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Lundi et pour la première fois en 6 ans, Google a révélé la façon dont sont partagés les revenus publicitaires d'Adsense sur le blog du service.

On y apprend ainsi que Google reverse plus de la moitié des revenus glanés par la régie publicitaire : « Nous reversons à nos partenaires AdSense, pour les pages de recherche, 51% des revenus générés au niveau mondial par les annonces ciblées sur les recherches qui sont diffusées grâce à leurs activités. » explique la firme. Voilà pour les annonces sur les pages de recherche. Pour les annonces qui prennent place sur des pages de contenu, le pourcentage est plus élevé : « Nous reversons 68% des recettes que nous recueillons auprès des annonceurs d'AdSense pour les annonces qui apparaissent sur le contenu de vos sites ».

Des pourcentages qui n'ont pas évolué depuis 2005 pour le premier, et 2003 pour le second, mais Google n'exclut pas une modification de ce partage : « Bien sûr, nous ne pouvons pas garantir que le partage des revenus ne changera jamais (nos coûts peuvent changer de façon significative, par exemple), mais nous n'avons rien de planifié en ce sens » ajoute le site. La part de Google, qui est de 49 et 32% suivant les cas, couvre, selon la firme, les coûts de gestion et de développement du service.

La firme de Mountain View reste néanmoins discrète sur le partage des revenus des déclinaisons du service, comme Adsense pour les flux RSS, ou pour les applications mobiles. « Nous ne dévoilons pas les parts de recettes pour ces produits pour le moment, car ils évoluent constamment, et nous sommes encore en train d'évaluer les coûts de leur fonctionnement. »

Ces révélations de la part de Google arrivent quelques semaines après que les autorités antitrust italiennes se soient penchées sur la façon dont la firme partageait les revenus de sa régie publicitaire. Neal Mohan, le vice-président de la gestion des produits de Google, évoque en marge de la publication de ces pourcentages un « souci de transparence » vis-à-vis de ses éditeurs.
C'est un peu la tendance en matière d'encadrement des réseaux et de lutte contre le téléchargement illégal, l'Irlande adopte à son tour des mesures de riposte graduée. Le principal fournisseur d'accès à Internet du pays, Eircom, a annoncé qu'il comptait mettre en place, de son propre chef, ce mécanisme.

Il faut bien préciser que si ce choix est celui du FAI, il est également le résultat de pressions des ayant-droits irlandais. Le fournisseur était clairement accusé de « laisser filer la question du téléchargement illégal. » C'est donc pour éviter des ennuis juridiques qu'Eircom a opté pour une riposte graduée classique avec deux avertissements, par e-mail ou par courrier, avant la coupure de l'accès à Internet.

Le FAI a d'ores et déjà annoncé dans l'Irish Times qu'il comptait traiter une cinquantaine d'adresses IP par semaine. Il s'est même engagé à contacter dans un premier temps les internautes par téléphone si un ayant-droit suspecte un téléchargement illégal. Pour autant, la situation peut faire l'effet d'un grand flou puisqu'aucune surveillance politique ou judiciaire n'a été prévue. Le mécanisme irlandais s'avère être seulement le fruit de l'accord entre le fournisseur d'accès et l'IRMA (la Sacem irlandaise).

Enfin autre précision qui rend le cas de l'Irlande si particulier, le FAI concurrent, UPC s'est opposé au mécanisme de collecte des adresses IP. Le pays s'oriente donc vers un Internet à deux vitesses bien que la justice compte se pencher sur ce cas le mois prochain…
Hier Yahoo! a annoncé la fermeture de son service de rencontres Yahoo! Personals initialement lancé outre-Atlantique en 1997. La firme de Sunnyvale a en effet signé un partenariat avec Match.com qui sera chargé d'assurer le service de rencontres du portail Internet.

