un taux de disponibilité de 99,99% même si l'on se souvient de certains problèmes touchant à tour de rôle Google App Engine, Google Apps et Gmail.

Google devrait prochainement proposer aux entreprises une offre de serveurs SQL dédiés ainsi que la possibilité d'avoir une connexion sécurisée (SSL) sur les applications utilisées.
Après avoir mis en place un filtrage concernant le réseau social Facebook le 18 mai dernier, le Pakistan vient d'ordonner le blocage du site de partage de vidéos YouTube. En cause : un concours, lancé depuis l'occident, qui propose aux internautes de publier des dessins ou caricatures représentant le prophète Mahomet, un acte prohibé par les règles islamiques.

Dans un arrêt du 20 mai, l'autorité pakistanaise des télécommunications (Pakistan Telecommunication Authority, PTA) confirme qu'il a été demandé le 18 mai dernier à tous les opérateurs du pays d'interdire l'accès à l'ensemble du site Facebook.com, suite à une décision de la cour de justice de Lahore, qui aurait été saisie par une association locale de protection de l'islam.

La décision fait suite à l'initiative lancée par Molly Norris, une caricaturiste américaine, qui proposait que le 20 mai soit proclamé « Draw Muhammad Day », soit la journée des dessins de Mahomet, et invitait les internautes du monde entier à poster sur Facebook des représentations du prophète, en écho à la controverse survenue en 2006 après la publication par un quotidien danois de caricatures le mettant en scène.

La proposition est très loin d'avoir fait l'unanimité parmi les musulmans qui fréquentent le réseau social, comme en témoignent les quelque 5500 inscrits au groupe « We Stand Against Draw Muhammad Day ». Ailleurs sur le Web, elle a par ailleurs donné lieu à une vague d'attaques conduites à l'encontre des sites qui se proposaient de relayer ou de soutenir l'initiative (voir par exemple http://www.drawmohammed.com/).

Le blocage de YouTube n'a pour l'instant pas été officiellement commenté par le Pakistan, mais l'un des représentants de l'Autorité des télécommunications locale a toutefois laissé entendre à l'AFP que les raisons étaient similaires à celles qui avaient entrainé le filtrage de Facebook.
La plateforme e-commerce nippone Rakuten, rassemblant plus de 30 000 marchands, annonce le rachat de la société Buy.com pour 250 millions de dollars. Basé en Californie, Buy.com aurait connu une forte progression sur le marché américain et européen, l'occasion pour Rakuten d'internationaliser sa présence.

Au Japon, Rakuten bénéficierait d'une base de 64 millions d'utilisateurs contre 14 millions pour Buy.com. Ce n'est pas le premier investissement du genre pour la firme asiatique. En 2005, Rakuten avait déjà racheté la régie publicitaire LinkShare pour 425 millions de dollars.

Au mois d'octobre dernier Buy.com annonçait son entrée sur le vieux continent et notamment en France sur le marché de l'électronique déjà bien fourni avec des acteurs tels que RueDuCommerce, Surcouf, Materiel.net mais aussi CDiscount, la Fnac ou encore Pixmania. Neel Grover, président et PDG de Buy.com déclarait alors : "Nous voulons reproduire en France, qui constitue pour nous une extension significative de notre marché, notre modèle de détail en ligne, dont l'efficacité n'est plus à prouver".

Les choses semblent cependant plus compliquées que prévu. Dans un communiqué officiel, M. Grover déclare ainsi vouloir compter sur la popularité de Rakuten "pour aider Buy.com à atteindre un nouveau niveau de compétition dans le commerce en ligne".
La plateforme de paiement électronique Paypal annonce la mise à disposition d'une nouvelle interface de programmation à destination des développeurs pour le système Android. Cette nouveauté devrait permettre aux éditeurs d'intégrer un système de paiement directement au sein des applications installées sur les terminaux.

Les éditeurs tiers seront en mesure de proposer une application à télécharger gratuitement au sein de laquelle le mobinaute pourra effectuer des micro-paiement de location ou acheter des crédits d'utilisation. L'on imagine également la possibilité de débloquer certaines fonctionnalités premium sans devoir ré-installer le logicviel en question ou proposer un système de dons par exemple au sein de l'application officielle d'une organisation à but non lucratif.Disponible au téléchargement à partir du site x.com, cette API assurera également des transferts sécurisés, un point non négligeable pour l'utilisateur qui n'éparpillera donc pas ses informations bancaires au travers de plusieurs systèmes de paiement propriétaire mis en oeuvre par les développeurs ; lesquels se voient alors déchargés de cette responsabilité.
L'édition 64 bits de Windows 7, son homologue destiné aux serveurs, Windows Server 2008 R2, ainsi que la déclinaison Itanium de ce dernier, sont affectés par une faille de sécurité située au niveau du composant cdd.dll (Canonical Display Driver).

Microsft indique qu'elle pourrait permettre à un attaquant de déclencher l'exécution de code à distance sur une machine cible. Le risque serait toutefois des plus modérés, du fait de la génération aléatoire des adresses mémoire utilisées par ce composant.

En attendant la publication d'un correctif, les utilisateurs sont invités, s'ils souhaitent se prémunir de l'éventuelle exploitation de cette faille, à désactiver le composant Aero, qui soutient depuis Windows Vista l'interface graphique du système de Microsoft.

Utilisé au niveau du bureau Windows, ainsi que par certaines applications tierces, le pilote cdd.dll permet pour mémoire d'exploiter de concert des données émanant des interfaces DirectX et GDI (Windows graphics device interface, employé avant l'arrivée de DirectX).
Si Google rêve d'un web ultra-rapide et multiplie les efforts dans ce domaine, la société souhaite également l'embellir ! Jusqu'à présent, en terme de typographie sur Internet, les moyens mis à disposition des graphistes et développeurs restaient plutôt limités. Certes, il existe un ensemble de familles de polices pré-installées sur tous les systèmes d'exploitation et qui assure donc un rendu unique pour n'importe quel internaute. Cependant l'utilisation d'une typograhie plus originale devait passer par la création d'une image ou d'une animation Flash.

La propriété @font-face, introduite au sein des spécificités du CSS2 permet d'utiliser, au sein de la feuille de style, une police hébergée sur un serveur. Cette méthode, bien que facile à mettre en oeuvre, reste cependant vivement critiquée. En effet, d'un simple coup d'oeil sur le fichier CSS il est possible de télécharger cette police, laquelle peut être protégée par une licence d'utilisation. Depuis, le consortium du W3C, chargé de réguler les standards du web, planche sur le format WOFF (Web Open Font Format) qui regroupe différents types de polices compressées (TrueType (TTF), OpenType, et Open Font Format).

A l'occasion de la conférence I/O, l'équipe de Google Code a levé le voile sur un répertoire de polices open source que n'importe quel développeur peut facilement intégrer au sein de ses pages web. Ces dernières sont directement hébergées sur les serveurs de Google. De son côté le développeur n'aura qu'une ligne de code à ajouter dans l'entête de sa page avant de spécifier la famille de police à utiliser au sein de sa feuille de style. Retrouvez quelques exemples ici.

Google précise que du côté serveur, la police est optimisée même pour Internet Explorer 6 et prend en charge les options de style de CSS3 (rotation, ombrages...)
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