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Remise du Prix des technologies numériques - des Prix des technologies numériques, devrait-on dire, puisqu'il y en a trois en réalité - en grande pompe jeudi dernier dans les salons de l'Hôtel de Lassay, contigu à l'Assemblée nationale. Remis par la Secrétaire d'Etat à la prospective et au développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, et organisé par l'école Télécom ParisTech et son association de diplômés, le Prix des technologies numériques récompense trois acteurs dans le domaine technologique.

Premier prix : celui de l'Innovateur. Décerné à « une personnalité qui porte une innovation dont l'impact marquera l'avenir de la société numérique », il a été remis à Eric Garcia, fondateur de la société Covalia. Cette entreprise développe des solutions de télédiagnostic dans le secteur de la cybersanté. Pour Jean-Michel Hubert, président du jury du Prix des technologies numériques, ce sont les deux images véhiculées par Covalia qui ont valu à Eric Garcia la récompense. Jean-Michel Hubert note « l'importance du thème de la santé dans les implications et les usages numériques dans les prochaines année »s, et estime que Covalia montre « la pénétration de la technologie dans ce que la vie quotidienne a de plus intime pour les citoyens. »

Le deuxième prix, du Manager d'entreprise, a été remis à Nicolas de Tavernost, président du directoire du groupe M6 (maison-mère de Clubic). Selon Jean-Michel Hubert, le jury a ainsi voulu dire que « le monde de l'audiovisuel est intégralement partie prenante des technologies numérique et de leurs évolutions. Elle a sa place dans le mouvement que l'on qualifie souvent de convergence. »

Troisième et dernière récompense, le prix du Promoteur de la société numérique a été décerné à Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation Internet nouvelle génération. Une façon de rappeler que « l'Internet est indissociable du numérique, et générateur par sa dimension technologique et ses usages du mouvement dans lequel nous sommes », souligne le président du jury. L'occasion pour Daniel Kaplan de lancer un appel aux anciens diplômés de Télécom ParisTech : « Vous avez besoin de nos travaux, puisque vous nous distinguez, mais nous avons aussi besoin de vous dans nos projets, et dans l'association. La Fing est plus que jamais nécessaire, et plus que jamais fragile. »
Si Facebook a créé le plus gros réseau communautaire de la Toile, il n'en reste pas moins que la firme de Mark Zuckerberg s'inspire volontairement de ses concurrents plus petits pour dynamiser son site Internet. L'année dernière, Facebook a tenté de racheter le site de micro-blogging Twitter alors en pleine croissance. Si la transaction n'a finalement pas eu lieu, les développeurs de Facebook ont entrepris de revoir l'interface du réseau en la calquant sur celle de son rival.

Cette fois, c'est le site Internet FourSquare, spécialisé dans la géolocalisation qui est dans la ligne de mire. Rappelons que FourSquare invite l'utilisateur à partager, via une application mobile, les endroits publics sur lesquels il se rend. La start-up a également conclu plusieurs partenariats avec différentes enseignes. Ainsi, si un internaute se rend très fréquemment dans un café Starbucks en particulier, par exemple, il obtiendra alors le titre de "Mayor " (maire) de cet endroit et pourra bénéficier de certaines réductions pré-négociées entre FourSquare et la chaîne Starbucks.

Le magazine AdAge rapporte que Facebook a signé un accord similaire avec la chaine McDonald's aux Etats-unis et les deux parties collaboreraient sur le développement d'une application mobile spéciale. Cette dernière permettrait de "partager son menu avec ses amis" en précisant le nom et l'adresse du fast-food, pour ensuite bénéficier de coupons promotionnels. AdAge rapporte les propos de Chris Fuller, directeur des nouveaux médias chez Pizza Hut : "nous sommes en train de chercher la grande révolution qui ne sera pas simplement un effet de mode mais un vrai changement dans les attitudes des consommateurs (...) il semble que ce soit le cas des services de géolocalisation ".

