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le 31/01/2010 à 23:12
Unicode près de 50 % du web
Il y a 18 mois, une étude avait été effectuée concernant la répartition des codages de caractères pour le Web. L'étude montrait la répartition entre ASCII, Latin-1, ou Windows 1252 ou Unicode avec une orientation pour l'Unicode.

Mark Davis publie de nouveau une autre étude sur le blog de Google avec les même critères. Le résultat montre que près de 50 % des pages webs utilisent l'unicode.

Pour être sur d'utiliser l'unicode (UTF-8), des fonctions PHP existent comme utf8_encode() ou utf8_decode().

- Etude 2008 : Moving to unicode 5.1
- unicode nearing 50% of web
le 30/01/2010 à 23:11
Adobe Browserlabs
Lorsque vous réalisez un projet Web et avant sa mise en production, vous devez vérifier que le résultat obtenu est identique sur l'ensemble des navigateurs.

Les navigateurs réagissent de différentes façons suivant les versions des langages, du javascript ou des CSS et surtout des systèmes d'exploitations.

Adobe propose un outil appelé « Adobe Browserlabs », pour contrôler l'affichage de votre projet.

Vous devez vous inscrire gratuitement pour bénéficier des différents navigateurs proposés. Ces navigateurs sont :
- Chrome 3.0
- Safari 3 et 4
- Firefox 2.5 – 3.0 – 3.5
- Internet explorer 6 – 7 – 8
Avec les différents systèmes d'exploitations

Adobe Browserlabs
le 29/01/2010 à 23:09
PHP Loc
PHP Loc est un outil PHP vous permettant d'analyser votre code et d'obtenir un résultat sous la forme d'une sélection statistique.

Les résultats proposés, retournent le nombre de répertoires, de fichiers, les interfaces, méthodes et les fonctions.

Lorna Mitchell montre que la prise en main s'effectue facilement, en utilisant une ligne de commande, vous saisissez le chemin de votre code et PHP Loc effectue le reste. Il vous donne toutes les informations que vous avez besoin.

- phploc: PHP Lines of Code
- Projet PHP loc
le 29/01/2010 à 23:09
Zend Framework 1.10
Après quelques jours la sortie RC de Zend Framework, la version stable est disponible.

Cette nouvelle version apporte de nombreuses évolutions, mais aussi une réorganisation la documentation pour vous faciliter la recherche des fonctions par rapport à la version que vous utilisez.

Par ailleurs, Zend-tool a été completement refait pour éliminer les problèmes d'étranglement avec de nouvelles fonctionnalités.

- Annonce Zend Framework 1.10
- Zend framework 1,10 version Full
Hier Microsoft a publié ses résultats financiers pour le dernier trimestre de l'année dernière. Sur cette période la société présente un chiffre d'affaires s'élevant à 19,02 milliards, soit une croissance de 14% par rapport aux trois derniers mois de 2008 (16,629 milliards). Notons également un bénéfice de 6,6 milliards de dollars pour une hausse de 60% sur un an. Le CA du premier semestre fiscal s'élève à 31,94 milliards de dollars.

Peter Klein, chargé des opérations financières du groupe déclare : « la demande exceptionnelle pour Windows 7 a dessiné une croissance positive pour la société ». En effet, Microsoft aurait vendu 60 millions de licences pour son dernier système d'exploitation publié le 22 octobre dernier.

Il n'est donc pas surprenant d'apprendre que la division Windows et services Windows Live est celle qui a enregistré le plus fort chiffre d'affaires (6,9 milliards de dollars contre 4 milliards l'année précédente). L'année 2009 fut également marquée par la sortie de Windows Server 2008 R2. Le groupe « Server and Tools » affiche donc une légère hausse (3,88 milliards contre 3,75 milliards). De son côté le département Business a enregistré une petite baisse (4,74 milliards contre 4,88 milliards). Même chose pour celui des divertissements et appareils électroniques (2,9 milliards contre 3,2 milliards).
Le magazine TorrentFreak rapporte que Microsoft a déposé une plainte auprès de la cour régionale de Vilnius contre Kestas Ermanas, l'administrateur du service BitTorrent LinkoManija. Classé dans le top 10 des sites Internet les plus visités en Lituanie, ce réseau aurait été utilisé pour des téléchargements illégaux des suites bureautiques Office 2003 et Office 2007. D'ailleurs, au mois de novembre plus d'une centaine d'utilisateurs du réseau avaient été reportés à la police.

Ces actions en justice ont été ouvertes avec le groupe LANVA, un organisme local chargé de lutter contre le piratage. Depuis, les comptes bancaires de l'opérateur Kestas Ermanas ont été gelés. Microsoft réclame 43 millions de dollars de dommages et intérêts. En revanche, selon les lois locales, Microsoft ne serait pas en mesure de demander une somme supérieure à 53 000 dollars.

