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L'éditeur RealNetworks a annoncé hier lors du sommet Web 2.0 Expo le lancement d'une nouvelle plateforme de jeux en ligne communautaire. Baptisée GameHouse Fusion, cette dernière est multi-écran et fonctionne aussi bien sur ordinateurs que sur smartphones (iPhone, Android). La technologie sera également déclinée pour Facebook via le système d'applications tierces.

RealNetworks explique qu'il s'agit-là d'une plateforme ouverte permettant aux développeurs de former une communauté autour de leurs jeux même si ces derniers n'embarquent pas de fonctionnalités sociales ou sont en mode solo. Le joueur sera ainsi en mesure de noter les jeux, d'écrire des recommandations, d'organiser des tournois ou encore de dessiner les trophées à gagner et les objets virtuels.

Sur Facebook, l'application se présente sous la forme d'un portail général, ce qui signifie que l'internaute ne devra authentifier qu'une seule application pour accéder à tout le catalogue des jeux. Pour le développeur, il s'agit également de générer des revenus supplémentaires. En effet, RealNetwork a mis en place un système de monétisation publicitaire ainsi qu'un système d'analyse de données.

RealNetworks précise que 50 millions d'internautes se rendent chaque mois sur le portail GameHouse et estime qu'il y aurait 1 milliard de joueurs en ligne sur les réseaux sociaux.
le 06/05/2010 à 22:53
Hadopi, c'est déjà fini ?
La manoeuvre était prévisible mais cette fois elle se précise. French Data Network vient de déposer un recours devant le Conseil d'Etat sur la loi Hadopi. L'association (et FAI) qui a pour but la promotion, l'utilisation éthique et le développement des réseaux Internet conteste certains décrets de la loi. En particulier, le décret n° 2010-236 du 5 mars 2010 relatif au traitement automatisé de données à caractère personnel.

Sur son blog, FDN fustige un texte pris sans avis de l'ARCEP, alors qu'« il porte sur les activités des opérateurs, et que l'article L. 36-5 du Codes des Postes et Communications Électroniques indique qu'en pareil cas l'avis de l'ARCEP est obligatoire ». Encore une fois, l'Hadopi semble donc avoir du plomb dans l'aile d'autant que la mesure pourrait bien retarder l'envoi des premiers e-mails, prévu pour le 21 juin.

Précisément French Data Network demande au Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative, de retirer le décret au motif que les FAI devront collaborer à la riposte graduée mais qu'il n'a jamais été question du partage financier de cette traque. A la loupe, French Data Network explique qu' « il n'est pas à démontrer que la mise en place et le fonctionnement de ce système aura des répercussions financières sur lesdits fournisseurs d'accès.  »

Concrètement, FDN se pose en tant que Fournisseur d'accès à Internet et critique ouvertement le fait que l'Arcep n'ait pas été saisie sur cette question. Le débat sur le coût de l'Hadopi ressort encore une fois du chapeau. Un rapport du CGTI (rattaché à Bercy) daté de fin 2008 avait estimé le prix de la loi sur les opérateurs à 70 millions d'euros sur trois ans. Christine Albanel avait alors calculé le montant de l'opération à seulement 20 millions d'euros.

Toujours est-il que ce recours devant le Conseil d'Etat va ralentir la mise en place de l'Hadopi. Pensez qu'en matière de requête devant le Conseil d'État, le délai moyen qui sépare le dépôt d'une requête de son jugement est d'un an… Il semble donc qu'Hadopi va devoir encore attendre.
Le logiciel de voix sur IP Skype annonce la disponibilité prochaine d'une nouvelle fonctionnalité permettant d'effectuer un appel vidéo groupé sur Internet jusqu'à cinq participants simultanément.

Neil Stevens, directeur général des produits grand public de Skype, explique que cette option très demandée des internautes sera gratuite dans un premier temps lors de la phase bêta qui débutera la semaine prochaine. Elle sera ensuite disponible sous la forme d'une souscription premium dans les trois ou quatre mois suivants. La conférence vidéo groupée sera premièrement disponible sur Windows puis portée sur Mac OS X par la suite.

Mercredi prochain, Skype annoncera une baisse des prix des communications de l'ordre de 60% tout en étendant son offre dans 170 pays (contre une quarantaine actuellement) pour passer des appels vers les lignes fixes mais aussi mobiles.
L'université de Californie, qui fournissait jusque-là des comptes Gmail à son personnel et ses professeurs, a décidé d'arrêter d'utiliser le service de messagerie de Google.