Les détails financiers de cet accord n'ont pas été révélés. Après avoir revendu le site d'annonces d'emplois Hotjobs au géant américain Monster pour 225 millions de dollars, Yahoo! entend donc se concentrer sur sa partie purement médiatique et notamment avec le récent rachat d'Associated Content. Initialement accessible depuis personals.yahoo.com le nouveau site est désormais hébergé sur yahoo.match.com.

En France, le site de Yahoo! Rencontres a été lancé en 2003 puis s'est vu remplacé par le leader dans l'Hexagone Meetic. Rappelons que Match.com détient 27% du capital de Meetic. Les deux sociétés se sont récemment unies en Amérique Latine pour créer ParPerfeito détenu à 50% par les deux parties.
le 25/05/2010 à 23:09
Le 25 mai, c'est le Geek Pride Day !
Après le 4 mai, journée Star Wars, voici le 25 mai, journée de la fierté Geek !

Si cette célébration vous laisse perplexe, sachez qu'elle a été créée en 2006 en Espagne, par des nerds désireux de révéler leur culture à la face du monde un jour dans l'année.

La date du 25 mai n'est pas anodine puisqu'elle cumule les symboles geeks : c'est le 25 mai 1977 que fut projeté, pour la première fois, le film Star Wars : a New Hope, mais c'est également le jour de la Journée de la Serviette, ou Towel Day, durant lequel les fans du Guide du voyageur galactique rendent hommage à son auteur, Adam Douglas, décédé en 2001. Et puis comment oublier le Glorious 25th of May issu des annales du Disque-Monde de Terry Pratchett... Ah, et le 25 mai, c'est aussi la Journée mondiale des Jedi. Tant qu'à cumuler, autant le faire jusqu'au bout.

On l'aura compris, s'il fait bon être geek au quotidien, aujourd'hui est un jour particulier ! Longtemps cantonné à l'Espagne, le Geek Pride Day commence à s'étendre dans le reste du monde. Un manifeste a également vu le jour, et détaille les droits et les devoirs des geeks, à suivre à la lettre (idéalement) :

Droits :
- Le droit d'être encore plus geek
- Le droit de rester chez soi
- Le droit de ne pas aimer le football, et le sport en général
- Le droit de voir d'autres geek
- Le droit d'avoir peu d'amis (voire pas du tout)
- Le droit d'avoir autant d'amis geek que l'on veut
- Le droit de ne pas être à la mode
- Le droit d'être en surpoids et d'être myope
- Le droit de montrer ses tendances geek
- Le droit de conquérir le monde

Devoirs :
- Etre un geek, quoi qu'il arrive
- Essayer d'être plus geek que les autres
- Toujours donner son opinion quand on participe à une discussion geek
- Protéger et sauvegarder tout matériel de geek
- Faire tout son possible pour mettre en valeur ses objets geek, tel un "musée geek"
- Ne pas être geek de toute chose, mais se spécialiser
- Aller voir les films geek toujours le jour de leur sortie, et acheter tous les livres geek avant tout le monde
- Faire la queue à chaque première geek, idéalement déguisé ou avec un tee-shirt geek
- Ne jamais rien jeter en rapport avec le monde geek
- Essayer de dominer le monde

Et si tout ça peut sembler un peu compliqué à appliquer au quotidien il est toujours possible de se rabattre sur l'un des quelques évènements français organisé aujourd'hui. Pour les plus fortunés,LDLC propose également une sélection de produits en promotion à l'occasion de cette journée un peu spéciale : oui, le Geek Pride Day n'est peut-être pas particulièrement connu, mais il suscite tout de même quelques intérêts commerciaux... Étonnant, non ?

Quant aux autres, ils peuvent toujours partir à la conquête du monde, au moins, ça, c'est gratuit.
Le site de micro-blogging Twitter se cherche un modèle économique. Les responsables avaient déjà indiqué que des liens sponsorisés (promoted tweets) seraient mis en place pour les professionnels dans les jours à venir. Pour autant, Twitter vient d'annoncer qu'il entendait garder tout contrôle sur la publicité. Il devrait donc empêcher une autre société de vendre des espaces sur son site.