Cela fait quelques temps déjà que les rumeurs circulent sur les efforts de Facebook dans le domaine de la géolocalisation. Au mois de mars le New York Times rapportait que sur les 400 millions d'utilisateurs de Facebook, un quart d'entre eux se connecteraient à partir d'un terminal mobile.
Facebook vient d'engager l'ancien président de la Federal Trade Commission (FTC - l'autorité de régulation du commerce américaine), Timothy J. Muris, alors que le réseau social fait face à une surveillance accrue de ses conditions de gestion de la vie privée. Muris, président sous l'administration Bush, va défendre la politique de Facebook à Washington.

De nombreuses plaintes ont été adressées contre Facebook par des défenseurs de la vie privée. La FTC commence à regarder le problème de près, et il semblerait que l'embauche de Muris, connu pour être un fervent avocat anti-monopoles, soit la réponse du réseau social aux critiques.

Timothy Muris devrait avoir beaucoup de travail très rapidement. La semaine dernière, un groupe de pression dénommé Electronic Privacy Information Center a demandé à la FTC d'enquêter sur les récents changements dans les conditions d'utilisation de Facebook, qui rendent plus d'informations privées publiques par défaut, et permettent un partage automatique de ces informations avec d'autres sites.

Autres sources d'inquiétude : TechCrunch a révélé (en anglais) la semaine dernière une faille qui permet de voir toutes les conversations instantanées de ses amis. Un autre site américain, peHUB, vient de montrer une brèche (en anglais) dans le compte d'un capital-risqueur (et membre de la direction de Facebook), Jim Breyer. Et l'annonce de l'arrivée de services géolocalisés sur Facebook devrait amener son lot de critiques.

Timothy Muris aura donc de quoi faire, même s'il pourra compter sur l'appui de Tim Sparapani, ancien avocat au Conseil américain aux libertés civiques, engagé récemment comme directeur des politiques publiques.
Sur le blog officiel de Canonical, Mark Shuttleworth, fondateur de la société, présente une version du système GNU/Linux Ubuntu baptisée Ubuntu Light et spécialement conçue pour être installée en dual boot. Ubuntu Light fait alors figure d'instant on, c'est-à-dire un système alternatif qui démarre très rapidement et ne proposant que le nécessaire pour surfer sur Internet.

M. Shuttleworth explique que pour ce type de système, l'utilisateur n'a pas besoin d'un large éventail d'applications ou un explorateur de fichier trop poussé. Il précise cependant : "nous souhaitons conserver la possibilité d'avoir quelques applications en favoris", une initiative qui résulte d'une étude montrant qu'en moyenne l'utilisateur d'Ubuntu possède entre 3 et 10 raccourcis au sein de la barre des tâches.

Avec la nouvelle interface Unity, Canonical repousse un peu plus loin l'ergonomie d'Ubuntu Netbook Remix en optimisant davantage l'agencement pour les plus petits écrans. Dans la mesure où "les ordinateurs portables présentent généralement un écran toujours plus large", c'est donc sur la hauteur de la dalle que se jouera l'optimisation de l'affichage. Par ailleurs, la barre de lancement, placée sur la partie gauche de l'écran, présentera des icônes conçues pour les interfaces tactiles.

Ubuntu Light, conçu pour netbooks et ordinateurs portables classiques, est disponible pour les OEM dès aujourd'hui. Mark Shuttleworth précise : "chaque image disque sera modifiée pour optimiser le démarrage en fonction des spécificités matérielles de la machine et sera fournie avec une palette d'outils pour Windows afin de gérer les configurations du dual boot". Pour cette raison, Ubuntu Light ne sera pas officiellement distribué au téléchargement à côté de la version classique du système. Avec Ubuntu Light, Canonical pourrait fortement augmenter ses parts de marché en pariant sur un segment qui se complète à Windows. L'idée d'un système d'exploitation centré sur les usages Internet n'est pas nouvelle et l'on pense immédiatement au prochain Chrome OS. Avec ce dernier, Google pourrait en effet suivre une stratégie similaire.

