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le 09/05/2010 à 23:23
Devenir conférencier
LornaJane, membre de PHP Women, a publiée sur son blog un podcast de 10 minutes environ. Le podcast qu'elle présente, parle comment devenir conférencier et surtout pourquoi le faire.

Le contenu est assez complet et peut être que les conseils qu'elle donne, seront utiles pour vos prochaines conférences.

- Podcast: How and Why to Become a Speaker
le 08/05/2010 à 23:22
PostgreSQL 9.0beta 1
La nouvelle version de PostgreSQL vient d'être dévoilée en version bêta. Cette version ne doit pas être installée en production, mais vous pouvez effectuer des tests sur vos propres serveurs et même l'utiliser avec PHP.

Cette nouvelle version se veut être la première à inclure une réplication binaire interne en temps réel, c'est à dire qu'elle se base sur la technologie « réplication en continu » et « reprise à chaud ».

Bien entendu, de nombreuses nouveautés apparaissent comme :
- Nouvelle réplication binaire
- Amélioration de Listen/notify
- Le support du 64 bit
- Meilleur support des données
- etc

- PostgreSQL 9.0beta 1
On s'y habituerait presque : Apple est de nouveau trainé en justice par un fabricant concurrent de téléphone. Cette fois c'est le finlandais Nokia qui revient à la charge en déposant un recours en justice devant la cour fédérale du district de l'état du Wisconsin outre-Atlantique.

Selon les accusations du plaignant, la firme de Steve Jobs aurait enfreint cinq brevets au sein de ses iPhone 3G et iPad 3G. Les technologies concernent la méthode de transmission de données ainsi que d'un dispositif amélioré pour l'antenne retournant une plus grande fiabilité tout en permettant également la conception de terminaux plus petits. "Ces innovations protégées par des droits de propriété intellectuelle sont importants pour le succès de Nokia car ils permettent une amélioration des performances et du design d'un appareil", explique le constructeur dans un communiqué de presse.

Ce n'est pas la première fois qu'Apple se retrouve au milieu d'une affaire judiciaire concernant des violations de droits de propriété intellectuelle. En début d'année, Nokia avait déposé une plainte contre la même firme de Cupertino en expliquant que l'appareil photo embarqué aux iPhone violait également quelques-uns de ses brevets. L'année dernière une autre plainte - émanant du même plaignant - mettait en cause les technologies cellulaires utilisées au sein des terminaux d'Apple.
Jason Goldman, le vice-président de Twitter a précisé vers quelle direction comptait se diriger le site de micro-blogging. Dans une entrevue accordée à ComputerWorld, le responsable dévoile donc quelques informations quant à l'avenir du site. Entre monétisation des tweets et modèle économique stable, la vision de Twitter pourrait être celle de l'ensemble des réseaux sociaux.

L'intérêt de Twitter est de pouvoir faire la promotion de certains tweets, en particulier pour les professionnels. « L'occasion est alors donnée aux utilisateurs de réagir avec ces tweets sponsorisés. Ainsi, les réactions pourront être montrées aux clients concernés. Ces promotions seront visibles au-dessus de la barre de recherche du site » lance Goldman. La majeure partie de la stratégie de Twitter reposera donc sur ces messages courts (140 caractères) sponsorisés.

L'autre versant de l'activité de Twitter sera une forme de service Premium offrant des services pour les utilisateurs. Jason Goldman explique que « nous pourrons fournir des services qui vont conférer un lien plus affectif entre le site et un professionnel. Un mécanisme de retour d'expérience sera mis en place qui montrera ce que les autres pensent de votre société. »

Le site de micro-blogging commente cette option et insiste sur le fait qu'elle pourrait être gratuite. De même, le responsable tient à remarquer qu'aucune nouvelle publicité ne sera ajoutée. Il ajoute « nos plans sont définis pour s'appliquer sur le long terme. D'ailleurs je ne pense pas qu'annoncer la possibilité de promouvoir des tweets soit un réel tournant dans notre vie. C'est une suite logique ».

En guise de conclusion de l'interview, Jason Goldman glisse une confidence en expliquant avoir installé l'application Twitterrific sur son iPad. A ce sujet, il précise « l'iPad est un très bon appareil pour Twitter, le tactile est bien géré et en fait un outil parfait pour tweeter. Cela ressemble au futur pour moi. En tout cas nous sommes entrés dans une ère riche en innovations ».
Si vous possédez un nom de domaine alors peut-être l'avez-vous configuré sur les serveurs de Google Apps afin de bénéficier des services proposés gratuitement dans la version Standard. A l'heure actuelle, l'internaute bénéficie d'un webmail, d'un agenda ainsi que des services iGoogle, Google Docs, GTalk ou encore Google Sites. Chacun de ces produits est accessible avec votre adresse email personnelle.