Sur son blog, Twitter dévoile en partie son futur modèle économique et la manière selon laquelle il compte monétiser son audience. Le site intègre désormais à ses flux des messages promotionnels, payés par des annonceurs, dont l'impact peut être multiplié si les utilisateurs les rediffusent.

Une ouverture sur la publicité mais pas à n'importe quel prix. Dick Costolo, directeur d'exploitation de Twitter donne quelques pistes : « A part les messages sponsorisés, nous ne permettrons à aucune partie extérieure d'injecter des messages rémunérés. Les réseaux publicitaires extérieurs ne s'intéressent pas forcément à la préservation de l'expérience spécifique offerte par Twitter. Leur seule préoccupation peut être la conquête de parts de marché ou des recettes à court terme aux dépens de la santé à long terme de la plateforme Twitter. »

Le site promet donc de laisser la porte ouverte aux publicités d'entreprises qui souhaiteront avoir plus de visibilité sur les réseaux sociaux. Pour autant, Twitter devra prendre garde à ne pas « polluer » sa page de publicités intempestives. Cette limitation envers les tiers va donc dans le sens de l'internaute. En principe.
Le Wall Street Journal rapporte que les principaux studios d'Hollywood et les câblo-opérateurs américains se sont réunis afin de discuter d'une nouvelle chronologie des médias. Celle-ci devrait permettre au public de regarder plus rapidement depuis leur télévision les derniers films parus au cinéma.

En France, le délai entre l'exploitation d'une oeuvre cinématographique en salle et sa disponibilité en DVD et en Vidéo à la Demande est récemment passée de 6 à 4 mois et de 12 à 10 mois pour la télévision payante. Les chaines de télévision gratuite peuvent quant à elles diffuser des co-productions 22 mois après leur sortie en salle (contre 24 mois auparavant).

Au cours des discussions avec les studios, l'opérateur Time Warner a ainsi formulé une proposition qui a retenu l'intérêt de plusieurs collaborateurs à savoir : la mise à disposition de films en VOD 30 jours seulement après leurs sorties en salle à un tarif entre 20 et 30 dollars ; le temps de la location reste cependant inconnu. Selon plusieurs personnes proches de cette affaire, le projet serait toujours en réflexion et plusieurs studios pourraient donner leur accord dès cet automne pour une mise en place à la fin de l'année.

Si ce modèle s'avère satisfaisant peut-être alors débarquera-t-il dans l'Hexagone. Une telle initiative ne devrait en tout cas pas plaire à la Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF), chargée de représenter les intérêts des propriétaires de cinémas en France. En novembre dernier l'association avait lancé une opération symbolique en invitant2100 salles du pays à éteindre leurs enseignes lumineuses afin de protester contre la nouvelle chronologie des médias introduite au sein de la loi Création et Internet.
C'est après avoir lancé une consultation publique sur la neutralité des réseaux que l'Arcep confie ses premières observations. Sous la forme d'un document de 48 pages en trois volets, cette feuille d'étape est l'esquisse du document qui sera présenté au Parlement fin juin. Ces réflexions seront alors le point de départ des débats portant non seulement sur la neutralité du Net mais également sur Internet en général.

L'Arcep propose trois volets de réflexion. Tout d'abord, l'autorité pose le débat et s'interroge sur le « bouleversement des modèles économiques liés à l'explosion des flux vidéo sur les réseaux ». Face à cette évolution, il conviendrait donc de connaître les besoins de régulation mais également en matière de financement des réseaux.

Deux points sont également soulevés sur les compétences de l'Arcep. Elle pourra notamment être saisie pour des questions relatives au renforcement de la transparence sur le contenu des offres de services, en association avec la DGCCRF et les associations de consommateurs. De même, elle envisage une collaboration plus étroite avec « le Gouvernement et la Commission européenne, ainsi qu'ultérieurement avec le Parlement français. »

Concernant la neutralité des réseaux, ce pré-rapport aborde les problématiques liées aux exclusivités, notamment celles liées à la « neutralité des terminaux comme les smartphones et autres téléviseurs connectés ». De même, l'Arcep recommande que les pratiques de gestion de trafic mises en place par les FAI pour assurer l'accès à l'internet demeurent exceptionnelles et respectent « les principes généraux de pertinence, proportionnalité, efficacité, transparence et non discrimination ».