Lors de l'Ubuntu Developer Summit, qui se tiendra cette semaine à Bruxelles, Canonical invitera les développeurs à plancher sur une version de Unity capable de supplanter Ubuntu Netbook Remix. Plus qu'un simple instant on, cette mouture devra prendre en charge un plus grand nombre d'applications et se doter d'un meilleur explorateur de fichiers. Une première ébauche a été conçue pour le gestionnaire des applications.
La Federal Communications Commission, en charge aux Etats-Unis de la régulation des télécoms, vient de donner son accord aux fournisseurs de télévision par satellite, câble ou ADSL, pour verrouiller les sorties analogiques de leurs décodeurs et autres box, dans le but de lutter contre le piratage.

Le procédé employé consiste à activer la fonction « selectable output control » (SOC) incluse dans les box des opérateurs, qui encode les vidéos avec un signal bloquant la sortie de données analogiques, et empêche l'utilisateur de dérouter le film visionné sur un support externe pour l'enregistrer.

Le procédé ne concernera cependant pas tous les programmes diffusés à la télévision américaine : seuls les films proposés en VOD avant leur sortie en DVD sont pour le moment concernés. La FCC a néanmoins indiqué qu'elle « examinerait toute dérogation, pétition ou autre proposition d'application du SOC dans le futur, qui seraient d'intérêt public ».

Une décision qui ne fait bien évidemment pas l'unanimité, et pour cause : selon l'ONG Public Knowledge, plusieurs millions d'installations aux USA ne fonctionnent que grâce à l'analogique. « Le SOC voudrait vous forcer à acheter du nouveau matériel de divertissement pour vous permettre de regarder les films hollywoodiens sur le câble » interpelle le site de l'association.
le 10/05/2010 à 23:23
Le WiFi met le turbo avec le WiGig
Deux associations de professionnels des réseaux, la Wireless Gigabit Alliance et la Wi-Fi Alliance, mettent en avant une nouvelle spécification qui pourrait d'ici deux ans, être intégrée à la norme WiFi. Le WiGig permettrait des échanges de données permet jusqu'à 7 Gbps s'il est adopté par le panel de professionnels réunis.

Les spécialistes des réseaux se félicitent de la mise en place future d'une norme qui sera compatible avec le WiFi sur la bande 60 GHz. L'association de Broadcom, Cisco, Dell, Intel, Microsoft, NEC, Nvidia, Nokia ou bien encore Samsung semble donc porter ses fruits. Le site Wired explique même que cette spécification pourrait permettre de transférer un flux vidéo haute définition entre un ordinateur et un téléviseur sans câble HDMI.

Concrètement, la vitesse serait 6 fois plus rapide voire plus puisque théoriquement la vitesse actuelle du WiFi est de 150 Mbps pour du 802.11n. Elle passerait dès lors d'un à six Gigabits par seconde. Le consortium des firmes estime que toutes ces innovations seront disponibles d'ici deux ans. Le débit rapide reste donc encore à attendre…
Ipreo Holdings, un éditeur de solutions de business intelligence et de logiciels pour l'investissement bancaire, vient de porter plainte contre le géant de la finance Goldman Sachs, l'accusant de viol de sa propriété intellectuelle et de vol de secrets commerciaux.

Déposée devant la cour du district sud de New York, la plainte cible plusieurs employés non-identifiés de Goldman Sachs. Ils auraient, selon Ipreo, accédé illégalement à l'une de ses bases de données et y auraient volé des informations. L'éditeur réclame au minimum 1 million de dollars de dommages et intérêts, et 2 autres millions d'amende contre Goldman Sachs.

Une porte-parole de Goldman a déclaré que la plainte n'avait aucun fondement, mais n'a fait aucune autre commentaire.

