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le 28/01/2010 à 20:03
10 étapes pour Memcached Server
Pour améliorer vos applications PHP, vous devez souvent utiliser un cache. Il en existe différentes extensions et différents paquets.

Le site « Web Developer juice » montre sous linux comment installer et configurer Memcached Server en 10 étapes.

La démonstration utilise le paquet yum en vous montrant tous les processus.

- 10 baby steps to install Memcached Server and access it with PHP
Finalement, il y aura bien du mouvement à la tête de Deezer. Dans un communiqué, la start-up spécialisée dans la diffusion de musique en ligne vient en effet d'annoncer la nomination d'Axel Dauchez au poste de directeur général. Jonathan Benassaya, PDG et cofondateur de la société, dont le départ était pressenti, conserve ses fonctions.

"Les actionnaires d'Odyssey Music Group se sont réunis aujourd'hui, sous la présidence de Jonathan Benassaya, et ont décidé de nommer à l'unanimité Axel Dauchez en qualité de Directeur Général du Groupe", indique Deezer dans un communiqué.

Ancien homme de médias, avec 15 ans d'expérience en tant que président de BDDP Interactive et directeur général de MoonScoop, Axel Dauchez assurera donc une partie de l'opérationnel. Sa nomination "nous permet de consolider le management de la société et d'ouvrir de nouveaux horizons internationaux", indiquent les deux fondateurs de Deezer, Jonathan Benassaya et Daniel Marhely.

Bien que Deezer profite de cette communication pour assurer que son développement futur est d'ores et déjà financé, l'intéressé devra sans doute trouver le moyen de multiplier le nombre d'abonnements aux offres payantes de Deezer. Selon le site ElectronLibre.info, Deezer n'aurait en effet enregistré que 10.000 abonnés à son offre Premium (9,99 euros par mois) et 4.000 utilisateurs de son streaming "haute qualité" (4,99 euros). Des chiffres censément bien inférieurs à ce qu'attendent les actionnaires de Deezer : lors de la mise en place de ces nouvelles formules, le service tablait sur 100.000 abonnés payants à fin 2010.
En mai dernier, six mois avant que l'Etat ne se préoccupe de la question, un particulier du nom de Renaud Veeckman avait déposé auprès de l'INPI (Institut national pour la propriété industrielle) la marque "Hadopi". Cette semaine, il annonce le lancement prochain de "Apiadopi", une plateforme de distribution de contenus numériques légale qui fonctionnera, selon lui, sur un mode "mutualiste", assez proche sur le plan financier de ce qu'a mis en place Apple avec son App Store.

Dans la mesure où le gouvernement ne devrait pas avoir de mal à dénoncer le dépôt de la marque "Hadopi", employée depuis de nombreux mois par ses représentants, Renaud Veeckman a finalement choisi de ne pas l'exploiter directement. A la place, il propose donc Apiadopi, une plateforme qui « reposera sur le principe de juste rétribution des créateurs ».

« La clef de répartition qui sera mise en oeuvre sera de 70% pour les déposants et de 30% pour la plateforme », indique l'intéressé. Selon lui, tout contenu proposé, qu'il s'agisse de musique, de vidéos, de texte ou de photographies, sera rémunéré selon le même principe. Le créateur fixera lui même le prix de vente de son oeuvre. Qu'il conserve ou non la marque Hadopi, Renaud Veeckman aura toutefois fort à faire s'il veut respecter l'objectif affiché sur l'unique page de son site : un lancement dès le mois de septembre prochain.
Poids lourd de l'univers du logiciel libre, l'éditeur Red Hat a ouvert cette semaine les portes du site opensource.com, présenté comme un espace de discussion dédié à la communauté. Cette dernière est invitée à s'exprimer sur les différents aspects de l'open source, à commencer par l'impact que ce modèle pourrait avoir à l'extérieur du monde du logiciel. Le site, en préparation depuis le mois d'octobre dernier, fait appel au gestionnaire de contenus (CMS) open source Drupal.