Cependant, certains services très populaires proposés par la firme de Moutain view restent toujours réservés aux comptes Google traditionnels de type gmail.com ou googlemail.com. C'est notamment le cas du lecteur de flux RSS Google Reader, du gestionnaire de photos Picasa ou encore de Blogger. Sur l'un de ses blogs officiels, l'équipe chargée de Google Apps explique ainsi qu'à partir de cet automne les compte Google Apps devraient s'enrichir de nouvelles applications. Plus précisément, la FAQ explique : "A part quelques rares exceptions, les utilisateurs de Google Apps bénéficieront de tous les services Google".

Cette initiative vise à répondre à la forte demande de la part des consommateurs. En effet, sur les 20 retours prioritaires des internautes, neuf d'entre eux soulignent cette disparité entre les comptes Google classiques et Google Apps. Ces modifications concernent toutes les versions de Google Apps, gratuites ou payantes.
L'application de recherche visuelle Goggles, développée par Google pour Android, permettait déjà d'effectuer des recherches sur Internet à partir d'une photographie, de manière plutôt impressionnante.

Grâce à sa nouvelle mise à jour, Goggles vient de s'enrichir d'une nouvelle fonction, et pas des moindres : la traduction automatique de textes photographiés.

Une fois la mise à jour 1.1 effectuée, il suffit de photographier le texte pour que l'application le scanne. La page des résultats laisse ensuite apparaître l'option de traduction.

Goggles ne reconnaît pour le moment que 5 langues : l'anglais, le français, l'italien, l'allemand et l'espagnol, qui peuvent par contre être traduites dans une multitude d'autres langages. Les développeurs de l'application désirent, à terme, intégrer les langues non latines telles que le chinois et l'arabe dans le module de traduction.

Google Goggles 1.1 nécessite une version d'Android 1.6 pour fonctionner. Elle est disponible gratuitement sur l'Android Market.
SFR a tout récemment déployé une mise à jour du décodeur "neufbox TV". Avec cette nouvelle version, qui apporte une plus grande souplesse de visionnage et d'enregistrement, la neufbox TV comble son retard sur la Freebox HD et va même plus loin.

Cette mise à jour apporte pour ce faire la prise en charge du multi-flux. En terme d'enregistrement, cet apport apparenté à un double tuner permet au magnétoscope numérique intégré au décodeur d'enregistrer une chaîne et d'en afficher une autre. Une chaîne reçue par internet en définition standard requiert une bande passante d'environ 3 Mbps, d'environ 7 Mbps en haute définition. Le décodeur peut néanmoins combiner ce qu'on pourrait appeler son double tuner IPTV à son tuner TNT pour économiser de la bande passante. La fonction double tuner nécessite donc de 3 à 14 Mbps en fonction des chaînes enregistrées ou regardées.

En terme de visionnage, le multi-flux apporte également la prise en charge du picture-in-picture. Cette fonction permet d'afficher une autre chaîne en incrustation. Un aperçu des chaînes apparait désormais en plus du bandeau d'information au parcours de la liste des chaînes, ou à l'affichage du bandeau d'une autre chaîne avec la fonction de changement de chaîne virtuel. La touche D de la télécommande permet d'ancrer l'incrustation, la touche Retour d'intervertir les deux chaînes, la touche C de faire disparaitre la fenêtre PIP ou la touche OK de passer la chaîne en plein écran.

La liste des chaînes a enfin été nettoyée de ses nombreux doublons, en regroupant les multiples variantes d'une même chaîne (définition standard, haute définition, en IPTV ou par la TNT) dans la rubrique réglages du bandeau d'information d'une chaîne donnée.

Pour bénéficier de ces améliorations, il suffit de redémarrer le décodeur TV (en la débranchant et la rebranchant par exemple). Un modem Neufbox 4 est enfin nécessaire pour pouvoir profiter de ces fonctions.
La première application permettant de gérer les informations de sa Freebox depuis son iPhone est désormais disponible. L'éditeur Freego vient de publier une application pour iPhone et iPod Touch. Elle permet de changer de chaîne ou de connaître le programme en cours mais aussi de pouvoir apprécier les nouveautés des différents services de VOD.

La sortie de cette application fait logiquement suite à l'annonce la semaine dernière par Free de l'ouverture de ses API, permettant ainsi le développement d'applications tiers transformant les terminaux mobiles. De même, le FAI a promis que l'iPhone ne serait pas le seul concerné puisqu'également les smartphones sous Android pourraient, à l'avenir, être transformés en télécommandes pour la Freebox HD. Bien que de telles applications existent déjà sous Android.