La base de données en question s'appelle Bigdough. Ipreo affirme qu'elle a nécessité des années d'efforts et un investissement important. Selon l'éditeur, elle contient la liste la plus complète et la plus pertinente « de banques d'investissements, de gestionnaires d'actifs, de fonds, ainsi que 80 000 contacts dans le secteur financier. » L'éditeur affirme avoir plus de 16 000 abonnés à sa base.

« La base de donnée est une valeur ajoutée fondamentale pour les instituts financiers comme pour Goldman » d'un point de vue marketing, estime Ipreo dans sa plainte. Selon lui, au moins deux employés de Goldman Sachs, et peut-être plus, se seraient introduits dans Bigdough à des dizaines de reprises en 2008 et 2009. Ipreo affirme qu'ils auraient utilisé les identifiants appartenant à quelqu'un d'autre pour y accéder 264 fois.

Selon Ipreo, ces employés auraient téléchargé des volumes de données importants au cours de ces visites. Goldman aurait tenté de minimiser la situation lorsque l'éditeur l'a informé de ces accès illégaux. Le géant de la finance a toutefois admis que les adresses IP relevées lui appartenaient, mais a tenté d'attribuer ces accès illégaux à un employé unique, selon la plainte.
Le navigateur d'Apple est touché par une vulnérabilité de type 0-day. La firme Secunia informe sur son site de la vulnérabilité découverte par ses services. Même l'une des versions les plus récentes du navigateur, la 4.0.5, est touchée par cette faille jugée critique.

A la loupe, la faille se situerait au niveau « d'une erreur de corruption de mémoire lors de la fermeture d'une fenêtre de type pop-up pendant la consultation d'une page Web ». Un code pourrait donc être lancé si l'utilisateur visite une page préalablement infectée. Une méthode traditionnelle mais qui peut faire des dégâts si un internaute ne prend pas garde aux sites qu'il est amené à visiter. Toutefois, la société danoise Secunia explique qu'aucune exploitation n'a, à ce jour, été revendiquée.

Pour l'instant, la seule parade semble donc être de prêter une attention particulière aux sites visités mais aussi de désactiver la prise en charge JavaScript. Pour l'instant, la faille n'a été recensée que sous Windows XP mais il est probable qu'à terme, elle puisse affecter la version Mac du navigateur Safari.
La plateforme de blog Overblog proposera dans les prochains jours à l'ensemble de ses utilisateurs de monnayer certaines de leurs publications. Fréderic Montagnon, le président et co-fondateur d'OverBlog, a à cette occasion répondu à nos questions pour nous éclairer sur les objectifs et les enjeux de cette nouveauté.

Clubic.com : Fréderic Montagnon bonjour. Dans quelle dynamique s'inscrit l'arrivée du micropaiement sur Overblog ?

Frédéric Montagnon : Depuis la création de la plateforme fin 2004, nous accompagnons les blogueurs dans leur démarche de publication, et nous les aidons à générer de l'argent avec leur contenu par l'intermédiaire de revenus publicitaires qui leur sont reversés sous la forme de droits d'auteur. Le micropaiement va permettre de franchir une nouvelle étape, en permettant aux blogueurs de monétiser leurs publications.

A qui s'adresse ce service ?

F.M. : Overblog héberge de nombreux blogs à fort trafic, et d'autres à moins fort trafic, mais très qualitatifs avec un contenu « niché », à base de conseils pratiques ou de recettes de cuisine par exemple. C'est ce type de publication qui est typiquement visé : un blogueur peut par exemple envisager de proposer à la vente une recette de cuisine le week-end, ou bien des bandes dessinées bonus dans le cadre d'un blog-BD.

On remarque également que les blogs de ce type attirent beaucoup de visiteurs, qui reviennent souvent : il y a un vrai lien entre l'utilisateur et son public, et acheter un article sur un blog peut également être une bonne façon de récompenser son auteur, à l'image des dons que certains blogueurs ont déjà mis en place.

Comment se passe la rémunération pour le blogueur ?