C'est Jim Whitehurst, CEO de Red Hat, qui ouvre le bal avec un billet dans lequel il présente les objectifs que s'est fixé l'éditeur. « Ce site est l'une des façons par lesquelles Red Hat veut restituer quelque chose à la communauté open source. Nous voulons créer un point de connexion entre toutes les conversations relatives à l'impact que peut avoir - et a déjà - l'open source au delà du monde logiciel », y explique-t-il, en prenant soin d'ajouter qu'il ne s'agit ni d'un site « pour Red Hat », ni d'un site « à propos de Red Hat ».

Tout juste lancé, le site compte déjà de nombreux contenus, la majorité émanant toutefois d'employés de Red Hat. D'après les premiers commentaires laissés sur le site, l'initiative semble plutôt bien accueillie. A l'extérieur, certains ne manquent toutefois pas de souligner que divers projets du même ordre ont déjà vu le jour, notamment sous l'égide de la Fondation Linux, et subodorent que le projet de Red Hat n'est pas désintéressé. Peu importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse ?
Dans un message publié sur la liste de diffusion officielle de Canonical, Rick Spencer, responsable du développement du système d'exploitation Ubuntu, annonce trois changements à venir.

Plus précisément, ces modifications concernent le navigateur Firefox de la prochaine version d'Ubuntu (10.04 LTS - Lucid Lynx), prévue pour le mois d'avril. La page de démarrage devrait ainsi être associée au moteur de recherche configuré par défaut par l'internaute. Ainsi, si les utilisateurs "changent pour Yahoo!, la page de démarrage sera également modifiée avec un champ de recherche Yahoo!", explique M. Spencer.

Yahoo! s'installera d'ailleurs comme moteur de recherche par défaut ; une initiative qui n'empêche en rien la modification de ce paramètre dans les options du logiciel. Plus précisément; "Canonical a négocié un contrat de partage de revenus avec Yahoo!". Pour la société fondée par Mark Shuttleworth, il s'agit de diversifier sa stratégie financière pour assurer davantage le rythme de développement du système.

Rappelons que Google et Mozilla entretiennent un partenariat similaire. Les recettes publicitaires reversées par Google constituent près de 85% des revenus globaux de la fondation (57 millions de dollars en 2006). Notons également l'ironie de la situation puisque si certains défenseurs du système libre Ubuntu choisiront de conserver Yahoo! en tant que moteur de recherche par défaut, les résultats retournés pourraient bientôt être calculés par la technologie de Microsoft.
Play TV, décrite comme étant la première plateforme de télévision gratuite et légale sur internet, se lance aujourd'hui dans le domaine prolifique de la vidéo à la demande. Ce poste de télévision en ligne, à mi-chemin entre les services de télévision sur ordinateur des FAI et les web TV de certaines chaines, réunit une cinquantaine de chaines de télévision en un seul endroit.

Certains fournisseurs d'accès à Internet (chez Free et SFR) proposent déjà un service de télévision accessible d'un simple navigateur, mais non content d'être réservés aux abonnés de l'un ou l'autre opérateur, ils font appel au plugin VLC media player qui, s'il présente l'avantage d'être multiplateforme, n'est que rarement installé et impose quelques complications.

Play TV diffuse quant à lui certaines des chaines en Flash, extension certes propriétaire mais largement démocratisée, d'autres au format Windows Media, pris en charge en standard par tous les ordinateurs sous Windows… En attendant que la jeune pousse n'internalise la diffusion de l'ensemble du bouquet, au cours des 6 prochains mois, et qu'elle ne choisisse le format de son choix : aujourd'hui au travers de l'extension Flash, demain en natif avec le HTML 5, qui sait ?

Précédés d'une publicité d'une dizaine de secondes, les flux sont diffusés en basse définition (320 x 240 pixels), bien en dessous des services de télévision sur ordinateur des FAI, mais bien suffisant pour une séance de télévision sur le pouce. Le service propose enfin des fiches et un guide des programmes, ainsi que des fonctions de partage sur les principaux réseaux sociaux en vogue (Facebook et Twitter notamment).Play TV est donc accessible dès à présent.
En attendant son entrée officielle à l'Assemblée nationale, le 9 février prochain, la future Loppsi, ou « Loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure », fait actuellement l'objet des examens préliminaires, au niveau notamment de la Commission des Lois, qui s'est saisie du dossier mercredi. C'est à ce stade que sont examinés les premiers amendements déposés par les différents groupes parlementaires. Le sort du projet est donc encore loin de se joeur, mais ces discussions se révèlent bien souvent annonciatrices des pierres d'achoppement qui alimenteront les débats de l'Assemblée puis du Sénat. Entre autres points épineux d'un dossier Loppsi qui sur le Web alimente déjà bien des craintes, la question du filtrage des sites devrait occuper une place prépondérante.