En cause : des soupçons de la part des responsables du campus, concernant la confidentialité des échanges et la sécurité du service. Google Buzz est en particulier montré du doigt comme étant « la source des vulnérabilités pour la vie privée et la sécurité ».

Le coeur du problème semble donc être Buzz, le réseau social que Google avait intégré à sa messagerie de façon cavalière le 9 février dernier. Jugé intrusif par les utilisateurs de Gmail, mais également par les hautes sphères protectrices de la vie privée sur Internet, le service avait été modifié quelques jours seulement après son apparition sur la toile. Mais le mal était déjà fait : paradoxalement, Google Buzz a bénéficié d'un mauvais... Buzz, des plus tenaces.

Ce sont donc 30 000 comptes Gmail que l'université de Californie va migrer sur une autre plateforme.

Ce n'est pas la première fois qu'une faculté américaine fait marche arrière concernant son utilisation de la messagerie de Google : Mashable rapporte que le mois dernier, c'est l'université de Yale qui annulait son projet d'utilisation de Gmail sur son campus. La question de la confidentialité et de la sécurisation des données dans le cloud avait alors été évoquée.
Alors que la conférence Black Hat n'est prévue que pour les 28 et 29 juillet prochains, les premiers résumés des exposés des hackers ont été mis en ligne sur le site officiel. Parmi les exploits présentés, celui de Barnaby Jack développe un rootkit permettant d'utiliser les vulnérabilités de tous les modèles de distributeurs de billets.

La conférence Black Hat est le rendez-vous des hackers qui souhaitent dévoiler leurs exploits aux firmes. Ces dernières sont alors libres de combler les failles, souvent béantes. C'est le cas du rootkit qui sera présenté par Barnaby Jack, un spécialiste en sécurité de la société IOActive. Cette dernière est bien connue du monde du hacking et de la bidouille puisqu'elle compte dans ses rangs Dan Kaminsky, « découvreur » de la faille DNS.

Barnaby Jack va donc proposer un outil multi-plateforme qui permet de diriger des attaques via le réseau mais aussi à distance contre des distributeurs de banque. Un sujet plus qu'épineux puisque l'an dernier, il avait déjà tenté de prononcer un tel discours mais son employeur d'alors, Juniper Networks, lui aurait sommé de se retirer…

Les techniques de piratage des distributeurs se font en général via la méthode du « skimming » qui revient à ajouter un appendice à la machine en vue de collecter les bandes magnétiques des cartes bancaires. Puis, avec une caméra vidéo, les escrocs filmaient leurs victimes composant leur code. Cette fois, la technique est plus fine dans le sens où elle parviendrait à introduire un malware dans le logiciel utilisé par les machines.

Plus d'informations seront données lors de la Black Hat en juillet. Lors de la conférence, les professionnels visés seront informés des failles de leurs systèmes puis invités à les corriger. L'exploit ne devrait donc pas servir à d'autres. Du hacking pour le sport en somme…
le 06/05/2010 à 17:34
Rencontre Adobe et Zend
Adobe organise un événement autour de PHP se déroulera le 17 mai 2010 à Paris.

L'évènement propose de découvrir la nouvelle version de Flash builder et flex, mais aussi leur communication avec PHP

Pour avoir plus d'informations, il suffit de prendre connaissance du communiqué et de s'inscrire car le nombre de places est limité.

- Les rencontres Designers et Développeurs - Adobe & Zend
le 06/05/2010 à 17:34
PHP solutions passe au numérique
Le magazine « PHP solutions » vient de passer en version numérique. Ce numéro est téléchargeable gratuitement sur le site du magazine au format PDF.

Il répond aux attentes des lecteurs possédant un support numérique portable.

Dans ce numéro, vous découvrirez :
- Les Google Webmaster Tools
- Préprocesseur CSS
- Administrer votre serveur Debian par SSH
- AJAX facile avec JQuery et Zend Framework
- CLI : PHP en ligne de commande
- Manipuler les cookies avec PHP
- Android ou gPhone
- MySQLND : une économie de ressources
- PHP et la sécurité
- Un comparatif de forums PHP
- Puppy Linux / Toutou Linux une distribution très légère et à la pointe de la technologie !

- PHP Solutions (2010-04) : AJAX avec JQuery et Zend Framework
Estimant que parfois, « comprendre ce qui se passe après que les gens ont cliqué sur l'une de vos pubs est aussi important » que le nombre de clics pour mesurer la performance d'une campagne AdWords, Google vient d'introduire de nouvelles formes de rapports dans Google Analytics, à l'occasion de la conférence eMetrics de San Jose, Californie.