De son côté, M.Ermanas déclare avoir contacté le firme de Redmond et explique : « nous les avons informé que nous voulons coopérer avec eux. ils auraient pu simplement nous donner les liens des fichiers incriminés ». Kestas Ermanas serait toujours dans l'attente d'une réponse de la part de Microsoft.
Alors qu'il revendiquait 173.000 clients à son offre d'accès à Internet via ADSL à la fin novembre, Bouygues Telecom vient de laisser entendre par l'intermédiaire d'une lettre d'information adressée à ses abonnés qu'il aurait considérablement élargi le parc des foyers raccordés au moyen de la Bbox, son boitier triple play. L'opérateur affirme en effet avoir franchi la barre des 300.000 clients. Sur les trois derniers mois, il aurait donc réussi à recruter plus de 120.000 nouveaux abonnés.

Bouygues Telecom n'explique pas les raisons de ce succès, mais il n'est pas impossible que l'offre quadruple play Ideo ait joué un rôle dans ce recrutement massif. Cette dernière couple pour mémoire une offre d'accès à Internet résidentiel à un forfait mobile. Pour le consommateur, l'avantage est double : il ne reçoit plus qu'une seule facture et paie, en théorie, moins cher pour cette offre unique que pour deux forfaits séparés.

Via cette discrète communication, Bouygues prend de cours ses concurrents, dont les résultats en matière de nombre d'abonnés pour le dernier trimestre de 2009 devraient être connus d'ici quelques jours. L'opérateur en profite pour mettre l'accent sur les nouveaux services qu'il propose ou va proposer, à commencer par l'ajout de cinq nouvelles chaînes à son bouquet de télévision gratuit (Poker Channel, Record News, Bloomberg Télévision, Russia Today et Ma Chaine étudiante).

Enfin, Bouygues poursuit les tests conduits autour de l'interaction avec les programmes TF1 depuis sa Bbox, en permettant aux téléspectateurs de voter directement grâce à leur télécommande dans le cadre de l'émission La Ferme Célébrités en Afrique.
À peine annoncé et avant même ses premiers tours de roue, l'iPad a mis en émoi le monde entier, comme nous l'expliquions hier dans un article relatant l'emballement médiatique hors norme qu'a suscité son annonce. Entre autres réactions, s'il y en a bien une qu'on attendait impatiemment, c'était la réaction d'Adobe.

Après avoir prétendu qu'il l'avait évincée de l'iPhone pour raison technique, Apple a de nouveau eu l'audace de priver l'iPad de la technologie Flash. Certes gourmande en ressources, en attendant d'être accélérée dans le cadre de l'Open Screen Project, elle est surtout démocratisée et essentielle à une "navigation sur le Web dans toute sa richesse", pourtant prônée par la firme de Cupertino.

Si l'information n'a pas été confirmée par Apple, l'apparition répétée et assumée de la fameuse brique bleue lors de la démonstration de son navigateur Internet n'a quant à elle laissé aucun doute, avant même les déclarations de représentants d'Adobe.

Adrian Ludwig, responsable marketing produit Flash, regrette ainsi sur le blog officiel d'Adobe "qu'Apple continue d'imposer sur ses appareils des restrictions qui limitent à la fois les éditeurs de contenus et les consommateurs", en donnant des exemples de sites internet populaires qui perdent leur potentiel sur l'iPad. Il indique en outre que les consommateurs "ne pourront pas profiter des livres numériques protégés par le verrou numérique d'Apple sur les liseuses d'autres fabricants", puisque bien qu'il ait retenu le format universel ePub, Apple a boudé le DRM d'Adobe qu'emploient d'autres acteurs de l'ebook.

Michael Chou, chef produit chez Adobe, rappelle quant à lui que le "Packager for iPhone", intégré au futur Flash Pro CS5, permettra aux développeurs Flash de créer des applications natives pour iPhone, iPod Touch et iPad. Toutefois, ce composant ne résoudra pas la question d'une navigation Web complète avec l'un des dispositifs mobiles d'Apple.

Le processeur "haute performance" à 1 GHz ne pouvant plus justifier l'éviction de Flash, pour quelle obscure raison Apple a-t-il fait ce choix ? Est-ce pour nous délivrer de cette technologie propriétaire ou pour protéger l'écosystème de l'App Store ?
Au mois de décembre, nous apprenions que Google avait lancé son propre service de résolution de domaines. Baptisé Google Public DNS ce dernier nous promet un Internet plus rapide, plus sûr et respectant les principes de neutralité du net. Rappelons que le serveur DNS se charge de traduire un nom de domaine (ex : google.com) et l'adresse IP du serveur sur laquelle ce site Internet est hébergé.

« Nous pensons qu'une infrastructure DNS plus rapide pourrait améliorer l'expérience de navigation pour tous les internautes de manière significative », avait alors affirmé Google. Aujourd'hui nous en savons un peu plus. En effet, la firme de Mountain View, accompagnée de plusieurs fournisseurs de service DNS, a envoyé une proposition au groupe de travail DNSext visant à modifier le protocole en question.