Loppsi, piqure de rappel

Bien que le texte soit en préparation depuis la fin 2007, la Loppsi n'a que très peu été abordée par les médias généralistes. Pour ceux qui prennent le train en marche, une petite piqure de rappel s'impose donc. Le projet Loppsi succède au premier volet de la « Loi d'orientation et de programmation pour sécurité intérieure », dont l'acronyme est donc Lopsi, avec un seul « p ». Il en reprend le très vague objectif : lutter de la façon la plus efficace qui soit contre les différentes formes de la criminalité. Dans le domaine du numérique, elle s'adresse donc à la cybercriminalité, avec des thèmes aussi variés que la pédopornographie, le terrorisme, les escroqueries, la fraude informatique, etc.

Avant même que les deux chambres du Parlement n'aient été saisies du projet, la Loppsi provoque l'effroi d'une partie des internautes, particulièrement chez ceux qui sont sensibilisés aux problématiques de respect de la vie privée ou de neutralité des réseaux. Non sans raison, puisque la version actuelle du texte évoque l'installation de mouchards informatiques dans le cadre d'enquêtes de police, le filtrage des sites illicites ou la constitution de "fichiers d'analyse sérielle" permettant aux forces de police de mieux recouper les informations issues de bases de données qui alimentent déjà bien des controverses.

Ajoutez à cela la proposition de tripler le nombre de caméras de surveillance sur le sol français ou la confiscation automatique du véhicule des chauffards et vous tenez le futur cheval de bataille de ceux qui dénoncent les dérives sécuritaires du gouvernement. Nous nous cantonnerons logiquement, aujourd'hui comme au cours des semaines et mois à venir, aux aspects qui touchent à l'informatique et à Internet.

Où en est-on ?

Cette semaine, la Commission des Lois de l'Assemblée nationale est réunie pour plancher sur la première série de 46 amendements que l'opposition et le gouvernement souhaitent apporter au texte. Nombre d'entre eux ne visent à qu'à dénoncer telle ou telle facette du projet, et sont donc rejetés rapidement sans autre forme de procès, à l'image d'une proposition déposée par le député Lionel Tardy, suggérant l'abrogation pure et simple de la loi Hadopi.

Parmi les amendements examinés mercredi, plusieurs concernent la question du filtrage des sites illicites. Ici, l'idée est pour mémoire d'imposer aux fournisseurs d'accès le blocage des sites dont les éditeurs se rendraient coupables de certaines infractions, lorsque ces derniers ne peuvent être réprimandés directement, par exemple s'ils exercent depuis l'étranger. Initialement, cette solution extrême devait être réservée aux sites pédopornographiques, mais plusieurs amendements suggéraient que la portée en soit étendue. Le député Philippe Goujeon propose par exemple qu'elle soit étendue aux sites qui pratiqueraient la « diffusion de contenus constituant une incitation aux jeux dangereux et violents ».

Déjà évoqué dans le cadre de la loi Hadopi ou de la loi visant à encadrer les jeux d'argent en ligne, le filtrage est pour mémoire particulièrement problématique en ceci qu'il est difficile, voire impossible, de garantir son efficacité sur le plan technique. Il suppose également qu'un des acteurs de la chaine - on pense bien sûr au FAI - supporte la responsabilité de la manoeuvre et de son éventuel échec. Enfin, il implique que ces graves décisions ne soient prises qu'à bon escient. Dans sa version initiale, le projet Loppsi proposait qu'une autorité administrative indépendante en ait la charge, sans contrôle extérieur, comme le prévoyait la première mouture de la loi Hadopi.