Les nouveaux rapports, disponibles dans Google Analytics, doivent donner un meilleur aperçu de ce qui se passe une fois la publicité cliquée. Google explique sur son blog dédié à AdWords que par exemple, « supposez que vous vouliez voir si les internautes qui ont cherché l'un de vos mots clés ont plus été sur votre site que ceux qui ont cherché des termes plus larges. » Avec les nouveaux rapports, il est aussi possible de savoir combien de pages ont été visitées par tel groupe - celui qui a recherché exactement les termes ou qui a effectué une recherche plus large - et le temps moyen passé sur le site.

Google annonce qu'avec les « funnel reports », il est même possible de connaître l'étape à laquelle les visiteurs ont tendance à abandonner un acte d'achat. Google publie une vidéo pour donner toutes les possibilités offertes par les nouveaux rapports :

Google annonce un lancement progressif des nouvelles fonctionnalités de rapport sur plusieurs semaines, « donc vous ne les verrez peut-être pas immédiatement. » Elles sont disponibles dès qu'une nouvelle section apparaît dans les rapports des « Traffic Sources » dans Google Analytics - il faut que celui-ci soit lié à un compte AdWords.
Nous en parlions au mois d'octobre dernier, Google Books, la bibliothèque numérique, devrait bientôt se transformer en place de marché de livres numériques. Le Wall Street Journal rapporte que cette initiative, baptisée Google Editions, devrait finalement voir le jour fin juin ou début juillet.

Contrairement à Apple ou Amazon, Google devrait rendre ces e-books disponibles sur plusieurs appareils et donc parier sur une stratégie d'ouverture. C'est ainsi que le lecteur sera en mesure de lire une oeuvre directement depuis un navigateur Internet, probablement via un service web optimisé. Google n'exclut cependant pas de développer quelques logiciels propres à certains terminaux (iPhone, iPad...). Evan Schnittman, vice-président du développement économique d'Oxford University Press, déclare ainsi : "en tant qu'éditeur, j'apprécie le fait de ne pas avoir à me soucier du terminal utilisé par le lecteur. Il s'agit d'un produit électronique accessible par tous les consommateurs possédant un compte Google".

De plus, l'éditeur pourra figurer au sein du moteur de recherche dédié de Google et commercialiser ses oeuvres directement sur son propre site Internet. Amanda Edmonds, la directrice des partenariats stratégiques du moteur de recherche américain citée par Livreshebdo.fr, affirmait que Google devrait prélever une commission de 37% sur chacune de ces ventes.

Lors d'une récente conférence à New York, Chris Palma, responsable du développement et des partenariats stratégiques, expliquait que la société s'interrogeait encore sur la détermination du prix d'une oeuvre. En effet, pour l'heure, nul ne sait si c'est Google ou l'éditeur qui décidera du prix de vente de ces oeuvres.
La marque à la pomme n'a pas fini d'attiser l'imagination de ses fans : aujourd'hui, c'est un site de rencontre dédié aux adeptes d'Apple qui vient d'apparaître sur la toile.

Nommé Cupidtino - contraction de Cupidon et de Cupertino le site, dont le lancement officiel est annoncé en juin, promet à ses visiteurs des rencontres entre fanboys et fangirls, pour faire connaissance et plus si affinités.

« Les fans de Mac et d'Apple ont souvent beaucoup en commun la personnalité, des professions créatives, un même sens du style et de l'esthétique, et, bien sûr, l'amour de la technologie. Nous pensons que ces raisons sont suffisantes pour que deux personnes se rencontrent et tombent amoureuses, et par conséquent nous avons créé le premier site de rencontres pour vous aider à trouver d'autres amoureux de Mac autour de vous » annonce le site.

Les créateurs du site de rencontre se décrivent comme « 3 geeks (deux développeurs et un designer) avec des antécédents chez Google, Microsoft et Yahoo !, basés à San Francisco et obsédés par les gadgets Apple » qu'ils possèdent tous.

Sur le compte Twitter du site, certains followers ont demandé s'il s'agissait d'une plaisanterie, mais les responsables de Cupidtino ont confirmé que le lancement se ferait le mois prochain. Des applications pour iPhone et iPad seront vraisemblablement de mise. Il est également possible de s'inscrire pour la bêta en attendant d'en savoir plus.
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