La transparence semble donc être le maître mot de ces premières moutures puisqu'à terme, « les FAI devraient avoir à fournir à l'utilisateur final des informations claires, précises et pertinentes relatives aux services et applications accessibles via leurs offres de données, aux pratiques de gestion de trafic mises en oeuvre sur leurs réseaux, à la qualité de service de ces offres et à leurs limitations éventuelles. C'est ainsi, par exemple, que les termes Internet et illimité ne doivent être employés que sous certaines conditions. »

Sur ce dernier point, des explications l'Arcep souhaite que les opérateurs ne puissent plus qualifier d'« accès à l'Internet » les offres d'accès partiel de type blocage de certains services, sites web ou protocoles. De même, le terme « illimité » ne devra plus être, à l'avenir, utilisé pour des offres de services incluant des limitations du type « usage raisonnable » qui les restreindraient dans la durée.

Des propositions fortes mais qui sont au stade de la réflexion. Une fois débattues et décortiquées, elles passeront à la moulinette du Parlement. Il n'est donc pas certain qu'elles en ressortent indemnes…
L'Anssi (l'Agence nationale de sécurité des systèmes d'information) vient de dévoiler un des moyens par lequel les services administratifs vont sécuriser leurs procédures informatiques. Afin d'exposer le moins possible les autorités aux risques de pertes de données, l'Anssi souhaite mettre en place rapidement ce référentiel général de sécurité (RGS).

L'agence, a pour objectif d'assurer la mission d'autorité nationale en matière de sécurité des systèmes d'information. Après étude, elle rapporte que les « autorités administratives et les usagers sont exposés à de nouvelles menaces pour la sécurité des données et la fiabilité des procédures ». Un motif pour mettre en place ce référentiel général de sécurité élaboré par la Direction générale de la modernisation de l'État et l'Anssi.

Patrick Pailloux, directeur général de l'agence, explique qu'« en suivant les recommandations du RGS, les autorités administratives pourront sécuriser de manière optimale leurs procédures dématérialisées. La sécurisation des téléservices est indispensable au développement d'une administration électronique fiable, répondant aux exigences de l'ensemble des acteurs concernés. »

Sans obtenir plus d'informations techniques, ces recommandations seront appliquées dans un délai d'un à trois ans dans les administrations concernées.
le 25/05/2010 à 23:09
PHP Days 2010
La deuxième édition des « PHP Days » est lancée. Elle se déroulera le 8 et 9 juillet 2010 à Paris organisé par Alter Way Formation (ex Anaska).

Le thème principal de l'édition concerne « Industrialisez votre PHP » avec des intervenants de qualités.

Les 2 jours vont se dérouler en 4 conférences d'une demi-journée :
- L'industrialisation
- L'environnement de travail
- Les bonnes pratiques de la programmation
- Gestion de projet et méthodes

et pour connaître tous les détails, il faut consulter le communiqué officiel.

- PHP Days 2010, 2 jours pour devenir expert PHP
le 25/05/2010 à 23:09
Des outils MySQL
MySQL est une base de données et il existe de nombreux outils d'appoints ou de scripts autour de cette distribution.

Le site hackMysql propose une liste d'outils open source qui vont répondre à la majorité des besoins et se présente de la façon suivante :
- MySQL scripts
- Maatkit
- Boots
- Projects Percona
- Aspera
- Kontrollkit
- MMM
- Innotop
- Schema Sync
- rtime
- Opernark kit
- Mycheckpoint
- MySQL sandbox
- MySQL cacti Templates

L'ensemble des outils touchent l'ensemble des langages du web : PHP, Python, Perl, c++, etc.

- MySQL Tools
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