Un amendement rendant obligatoire le recours à un juge, déposé par Lionel Tardy, a toutefois été validé par la Commission des Lois mercredi, au soulagement général de tous ceux qui redoutent qu'une émanation de l'Etat puisse prononcer elle même une restriction de l'accès à Internet. Difficile d'en faire autrement, puisque ce point avait valu la censure partielle du projet de loi Hadopi lors de son examen par le Conseil constitutionnel.

A première vue, la Loppsi semble partie pour éviter certains des chausse-trapes qui guettaient son prédécesseur. Pour ses opposants, le danger n'en est que plus importants. "Impossible de croire Brice Hortefeux quand il explique que la censure du Net ne concernera que les contenus pédopornographiques, sachant que les industries du divertissement pro-HADOPI, proches du pouvoir, la demandent également au niveau mondial pour mieux faire la guerre à leurs clients. D'ailleurs Nicolas Sarkozy a lui même parlé de filtrer "les sites pédo-pornographiques et illégaux" ce qui prouve bien son intention." dénonce par exemple Jérémie Zimmermann, porte-parole de la Quadrature du Net, dans un communiqué.
À l'aube du salon Imagina, qui se tiendra à Monaco du 3 au 5 février, un nouvel acteur fait son entrée dans le monde de l'impression 3D. Pendant que les fabricants d'électronique grand public captent l'attention avec pléthore d'écrans 3D, Sculpteo propose du relief, du vrai, avec un service d'impression 3D par correspondance.

Le service peut imprimer des objets monochromes ou en couleur d'une taille maximale d'environ 35 x 25 x 20 cm. L'impression monochrome et couleur ne font pas appel à la même machine, chacune employant un matériau distinct. La première imprime du plastique alors que la seconde imprime un "composé haute performance", à l'aspect d'un moulage en plâtre.

Les modèles des logiciels de modélisation les plus populaires sont pris en charge, y compris ceux du logiciel Google SketchUp, dont la prise en main est facile. Le site propose en outre une galerie publique, dans laquelle les internautes peuvent partager leurs créations, mais aussi et surtout commander l'impression d'un objet partagé.

Sur le plan tarifaire, un simple dé monochrome coûte 2 euros, mais les prix s'envolent rapidement avec l'ajout de la couleur et de la complexité, puisqu'un avion bleu de taille maximale coûte par exemple la modique somme de 1 500 euros.

Les internautes peuvent quoi qu'il en soit essayer dès à présent le service en commandant un porte-clé personnalisé pour le montant des frais d'envoi.
L'évènement de ce début d'année en PHP, est le Symfony live qui va se dérouler les 16 et 17 février prochains à la Cité Universitaire Internationale de Paris.

Cet événement est organisé par Sensio Labs, l'agence interactive spécialiste de l'Open-Source et créatrice du framework Symfony. L'AFUP (Association Française des Utilisateurs de PHP) est également partenaire.

Cette seconde édition sera pour les utilisateurs et l'ensemble de la communauté PHP une belle opportunité de rencontrer les meilleurs experts et la Core Team Symfony.

De nombreuses sessions à ne pas manquer...

- Stefan Koopmanschap, Community manager Symfony, qui animera la conférence « The symfony Community: how you can help »
- Matthew Weier O'Phinney, Lead developer du Zend Framework, qui présentera « Using the Zend Framework with symfony »
- Dustin Whittle, Developer Evangelist for Yahoo's Open Strategy, animera la conférence « Building a platform from open source at Yahoo!"
- Fabien Potencier, Lead Developer de Symfony, dévoilera « Symfony 2 »
- Pour la 1ère fois en France, Scott Chacon, Git evangelist et développeur sur GitHub.com, animera une session « Introduction to Git »

Pour connaître l'ensemble du programme, il vous suffit de vous rendre sur le site de l'évènement.

- Programme de Symfony live 2010
le 27/01/2010 à 19:52
Migration de PHP 5.2 vers 5.3
Avec le déploiement de PHP 5.3, de nombreux ajouts et de modifications importantes à PHP sont apparus.

Pour faciliter le passage de PHP 5.2 à PHP 5.3, Stas Malyshev propose un petit script.

Ce script concerne les points les plus répandus, et répond à une grande partie des évolutions.

- 5.2 to 5.3 migration
- Script complet 5.2 to 5.3 migration
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