Lorsque la communication est établie entre la machine et le serveur, Google souhaite que plusieurs informations périphériques soient envoyées et notamment la localisation de l'internaute. Cette mesure s'appuie sur l'adresse IP de ce dernier. Cependant afin de garantir la vie privée de l'utilisateur, Carlo Contavalli et Wilmer van der Gaast expliquent : "notre proposition pour le protocole DNS permettrait aux serveurs de noms récursifs (NDLR : par exemple celui d'un FAI) d'inclure une partie de votre adresse IP lors d'une requête auprès d'un serveur racine". Ils ajoutent que seuls les trois premiers octets ou les 24 premiers bits seraient ainsi envoyés et s'avéreraient suffisants pour déterminer la position géographique de l'internaute tout en conservant son anonymat. Il en résulterait alors un processus de communication beaucoup plus rapide.

Si elle venait à être acceptée par le groupe DNSext, cette proposition pourrait alors dessiner l'avenir du standard DNS.
Début décembre, Numericable faisait le point sur la diffusion de la TNT sur son réseau câblé. Il se félicitait d'avoir déployé la télévision numérique terrestre sur 4 des 10 millions de prises de son réseau, dans 17 villes supplémentaires1. Mais un mois et demi plus tard, il y a de grandes chances pour que votre télévision ne capte toujours aucune des 18 chaines de la TNT ni aucune des 4 chaines de la TNT HD…

Numericable avait pourtant profité du lancement en grande pompe de sa prétendue offre triple play, en septembre dernier, pour annoncer qu'il déploierait la norme DVB-T sur son réseau. Bien que l'opérateur laisse entendre que ce soit une innovation commerciale de son propre chef, il se contente en fait de se conformer à la loi, puisque tous les foyers de France doivent avoir accès à la télévision numérique avant l'extinction de l'analogique, d'ici fin 2011. La norme DVB-T est prise en charge en standard par tous les téléviseurs récents et permet de recevoir gratuitement la TNT HD, alors que la norme DVB-C nécessite un décodeur maison, avec lequel la haute définition est facturée 5 euros par mois.

Les foyers raccordés dans les zones théoriquement couvertes par la TNT ne sont pas pour autant au bout de leurs peines. De nombreux répartiteurs sont effectivement affublés de filtres, posés par Numericable (ou l'un de ses prédécesseurs) il y a des années pour d'autres raisons (les immeubles neufs en sont donc exempts), qui bloquent notamment les fréquences employées pour la TNT. C'est un technicien qui devra donc intervenir, sur demande des clients qui finiront par s'impatienter, pour retirer chacun de ces milliers de filtres, qu'il suffit en fait de remplacer par un adaptateur.

L'opérateur ne souhaite pas que les consommateurs opèrent eux-mêmes, en dépit des nombreux bricoleurs du dimanche qui se portent volontaire, à en croire un vendeur d'une boutique parisienne. Celui-ci regrette d'ailleurs que la maison mère ne leur fournisse ces fameux adaptateurs… qu'on peut toutefois se procurer auprès de boutiques de réparation de télévision, par exemple. Grand prince, Numericable offre toutefois l'intervention, sur simple coup de fil au service client (au 3990, prix d'une communication locale).

Mise à jour du 28 janvier 2010

Numericable nous a contacté pour réagir à cette actualité, par la voix de son directeur technique, Philippe Lemay. Celui-ci soutient que le problème décrit ci-dessus est "marginal", en donnant l'exemple de l'Alsace où ils n'ont rencontré que "très peu de problèmes", à quelques exceptions près, comme en témoignent nos lecteurs dans les commentaires de cette actualité.

En cas de problème avec un filtre, l'opérateur doit en revanche intervenir au cas par cas, à moins qu'une réclamation collective n'émane d'un syndic. Dans le cas contraire, un immeuble d'une dizaine de logements implique donc autant d'appels au service client et autant d'interventions distinctes.

Il rappelle par ailleurs que si l'opérateur a bien l'obligation légale de mettre gratuitement à disposition des foyers raccordés les chaines de la TNT, la diffusion à la norme DVB-T est un choix commercial parmi d'autres. La loi l'autorisait aussi à offrir un récepteur contre une caution, comme il le faisait jusqu'à présent avec toutes les contraintes que cela impliquait (encombrement supplémentaire et haute définition optionnelle), ou à retirer le chiffrage sur les chaines de la TNT distribuées en DVB-C, norme prise en charge par certains téléviseurs. Numericable a donc retenu la solution la plus économique, en l'agrémentant au passage de quelques stations de radio, et en amenant dès à présent la TNT HD dans des zones qui n'en bénéficient pas encore par les ondes.

La législation n'est certes pas à une contrariété près, alors qu'elle a rendu obligatoire les récepteurs DVB-T dans les téléviseurs commercialisés en France depuis le mois de mars 2008.1 Angers, Bordeaux, Brest, Caen, Cannes, Le Havre, Le Mans, Marseille, Nantes, Nice, Orléans, Paris, Rennes, Strasbourg, Toulon, Tours, Versailles.
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