F.M. : C'est le blogueur qui fixe le prix de son article, ainsi que les moyens de paiement choisis (Carte bancaire, service audiotel ou SMS). Mais ce que touche l'auteur est très variable en fonction du type de paiement et du prix : pour un article à 1,5 euros payé par SMS, par exemple, le gain est minime car l'opérateur téléphonique est très gourmand.

Le paiement se fait en droits d'auteur, et nous nous occupons de tout, de la déclaration à l'AGESSA aux différentes cotisations : le blogeur perçoit un revenu net et n'a pas de démarches particulières à faire.

Y a-t-il des limites concernant le contenu payant proposé sur les blogs ? Comptez-vous contrôler les articles mis en vente ?

F.M. : Non, nous ne comptons pas contrôler les articles mis en vente : Overblog a, avant tout, un rôle d'hébergeur et d'intermédiaire technique, et n'intervient jamais a priori sur le contenu. Avec 30 000 articles publiés par jour, ce serait très difficile.

Quant au nombre d'articles proposés à la vente, il n'est pas limité : un blogueur peu proposer tous ses articles à la vente, mais ce n'est pas une bonne idée puisque ses articles ne sont pas référencés et il perd donc des visiteurs potentiels.

Ne craignez-vous pas que proposer des articles en micropaiement sans contrôle a priori attire de nouveaux utilisateurs malveillants, qui chercheraient à monétiser du contenu illégal ?

F.M. : Il y a toujours des détournements, on ne peut rien faire contre : notre directeur juridique s'occupe à plein temps de problèmes de contenus sur la plateforme. Néanmoins, Overblog propose du contenu majoritairement haut de gamme, et nous ne craignons pas les débordements.

Par ailleurs, depuis qu'on parle beaucoup d'Hadopi, les gens qui veulent publier du contenu illégal le font de moins en moins sur les plateformes françaises puisqu'elles ont l'obligation, par exemple, de conserver les adresses IP de leurs utilisateurs.

Et d'une façon générale, est-ce vraiment l'objectif d'un blog d'offrir une source de revenus à ses utilisateurs ?

F.M. : Beaucoup de blogeurs ne sont pas dans une démarche de monétisation de leurs articles, mais la rémunération permet bien souvent de dynamiser les blogs. Le fait de savoir qu'ils vont recevoir une somme d'argent à la fin du mois motive beaucoup les auteurs : d'ailleurs, les gens qui rentrent dans cette démarche de monétisation ne s'arrêtent plus de bloguer après, alors que les blogs non monétisés arrêtent souvent rapidement leur activité.

La rémunération des blogs profite à tout le monde, aux blogueurs, ainsi qu'à la qualité des contenus puisque pour espérer vendre, les auteurs vont devoir imaginer de nouvelles pratiques : offrir des articles plus travaillés et étoffés qu'à l'ordinaire, ou encore intemporels pour les monétiser longtemps.

Ce système profite également à Overblog dont la croissance est encore réelle : nous avons réalisé notre meilleur mois en avril dernier, et nous avons eu notre meilleure audience historique la semaine dernière. C'est un cercle vertueux.

Vous testez actuellement la fonction de micropaiement auprès d'un petit nombre de blogueurs, quels sont les retours ? Quand sera-t-elle disponible à l'ensemble des utilisateurs ?

F.M. : Nous testons actuellement cette nouvelle fonction auprès de 1000 blogueurs. Nous testons avant tout la technique, et même si un volume d'affaire est tout de même généré, il est trop tôt encore pour évoquer les chiffres. Reste que 30% des blogueurs du panel sont aujourd'hui intéressés pour mettre en place ce système sur leur blog.

Le service sera proposé à tous les blogueurs d'ici 10 jours et sera disponible partout sans le monde. Nous avons travaillé sur tout un tas de problématiques avec les banques et les services téléphoniques, pour accepter tous les formats de cartes bancaires et tous les paliers audiotels dans un maximum de pays, pour que le micropaiement soit accessible quelle que soit la source de l'audience.

Merci Fréderic Montagnon !
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