Promesse tenue pour l'iPhone d'Apple puisque le développeur de l'application Freego explique que son objectif est de « simplifier l'accès aux données personnelles des freenautes et en un clic d'être informé de l'état du réseau de Free, des innovations du fournisseur d'accès, de tester un débit ADSL et de consulter ses e-mails en tout simplicité ». L'application coûte tout de même 2.99 euros…

Les développeurs de GoProd souhaitent donc continuer sur les bons débuts de leur application puisque leur site indique que « l'application compte plus de 150.000 utilisateurs pour sa version desktop (Windows, Linux, Mac OS) et près de 20.000 utilisateurs dans sa version mobile. »
Cloud.com, éditeur de solutions logicielles pour la gestion des infrastructures cloud, vient d'annoncer CloudStack, une suite logicielle qui accélère le déploiement, la gestion et la configuration de services clouds privés et publics.

La solution intégrée pour délivrer l'IaaS (Infrastructure as a service) se présente en trois produits distincts : CloudStack Enterprise Edition, CloudStack Service Provider Edition et CloudStack Community Edition, en open-source. Avec l'implémentation des plate-formes de programmation courantes comme Amazon Web Services API, Citrix Cloud Center (C3) et vCloud de VMware, Cloud.com propose un environnement ouvert qui s'intègre dans les solutions existantes des utilisateurs.

« Il y a une demande croissante des entreprises comme des fournisseurs de services pour la distribution de leur IT dans le cloud. Les technologies évoluent rapidement, et les opportunités de gérer l'IT plus efficacement arrivent », analyse Michael Coté, analyste à RedMonk. « Pour s'intégrer dans ce paysage, la meilleure stratégie semble désormais l'acquisition d'une infrastructure cloud aussi ouverte et hétérogène que possible, qui peut s'étendre à la fois sur les clouds publics et privés. >

CloudStack est déjà déployé dans certaines entreprises, comme Tata Communications, qui « utilise CloudStack comme l'un des composants importants de son offre d'informatique dans le cloud », explique Tom Davies, directeur du développement produit chez Tata Communications. « Cloudstack nous permet d'offrir des services d'informatique à la demande qui couvrent la demande forte pour du cloud computing chez nos clients. »

Parmi les avantages annoncés par Cloud.com, une puissance de calcul massive, une API intégrée avec les APIs des services de cloud courants, une sécurité renforcée avec le calcul isolé et le stockage des ressources par utilisateur, lieu et déploiement, une gestion du service totale, une visibilité en temps réel grâce à des rapports, et une distribution des ressources automatisée. L'éditeur met également en avant la licence GPL3, sous laquelle sa version Community Edition est distribuée, qui offre une suite logicielle open-source intégrée avec les hyperviseurs (logiciels de création et de gestion de machines virtuelles) Xen et KVW. Cette version peut également être déployée avec les distributions Linux Fedora et Ubuntu.
La version française de Wikipédia propose depuis quelques jours à ses utilisateurs de rassembler les articles de leur choix sous la forme d'un vrai livre.

L'encyclopédie intègre désormais une option « créer un livre » dans sa colonne de gauche, qui, une fois activée, permet à l'utilisateur d'ajouter des articles à son ouvrage personnel. Le livre peut ensuite être téléchargé aux formats PDF ou OpenDocument, ou bien être imprimé et relié.

Cette dernière option est prise en charge par PediaPress, une société allemande partenaire de la Wikimedia Foundation, qui se charge de la création de l'ouvrage et de son expédition sous environ deux semaines.

Le nombre de pages peut varier entre 50 et 800 : plus le nombre de pages est élevé, et plus le prix à la page baisse. Les tarifs commencent à 8€ et varient selon l'épaisseur du livre, proposé au format A5. Le site propose également un exemple (lien PDF) qui donne une idée de la mise en page d'une série d'articles édités.

A l'heure où le contenu dématérialisé gagne de plus en plus de terrain, Wikipédia mise donc sur le papier pour étendre le potentiel de son contenu encyclopédique, qui propose à l'heure actuelle plus de 940 000 articles. Une page rassemblant les ouvrages compilés par les utilisateurs est également disponible, renforçant un peu plus la dimension communautaire du service.

A noter enfin que le service peut être installé sur n'importe quel autre Wiki basé sur MediaWiki. Il suffit d'installer le code fourni par PediaPress, ainsi que l'extension Collection.
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